Leslie AR49
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie AR49
Leslie AR49 - Les confessions d’un ami, suite
« Tout alla vite, d’avoir palpé mon sexe avait rendue folle Carole, qui s’emparant de
mes deux mains les posa sur ses seins.
- Caresse mes seins, gémit-elle.
Je m’exécutais, caressant les chairs fragiles de ses seins au travers du fin tissu,
encore innocent, je demeurais ébahi en découvrant combien ses tétons étaient durs et
énormes.
Nous haletions tous les deux, l’excitation montait et allait bientôt être à son
comble.
- Ohhh oui, gémit Carole.
Elle retira sa nuisette pour se présenter nue devant moi, puis reprenant mes mains
elle les pressa fiévreusement contre ses seins gonflés, m’encourageant à continuer mes
caresses, soudain, alors que je venais de pincer fortement l’un des boutons de chair
durci, Carole se jeta sur ma bouche pour m’embrasser fougueusement.
Tout en me fouillant presque rageusement ma bouche de sa langue diabolique, elle posa
sa main sur la bosse que faisait mon membre viril tendu. Avec beaucoup de douceur elle
me caressa par-dessus le tissu de mon short.
Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis
abandonnant enfin son baiser, Carole me regarda dans les yeux :
- Tu veux, que je t’apprenne ce qu’un homme doit savoir faire à une femme ?
- Oui, je le veux, dis-je.
Comment refuser une telle proposition.
Je n’avais pas lâché ses seins et je continuais à pincer entre mes doigts les pointes
durcis, la faisant haleter et gémir.
Se reculant pour échapper à mon étreinte, Carole me repoussa doucement me forçant à
m’asseoir sur ma chaise.
- Regarde, me dit-elle. Je vais d’abord te montrer à quoi ressemble une femme.
Elle fit deux pas en arrière et nue devant moi, elle commença par se caresser les
seins d’une manière très sensuelle, et presque machinalement je posais ma main sur mon
sexe gonflé.
Me fixant du regard, les yeux brillants, Carole s’approcha de ma chaise pour y déposer
son pied droit. Sa cuisse largement écartée m’offrit une vue parfaite sur son sexe
lisse, dont elle écarta les lèvres avec deux doigts pour me montrer sa vulve
légèrement ambrée et luisante.
- Tu veux embrasser ma chatte ?
Mais sans attendre ma réponse, Carole, follement excitée m’agrippa la tête et appliqua
mon visage contre sa vulve entièrement épilée.
- Embrasse là, me dit-elle d’une voix haletante.
Je posais alors ma bouche contre les lèvres humides de son sexe, une odeur épicée me
monta aux narines, Carole me guida, prise par sa passion dévorante. Appuyant fortement
mon visage contre sa longue fente, elle m’encouragea d’une voix rauque :
- Embrasse ma chatte, mon chéri et sens comme je mouille…
A genoux, je constatais qu’elle mouillait, car mes lèvres baignaient dans une
onctuosité odorante.
Excité et complètement hors de moi, j’embrassais la vulve ruisselante, la couvrant de
baisers appuyés.
- Oui, c’est bien, m’encouragea Carole, lèche-là et enfonce ta langue à
l’intérieur…
Obéissant, je m’exécutais, je promenais ma langue à l’intérieur de cette faille
humide, l’enfonçant légèrement à l’intérieur des chairs chaudes et gluantes.
Aussitôt, Carole se mit à pousser des petits gémissements, puis je sentis ses deux
mains se saisir de ma tête pour l’immobiliser sur sa chatte en feu, agitant son bas-
ventre d’avant en arrière, elle entreprit de frotter avec fougue, son clitoris contre
ma bouche et mon menton.
Elle mouillait de plus en plus et soudain, elle s’immobilisa en laissant une douce
plainte jaillir de sa gorge, le corps traversé de soubresauts, et d’une voix déformée
par le plaisir, elle me dit :
- Petit coquin tu m’as fait jouir, c’était rudement bon.
Le sexe effroyablement bandé, je me réinstallais sur ma chaise, sans un mot, Carole
pivota sur elle-même pour me montrer sa croupe magnifique, en me lançant :
- Elles te plaisent mes fesses ?
- Ohhh, oui !
Perverse, elle se baissa en avant en écartant largement ses jambes, ce qui me permit
d’admirer ses fesses, son anus aux contours bruns et les grandes lèvres de sa longue
vulve.
Penchée en avant, me fixant entre ses jambes largement écartées et légèrement pliées,
Carole lança ses deux mains entre ses cuisses afin d’écarter les bords ourlés de sa
chatte. J’eus sous les yeux l’intérieur de sa vulve et je mourais d’envie d’aller y
enfoncer mes doigts pour sentir ses chairs humides et palpitantes de désir.
- Tu n’as pas envie de me faire l’amour, me demanda soudain Carole ?
- Ohhh, que si !
- Tu veux enfoncer ta queue dans ma chatte ?
- Ohhh, que oui !
Carole se redressa et me saisissant la main elle me tira jusqu’à sa chambre et là nous
nous embrassâmes de nouveau, passionnément. J’osais pendant se baiser laisser mes
doigts caresser son corps et Carole, accrochée à mon cou, commença à s’agiter contre
mon corps, frottant lascivement son bas-ventre nu contre l’imposante bosse que faisait
ma verge tendue.
- Déshabille-toi, grogna-t-elle soudain Carole.
Tout en se reculant pour échapper mes attouchements de plus en plus précis en
direction de son anus.
En un rien de temps, je me retrouvais aussi nu que Carol, mon initiatrice.
Au bas de mon ventre, ma bite se dressait orgueilleusement, alors sans un mot, Carole
grimpa sur le lit où elle s’allongea sur le dos et me fixant avec une intensité elle
écarta largement ses cuisses, me dévoilant son sexe glabre.
- Viens ! M’appela-t-elle.
Tout en me parlant, elle écarta ses grandes lèvres, ouvrant sa longue fente humide.
- Viens entre mes jambes mon chéri…Me dit-elle.
Je me suis agenouillé entre ses cuisses, remarquant que Carole mouillait comme une
dingue et à la commissure supérieure de ses lèvres sexuelles, je remarquais une énorme
excroissance rose, que je devinais être son clitoris.
Terriblement excité par le spectacle plutôt obscène que m’offrait généreusement
Carole, je m’approchais de cette dernière avec ma bite tendue. Ecartant encore plus
largement l’entré de son vagin, Carole m’invita à la pénétrer d’une voix oppressée.
- Ohhh, oui, mets-la moi, enfonce ta queue dans ma chatte et regarde comme je
l’ouvre bien pour que tu puisses y rentrer. Viens mon chéri, prends-moi…
Devant mon hésitation, désireuse d’être pénétrée sur le champ, Carole se saisit de mon
sexe de ses doigts pour diriger mon gland à l’entrée de sa vulve.
Alors je me laissais aller et m’allongeais sur elle, je sentis ma verge s’enfoncer
progressivement dans la chatte de Carole, pour la première fois je faisais l’amour et
en plus à une femme qui poussait de petits cris comme une gamine.
Une fois ma queue enfoncée entièrement dans la vulve de Carole, je sentis mes couilles
venir heurter les fesses de ma compagne, qui sans que je comprenne pourquoi se mit à
gémir sans retenue.
Prise d’une espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les
écartant le plus possible, pour s’offrir sous un meilleur angle, me facilitant une
pénétration plus profonde.
J’entamais alors ce mouvement de va et vient, faisant coulisser mon membre lentement
dans les entrailles de mon amante.
- Plus vite ! Gémit soudain Carole…Va plus vite mon chéri… Baise-moi bien à
fond.
Puisqu’elle me le demandait, j’accélérais alors mon mouvement pour finir par de grands
coups de boutoir qui m’enfonçaient violemment dans sa chatte de plus en plus
ruisselante.
Plus mes coups de reins se faisaient violents, plus ma compagne se cambrait en
poussant de véritables cris de plaisir. Haletante, elle s’accroche à mon cou pour
m’embrasser avec fougue. Nos langues se caressèrent dans un bain de salive, alors que
ses seins se trouvèrent écrasés par ma poitrine. »
A suivre…
« Tout alla vite, d’avoir palpé mon sexe avait rendue folle Carole, qui s’emparant de
mes deux mains les posa sur ses seins.
- Caresse mes seins, gémit-elle.
Je m’exécutais, caressant les chairs fragiles de ses seins au travers du fin tissu,
encore innocent, je demeurais ébahi en découvrant combien ses tétons étaient durs et
énormes.
Nous haletions tous les deux, l’excitation montait et allait bientôt être à son
comble.
- Ohhh oui, gémit Carole.
Elle retira sa nuisette pour se présenter nue devant moi, puis reprenant mes mains
elle les pressa fiévreusement contre ses seins gonflés, m’encourageant à continuer mes
caresses, soudain, alors que je venais de pincer fortement l’un des boutons de chair
durci, Carole se jeta sur ma bouche pour m’embrasser fougueusement.
Tout en me fouillant presque rageusement ma bouche de sa langue diabolique, elle posa
sa main sur la bosse que faisait mon membre viril tendu. Avec beaucoup de douceur elle
me caressa par-dessus le tissu de mon short.
Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis
abandonnant enfin son baiser, Carole me regarda dans les yeux :
- Tu veux, que je t’apprenne ce qu’un homme doit savoir faire à une femme ?
- Oui, je le veux, dis-je.
Comment refuser une telle proposition.
Je n’avais pas lâché ses seins et je continuais à pincer entre mes doigts les pointes
durcis, la faisant haleter et gémir.
Se reculant pour échapper à mon étreinte, Carole me repoussa doucement me forçant à
m’asseoir sur ma chaise.
- Regarde, me dit-elle. Je vais d’abord te montrer à quoi ressemble une femme.
Elle fit deux pas en arrière et nue devant moi, elle commença par se caresser les
seins d’une manière très sensuelle, et presque machinalement je posais ma main sur mon
sexe gonflé.
Me fixant du regard, les yeux brillants, Carole s’approcha de ma chaise pour y déposer
son pied droit. Sa cuisse largement écartée m’offrit une vue parfaite sur son sexe
lisse, dont elle écarta les lèvres avec deux doigts pour me montrer sa vulve
légèrement ambrée et luisante.
- Tu veux embrasser ma chatte ?
Mais sans attendre ma réponse, Carole, follement excitée m’agrippa la tête et appliqua
mon visage contre sa vulve entièrement épilée.
- Embrasse là, me dit-elle d’une voix haletante.
Je posais alors ma bouche contre les lèvres humides de son sexe, une odeur épicée me
monta aux narines, Carole me guida, prise par sa passion dévorante. Appuyant fortement
mon visage contre sa longue fente, elle m’encouragea d’une voix rauque :
- Embrasse ma chatte, mon chéri et sens comme je mouille…
A genoux, je constatais qu’elle mouillait, car mes lèvres baignaient dans une
onctuosité odorante.
Excité et complètement hors de moi, j’embrassais la vulve ruisselante, la couvrant de
baisers appuyés.
- Oui, c’est bien, m’encouragea Carole, lèche-là et enfonce ta langue à
l’intérieur…
Obéissant, je m’exécutais, je promenais ma langue à l’intérieur de cette faille
humide, l’enfonçant légèrement à l’intérieur des chairs chaudes et gluantes.
Aussitôt, Carole se mit à pousser des petits gémissements, puis je sentis ses deux
mains se saisir de ma tête pour l’immobiliser sur sa chatte en feu, agitant son bas-
ventre d’avant en arrière, elle entreprit de frotter avec fougue, son clitoris contre
ma bouche et mon menton.
Elle mouillait de plus en plus et soudain, elle s’immobilisa en laissant une douce
plainte jaillir de sa gorge, le corps traversé de soubresauts, et d’une voix déformée
par le plaisir, elle me dit :
- Petit coquin tu m’as fait jouir, c’était rudement bon.
Le sexe effroyablement bandé, je me réinstallais sur ma chaise, sans un mot, Carole
pivota sur elle-même pour me montrer sa croupe magnifique, en me lançant :
- Elles te plaisent mes fesses ?
- Ohhh, oui !
Perverse, elle se baissa en avant en écartant largement ses jambes, ce qui me permit
d’admirer ses fesses, son anus aux contours bruns et les grandes lèvres de sa longue
vulve.
Penchée en avant, me fixant entre ses jambes largement écartées et légèrement pliées,
Carole lança ses deux mains entre ses cuisses afin d’écarter les bords ourlés de sa
chatte. J’eus sous les yeux l’intérieur de sa vulve et je mourais d’envie d’aller y
enfoncer mes doigts pour sentir ses chairs humides et palpitantes de désir.
- Tu n’as pas envie de me faire l’amour, me demanda soudain Carole ?
- Ohhh, que si !
- Tu veux enfoncer ta queue dans ma chatte ?
- Ohhh, que oui !
Carole se redressa et me saisissant la main elle me tira jusqu’à sa chambre et là nous
nous embrassâmes de nouveau, passionnément. J’osais pendant se baiser laisser mes
doigts caresser son corps et Carole, accrochée à mon cou, commença à s’agiter contre
mon corps, frottant lascivement son bas-ventre nu contre l’imposante bosse que faisait
ma verge tendue.
- Déshabille-toi, grogna-t-elle soudain Carole.
Tout en se reculant pour échapper mes attouchements de plus en plus précis en
direction de son anus.
En un rien de temps, je me retrouvais aussi nu que Carol, mon initiatrice.
Au bas de mon ventre, ma bite se dressait orgueilleusement, alors sans un mot, Carole
grimpa sur le lit où elle s’allongea sur le dos et me fixant avec une intensité elle
écarta largement ses cuisses, me dévoilant son sexe glabre.
- Viens ! M’appela-t-elle.
Tout en me parlant, elle écarta ses grandes lèvres, ouvrant sa longue fente humide.
- Viens entre mes jambes mon chéri…Me dit-elle.
Je me suis agenouillé entre ses cuisses, remarquant que Carole mouillait comme une
dingue et à la commissure supérieure de ses lèvres sexuelles, je remarquais une énorme
excroissance rose, que je devinais être son clitoris.
Terriblement excité par le spectacle plutôt obscène que m’offrait généreusement
Carole, je m’approchais de cette dernière avec ma bite tendue. Ecartant encore plus
largement l’entré de son vagin, Carole m’invita à la pénétrer d’une voix oppressée.
- Ohhh, oui, mets-la moi, enfonce ta queue dans ma chatte et regarde comme je
l’ouvre bien pour que tu puisses y rentrer. Viens mon chéri, prends-moi…
Devant mon hésitation, désireuse d’être pénétrée sur le champ, Carole se saisit de mon
sexe de ses doigts pour diriger mon gland à l’entrée de sa vulve.
Alors je me laissais aller et m’allongeais sur elle, je sentis ma verge s’enfoncer
progressivement dans la chatte de Carole, pour la première fois je faisais l’amour et
en plus à une femme qui poussait de petits cris comme une gamine.
Une fois ma queue enfoncée entièrement dans la vulve de Carole, je sentis mes couilles
venir heurter les fesses de ma compagne, qui sans que je comprenne pourquoi se mit à
gémir sans retenue.
Prise d’une espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les
écartant le plus possible, pour s’offrir sous un meilleur angle, me facilitant une
pénétration plus profonde.
J’entamais alors ce mouvement de va et vient, faisant coulisser mon membre lentement
dans les entrailles de mon amante.
- Plus vite ! Gémit soudain Carole…Va plus vite mon chéri… Baise-moi bien à
fond.
Puisqu’elle me le demandait, j’accélérais alors mon mouvement pour finir par de grands
coups de boutoir qui m’enfonçaient violemment dans sa chatte de plus en plus
ruisselante.
Plus mes coups de reins se faisaient violents, plus ma compagne se cambrait en
poussant de véritables cris de plaisir. Haletante, elle s’accroche à mon cou pour
m’embrasser avec fougue. Nos langues se caressèrent dans un bain de salive, alors que
ses seins se trouvèrent écrasés par ma poitrine. »
A suivre…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Leslie, je suis devenu depuis peu un fan de toi et de tes histoires. C'est un régal de
pouvoir se caresser en te lisant.
pouvoir se caresser en te lisant.
très belle histoire, vivement la suite!