Leslie AR62
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie AR62
LESLIE AR62 – Vacances chez Caroline, toujours la suite et la fin
Quand Caroline est rentrée à la maison, elle me trouva particulièrement excitée et dans de bonnes dispositions, d’autant que j’étais encore nue et le sexe à moitié bandé.
Me voyant ainsi elle me dit :
- Toi tu as des désirs, et si je me trompe je me fais nonne.
- C’est que tu m’as beaucoup manqué, ma chérie.
- Alors allons vite dans la chambre que je te remette les idées en place.
Aussitôt que nous soyons entrées dans la chambre, elle prit l’initiative.
Je lui tournais le dos et elle se glissa contre mon dos et ses mains se saisirent de mon sexe, le caressant doucement pour le faire durcir.
Elle profita de notre position pour me donner une série de baisers dans le coup, tout en me branlant des frissons parcoururent mon corps et je me mis à bander comme une dingue.
Dans sa chambre le lit nous attendait.
Elle se mit face à moi, pour m’enlacer, et j’ai sentis son sexe frotter contre le mien, elle me serrait contre elle et m’embrassais passionnément. Dans les bras de Caroline je me sentais femme, alors elle m’a pris par la main et m’emmena jusqu’à sa couche.
Caroline m’étendit doucement sur le dos, sa bouche courrait sur mon visage, ma poitrine, mes bras et ses cuisses. Ses mains caressaient les parties qu’elle venait d’embrasser.
Lentement je la sentais se diriger lentement vers son bassin, que je relevais de désir allant au-devant de ses caresses. Elle m’a regardé, elle était belle, elle me tira doucement vers le bord du lit, laissant mes pieds reposer sur le tapis moelleux.
Puis elle s’agenouilla entre mes jambes écartées et me saisit doucement le sexe, gonflé de désir et le branla tendrement.
Je gémissais doucement les yeux fermés, appréciant les faveurs de Caroline en murmurant :
- Suce-moi, suce-moi …
Alors, elle prit mon sexe dans sa bouche, tout mon sexe en une seule fois et se mis à coulisser dessus lentement, serrant fortement ses lèvres autour de mon bâton de chair. Ses mains continuaient à caresser mon corps réveillant des plaisirs en moi.
Après quelques minutes de ce traitement, elle me dit :
- Attends.
Puis elle me fit coucher sur le lit et s’installa tête-bêche sur moi et reprit le traitement qu’elle avait fait abandonner un peu plus tôt. Maintenant son sexe se balançait au-dessus de mon visage, je le saisis de ma bouche gourmande et avide et le fis rouler sous ma langue.
Mes mains avaient saisi ses fesses et je lui pénétrai doucement l’anus avec l’index. Les caresses buccales expertes de ma compagne de lit me conduisirent presque au paroxysme, mais, sentant la jouissance approcher, elle la stoppa d’un coup en serrant mon sexe à la base et mes testicules dans ses mains.
Et sans perdre un instant elle se dressa au-dessus de mon sexe et se laissa coulisser dessus. Je sentais son sexe battre sur mon ventre pendant qu’elle me chevauchait. Je lui caressais les seins de mes mains libres.
Pendant que je la sodomisais, enfin qu’elle se sodomisait sur moi, j’ai vu son sexe dressé et balloter au gré de ses mouvements, elle bandait comme une furie, elle me demanda de la branler.
Je saisis son sexe et commençais à le masturber, elle réglait ses mouvements à la montée de notre plaisir et m’amena à l’orgasme en serrant son sphincter sur mon sexe et elle reçue au fond de son ventre toute ma jouissance chaude et épaisse.
Elle reprit haleine, se leva, et alla prendre une douche, je l’ai rejointe aussitôt et c’est ensemble que nous sommes retournés dans la chambre.
Nous nous installâmes sur le lit, jambes emmêlées, le désir ne nous ayant pas quitté, il renaissait déjà sous nos caresses distraites. Nos ventres se retrouvèrent bientôt l’un contre l’autre et nos sexes commencèrent à reprendre vigueur pour se dressés l’un à côté de l’autre.
A nouveau, nos haleines se mêlaient, nos bouches se dévoraient, nos langues s’entremêlaient, nos souffles s’accéléraient et nos bras s’enlacèrent.
Nos corps allaient l’un contre l’autre, comme pour ne plus faire qu’un.
Puis me mettant sur le ventre, elle monta sur moi pour me mordre les épaules et le cou, comme le ferait une bête sauvage sur sa femelle, puis elle se mit à se frotter sur mon dos.
Ses mains me saisirent les fesses, ses jambes emprisonnèrent les miennes et sa langue me pénétra l’œillet dans une douce caresse si longtemps attendue. Elle se mit à me malaxer doucement le sphincter avec ses doigts pour le détendre et l’assouplir avant d’y rentrer un doigt, qu’elle m’enfonça profondément, puis le fit aller et venir doucement en moi.
Elle se leva, me tirant le bassin en arrière et je me retrouvais à quatre pattes, offerte.
Puis se plaça derrière mes fesses, se branla un instant et me pénétra d’un coup de reins. Elle se mit à me sodomiser en grands mouvements lents, le temps avait perdu toute existence, j’avais envie d’être sodomiser longtemps, Caroline ralentissait lorsque le désir était trop fort, puis reprenais son rythme quelque temps plus tard.
Je sentais le sexe de Caroline qui allait et venait en moi, le plaisir montait lentement dans mon ventre et je savais que ce serait un terrible orgasme qui allait m’emporter.
Effectivement, je la sentis accélérer ses va-et-vient, de plus en plus violents, qui faisaient cogner ses testicules sur les miennes à chaque mouvement, puis elle se raidit, au moment où je hurlais mon orgasme, je sentis mes parois intimes inondées par sa chaude jouissance et la sentis s’affaler sur mon dos avant que je perde connaissance.
Je repris connaissance, alors qu’elle reprenait haleine, toujours enfoncée en moi.
Après s’être retirée, nous nous sommes levées pour aller prendre une douche, avant d’aller diner pour notre dernière soirée, mais son corps contre le mien sous l’eau chaude ranima nos ardeurs. Je la pris une dernière fois, debout, appuyée sur la paroi de la douche. Ayant déjà joui moi-même, je pouvais parfaitement me maîtriser, et je ne me laissai aller que lorsque le râle qui jaillit de sa bouche trahit son plaisir.
Nous nous sommes habillées pour aller diner, la nuit fut courte et entrecoupée de hurlements de plaisir, chacun faisant jouir l’autre.
Le lendemain matin, nous nous sommes embrassées avant de nous quitter, le séjour était terminé et nos anus en souffraient un peu.
A suivre…
Quand Caroline est rentrée à la maison, elle me trouva particulièrement excitée et dans de bonnes dispositions, d’autant que j’étais encore nue et le sexe à moitié bandé.
Me voyant ainsi elle me dit :
- Toi tu as des désirs, et si je me trompe je me fais nonne.
- C’est que tu m’as beaucoup manqué, ma chérie.
- Alors allons vite dans la chambre que je te remette les idées en place.
Aussitôt que nous soyons entrées dans la chambre, elle prit l’initiative.
Je lui tournais le dos et elle se glissa contre mon dos et ses mains se saisirent de mon sexe, le caressant doucement pour le faire durcir.
Elle profita de notre position pour me donner une série de baisers dans le coup, tout en me branlant des frissons parcoururent mon corps et je me mis à bander comme une dingue.
Dans sa chambre le lit nous attendait.
Elle se mit face à moi, pour m’enlacer, et j’ai sentis son sexe frotter contre le mien, elle me serrait contre elle et m’embrassais passionnément. Dans les bras de Caroline je me sentais femme, alors elle m’a pris par la main et m’emmena jusqu’à sa couche.
Caroline m’étendit doucement sur le dos, sa bouche courrait sur mon visage, ma poitrine, mes bras et ses cuisses. Ses mains caressaient les parties qu’elle venait d’embrasser.
Lentement je la sentais se diriger lentement vers son bassin, que je relevais de désir allant au-devant de ses caresses. Elle m’a regardé, elle était belle, elle me tira doucement vers le bord du lit, laissant mes pieds reposer sur le tapis moelleux.
Puis elle s’agenouilla entre mes jambes écartées et me saisit doucement le sexe, gonflé de désir et le branla tendrement.
Je gémissais doucement les yeux fermés, appréciant les faveurs de Caroline en murmurant :
- Suce-moi, suce-moi …
Alors, elle prit mon sexe dans sa bouche, tout mon sexe en une seule fois et se mis à coulisser dessus lentement, serrant fortement ses lèvres autour de mon bâton de chair. Ses mains continuaient à caresser mon corps réveillant des plaisirs en moi.
Après quelques minutes de ce traitement, elle me dit :
- Attends.
Puis elle me fit coucher sur le lit et s’installa tête-bêche sur moi et reprit le traitement qu’elle avait fait abandonner un peu plus tôt. Maintenant son sexe se balançait au-dessus de mon visage, je le saisis de ma bouche gourmande et avide et le fis rouler sous ma langue.
Mes mains avaient saisi ses fesses et je lui pénétrai doucement l’anus avec l’index. Les caresses buccales expertes de ma compagne de lit me conduisirent presque au paroxysme, mais, sentant la jouissance approcher, elle la stoppa d’un coup en serrant mon sexe à la base et mes testicules dans ses mains.
Et sans perdre un instant elle se dressa au-dessus de mon sexe et se laissa coulisser dessus. Je sentais son sexe battre sur mon ventre pendant qu’elle me chevauchait. Je lui caressais les seins de mes mains libres.
Pendant que je la sodomisais, enfin qu’elle se sodomisait sur moi, j’ai vu son sexe dressé et balloter au gré de ses mouvements, elle bandait comme une furie, elle me demanda de la branler.
Je saisis son sexe et commençais à le masturber, elle réglait ses mouvements à la montée de notre plaisir et m’amena à l’orgasme en serrant son sphincter sur mon sexe et elle reçue au fond de son ventre toute ma jouissance chaude et épaisse.
Elle reprit haleine, se leva, et alla prendre une douche, je l’ai rejointe aussitôt et c’est ensemble que nous sommes retournés dans la chambre.
Nous nous installâmes sur le lit, jambes emmêlées, le désir ne nous ayant pas quitté, il renaissait déjà sous nos caresses distraites. Nos ventres se retrouvèrent bientôt l’un contre l’autre et nos sexes commencèrent à reprendre vigueur pour se dressés l’un à côté de l’autre.
A nouveau, nos haleines se mêlaient, nos bouches se dévoraient, nos langues s’entremêlaient, nos souffles s’accéléraient et nos bras s’enlacèrent.
Nos corps allaient l’un contre l’autre, comme pour ne plus faire qu’un.
Puis me mettant sur le ventre, elle monta sur moi pour me mordre les épaules et le cou, comme le ferait une bête sauvage sur sa femelle, puis elle se mit à se frotter sur mon dos.
Ses mains me saisirent les fesses, ses jambes emprisonnèrent les miennes et sa langue me pénétra l’œillet dans une douce caresse si longtemps attendue. Elle se mit à me malaxer doucement le sphincter avec ses doigts pour le détendre et l’assouplir avant d’y rentrer un doigt, qu’elle m’enfonça profondément, puis le fit aller et venir doucement en moi.
Elle se leva, me tirant le bassin en arrière et je me retrouvais à quatre pattes, offerte.
Puis se plaça derrière mes fesses, se branla un instant et me pénétra d’un coup de reins. Elle se mit à me sodomiser en grands mouvements lents, le temps avait perdu toute existence, j’avais envie d’être sodomiser longtemps, Caroline ralentissait lorsque le désir était trop fort, puis reprenais son rythme quelque temps plus tard.
Je sentais le sexe de Caroline qui allait et venait en moi, le plaisir montait lentement dans mon ventre et je savais que ce serait un terrible orgasme qui allait m’emporter.
Effectivement, je la sentis accélérer ses va-et-vient, de plus en plus violents, qui faisaient cogner ses testicules sur les miennes à chaque mouvement, puis elle se raidit, au moment où je hurlais mon orgasme, je sentis mes parois intimes inondées par sa chaude jouissance et la sentis s’affaler sur mon dos avant que je perde connaissance.
Je repris connaissance, alors qu’elle reprenait haleine, toujours enfoncée en moi.
Après s’être retirée, nous nous sommes levées pour aller prendre une douche, avant d’aller diner pour notre dernière soirée, mais son corps contre le mien sous l’eau chaude ranima nos ardeurs. Je la pris une dernière fois, debout, appuyée sur la paroi de la douche. Ayant déjà joui moi-même, je pouvais parfaitement me maîtriser, et je ne me laissai aller que lorsque le râle qui jaillit de sa bouche trahit son plaisir.
Nous nous sommes habillées pour aller diner, la nuit fut courte et entrecoupée de hurlements de plaisir, chacun faisant jouir l’autre.
Le lendemain matin, nous nous sommes embrassées avant de nous quitter, le séjour était terminé et nos anus en souffraient un peu.
A suivre…
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J'adore ma chérie. Tu m as encore fait bander comme un fou ! Benoit