Leslie AR63
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Couleur du fond :
Leslie AR63
Je suis dans l’ascenseur en train de remonter vers notre appartement, j’examine le reflet que me renvoie le miroir qui se trouve au fond de celui-ci, sans narcissisme, juste pour voir, et je suis plutôt satisfaite : malgré la vie trépidante que je mène et les aventures qui s’enchainent, je ne suis pas trop marquée par toutes ces aventures que je vis, et je me trouve encore séduisante.
Je n’ai pas pris un kilo depuis des années et mes traits sont toujours aussi fins, je me trouve même mignonne. Ma poitrine reste impeccable, les prothèses sont en place et je n’aurais pas besoin de repasser par la chirurgie esthétique avant quelques années.
J’adore mon look et mon tailleur me va à ravir, d’autant plus que j’en ai choisi un plutôt sexy dans ma garde-robe, ayant rendez-vous avec un client pour une réunion dans l’après-midi et j’ai remarqué qu’une apparence moins sage permet de captiver l’attention, surtout si la clientèle est masculine.
La jupe de mon tailleur est assez courte et remonte bien au-dessus du genou, quasi mi cuisse pour être précise, et moule très bien mon bassin, mes bas noirs et mes escarpins finissent d’affiner ma silhouette. Mon haut est plus sage et consiste juste en une veste classique, la couleur crème fait bien ressortir la couleur châtain clair aux reflets roux de mes cheveux, pas très naturelle pour être honnête.
Le bruit mécanique de l’ascenseur qui arrive au bon niveau me tire de ma contemplation certainement un peu narcissique il faut bien le dire, un dernier coup d’œil au miroir et j’avance vers notre appartement.
Je pense alors que Laure va être bien surprise de me voir arriver à cette heure, au milieu de l’après-midi. Mon prochain client vient de me téléphoner pour annuler le rendez-vous et donc j’ai terminé ma journée.
Laure est ma compagne depuis maintenant des années et nous vivons librement notre histoire d’amour, sans prise de tête.
Penser à elle me fait vibrer, j’ai hâte d’être dans ses bras et de sentir son corps contre le mien. Ce soir, qui sait, nous ferons peut-être l’amour, et comme chaque fois ce sera super.
Je rentre dans l’appartement, me déchausse et avance le long du couloir. Je m’apprête à appeler Laure quand il me semble entendre un bruit étrange venant du fond, au niveau de notre chambre. Ce bruit m’intrigue et j’avance en restant finalement muette. En approchant le son devient plus clair et ressemble à des gémissements, cela vient de notre chambre.
Je passe la tête par la porte entrebâillée et ce que je vois me fait sourire.
Laure est allongée sur le lit, le string sur ses chevilles, jambes bien écartées ; elle utilise mon gode avec passion, le tiroir de la table de nuit où nous rangeons nos accessoires est grand ouvert.
Quand mon regard se porte de nouveau sur elle, je me rends compte que sa tête est tournée sur le côté et elle regarde le cadre qu’elle a posé à côté, sur le lit. C’est celui qui est normalement sur la commode, avec une photo de moi en lingerie prise par elle.
Je retourne dans l’entrée et je rechausse mes escarpins, et faisant le plus de bruit possible j’avance dans le couloir, en hurlant presque :
- Laure c’est moi, je rentre plus tôt ce soir, j’espère que tu es heureuse !
J’imagine, Laure en train de paniquer, bien que plusieurs fois je l’ai surprise se donnant du plaisir, elle n’aime pas cela, volontairement je traîne pour déposer ma veste sur un dossier d’une chaise et une fois avoir estimé que ma petite « amoureuse » a eu le temps de se reprendre, j’avance vers ma chambre.
À proximité c’est maintenant la voix de Laure que j’entends, et qui me lance :
- Ah tu es déjà là, super tu rentres tôt.
Elle a remis de l’ordre à la vitesse de l’éclair, seul le dessus du lit toujours un peu froissé me prouve que je n’ai pas eu d’hallucination. Encore une fois je jette un œil machinalement vers ma table de nuit, le tiroir est désormais bien fermé, le cadre lui aussi a retrouvé sa place.
A y regarder de près son visage est quand même quelque peu rouge. Finalement elle me bredouille dans un souffle :
- Je m’étais un peu assoupie.
- Ne t’inquiètes pas, je suis crevée je vais m’allonger un peu pour me reposer.
- Alors pendant ce temps-là, je vais préparer le repas de ce soir.
- Ok, à plus tard.
Je reste un instant, allongée et je m’aperçois que Laure, par l’entrebâillement de la porte m’observe, visiblement elle ne s’est pas rendue compte que j’avais repéré sa présence, il est vrai que je n’ai pas bougé mise à part mon regard. Elle est là à m’observer, la bouche légèrement entre ouverte, visiblement elle a l’air de prendre du plaisir à me regarder ainsi couchée sur le lit.
Se sentir ainsi espionnée, fait monter en moi le plaisir, cela va être ce soir un jeu entre nous, je me rends compte qu’elle m’observe, la main passée dans son string, prête à se caresser. J’éprouve alors l’envie, le besoin de lui en montrer plus, elle veut du spectacle et être voyeuse, elle va être servie.
Je plie mes jambes en les écartant et d’une main j’écarte mon string pour sortir mon sexe et commence à me caresser, mon sexe durcit dans ma main et ne tarde pas à être prêt pour être branlé.
De la main gauche j’ouvre mon corsage afin de libérer ma poitrine pour que je puisse la caresser, ce que je fais aussitôt en me branlant doucement.
Je ne sais pas pourquoi, mais de me regarder me branler a toujours excité Laure. Un petit coup d’œil vers elle et je vois que sa main s’active sur son intimité, elle se caresse elle aussi.
Pendant que je me branlais, ma jupe s’est retroussée jusqu’en haut de mes cuisses, gainées de mes bas, le spectacle que j’offre doit être excitant.
De me sentir regarder décuple encore mon plaisir, ce soir va être un peu spécial car, excitée comme je suis, Laure va y passer.
Je ne veux pas jouir, me réservant entièrement pour Laure, alors pour la laisser sur sa faim, j’arrête de me caresser et me positionne comme si j’allais dormir. Bien évidemment quelques instants plus tard, Laure a disparu.
J’ai laissé un peu de temps avant d’aller dans le salon et là je retrouve Laure allongée sur son divan, faisant comme si je n’étais pas là, les jambes écartées, son intimité offerte à mon regard, en train de se masturber comme une folle.
Je la regarde, je vois distinctement les lèvres de son sexe glabre et je sens monter en moi le désir, des bouffées de chaleur commencent à me monter à la tête, je bande comme une folle.
Laure me voit et absorbée dans son plaisir me fait signe de venir en me disant :
- Je t’ai vu te branler et ça m’a excité !
- Petite vicieuse.
- Maintenant prends-moi, me dit-elle.
Elle me rend folle de désir.
Je m’approche et lui enlevant le shorty, je l’ai prise sans un mot sur le canapé.
Nous avons passé une nuit de folie, se sodomisant tour à tour et ne s’endormant que tard dans la nuit, épuisée mais heureuses d’en avoir bien profité.
A suivre…
Je n’ai pas pris un kilo depuis des années et mes traits sont toujours aussi fins, je me trouve même mignonne. Ma poitrine reste impeccable, les prothèses sont en place et je n’aurais pas besoin de repasser par la chirurgie esthétique avant quelques années.
J’adore mon look et mon tailleur me va à ravir, d’autant plus que j’en ai choisi un plutôt sexy dans ma garde-robe, ayant rendez-vous avec un client pour une réunion dans l’après-midi et j’ai remarqué qu’une apparence moins sage permet de captiver l’attention, surtout si la clientèle est masculine.
La jupe de mon tailleur est assez courte et remonte bien au-dessus du genou, quasi mi cuisse pour être précise, et moule très bien mon bassin, mes bas noirs et mes escarpins finissent d’affiner ma silhouette. Mon haut est plus sage et consiste juste en une veste classique, la couleur crème fait bien ressortir la couleur châtain clair aux reflets roux de mes cheveux, pas très naturelle pour être honnête.
Le bruit mécanique de l’ascenseur qui arrive au bon niveau me tire de ma contemplation certainement un peu narcissique il faut bien le dire, un dernier coup d’œil au miroir et j’avance vers notre appartement.
Je pense alors que Laure va être bien surprise de me voir arriver à cette heure, au milieu de l’après-midi. Mon prochain client vient de me téléphoner pour annuler le rendez-vous et donc j’ai terminé ma journée.
Laure est ma compagne depuis maintenant des années et nous vivons librement notre histoire d’amour, sans prise de tête.
Penser à elle me fait vibrer, j’ai hâte d’être dans ses bras et de sentir son corps contre le mien. Ce soir, qui sait, nous ferons peut-être l’amour, et comme chaque fois ce sera super.
Je rentre dans l’appartement, me déchausse et avance le long du couloir. Je m’apprête à appeler Laure quand il me semble entendre un bruit étrange venant du fond, au niveau de notre chambre. Ce bruit m’intrigue et j’avance en restant finalement muette. En approchant le son devient plus clair et ressemble à des gémissements, cela vient de notre chambre.
Je passe la tête par la porte entrebâillée et ce que je vois me fait sourire.
Laure est allongée sur le lit, le string sur ses chevilles, jambes bien écartées ; elle utilise mon gode avec passion, le tiroir de la table de nuit où nous rangeons nos accessoires est grand ouvert.
Quand mon regard se porte de nouveau sur elle, je me rends compte que sa tête est tournée sur le côté et elle regarde le cadre qu’elle a posé à côté, sur le lit. C’est celui qui est normalement sur la commode, avec une photo de moi en lingerie prise par elle.
Je retourne dans l’entrée et je rechausse mes escarpins, et faisant le plus de bruit possible j’avance dans le couloir, en hurlant presque :
- Laure c’est moi, je rentre plus tôt ce soir, j’espère que tu es heureuse !
J’imagine, Laure en train de paniquer, bien que plusieurs fois je l’ai surprise se donnant du plaisir, elle n’aime pas cela, volontairement je traîne pour déposer ma veste sur un dossier d’une chaise et une fois avoir estimé que ma petite « amoureuse » a eu le temps de se reprendre, j’avance vers ma chambre.
À proximité c’est maintenant la voix de Laure que j’entends, et qui me lance :
- Ah tu es déjà là, super tu rentres tôt.
Elle a remis de l’ordre à la vitesse de l’éclair, seul le dessus du lit toujours un peu froissé me prouve que je n’ai pas eu d’hallucination. Encore une fois je jette un œil machinalement vers ma table de nuit, le tiroir est désormais bien fermé, le cadre lui aussi a retrouvé sa place.
A y regarder de près son visage est quand même quelque peu rouge. Finalement elle me bredouille dans un souffle :
- Je m’étais un peu assoupie.
- Ne t’inquiètes pas, je suis crevée je vais m’allonger un peu pour me reposer.
- Alors pendant ce temps-là, je vais préparer le repas de ce soir.
- Ok, à plus tard.
Je reste un instant, allongée et je m’aperçois que Laure, par l’entrebâillement de la porte m’observe, visiblement elle ne s’est pas rendue compte que j’avais repéré sa présence, il est vrai que je n’ai pas bougé mise à part mon regard. Elle est là à m’observer, la bouche légèrement entre ouverte, visiblement elle a l’air de prendre du plaisir à me regarder ainsi couchée sur le lit.
Se sentir ainsi espionnée, fait monter en moi le plaisir, cela va être ce soir un jeu entre nous, je me rends compte qu’elle m’observe, la main passée dans son string, prête à se caresser. J’éprouve alors l’envie, le besoin de lui en montrer plus, elle veut du spectacle et être voyeuse, elle va être servie.
Je plie mes jambes en les écartant et d’une main j’écarte mon string pour sortir mon sexe et commence à me caresser, mon sexe durcit dans ma main et ne tarde pas à être prêt pour être branlé.
De la main gauche j’ouvre mon corsage afin de libérer ma poitrine pour que je puisse la caresser, ce que je fais aussitôt en me branlant doucement.
Je ne sais pas pourquoi, mais de me regarder me branler a toujours excité Laure. Un petit coup d’œil vers elle et je vois que sa main s’active sur son intimité, elle se caresse elle aussi.
Pendant que je me branlais, ma jupe s’est retroussée jusqu’en haut de mes cuisses, gainées de mes bas, le spectacle que j’offre doit être excitant.
De me sentir regarder décuple encore mon plaisir, ce soir va être un peu spécial car, excitée comme je suis, Laure va y passer.
Je ne veux pas jouir, me réservant entièrement pour Laure, alors pour la laisser sur sa faim, j’arrête de me caresser et me positionne comme si j’allais dormir. Bien évidemment quelques instants plus tard, Laure a disparu.
J’ai laissé un peu de temps avant d’aller dans le salon et là je retrouve Laure allongée sur son divan, faisant comme si je n’étais pas là, les jambes écartées, son intimité offerte à mon regard, en train de se masturber comme une folle.
Je la regarde, je vois distinctement les lèvres de son sexe glabre et je sens monter en moi le désir, des bouffées de chaleur commencent à me monter à la tête, je bande comme une folle.
Laure me voit et absorbée dans son plaisir me fait signe de venir en me disant :
- Je t’ai vu te branler et ça m’a excité !
- Petite vicieuse.
- Maintenant prends-moi, me dit-elle.
Elle me rend folle de désir.
Je m’approche et lui enlevant le shorty, je l’ai prise sans un mot sur le canapé.
Nous avons passé une nuit de folie, se sodomisant tour à tour et ne s’endormant que tard dans la nuit, épuisée mais heureuses d’en avoir bien profité.
A suivre…
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