Leslie BE03 - histoire érotique

Leslie BE03 - Bertrand
Une suite qui fait mal au cul… Suite

Le lendemain quand nous nous réveillons il fait grand jour, Laure est déjà debout et après avoir été cherché les croissants, elle a fait couler le café, dont l’odeur inonde l’appartement.
Une bonne douche, puis avec Cathy, nous nous habillons et après avoir pris le petit-déjeuner, nous quittons Laure pour sortir…

Pendant la matinée, avec Cathy, nous avons fait du shopping, elle s’est acheté une robe longue de soirée fendue à mi-cuisses et dos nu, une jolie paire d’escarpins à talons hauts et du maquillage.
Et enfin pour que Cathy soit encore plus féminine, je lui ai conseillé d’acheter une perruque, Joey, brune en cheveux synthétiques, lui donnant un look naturel de jeune femme, une paire de faux seins pleins en silicone, bonnet B, dont la forme est dite goutte d'eau, de la colle satien et un soutien-gorge normal bonnet B.
Ainsi parée je pense que pour ses débuts elle pourra faire sensation dans toutes les situations…
Puis nous avons déjeuné dans une petite brasserie en tête à tête, comme deux jeunes filles profitant de la vie.

Alors que nous finissions de déjeuner, mon téléphone sonne, c’est un ami de longue date, patron d’une boîte de rencontres pour travestis où parfois je me rends, qui m’appelle.
- Allô, Leslie ?
- Oui, dis-moi ça fait un bail…
- Bah, on ne te voit plus, tu pourrais passer de temps en temps.
- Oui, c’est vrai.
- Ecoutes, j’ai trois petites nouvelles qui devraient t’intéresser, tu devrais passer ce soir.
- Oui, surtout que je viendrais avec une petite nouvelle moi aussi.
- Super, dit John, ça va être la fête.
- A ce soir, lui dis-je en raccrochant.
Je suis heureuse de son coup de fil car il va me donner l’occasion d’emmener Bertrand, enfin Cathy comme elle s’appelle maintenant, et lui faire vivre un moment dont elle se souviendra longtemps et qui sait cela lui permettra peut-être de faire le grand saut dans la vie du troisième genre…
John, est un ami, qui me présente souvent des nouvelles partenaires très féminines, partageant mon genre et mes goûts, très vite, je ressens l’excitation particulière avant ce genre de rendez-vous, où dans ce genre d’étreintes sans lendemain, on peut tout se permettre et vivre ses fantasmes les plus intimes, en prenant un maximum de plaisir.

Aussitôt j’ai téléphoné à Laure pour la prévenir que je ne serais pas à la maison cette nuit et qu’elle avait quartier libre, elle fût très heureuse de cette nouvelle car elle était invitée par une collègue célibataire qui organisait une soirée entre fille…
Pour m’en avoir déjà touché deux mots je savais de la bouche de Laure que sa collègue était lesbienne et qu’elle organisait des parties fines avec des femmes aux mêmes tendances, alors je lui ai dit :
- Tu vas te mettre dans la gueule du loup !
- T’inquiètes, c’est un loup sans queue, mais avec de très grandes dents…
- Tu me raconteras ?
- Peut-être même que je te ferais gouter du loup !
- Tu vas le ramener à la maison ?
- Si c’est possible pourquoi pas.
- Bonne soirée ma belle.
- A toi aussi, prend bien soin de Cathy…

Juste après avoir raccroché nous avons, avec Cathy, été dans un hôtel non loin du club de John, prendre deux chambres, ainsi nous serions tranquilles pour finir notre nuit ensemble dans les bras l’une de l’autre et quitter le club quand il nous plaira.
Pour le principe et surtout afin d’être tranquilles, nous avons pris soin de prendre deux chambres mitoyennes communicantes, même si le réceptionniste n’a fait aucune remarque, son sourire en disait loin et montrait qu’il avait compris nos intentions futures…
Nous sommes aussitôt montées dans nos chambres et avons pris nos aises avant de nous préparer pour la soirée.
Arrivées dans nos chambres, nous effectuons une visite rapide, tout est fonctionnel, un grand lit double dans les chambres, commodes, bureaux et télévision câblées et une salle de bains séparée pour chaque chambre avec une baignoire pour chaque.
- Super, me dit Cathy.
- Oui et nous serons tranquilles…
C’est le milieu de l’après-midi et je m’allonge sur le lit pour me détendre un peu, tandis que Cathy va dans sa chambre et aussitôt j’entends le son de la télévision. Cathy se met à zapper et soudain je l’entends dire :
- Super ! Il y a une chaine de cul.
Puis plus rien, le silence s’installe, juste troublée par les bruits de la télévision qui laisse entendre des cris et des gémissements, Cathy doit se caresser en regardant la télé, mais je ne bouge pas afin de profiter de ce moment de détente.

En fin d’après-midi, nous décidons de nous faire couler un bon bain, et une heure après nous nous retrouvons dans ma chambre pour commencer à nous préparer.
Devant la coiffeuse, je pose des faux cils et la perruque brune achetée l’après-midi sur la tête de Cathy, puis je la maquille légèrement en lui enduisant les lèvres d’un rose tendre, un peu de parfum et nous nous attaquons à sa poitrine…
Je l’ai aidé à poser sa paire de faux seins en les collant avec la colle satien, l’effet était saisissant, Cathy présentait un buste avec une poitrine arrogante, et lorsqu’elle a passé le soutien-gorge elle présenta un buste avec de jolies formes.
Puis Cathy s’est habillée, avec les vêtements de notre shopping, que nous avions acheté des pour la soirée, elle a commencé par enfilé des bas à couture blancs, semi-opaque, avec bande de dentelle de dix centimètres, puis un porte-jarretelles blanc et elle a fixé les bas dessus, un soutien-gorge vint compléter les dessous, elle a enfilé ses escarpins aux talons hauts et s’est mise à marcher dans la chambre. Elle faisait vraiment illusion et n’allait pas avoir de mal à rencontre le succès…
La voyant marcher le sexe à l’air et bougeant à chacun de ses pas, je lui ai suggérer de ne pas mettre de culotte et de profiter de la nudité de cet état.
Puis une robe, mini et croisée sur le devant laissant le haut du dos nu et offrant un joli décolleté plongeant et un joli tour de cou en dentelle blanche, elle était ainsi parée tout à fait désirable…

A mon tour de m’habiller, j’ai choisi de mettre une guêpière, que j’agrafe avec fébrilité devant la glace, elle est rouge avec de la dentelle noire et permet de tenir mes bas, gris fumé, à couture avec les quatre jarretelles fixées dans sa partie basse. Elle a l’avantage de bien dégager mon sexe qu’elle met bien en valeur.
Puis, j’enfile un adorable string ouvert, rouge lui aussi et passe autour de ma taille une jupe noire fendue sur le côté que j’assortis avec un corsage crème.
Il me reste à me jucher sur mes escarpins à hauts talons et me voilà enfin prête pour la soirée. Cathy enfile, avant de partir, un manteau mi-longs aux manches trois-quarts et moi un spencer en cuir rouge.

Dans la rue, il est certain que nous faisons un certain effet, nous sautons dans un taxi et nous voilà parties.
Nous avons, avant de nous rendre au club, diné dans un petit restaurant sympa, faisant notre effet parmi les clients qui dinaient, je sentais Cathy fébrile, certainement anxieuse pour la suite de la soirée…

Lorsque nous sommes arrivées au club, il était onze heures et demie, un peu tôt pour la grande foule, mais juste à l’heure pour ce que nous allions vivre.
A la porte d’entrée du club, le videur m’a reconnu, il m’a fait la bise puis aussi à Cathy, avant de nous fait entrer.
Il y avait peu de monde, mais l’ambiance était chaleureuse, nous avons été accueilli par John qui nous a installé à une table et nous fait servir deux boissons en nous disant :
- A tout à l’heure mes belles, je vous ai réservé une pièce au premier et c’est quand vous le voudrez, amusez-vous bien en attendant...
Nous avons bu en regardant les clients présents, et à minuit j’ai demandé à John de nous conduire au premier et de commencer notre soirée.
Je savais que John ne pourrait pas s’empêcher de nous regarder au-travers du miroir sans teint qui était dans la pièce et me ferait certainement part de ses impressions sur Cathy, mais je me suis bien gardée d’en parler à la belle Cathy.

A suivre…