Leslie HD05
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie HD05
Leslie HD05 – Week-end, suite
Sans plus un mot, me tenant fermement par les hanches, Paul commence à s’enfoncer lentement un peu plus en moi, il coulisse difficilement et je m’arque boute contre le lavabo afin de ne pas avoir le sexe écrasé contre la faïence.
Je sens le membre de Paul progresser lentement en moi, mes chairs l’enserrent comme une gaine intime. Je me sens investie, complètement possédée, mon conduit se distend sous la progression de ce membre qui m’encule et le fait de s’être arrêté un instant me permet de mieux accepter cette pénétration infernale.
Je sens mes fesses s’ouvrir au fur et à mesure de la lente progression, j’ai l’impression qu’il s’enfonce jusque dans mon ventre en me demandant où il va s’arrêter.
La douleur à fait place à un plaisir diffus, petit à petit une chaleur investit mon ventre et mes reins sont irradiés par des picotements agréables.
Puis, je sens ses lourdes bourses venir se poser contre les miennes, il doit être entièrement en moi, son énorme verge cloue contre le lavabo et je ne peux bouger embrochée comme je le suis, les muscles de mon anus se contractent autour de cet épais membre qui me possède et une onde de chaleur me parcoure le corps, sans bouger je jouis du cul en laissant échapper un feulement de plaisir.
- Leslie, ma chérie, je suis entièrement en toi, ton cul est génial, c’est géant tu m’encaisses complètement, me dit Paul.
Je sens dans la voix de mon amant qu’il est heureux, je suis désormais sa petite enculée d’amour et pour la première fois de sa vie il va jouir dans un petit cul.
- Maintenant, je vais te le défoncer, mais si tu as mal, dis-le moi, ok chérie ?
- Oui Paul défonce-moi, tout de suite !
J’ai trop envie qu’il me défonce, mais j’aurais pu ne rien dire, mais qu’est-ce qui m’a pris de dire ça, je suis devenue folle, avec mon accord il va me casser le cul !
Aussitôt, Paul entreprend un ample va-et-vient en moi, si lentement que je sens au moins vingt centimètres entrés et sortir de moi. Au début, j’ai un peu mal, mais la sensation est extraordinaire, sentir un membre si large et si long coulisser dans mon cul me fait monter le plaisir, puis peu de temps plus tard, parfois je le sens sortir de moi et me réinvestir à nouveau, j’adore et j’avoue avoir du plaisir de me faire enculer par Paul.
Maintenant, je sens mes muscles se relâcher complètement, je suis entièrement ouverte et soumise pour les assauts de Paul qui me tient fermement par les hanches.
Je suis toute à lui, je gémis et je râle de plaisir, parfois, sous la douleur, je crie tellement les sensations sont forte et que l’investissement de mon cul est puissant.
Les sensations montent en moi, des larmes de douleur et d’extase perlent sur mes joues, quel moment !
Je sens le rythme s’accélérer, jusqu’à devenir brutal et rapide, Paul au bord de la jouissance se défoule complètement en moi. Il me défonce le cul en ne cessant de répéter :
- Ohhh, ton cul, ou, ma chérie t’es trop bonne.
Je sens alors monter en moi une vague de plaisir qui m’emporte au-delà de mes pensées, puis une autre et une troisième, c’est trop fort, un orgasme incroyable me terrasse le ventre et le cul, ma tête tourne et mes jambes tremblent, je ne peux retenir mes cris en hurlant mon plaisir et je perds connaissance.
Lorsque je reprends connaissance, Paul me soutient toujours planté en moi.
Quel orgasme ! Je n’en ai jamais eu de comme ça, des larmes coulent sur mon visage, mais je n’ai plus mal du tout, mes chairs sensibilisées sont à vifs et le moindre mouvement du sexe de Paul en moi m’envoie des ondes qui se diffusent dans tout mon corps.
Paul coulisse, maintenant, parfaitement en moi et il ne montre aucun signe de fatigue, son sexe dur va et vient en moi. Paul continue de me sodomiser en prenant du plaisir pendant de longues minutes.
Je ne tiens plus, un nouvel orgasme me terrasse, le deuxième et je pleure d’extase. Je n’en reviens pas du plaisir que me donne ce si gros membre en me pénétrant le cul, comblée mes jambes ne me portent presque plus et c’est Paul qui me soutient en continuant son infernale sodomie.
Puis, alors que je sens une nouvelle fois mon corps se tendre, j’entends Paul gémir dans mon dos, il soupire de plaisir quand je contracte mon sphincter autour de son membre et je sens son sexe se contracter et effectuer quelques soubresauts en moi.
Les doigts de Paul s’enfoncent dans la chair de mes hanches et je sens mon ventre se remplir de sa semence, pendant qu’il râle et gémit très fort.
Je n’en reviens pas, sa jouissance est d’une puissance incroyable et ce que je viens de prendre me remplit les entrailles.
Paul relâche doucement son étreinte et cesse ses va-et-vient. Son sexe vit encore en moi en tressautant au fond de mon cul, je me détache de son emprise et me retourne pour m’agenouiller devant lui. Je gobe son énorme sexe, encore bandé, que je trouve encore plus impressionnant maintenant. Je le suce comme pour le remercier de m’avoir donné ce plaisir, alors que pendant ce temps je sens mon conduit se vider, le sperme de Paul coule sur mes chevilles et je me sens béante, d’une main je touche mon anus qui est grand ouvert et je peux rentrer trois doigts sans aucune difficulté.
Au bout d’un moment je me relève et embrasse Paul sur les lèvres en lui disant :
- Merci !
Il me regarde dans les yeux, et passe un doigt sur ma rosette en me disant :
- Tu as un cul incroyable, je n’avais jamais pu en défoncer un comme ça.
- C’est que j’ai un peu l’habitude.
- Ça t’a plu ?
Je sens mon derrière meurtri, mais je dois avouer que je suis aux anges.
- C’était douloureux au début, mais j’ai adoré et j’en veux encore, lui répondis-je.
- Tu avais raison, tu es non seulement une grande coquine, mais une sacrée cochonne, allez viens.
Il me prend par la main et nous allons dans la chambre. J’ai une sensation bizarre en marchant, je n’ai jamais senti mon anus si présent et si grand ouvert. Il s’allonge sur le lit et je remarque que je suis encore fascinée par son sexe, je monte sur le lit et je lui administre une nouvelle fellation, je prends mon temps en me disant qu’il pourrait me caresser pendant que je le suce ou pourquoi pas me sucer lui aussi.
Il m’arrête lorsqu’il se sent venir, Paul semble infatigable et me fait comprendre qu’il ne veut pas jouir dans ma bouche alors je me mets en levrette et il me reprend le cul.
Au bout d’un moment, il s’arrête au fond de moi pour me dire :
- Écoute Leslie. Je vais annuler ma visite chez mes amis. Je vais réserver dans un hôtel à Montpellier et tu vas rester avec moi et devenir ma maîtresse du week-end. Es-tu d’accord ?
- Si j’accepte, j’espère que tu vas assurer pendant tout le week-end car j’ai très envie que tu me défonces, mais surtout j’espère que je pourrai encore marcher à la fin du week-end !
- T’inquiètes pas j’ai des réserves
Je prends mon téléphone portable et commence à écrire un message, alors qu’il est toujours planté dans mes entrailles.
- Qu’est-ce que tu fais ? me demande-t-il.
Je lui montre mon téléphone et lui fais lire le message sans dire un mot :
« Salut ma chérie, désolée mais une nouveauté de première importance et de taille si tu vois ce que je veux dire m’empêche de venir, je te téléphone dans la semaine. Bises ma puce »
Paul me regarde avec le sourire :
- C’est un message codé ?
- Mais non, c’est pour mon amie et je lui explique clairement ce qui m’arrive, une rencontre avec un homme super membrée et avec qui je vais passer le week-end à faire l’amour.
- Alors tu t’es décommandée ?
- Oui, je suis libre et toute à toi !
- Je suis comblé, petit cul ! C’est la première fois que l’on m’appelle petit cul, et ça me touche, je serre mon muscle anal autour de son sexe en lui disant :
- Jouis en moi et remplit mon cul de ta semence.
Il ne lui faut pas longtemps pour s’exécuter et jouir au fond de moi.
Nous avons finis l’après-midi dans le lit enlacés et nous avons pris une douche pour sortir manger le soir et au moment du désert Paul se pencha vers moi pour me dire :
- J’ai envie de ton petit cul et rien que d’y penser je bande comme un fou.
- Alors allons-y de suite car moi aussi j’ai une envie.
- Laquelle, petit cul ?
- Celle te sentir en moi !
Nous nous dépêchons de rentrer à l’hôtel et de faire l’amour, Paul me prendra trois fois durant cette soirée, avant de jouir en moi il m’a branle pour me faire jouir et me soulager en me disant :
- Toi aussi tu as le droit de jouir de ton sexe et pas que de ton petit cul.
Et après avoir jouis en moi il voulut s’endormir enfoncé dans mes reins.
J’ai acceptée, bien que mon œillet soit légèrement douloureux et ne sachant pas s’il allait tenir le coup tout le week-end.
Avant de s’endormir blottit contre moi, Paul me dit :
- Demain tu me feras l’amour et nous serons, alors, amants et amantes.
A suivre…
Sans plus un mot, me tenant fermement par les hanches, Paul commence à s’enfoncer lentement un peu plus en moi, il coulisse difficilement et je m’arque boute contre le lavabo afin de ne pas avoir le sexe écrasé contre la faïence.
Je sens le membre de Paul progresser lentement en moi, mes chairs l’enserrent comme une gaine intime. Je me sens investie, complètement possédée, mon conduit se distend sous la progression de ce membre qui m’encule et le fait de s’être arrêté un instant me permet de mieux accepter cette pénétration infernale.
Je sens mes fesses s’ouvrir au fur et à mesure de la lente progression, j’ai l’impression qu’il s’enfonce jusque dans mon ventre en me demandant où il va s’arrêter.
La douleur à fait place à un plaisir diffus, petit à petit une chaleur investit mon ventre et mes reins sont irradiés par des picotements agréables.
Puis, je sens ses lourdes bourses venir se poser contre les miennes, il doit être entièrement en moi, son énorme verge cloue contre le lavabo et je ne peux bouger embrochée comme je le suis, les muscles de mon anus se contractent autour de cet épais membre qui me possède et une onde de chaleur me parcoure le corps, sans bouger je jouis du cul en laissant échapper un feulement de plaisir.
- Leslie, ma chérie, je suis entièrement en toi, ton cul est génial, c’est géant tu m’encaisses complètement, me dit Paul.
Je sens dans la voix de mon amant qu’il est heureux, je suis désormais sa petite enculée d’amour et pour la première fois de sa vie il va jouir dans un petit cul.
- Maintenant, je vais te le défoncer, mais si tu as mal, dis-le moi, ok chérie ?
- Oui Paul défonce-moi, tout de suite !
J’ai trop envie qu’il me défonce, mais j’aurais pu ne rien dire, mais qu’est-ce qui m’a pris de dire ça, je suis devenue folle, avec mon accord il va me casser le cul !
Aussitôt, Paul entreprend un ample va-et-vient en moi, si lentement que je sens au moins vingt centimètres entrés et sortir de moi. Au début, j’ai un peu mal, mais la sensation est extraordinaire, sentir un membre si large et si long coulisser dans mon cul me fait monter le plaisir, puis peu de temps plus tard, parfois je le sens sortir de moi et me réinvestir à nouveau, j’adore et j’avoue avoir du plaisir de me faire enculer par Paul.
Maintenant, je sens mes muscles se relâcher complètement, je suis entièrement ouverte et soumise pour les assauts de Paul qui me tient fermement par les hanches.
Je suis toute à lui, je gémis et je râle de plaisir, parfois, sous la douleur, je crie tellement les sensations sont forte et que l’investissement de mon cul est puissant.
Les sensations montent en moi, des larmes de douleur et d’extase perlent sur mes joues, quel moment !
Je sens le rythme s’accélérer, jusqu’à devenir brutal et rapide, Paul au bord de la jouissance se défoule complètement en moi. Il me défonce le cul en ne cessant de répéter :
- Ohhh, ton cul, ou, ma chérie t’es trop bonne.
Je sens alors monter en moi une vague de plaisir qui m’emporte au-delà de mes pensées, puis une autre et une troisième, c’est trop fort, un orgasme incroyable me terrasse le ventre et le cul, ma tête tourne et mes jambes tremblent, je ne peux retenir mes cris en hurlant mon plaisir et je perds connaissance.
Lorsque je reprends connaissance, Paul me soutient toujours planté en moi.
Quel orgasme ! Je n’en ai jamais eu de comme ça, des larmes coulent sur mon visage, mais je n’ai plus mal du tout, mes chairs sensibilisées sont à vifs et le moindre mouvement du sexe de Paul en moi m’envoie des ondes qui se diffusent dans tout mon corps.
Paul coulisse, maintenant, parfaitement en moi et il ne montre aucun signe de fatigue, son sexe dur va et vient en moi. Paul continue de me sodomiser en prenant du plaisir pendant de longues minutes.
Je ne tiens plus, un nouvel orgasme me terrasse, le deuxième et je pleure d’extase. Je n’en reviens pas du plaisir que me donne ce si gros membre en me pénétrant le cul, comblée mes jambes ne me portent presque plus et c’est Paul qui me soutient en continuant son infernale sodomie.
Puis, alors que je sens une nouvelle fois mon corps se tendre, j’entends Paul gémir dans mon dos, il soupire de plaisir quand je contracte mon sphincter autour de son membre et je sens son sexe se contracter et effectuer quelques soubresauts en moi.
Les doigts de Paul s’enfoncent dans la chair de mes hanches et je sens mon ventre se remplir de sa semence, pendant qu’il râle et gémit très fort.
Je n’en reviens pas, sa jouissance est d’une puissance incroyable et ce que je viens de prendre me remplit les entrailles.
Paul relâche doucement son étreinte et cesse ses va-et-vient. Son sexe vit encore en moi en tressautant au fond de mon cul, je me détache de son emprise et me retourne pour m’agenouiller devant lui. Je gobe son énorme sexe, encore bandé, que je trouve encore plus impressionnant maintenant. Je le suce comme pour le remercier de m’avoir donné ce plaisir, alors que pendant ce temps je sens mon conduit se vider, le sperme de Paul coule sur mes chevilles et je me sens béante, d’une main je touche mon anus qui est grand ouvert et je peux rentrer trois doigts sans aucune difficulté.
Au bout d’un moment je me relève et embrasse Paul sur les lèvres en lui disant :
- Merci !
Il me regarde dans les yeux, et passe un doigt sur ma rosette en me disant :
- Tu as un cul incroyable, je n’avais jamais pu en défoncer un comme ça.
- C’est que j’ai un peu l’habitude.
- Ça t’a plu ?
Je sens mon derrière meurtri, mais je dois avouer que je suis aux anges.
- C’était douloureux au début, mais j’ai adoré et j’en veux encore, lui répondis-je.
- Tu avais raison, tu es non seulement une grande coquine, mais une sacrée cochonne, allez viens.
Il me prend par la main et nous allons dans la chambre. J’ai une sensation bizarre en marchant, je n’ai jamais senti mon anus si présent et si grand ouvert. Il s’allonge sur le lit et je remarque que je suis encore fascinée par son sexe, je monte sur le lit et je lui administre une nouvelle fellation, je prends mon temps en me disant qu’il pourrait me caresser pendant que je le suce ou pourquoi pas me sucer lui aussi.
Il m’arrête lorsqu’il se sent venir, Paul semble infatigable et me fait comprendre qu’il ne veut pas jouir dans ma bouche alors je me mets en levrette et il me reprend le cul.
Au bout d’un moment, il s’arrête au fond de moi pour me dire :
- Écoute Leslie. Je vais annuler ma visite chez mes amis. Je vais réserver dans un hôtel à Montpellier et tu vas rester avec moi et devenir ma maîtresse du week-end. Es-tu d’accord ?
- Si j’accepte, j’espère que tu vas assurer pendant tout le week-end car j’ai très envie que tu me défonces, mais surtout j’espère que je pourrai encore marcher à la fin du week-end !
- T’inquiètes pas j’ai des réserves
Je prends mon téléphone portable et commence à écrire un message, alors qu’il est toujours planté dans mes entrailles.
- Qu’est-ce que tu fais ? me demande-t-il.
Je lui montre mon téléphone et lui fais lire le message sans dire un mot :
« Salut ma chérie, désolée mais une nouveauté de première importance et de taille si tu vois ce que je veux dire m’empêche de venir, je te téléphone dans la semaine. Bises ma puce »
Paul me regarde avec le sourire :
- C’est un message codé ?
- Mais non, c’est pour mon amie et je lui explique clairement ce qui m’arrive, une rencontre avec un homme super membrée et avec qui je vais passer le week-end à faire l’amour.
- Alors tu t’es décommandée ?
- Oui, je suis libre et toute à toi !
- Je suis comblé, petit cul ! C’est la première fois que l’on m’appelle petit cul, et ça me touche, je serre mon muscle anal autour de son sexe en lui disant :
- Jouis en moi et remplit mon cul de ta semence.
Il ne lui faut pas longtemps pour s’exécuter et jouir au fond de moi.
Nous avons finis l’après-midi dans le lit enlacés et nous avons pris une douche pour sortir manger le soir et au moment du désert Paul se pencha vers moi pour me dire :
- J’ai envie de ton petit cul et rien que d’y penser je bande comme un fou.
- Alors allons-y de suite car moi aussi j’ai une envie.
- Laquelle, petit cul ?
- Celle te sentir en moi !
Nous nous dépêchons de rentrer à l’hôtel et de faire l’amour, Paul me prendra trois fois durant cette soirée, avant de jouir en moi il m’a branle pour me faire jouir et me soulager en me disant :
- Toi aussi tu as le droit de jouir de ton sexe et pas que de ton petit cul.
Et après avoir jouis en moi il voulut s’endormir enfoncé dans mes reins.
J’ai acceptée, bien que mon œillet soit légèrement douloureux et ne sachant pas s’il allait tenir le coup tout le week-end.
Avant de s’endormir blottit contre moi, Paul me dit :
- Demain tu me feras l’amour et nous serons, alors, amants et amantes.
A suivre…
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