Leslie HD30
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Leslie HD30
Leslie HD30 - Week-end en Bretagne, suite
Le lendemain, le ciel s’était couvert. Nous décidâmes donc de laisser tomber la plage pour aller faire un tour en ville. Il fallait prendre le car qui s’arrêtait juste devant le terrain de camping, le car était bondé et nous étions tassés les uns contre les autres.
Juste derrière moi, au fond du car un homme d’une cinquantaine d’années se tenait. Le look sportif, en short, t-shirt et baskets. Plutôt bel homme.
Je fus surprise par le démarrage un peu brutal du véhicule et reculais, me collant bien involontairement à lui.
Avant que j’aie eu le temps de faire quoi que ce soit pour me dégager et m’excuser de l’avoir ainsi bousculé, je sentis ses mains se poser sur mes hanches. Je fus immobilisée net par son audace.
Ses mains étaient sur mon corps, à travers le seul tissu léger de ma robe, je me sentis soudainement incapable de faire quoi que ce soit maintenu fermement par les mains viriles de cet inconnu.
Paniquée j’eus juste la capacité de chercher des yeux Laure ou de Cathy. Laure était juste à côté de moi, je fixais ses yeux.
Elle n’avait pas l’air affolé, elle me sourit et d’un air plutôt rassurant, me fit un clin d’œil accompagné d’un petit signe de tête qui en disait long, elle ne voulait pas que je tente quoi que ce soit pour me dégager, me demandant dans son regard de me laisser faire. Cathy me regardait aussi, visiblement surprise et dépassée par la situation, ses yeux ronds de stupeur.
Tout s’est déroulé à une vitesse folle, les mains de l’homme se mirent à m’attirer encore plus contre lui, plaquant mes fesses contre son short.
Pas de doute sur l’effet que je lui faisais, je sentais son sexe durcir contre mes fesses, Laure me prit la main, pour me rassurer en disant :
- Laisse-toi aller ma chérie.
L’homme me caressait sans pudeur les hanches à travers la robe. Il s’était mis à onduler, frottant son dard contre mes fesses.
J’aurais voulu m’échapper et que tout cela s’arrête, mais je ne pouvais pas, Laure me maintenant contre lui, m’obligeant à rester collée à cet homme.
Le désir montait en moi, Laure lâcha ma main, prit celle de Cathy et la plaça sur mon sexe. Cathy se laissa guider excitée par la situation.
Laure écarta légèrement l’homme et caressa son membre à travers le short. Il profita de l’espace qui s’était créé entre nous deux pour placer ses mains sur mes fesses qu’il pelota sans vergogne et remonter ma robe, découvrant ma culotte de coton blanc.
J’étais exhibée dans ce car, la tête me tournait et j’étais en train de me faire tripoter dans un car par un inconnu, sous la conduite de Laure qu’il l’encourageait d’aller plus loin encore…
Et tous ces gens autour de nous qui n’avaient qu’à tourner la tête pour nous voir, gênée, honteuse je ne savais plus quoi faire. Mais mon ventre appelait le plaisir, mon sexe était dur dans la main de Cathy, je ne pouvais résister.
Cathy massait délibérément mon sexe, et je sentais chaque déplacement de ses doigts sur ma verge dure. Je bandais comme une folle. Laure attrapa le short de l’homme et dégagea son sexe, il ne portait pas de slip. Elle me prit la main et la posa sur cette bite gonflée. Elle laissa sa main sur la mienne pour m’encourager, me guider et m’aider à le masturber.
Je ne voyais pas le sexe. Dans ma main, il me paraissait énorme. Laure m’avait fait refermer mes doigts sur sa turgescence, allant et venant à un rythme lent. Je sentais maintenant le gland qui appuyait entre mes fesses, s’insinuant petit à petit dans ma raie. Cathy continuant à titiller mon sexe. Je perdais la tête, victime de mes sens et de mon plaisir, emportée par la frénésie et l’incroyable situation dans la qu’elle j’étais.
Je devais suinter comme une vraie cochonne, je sentais entre sur mes cuisses, le miel de mon plaisir couler et mouiller le fond de ma culotte.
Soudain, l’homme écarta nos mains et s’enfonça un peu plus dans ma raie, son gland rencontrant mon œillet, il tenta de m’enfoncer doucement son sexe dans mon cul, sa respiration devenait plus forte dans mon cou, je me laissais aller, partagée entre la honte, la crainte et le plaisir, me cambrant un peu plus afin de lui faciliter la tâche, mais c’est à cet instant que je le sentis exploser, lâchant sa semence contre dans ma raie culière et mon petit trou plissé.
Sensation étrange d’un plaisir incomplet, la main de Cathy sur laquelle j’ai serré mes cuisses, Laure me soutenant, mon ventre s’est tendu et j’ai joui debout, à l’arrière de ce car, mon cul maculé de sperme.
L’homme s’est réajusté rapidement et s’est dirigé vers la porte, il est descendu à l’arrêt suivant sans même se retourner.
Laure me dit gentiment de me laisser faire. Elle fit discrètement glisser ma culotte, s’en servit pour m’essuyer la raie et la fourra dans son sac.
Tu ne vas pas te promener en ville trempée comme ça.
Elle posa un baiser sur mes lèvres, imitée par Cathy. Je ne savais plus où j’étais, je les aie entendu dire en cœur :
- Tu as été superbe !
Personne autour de nous ne semblait nous avoir remarqués, du moins c’est ce que je croyais.
Nous descendîmes au centre-ville. J’étais encore sur mon nuage. J’en avais même oubliée que je ne portais plus de culotte.
Notre escapade au centre-ville commença par un arrêt à la terrasse d’un café.
Bien décidées à me remettre de mes émotions et surtout à ne nous priver de rien, nous voilà donc attablées, attendant que le serveur nous apporte notre verre d’une liqueur vivifiante.
Evidemment, Laure ne put s’empêcher de plaisanter sur l’évènement passé en disant :
- Un peu plus t’aurais été enculée debout dans un car de campagne.
Toujours au fait des évènements.
- En plus rajouta-t-elle, il était fortement pourvu et tu l’aurais sentie passé.
Toute cette conversation était assez bruyante et ponctuée des rires de Laure et de Cathy, jusqu’à ce que le garçon nous apporte une tournée supplémentaire que nous n’avions pas commandée, nous expliquant qu’elle nous était offerte.
Il a remis aussi un petit papier plié en quatre à Laure, son visage changea radicalement à la lecture du message, elle semblait satisfaite et un peu gênée. Sans un mot, elle tendit le papier à Cathy qui devint rouge, l’air franchement épouvanté.
Je commençais à me poser des questions, d’autant plus que Cathy n’osait pas me faire suivre le petit mot. Je tendis la main, elle me le passa enfin.
« En remerciement du ravissement dont vous nous avez gratifiées dans l’autocar ». Signé : Fabienne et Luc.
Ma tête se mit à tourner, nous avions été vues, regardées, observées et ils osaient nous le dire. Un peu mal à l’aise, je me sentais découverte dans mon intimité, mais j’avoue que cela ne me déplaisait pas et flattait mon côté exhibitionniste.
- On peut dire que tu leur as plu. Remarque, nous y sommes quand même un peu pour quelque chose, dis Laure.
Elle me souriait, venant ainsi à mon secours.
- Ils nous ont appréciées et je suis sure que cela te plait de te savoir découverte et en plus je suis prête à parier que tu les as le plus excités et que tu voudrais savoir qui ils sont.
Elle n’avait pas tout à fait tort, Laure me connaissant bien.
- Attends, laisse-moi faire.
A suivre…
Le lendemain, le ciel s’était couvert. Nous décidâmes donc de laisser tomber la plage pour aller faire un tour en ville. Il fallait prendre le car qui s’arrêtait juste devant le terrain de camping, le car était bondé et nous étions tassés les uns contre les autres.
Juste derrière moi, au fond du car un homme d’une cinquantaine d’années se tenait. Le look sportif, en short, t-shirt et baskets. Plutôt bel homme.
Je fus surprise par le démarrage un peu brutal du véhicule et reculais, me collant bien involontairement à lui.
Avant que j’aie eu le temps de faire quoi que ce soit pour me dégager et m’excuser de l’avoir ainsi bousculé, je sentis ses mains se poser sur mes hanches. Je fus immobilisée net par son audace.
Ses mains étaient sur mon corps, à travers le seul tissu léger de ma robe, je me sentis soudainement incapable de faire quoi que ce soit maintenu fermement par les mains viriles de cet inconnu.
Paniquée j’eus juste la capacité de chercher des yeux Laure ou de Cathy. Laure était juste à côté de moi, je fixais ses yeux.
Elle n’avait pas l’air affolé, elle me sourit et d’un air plutôt rassurant, me fit un clin d’œil accompagné d’un petit signe de tête qui en disait long, elle ne voulait pas que je tente quoi que ce soit pour me dégager, me demandant dans son regard de me laisser faire. Cathy me regardait aussi, visiblement surprise et dépassée par la situation, ses yeux ronds de stupeur.
Tout s’est déroulé à une vitesse folle, les mains de l’homme se mirent à m’attirer encore plus contre lui, plaquant mes fesses contre son short.
Pas de doute sur l’effet que je lui faisais, je sentais son sexe durcir contre mes fesses, Laure me prit la main, pour me rassurer en disant :
- Laisse-toi aller ma chérie.
L’homme me caressait sans pudeur les hanches à travers la robe. Il s’était mis à onduler, frottant son dard contre mes fesses.
J’aurais voulu m’échapper et que tout cela s’arrête, mais je ne pouvais pas, Laure me maintenant contre lui, m’obligeant à rester collée à cet homme.
Le désir montait en moi, Laure lâcha ma main, prit celle de Cathy et la plaça sur mon sexe. Cathy se laissa guider excitée par la situation.
Laure écarta légèrement l’homme et caressa son membre à travers le short. Il profita de l’espace qui s’était créé entre nous deux pour placer ses mains sur mes fesses qu’il pelota sans vergogne et remonter ma robe, découvrant ma culotte de coton blanc.
J’étais exhibée dans ce car, la tête me tournait et j’étais en train de me faire tripoter dans un car par un inconnu, sous la conduite de Laure qu’il l’encourageait d’aller plus loin encore…
Et tous ces gens autour de nous qui n’avaient qu’à tourner la tête pour nous voir, gênée, honteuse je ne savais plus quoi faire. Mais mon ventre appelait le plaisir, mon sexe était dur dans la main de Cathy, je ne pouvais résister.
Cathy massait délibérément mon sexe, et je sentais chaque déplacement de ses doigts sur ma verge dure. Je bandais comme une folle. Laure attrapa le short de l’homme et dégagea son sexe, il ne portait pas de slip. Elle me prit la main et la posa sur cette bite gonflée. Elle laissa sa main sur la mienne pour m’encourager, me guider et m’aider à le masturber.
Je ne voyais pas le sexe. Dans ma main, il me paraissait énorme. Laure m’avait fait refermer mes doigts sur sa turgescence, allant et venant à un rythme lent. Je sentais maintenant le gland qui appuyait entre mes fesses, s’insinuant petit à petit dans ma raie. Cathy continuant à titiller mon sexe. Je perdais la tête, victime de mes sens et de mon plaisir, emportée par la frénésie et l’incroyable situation dans la qu’elle j’étais.
Je devais suinter comme une vraie cochonne, je sentais entre sur mes cuisses, le miel de mon plaisir couler et mouiller le fond de ma culotte.
Soudain, l’homme écarta nos mains et s’enfonça un peu plus dans ma raie, son gland rencontrant mon œillet, il tenta de m’enfoncer doucement son sexe dans mon cul, sa respiration devenait plus forte dans mon cou, je me laissais aller, partagée entre la honte, la crainte et le plaisir, me cambrant un peu plus afin de lui faciliter la tâche, mais c’est à cet instant que je le sentis exploser, lâchant sa semence contre dans ma raie culière et mon petit trou plissé.
Sensation étrange d’un plaisir incomplet, la main de Cathy sur laquelle j’ai serré mes cuisses, Laure me soutenant, mon ventre s’est tendu et j’ai joui debout, à l’arrière de ce car, mon cul maculé de sperme.
L’homme s’est réajusté rapidement et s’est dirigé vers la porte, il est descendu à l’arrêt suivant sans même se retourner.
Laure me dit gentiment de me laisser faire. Elle fit discrètement glisser ma culotte, s’en servit pour m’essuyer la raie et la fourra dans son sac.
Tu ne vas pas te promener en ville trempée comme ça.
Elle posa un baiser sur mes lèvres, imitée par Cathy. Je ne savais plus où j’étais, je les aie entendu dire en cœur :
- Tu as été superbe !
Personne autour de nous ne semblait nous avoir remarqués, du moins c’est ce que je croyais.
Nous descendîmes au centre-ville. J’étais encore sur mon nuage. J’en avais même oubliée que je ne portais plus de culotte.
Notre escapade au centre-ville commença par un arrêt à la terrasse d’un café.
Bien décidées à me remettre de mes émotions et surtout à ne nous priver de rien, nous voilà donc attablées, attendant que le serveur nous apporte notre verre d’une liqueur vivifiante.
Evidemment, Laure ne put s’empêcher de plaisanter sur l’évènement passé en disant :
- Un peu plus t’aurais été enculée debout dans un car de campagne.
Toujours au fait des évènements.
- En plus rajouta-t-elle, il était fortement pourvu et tu l’aurais sentie passé.
Toute cette conversation était assez bruyante et ponctuée des rires de Laure et de Cathy, jusqu’à ce que le garçon nous apporte une tournée supplémentaire que nous n’avions pas commandée, nous expliquant qu’elle nous était offerte.
Il a remis aussi un petit papier plié en quatre à Laure, son visage changea radicalement à la lecture du message, elle semblait satisfaite et un peu gênée. Sans un mot, elle tendit le papier à Cathy qui devint rouge, l’air franchement épouvanté.
Je commençais à me poser des questions, d’autant plus que Cathy n’osait pas me faire suivre le petit mot. Je tendis la main, elle me le passa enfin.
« En remerciement du ravissement dont vous nous avez gratifiées dans l’autocar ». Signé : Fabienne et Luc.
Ma tête se mit à tourner, nous avions été vues, regardées, observées et ils osaient nous le dire. Un peu mal à l’aise, je me sentais découverte dans mon intimité, mais j’avoue que cela ne me déplaisait pas et flattait mon côté exhibitionniste.
- On peut dire que tu leur as plu. Remarque, nous y sommes quand même un peu pour quelque chose, dis Laure.
Elle me souriait, venant ainsi à mon secours.
- Ils nous ont appréciées et je suis sure que cela te plait de te savoir découverte et en plus je suis prête à parier que tu les as le plus excités et que tu voudrais savoir qui ils sont.
Elle n’avait pas tout à fait tort, Laure me connaissant bien.
- Attends, laisse-moi faire.
A suivre…
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