Leslie HD45
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie HD45
Leslie HD45 – Aude me raconte, suite
Le soir nous nous sommes retrouvés pour un barbecue dans le jardin, Jacques ayant invité des amis et des voisins, ce fut un moment calme, ce n’est que vers vingt-deux heures nous retrouvant tous les trois que Jacques nous annonça :
- J’ai demandé à Pierre de passer pour boire un coup, cela ne te gêne pas ma chérie ?
Dans le regard de Florence une lueur de luxure apparue et je compris que cette nouvelle l’enchantait.
Elle est partie se changer, me laissant seul avec Jacques.
Il profita de cet instant pour me poser des questions sur ma sexualité et s’enquérir si j’avais déjà participé à des relations avec un couple.
Lui répondant que non mais que j’étais ouverte à toutes propositions il s’approcha de moi pour me prendre dans ses bras et m’embrasser à pleine bouche.
Je ne me suis pas défilée et lui ai rendue sont baiser en lui offrant ma langue, ses mains se sont perdues sur mon corps et je me suis laissée aller aux caresses de cet homme.
N’ayant, pour l’occasion pas mis de culotte, les doigts de Jacques rencontrèrent mon intimité nue, il me dit alors :
- Je vois que vous êtes prête, je vous trouve très à mon goût et nous allons bien nous entendre.
- Je le pense aussi, dis-je.
- J’ai justement invité un des préférés de Florence.
- Pour être tranquille avec moi ? Demandais-je.
- Pas que pour cela, vous verrez vous serrez étonnée.
La sonnette de la porte d’entrée retentit, et Florence accourra pour ouvrir, simplement vêtue d’un string et s’une nuisette transparente.
Après avoir ouvert elle se jeta dans les bras de l’homme en disant :
- Mon chéri, voilà une éternité que je ne t’ai vue.
Nous avons bu le champagne au salon, Florence collée à Pierre, qui bandait pour Florence, la bosse dans son pantalon de toile en était la preuve, surtout qu’il ne devait pas porter de caleçon.
- Florence, comme nous voyait la bosse, énorme, et n’arrivait pas à détacher ses yeux de cette proéminence. Elle était collée à Jacques, les seins durs sous le léger voile de la nuisette.
La tige cachée dessous avait l’air hors norme. Cela m’excitais, Jacques s’en rendit compte et me prenant par la main il m’entraina à l’écart dans un fauteuil voisin en me disant :
- Laissons Florence, elle n’est pas disponible pour le moment, il lui faut assouvir avant qu’elle nous revienne.
C’est à cet instant que Florence, dans un état second s’était alors agenouillée, avait débraguetté Pierre et fait jaillir son énorme queue, et l’avait prise en bouche.
Un engin épais de plus de vingt centimètres, tendu à l’extrême près pour l’assaut.
Pierre se laissa sucer un moment en soupirant, puis il se dégagea et fit mettre Florence sur le dos dans le canapé.
Écartant ses cuisses pour s’agenouiller entre elles, il la pénétra d’un coup, la remplissant complètement.
Lorsqu’il se mit à aller et venir en elle, Florence gémit de contentement.
Pendant ce temps, assise dans le fauteuil je me laissais aller, Jacques s’était installé entre mes jambes et m’avait ouvert les cuisses au maximum, il contemplait mon pubis glabre en le caressant de bout des doigts.
Je me laissais faire regardant la scène à côté de nous.
Jacques fit saillir mon clitoris et le dégagea de sa protection, puis il se mit à me le lécher avec douceur me faisant feuler de plaisir.
Il savait être doux et me faisait monter le plaisir, sa langue darder entrait parfois dans mes chairs intimes me faisant pousser des petits cris incontrôlés.
Ses mains parcouraient tout mon corps avec douceur, rien à voir avec l’homme que j’avais surpris de la fenêtre de ma chambre enculant sa femme avec rage.
Même lorsqu’il aventura un doigt sur ma rondelle plissée, puis dans mon anus, il le fit avec une extrême douceur qui me fit me cambrer et hurler de plaisir.
Pierre défonçait Florence sans ménagement, longtemps à grands coups de reins en regardant la poitrine de son amante bouger au rythme de ses ruades en elle.
Les seins de Florence étaient durs et tendus et elle était surexcitée par le membre qui la pistonnait ainsi.
Florence de temps à autre se caressait le bouton dressé entre ses lèvres en gémissant doucement.
Avec toujours autant de douceur, Jacques m’avait mise nue, lui aussi s’était habillement déshabillé et m’offrait son sexe à mes lèvres.
Maintenant que j’avais ce membre devant les yeux, il me paraissait plus imposant que le matin au jardin.
Epais et bien veiné, circoncis il pouvait faire partie des gros calibres. Entrouvrant les lèvres je le pris en bouche avec beaucoup de douceur, faisant sortir un râle de la gorge de mon amant.
Je l’ai sucé un petit instant, le membre vibrait de plaisir entre mes lèvres qui l’entouraient, ma langue tournant autour du gland faisait gémir Jacques qui tentait de m’enfoncer son membre au plus profond dans ma gorge, sans brutalité avec juste la douceur nécessaire pour que j’accepte de lui faire ce plaisir.
Puis sans me forcer, il m’a installé sur le fauteuil, les genoux sur l’assise et le corps contre le dossier, ainsi nous pouvions tous les deux voir les deux amants se donner du plaisir.
Pierre installa Florence à genoux sur le sol, le buste reposant sur l’assise du canapé
Il lui écarta les fesses pour poser son gland à l’orée de son anus et il la sodomisa d’un coup, lui arrachant un gémissement de plaisir.
Il lui défonça le cul comme elle aimait, avec force et puissance.
Il lui pilonnait le fion et on distinguait nettement son anus écartelé par sa grosse queue.
Tenant cette femme soit par les hanches, soit par les seins, il lui assenait des coups de reins avec une régularité continue, Florence hurlait de plaisir et en redemandait, encore et encore.
Puis il se mit ensuite à alterner ses pénétrations dans ses fesses et dans sa chatte de sa compagne, faisant miauler Florence comme une chatte en chaleur.
Plus il la défonçait, plus elle en demandait et plus elle aimait.
A suivre…
Le soir nous nous sommes retrouvés pour un barbecue dans le jardin, Jacques ayant invité des amis et des voisins, ce fut un moment calme, ce n’est que vers vingt-deux heures nous retrouvant tous les trois que Jacques nous annonça :
- J’ai demandé à Pierre de passer pour boire un coup, cela ne te gêne pas ma chérie ?
Dans le regard de Florence une lueur de luxure apparue et je compris que cette nouvelle l’enchantait.
Elle est partie se changer, me laissant seul avec Jacques.
Il profita de cet instant pour me poser des questions sur ma sexualité et s’enquérir si j’avais déjà participé à des relations avec un couple.
Lui répondant que non mais que j’étais ouverte à toutes propositions il s’approcha de moi pour me prendre dans ses bras et m’embrasser à pleine bouche.
Je ne me suis pas défilée et lui ai rendue sont baiser en lui offrant ma langue, ses mains se sont perdues sur mon corps et je me suis laissée aller aux caresses de cet homme.
N’ayant, pour l’occasion pas mis de culotte, les doigts de Jacques rencontrèrent mon intimité nue, il me dit alors :
- Je vois que vous êtes prête, je vous trouve très à mon goût et nous allons bien nous entendre.
- Je le pense aussi, dis-je.
- J’ai justement invité un des préférés de Florence.
- Pour être tranquille avec moi ? Demandais-je.
- Pas que pour cela, vous verrez vous serrez étonnée.
La sonnette de la porte d’entrée retentit, et Florence accourra pour ouvrir, simplement vêtue d’un string et s’une nuisette transparente.
Après avoir ouvert elle se jeta dans les bras de l’homme en disant :
- Mon chéri, voilà une éternité que je ne t’ai vue.
Nous avons bu le champagne au salon, Florence collée à Pierre, qui bandait pour Florence, la bosse dans son pantalon de toile en était la preuve, surtout qu’il ne devait pas porter de caleçon.
- Florence, comme nous voyait la bosse, énorme, et n’arrivait pas à détacher ses yeux de cette proéminence. Elle était collée à Jacques, les seins durs sous le léger voile de la nuisette.
La tige cachée dessous avait l’air hors norme. Cela m’excitais, Jacques s’en rendit compte et me prenant par la main il m’entraina à l’écart dans un fauteuil voisin en me disant :
- Laissons Florence, elle n’est pas disponible pour le moment, il lui faut assouvir avant qu’elle nous revienne.
C’est à cet instant que Florence, dans un état second s’était alors agenouillée, avait débraguetté Pierre et fait jaillir son énorme queue, et l’avait prise en bouche.
Un engin épais de plus de vingt centimètres, tendu à l’extrême près pour l’assaut.
Pierre se laissa sucer un moment en soupirant, puis il se dégagea et fit mettre Florence sur le dos dans le canapé.
Écartant ses cuisses pour s’agenouiller entre elles, il la pénétra d’un coup, la remplissant complètement.
Lorsqu’il se mit à aller et venir en elle, Florence gémit de contentement.
Pendant ce temps, assise dans le fauteuil je me laissais aller, Jacques s’était installé entre mes jambes et m’avait ouvert les cuisses au maximum, il contemplait mon pubis glabre en le caressant de bout des doigts.
Je me laissais faire regardant la scène à côté de nous.
Jacques fit saillir mon clitoris et le dégagea de sa protection, puis il se mit à me le lécher avec douceur me faisant feuler de plaisir.
Il savait être doux et me faisait monter le plaisir, sa langue darder entrait parfois dans mes chairs intimes me faisant pousser des petits cris incontrôlés.
Ses mains parcouraient tout mon corps avec douceur, rien à voir avec l’homme que j’avais surpris de la fenêtre de ma chambre enculant sa femme avec rage.
Même lorsqu’il aventura un doigt sur ma rondelle plissée, puis dans mon anus, il le fit avec une extrême douceur qui me fit me cambrer et hurler de plaisir.
Pierre défonçait Florence sans ménagement, longtemps à grands coups de reins en regardant la poitrine de son amante bouger au rythme de ses ruades en elle.
Les seins de Florence étaient durs et tendus et elle était surexcitée par le membre qui la pistonnait ainsi.
Florence de temps à autre se caressait le bouton dressé entre ses lèvres en gémissant doucement.
Avec toujours autant de douceur, Jacques m’avait mise nue, lui aussi s’était habillement déshabillé et m’offrait son sexe à mes lèvres.
Maintenant que j’avais ce membre devant les yeux, il me paraissait plus imposant que le matin au jardin.
Epais et bien veiné, circoncis il pouvait faire partie des gros calibres. Entrouvrant les lèvres je le pris en bouche avec beaucoup de douceur, faisant sortir un râle de la gorge de mon amant.
Je l’ai sucé un petit instant, le membre vibrait de plaisir entre mes lèvres qui l’entouraient, ma langue tournant autour du gland faisait gémir Jacques qui tentait de m’enfoncer son membre au plus profond dans ma gorge, sans brutalité avec juste la douceur nécessaire pour que j’accepte de lui faire ce plaisir.
Puis sans me forcer, il m’a installé sur le fauteuil, les genoux sur l’assise et le corps contre le dossier, ainsi nous pouvions tous les deux voir les deux amants se donner du plaisir.
Pierre installa Florence à genoux sur le sol, le buste reposant sur l’assise du canapé
Il lui écarta les fesses pour poser son gland à l’orée de son anus et il la sodomisa d’un coup, lui arrachant un gémissement de plaisir.
Il lui défonça le cul comme elle aimait, avec force et puissance.
Il lui pilonnait le fion et on distinguait nettement son anus écartelé par sa grosse queue.
Tenant cette femme soit par les hanches, soit par les seins, il lui assenait des coups de reins avec une régularité continue, Florence hurlait de plaisir et en redemandait, encore et encore.
Puis il se mit ensuite à alterner ses pénétrations dans ses fesses et dans sa chatte de sa compagne, faisant miauler Florence comme une chatte en chaleur.
Plus il la défonçait, plus elle en demandait et plus elle aimait.
A suivre…
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