Leslie HD50
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Leslie HD50
Leslie HD50 – Le phantasme de Laure, suite et fin
Elle sort de son sac de toile un énorme gode muni d’un harnais.
Empoignant la grosse bite factice, elle fait mine de la branler un instant en me provoquant du regard.
Mon sexe soubresaute sur mon bas-ventre.
La jolie rousse passe derrière Laure et l’embrasse dans le cou en prenant dans ses mains la poitrine de Laure qu’elle pelote doucement.
- Tu vois c’est ma nouvelle copine, dit Laure, et elle voulait te connaitre et te soumettre, alors je réalise son désir et le mien.
Carole guide bientôt Laure jusqu’à l’autre fauteuil, l’y installe, les cuisses bien ouvertes, le bassin relevé, et s’agenouille pour plonger la tête contre son intimité.
Laure se met aussitôt à se tortiller en gémissant de plaisir.
Elle me regarde droit dans les yeux tandis qu’elle se fait lécher par cette jeune femme.
Je suis en sueur et je tremble presque, tellement je suis excitée.
Laure se déhanche de plus en plus vite et crie de plus en plus fort sous les caresses intimes de Carole, qui n’a pas relevé la tête et doit lui dévorer le sexe de sa bouche.
Et il ne faut qu’un court instant pour que ma chérie jouisse de nouveau en hurlant son plaisir.
Carole se redresse finalement et, embrasse Laure qui se remet doucement su plaisir qui vient de la submerger.
Toutes deux enlacées s’approchent de moi.
- Carole est divine et sais bien faire jouir les femmes, me dit Laure.
Je lis autant d’excitation et de malice dans les yeux bleus de ma copine que dans le regard vert que Carole braque sur moi.
- Je suce aussi les belles queues et je crois qu’il est temps de soulager notre amie, murmure la belle rouquine.
Laure acquiesce vaguement et attrape le gode en disant :
- Pas maintenant, laisses-moi profiter un peu de cette situation.
- Comme tu voudras, dit Carole.
Laure pose le gode sur mes lèvres et me dit :
- Tiens, suces !
- Suces ou on te laisse ainsi, rajoute Carole !
J’ouvre les lèvres, Laure y enfonce vivement le gland qu’elle fait aller et venir dans ma bouche. Ses yeux sont braqués dans les miens tandis que je pompe l’énorme sexe factice.
Carole s’agenouille à mes pieds, et je sens qu’elle empoigne ma verge.
Le gode dans la bouche, je suce cet énorme gode et Laure me dit doucement :
- Bien, je te l’ai dit j’aime te voir sucer une grosse bite !
Je à cet instant que Carole se fourre ma queue entre ses lèvres.
C’est à mon tour de gémir.
- Alors, elle suce bien ?
Je gémis et soupire de plus en plus fort, tandis qu’amusée, Laure me baise littéralement la bouche. La belle rousse me suce fort, vite, profondément. C’est extrêmement bon, et vu mon état, ça devrait aller vite.
- Tu vas jouir ? Me demande Laure
Je gémis encore. Je sens que je ne vais pas tarder à exploser.
- Je te préviens que si tu jouis dans sa bouche, je t’encule !
Mais Carole continue de me sucer comme une furie, je pousse une longue plainte d’extase en éjaculant copieusement au fond de sa gorge.
Carole se relève et Laure dit :
Je vais t’enculer !
Les deux jeunes femmes me regardent en se caressant.
- Regarde, elle est toujours aussi excitée, constate Laure.
- Attends ma chérie, rétorque Carole en désignant le gode, avant de l’enculer je vais te donner du plaisir.
Devant moi, Carole se déshabille me dévoilant son corps magnifique, puis entièrement nue, elle sort un autre gode ceinture plus fin que celui que me réserve Laure, elle s’équipe tandis que Laure me jette un regard espiègle.
- Je vais baiser ta chérie, m’explique Carole, je veux que tu la voie prendre son pied.
- Tu veux m’enculer devant elle, demande Laure.
- Cela faisait partie de ton délire.
- Ohhh oui, réponds Laure.
Carole s’approche de Laure, harnachée du gode, elle passe sa main dans l’entrejambe de ma chérie et dit :
- C’est impressionnant comme elle est trempée !
- Je vois nettement que Carole doigte sans vergogne la chatte de Laure.
Laure se penche les mains en appui sur les accoudoirs de fauteuil, se cambre en s’offrant à Carole sans pudeur.
Je peux voir son petit trou offert qui va se faire défoncer par la bite de latex, un frisson me parcours.
Carole enduit le cul de Laure de gel et après elle lui enfonce le pal dans la chatte.
Carole pousse un cri, suivi d’une série de gémissements.
- Humm, si tu savais comme elle est bonne, dit Carole, regarde comme je lui défonce sa petite chatte avec ma bite.
- Humm ! C’est trop bon, dit Carole.
Laure hurle littéralement tandis que Carole la prend à grands coups de reins en la tenant par les hanches.
Elle lui assène de puissants coups de bassin, lui enfonçant la verge factice bien au fond d’elle, tout en lui caressant les seins.
Je tremble tellement je suis excitée.
- Encules-moi, dit Laure.
Carole se mets à enculer Laure sous de longs gémissements. Je vois le clitoris durci de Laure dressé hors de sa gangue et le gode qui va-et-vient dans le cul de ma chérie
De plus en plus vite, de plus en plus fort. Je devine Laure se crisper, se raidir, et soudain, elle crie les doigts planter dans le tissu du fauteuil.
Laure jouit en hurlant que la verge factice continue de lui perforer le cul.
Puis elles se séparent et Carole me dit, d’une voix innocente :
- Tu as vu comme elle a joui ?
- J’ai adoré, dit Laure, et maintenant ça va être ton tour.
- Tu crois qu’elle est prête ? Demande Carole.
Mon sexe le confirme, je bande comme une folle.
- Humm, oui ! Elle est prête ! Confirme Laure.
Tandis que Laure s’équipe, Carole dit :
- Je vais bien lui tartiner le fion car son petit trou va en avoir bien besoin pour une queue de cette taille.
- Tu peux la préparer avec le tien, lui dis Laure.
- Aggrhh, détachez-moi ! Dis-je.
- De quoi, mais tu rêves ou quoi, réponds Laure.
- Laure, je t’en supplie, détache-moi.
- Demande gentiment
- S’il te plait Laure, je t’en supplie, détache-moi.
- Tu n’as rien compris, je veux que tu nous supplies de t’enculer.
- Jamais je ne vous supplierais
- Comme tu veux, mais cela n’empêchera pas de te mettre cette grosse bite dans ton petit cul !
- Vous êtes givrées toutes les deux et vous faites la paire.
Carole me tartine le cul de gel et je me débats une fois encore sans conviction.
Ses doigts se glissent dans ma raie, jusqu’à mon anus et un doigt force mon sphincter.
- Humm, dis Carole, j’ai très envie de ce petit cul.
Je me cambre et tente encore de me défaire de mes liens. Deux doigts entrent en moi.
Mes chevilles sont libérées et je sens qu’on m’écarte les jambes.
Carole me tire vers elle en relevant mes fesse et glisse dans le fauteuil, puis je sens le latex de son gode se presser contre moi, entre mes fesses sur mon anus.
La pression sur mon sphincter s’intensifie, le gland factice se presse contre mon anus, l’écartant doucement.
Malgré la colère je suis au bord de la jouissance, d’autant que Laure me branle le sexe.
Le gode s’enfonce doucement en moi, poussé par Carle qui maintient mes cuisses grandes ouvertes.
Mes gémissements remplissent la pièce.
Après un instant Carole cède la place à Laure, qui m’encule à son tour de son énorme gode, je souffre le martyr.
Laure me sodomise puissamment, tout en tenant fermement mes cuisses quelque peu relevées.
Carole débarrassée de son gode se caresse le clitoris à toute allure.
Laure tout en me sodomisant me branle et je jouis de ses mains me répandant sur mon ventre.
Laure se retire de mon cul quelque peu douloureux.
Puis contentes de ce moment passé, elles me libèrent des entraves, je soupire crevée et Laure me sourit.
Elle détache le harnais qui la ceint toujours.
- Je t’aime ! Chuchote-t-elle.
- Tu es incroyable ! Mais je t’aime aussi.
Nous avons passées la soirée ensembles. La soirée fut torride et Carole est partie avec le fion défoncée, juste retour des choses, maintenant seules j’avais le temps de m’occuper de celui de Laure…
A suivre…
Elle sort de son sac de toile un énorme gode muni d’un harnais.
Empoignant la grosse bite factice, elle fait mine de la branler un instant en me provoquant du regard.
Mon sexe soubresaute sur mon bas-ventre.
La jolie rousse passe derrière Laure et l’embrasse dans le cou en prenant dans ses mains la poitrine de Laure qu’elle pelote doucement.
- Tu vois c’est ma nouvelle copine, dit Laure, et elle voulait te connaitre et te soumettre, alors je réalise son désir et le mien.
Carole guide bientôt Laure jusqu’à l’autre fauteuil, l’y installe, les cuisses bien ouvertes, le bassin relevé, et s’agenouille pour plonger la tête contre son intimité.
Laure se met aussitôt à se tortiller en gémissant de plaisir.
Elle me regarde droit dans les yeux tandis qu’elle se fait lécher par cette jeune femme.
Je suis en sueur et je tremble presque, tellement je suis excitée.
Laure se déhanche de plus en plus vite et crie de plus en plus fort sous les caresses intimes de Carole, qui n’a pas relevé la tête et doit lui dévorer le sexe de sa bouche.
Et il ne faut qu’un court instant pour que ma chérie jouisse de nouveau en hurlant son plaisir.
Carole se redresse finalement et, embrasse Laure qui se remet doucement su plaisir qui vient de la submerger.
Toutes deux enlacées s’approchent de moi.
- Carole est divine et sais bien faire jouir les femmes, me dit Laure.
Je lis autant d’excitation et de malice dans les yeux bleus de ma copine que dans le regard vert que Carole braque sur moi.
- Je suce aussi les belles queues et je crois qu’il est temps de soulager notre amie, murmure la belle rouquine.
Laure acquiesce vaguement et attrape le gode en disant :
- Pas maintenant, laisses-moi profiter un peu de cette situation.
- Comme tu voudras, dit Carole.
Laure pose le gode sur mes lèvres et me dit :
- Tiens, suces !
- Suces ou on te laisse ainsi, rajoute Carole !
J’ouvre les lèvres, Laure y enfonce vivement le gland qu’elle fait aller et venir dans ma bouche. Ses yeux sont braqués dans les miens tandis que je pompe l’énorme sexe factice.
Carole s’agenouille à mes pieds, et je sens qu’elle empoigne ma verge.
Le gode dans la bouche, je suce cet énorme gode et Laure me dit doucement :
- Bien, je te l’ai dit j’aime te voir sucer une grosse bite !
Je à cet instant que Carole se fourre ma queue entre ses lèvres.
C’est à mon tour de gémir.
- Alors, elle suce bien ?
Je gémis et soupire de plus en plus fort, tandis qu’amusée, Laure me baise littéralement la bouche. La belle rousse me suce fort, vite, profondément. C’est extrêmement bon, et vu mon état, ça devrait aller vite.
- Tu vas jouir ? Me demande Laure
Je gémis encore. Je sens que je ne vais pas tarder à exploser.
- Je te préviens que si tu jouis dans sa bouche, je t’encule !
Mais Carole continue de me sucer comme une furie, je pousse une longue plainte d’extase en éjaculant copieusement au fond de sa gorge.
Carole se relève et Laure dit :
Je vais t’enculer !
Les deux jeunes femmes me regardent en se caressant.
- Regarde, elle est toujours aussi excitée, constate Laure.
- Attends ma chérie, rétorque Carole en désignant le gode, avant de l’enculer je vais te donner du plaisir.
Devant moi, Carole se déshabille me dévoilant son corps magnifique, puis entièrement nue, elle sort un autre gode ceinture plus fin que celui que me réserve Laure, elle s’équipe tandis que Laure me jette un regard espiègle.
- Je vais baiser ta chérie, m’explique Carole, je veux que tu la voie prendre son pied.
- Tu veux m’enculer devant elle, demande Laure.
- Cela faisait partie de ton délire.
- Ohhh oui, réponds Laure.
Carole s’approche de Laure, harnachée du gode, elle passe sa main dans l’entrejambe de ma chérie et dit :
- C’est impressionnant comme elle est trempée !
- Je vois nettement que Carole doigte sans vergogne la chatte de Laure.
Laure se penche les mains en appui sur les accoudoirs de fauteuil, se cambre en s’offrant à Carole sans pudeur.
Je peux voir son petit trou offert qui va se faire défoncer par la bite de latex, un frisson me parcours.
Carole enduit le cul de Laure de gel et après elle lui enfonce le pal dans la chatte.
Carole pousse un cri, suivi d’une série de gémissements.
- Humm, si tu savais comme elle est bonne, dit Carole, regarde comme je lui défonce sa petite chatte avec ma bite.
- Humm ! C’est trop bon, dit Carole.
Laure hurle littéralement tandis que Carole la prend à grands coups de reins en la tenant par les hanches.
Elle lui assène de puissants coups de bassin, lui enfonçant la verge factice bien au fond d’elle, tout en lui caressant les seins.
Je tremble tellement je suis excitée.
- Encules-moi, dit Laure.
Carole se mets à enculer Laure sous de longs gémissements. Je vois le clitoris durci de Laure dressé hors de sa gangue et le gode qui va-et-vient dans le cul de ma chérie
De plus en plus vite, de plus en plus fort. Je devine Laure se crisper, se raidir, et soudain, elle crie les doigts planter dans le tissu du fauteuil.
Laure jouit en hurlant que la verge factice continue de lui perforer le cul.
Puis elles se séparent et Carole me dit, d’une voix innocente :
- Tu as vu comme elle a joui ?
- J’ai adoré, dit Laure, et maintenant ça va être ton tour.
- Tu crois qu’elle est prête ? Demande Carole.
Mon sexe le confirme, je bande comme une folle.
- Humm, oui ! Elle est prête ! Confirme Laure.
Tandis que Laure s’équipe, Carole dit :
- Je vais bien lui tartiner le fion car son petit trou va en avoir bien besoin pour une queue de cette taille.
- Tu peux la préparer avec le tien, lui dis Laure.
- Aggrhh, détachez-moi ! Dis-je.
- De quoi, mais tu rêves ou quoi, réponds Laure.
- Laure, je t’en supplie, détache-moi.
- Demande gentiment
- S’il te plait Laure, je t’en supplie, détache-moi.
- Tu n’as rien compris, je veux que tu nous supplies de t’enculer.
- Jamais je ne vous supplierais
- Comme tu veux, mais cela n’empêchera pas de te mettre cette grosse bite dans ton petit cul !
- Vous êtes givrées toutes les deux et vous faites la paire.
Carole me tartine le cul de gel et je me débats une fois encore sans conviction.
Ses doigts se glissent dans ma raie, jusqu’à mon anus et un doigt force mon sphincter.
- Humm, dis Carole, j’ai très envie de ce petit cul.
Je me cambre et tente encore de me défaire de mes liens. Deux doigts entrent en moi.
Mes chevilles sont libérées et je sens qu’on m’écarte les jambes.
Carole me tire vers elle en relevant mes fesse et glisse dans le fauteuil, puis je sens le latex de son gode se presser contre moi, entre mes fesses sur mon anus.
La pression sur mon sphincter s’intensifie, le gland factice se presse contre mon anus, l’écartant doucement.
Malgré la colère je suis au bord de la jouissance, d’autant que Laure me branle le sexe.
Le gode s’enfonce doucement en moi, poussé par Carle qui maintient mes cuisses grandes ouvertes.
Mes gémissements remplissent la pièce.
Après un instant Carole cède la place à Laure, qui m’encule à son tour de son énorme gode, je souffre le martyr.
Laure me sodomise puissamment, tout en tenant fermement mes cuisses quelque peu relevées.
Carole débarrassée de son gode se caresse le clitoris à toute allure.
Laure tout en me sodomisant me branle et je jouis de ses mains me répandant sur mon ventre.
Laure se retire de mon cul quelque peu douloureux.
Puis contentes de ce moment passé, elles me libèrent des entraves, je soupire crevée et Laure me sourit.
Elle détache le harnais qui la ceint toujours.
- Je t’aime ! Chuchote-t-elle.
- Tu es incroyable ! Mais je t’aime aussi.
Nous avons passées la soirée ensembles. La soirée fut torride et Carole est partie avec le fion défoncée, juste retour des choses, maintenant seules j’avais le temps de m’occuper de celui de Laure…
A suivre…
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