Leslie HD51
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie HD51
Leslie HD51 – En déplacement, Sophie
Je suis en déplacement dans le sud de la France, à Nîmes, pour deux semaines.
Ne voulant pas loger en centre-ville, j’ai trouvé un petit hôtel familial et sympa tenu par un couple à l’extérieur de la ville entre vigne et garrigues.
Voilà deux jours que je suis installée et le soir je dine seule.
En cette arrière-saison les touristes sont partis et il n’y a que deux pensionnaires en plus de moi, deux hommes au physique agréable, mais qui n’ont pas l’air intéressés par une jeune fille seule.
Ce soir-là, la fille des patrons, âgée tout juste de 18 ans faisait ses devoirs dans un coin de la salle à manger du restaurant. Penchée sur ses devoirs elle montrait un air studieux mais en regardant de temps en temps de mon côté.
Une brune d’un mètre soixante-dix, environ, aux cheveux courts, des hanches étroites et une jolie petite poitrine. Mignonne comme tout elle avait beaucoup de charme.
Elle s’appelait Sophie et était en terminale, elle paraissait portées sur les filles, car je l’avais vu la veille embrasser une nana au coin de la rue avant de rentrer chez ses parents.
Ce soir-là, j’ai volontairement tardé à monter dans ma chambre, Sophie tout en faisant ses devoirs regardait de temps en temps dans ma direction et je sentais un certain intérêt de sa part envers moi.
Je dois avouer que cette petite jeune fille ne me laissait pas indifférente et que ses regards éveillaient en moi une certaine curiosité.
Les deux hommes sont partis et nous sommes restées seules dans la grande salle à manger du restaurant.
A un moment donné, elle m’a interpellée pour savoir si je pouvais l’aider sur une question qu’elle se posait. Je lui ai dit que l’on pouvait essayer, alors elle est venue à ma table pour m’expliquer :
- Vous savez, je ne veux pas vous déranger, mais je ne peux poser cette question à mes vieux, ils sont trop occupés et ils ne comprendraient rien à mes problèmes.
- Expliquez-moi cela que je vois, lui dis-je.
- C’est la vie, m’explique-t-elle, et la question que je me pose se porte sur la relation entre un gars et une fille et de savoir s’ils peuvent vivre une amitié sincère sans tomber dans les travers des relations amoureuses, et en plus comment vivre une relation amoureuse avec une fille, sans se faire montrer du doigt.
- C’est très délicat, dis-je, cela demande un peu d’expérience, du vécu et un peu de compréhension. Dans la vie les sont souvent difficiles entre deux personnes du sexe opposé, et il est courant que l’amitié bascule.
- C’est ce que je pense.
- Mais ce n’est pas systématique, parfois ça marche, le tout est de poser la règle du jeu et de la respecter.
- Oui, mais ce n’est pas facile.
- Je l’avoue mais une véritable amitié est à ce prix.
- Et deux filles ensembles ? Me demanda-t-elle.
- C’est autre chose, on se heurte aux préjugés et aux tabous, ce n’est pas encore accepté aujourd’hui et pour pouvoir vivre une relation amoureuse avec une fille il faut parfois tout abandonner.
- C’est le cas pour vous, qui êtes seule ?
Là elle allait droit au but et la question était embarrassante.
- Pour moi c’est différent, mais cela serait compliqué de t’expliquer.
- Si difficile que cela ?
- Pas difficile, compliqué.
- Peut-être que tu me diras plus tard.
- Peut-être.
Elle à ramasser ses affaires, puis elle est partie.
Avant de disparaitre elle s’est retournée et m’a fait un clin d’œil en disant :
- J’espère que tu me diras bientôt.
Elle a disparue pour regagner sa chambre et à mon tour je me suis levée pour regagner la mienne.
Une fois dans ma chambre après une douche je me suis allongée et j’ai lu en attendant que le sommeil ne vienne.
Quelque peu troublée par les questions de Sophie, je n’ai pas trouvée le sommeil aussitôt, confortablement installée dans mon lit, la lecture d’un roman érotique me faisait quelque peu de l’effet.
Une envie de me donner du plaisir me tordait le ventre, alors j’ai éteint et j’ai commencée à me caresser dans le noir, pour apaiser ce désir qui montait en moi.
Je me suis plugée le cul de mon petit gode d’anus, tout en me branlant en pensant à Sophie et à son corps de jeune fille.
Après avoir jouis, j’ai rangé le gode et je me suis endormie.
A suivre…
Je suis en déplacement dans le sud de la France, à Nîmes, pour deux semaines.
Ne voulant pas loger en centre-ville, j’ai trouvé un petit hôtel familial et sympa tenu par un couple à l’extérieur de la ville entre vigne et garrigues.
Voilà deux jours que je suis installée et le soir je dine seule.
En cette arrière-saison les touristes sont partis et il n’y a que deux pensionnaires en plus de moi, deux hommes au physique agréable, mais qui n’ont pas l’air intéressés par une jeune fille seule.
Ce soir-là, la fille des patrons, âgée tout juste de 18 ans faisait ses devoirs dans un coin de la salle à manger du restaurant. Penchée sur ses devoirs elle montrait un air studieux mais en regardant de temps en temps de mon côté.
Une brune d’un mètre soixante-dix, environ, aux cheveux courts, des hanches étroites et une jolie petite poitrine. Mignonne comme tout elle avait beaucoup de charme.
Elle s’appelait Sophie et était en terminale, elle paraissait portées sur les filles, car je l’avais vu la veille embrasser une nana au coin de la rue avant de rentrer chez ses parents.
Ce soir-là, j’ai volontairement tardé à monter dans ma chambre, Sophie tout en faisant ses devoirs regardait de temps en temps dans ma direction et je sentais un certain intérêt de sa part envers moi.
Je dois avouer que cette petite jeune fille ne me laissait pas indifférente et que ses regards éveillaient en moi une certaine curiosité.
Les deux hommes sont partis et nous sommes restées seules dans la grande salle à manger du restaurant.
A un moment donné, elle m’a interpellée pour savoir si je pouvais l’aider sur une question qu’elle se posait. Je lui ai dit que l’on pouvait essayer, alors elle est venue à ma table pour m’expliquer :
- Vous savez, je ne veux pas vous déranger, mais je ne peux poser cette question à mes vieux, ils sont trop occupés et ils ne comprendraient rien à mes problèmes.
- Expliquez-moi cela que je vois, lui dis-je.
- C’est la vie, m’explique-t-elle, et la question que je me pose se porte sur la relation entre un gars et une fille et de savoir s’ils peuvent vivre une amitié sincère sans tomber dans les travers des relations amoureuses, et en plus comment vivre une relation amoureuse avec une fille, sans se faire montrer du doigt.
- C’est très délicat, dis-je, cela demande un peu d’expérience, du vécu et un peu de compréhension. Dans la vie les sont souvent difficiles entre deux personnes du sexe opposé, et il est courant que l’amitié bascule.
- C’est ce que je pense.
- Mais ce n’est pas systématique, parfois ça marche, le tout est de poser la règle du jeu et de la respecter.
- Oui, mais ce n’est pas facile.
- Je l’avoue mais une véritable amitié est à ce prix.
- Et deux filles ensembles ? Me demanda-t-elle.
- C’est autre chose, on se heurte aux préjugés et aux tabous, ce n’est pas encore accepté aujourd’hui et pour pouvoir vivre une relation amoureuse avec une fille il faut parfois tout abandonner.
- C’est le cas pour vous, qui êtes seule ?
Là elle allait droit au but et la question était embarrassante.
- Pour moi c’est différent, mais cela serait compliqué de t’expliquer.
- Si difficile que cela ?
- Pas difficile, compliqué.
- Peut-être que tu me diras plus tard.
- Peut-être.
Elle à ramasser ses affaires, puis elle est partie.
Avant de disparaitre elle s’est retournée et m’a fait un clin d’œil en disant :
- J’espère que tu me diras bientôt.
Elle a disparue pour regagner sa chambre et à mon tour je me suis levée pour regagner la mienne.
Une fois dans ma chambre après une douche je me suis allongée et j’ai lu en attendant que le sommeil ne vienne.
Quelque peu troublée par les questions de Sophie, je n’ai pas trouvée le sommeil aussitôt, confortablement installée dans mon lit, la lecture d’un roman érotique me faisait quelque peu de l’effet.
Une envie de me donner du plaisir me tordait le ventre, alors j’ai éteint et j’ai commencée à me caresser dans le noir, pour apaiser ce désir qui montait en moi.
Je me suis plugée le cul de mon petit gode d’anus, tout en me branlant en pensant à Sophie et à son corps de jeune fille.
Après avoir jouis, j’ai rangé le gode et je me suis endormie.
A suivre…
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