Leslie HD83
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Leslie HD83
Leslie HD83 – Vacances espagnoles, suite
Nous sommes arrivées à la maison d'Ornella où nous attendaient les deux autres sœurs de Pilar, Luciana et Alejandra, tout de suite au premier coup d'œil j'ai vu en Alejandra une jolie jeune fille au tempérament de braise et je me dis que je m'étais fourrée dans la gueule du loup entre ces quatre femmes qui aimaient le sexe.
En fait Pilar est l'ainée et Luciana la seconde mais malgré sa jeunesse, tout au plus vingt ans, Alejandra n'à rien à enviée à ses sœurs.
Après mon installation, une chambre à part pour moi toute seule, nous avons bues un café préparé par la maman des trois filles, j'ai trouvée les filles et la mère excitées comme des puces, prêtes à ma sauter dessus à ma première occasion.
Une demi heure plus tard j'ai été m'allongée dans le jardin pour me reposer un peu alors que Pilar, Luciana et la maman étaient partie faire des commissions.
Allongée je me suis laissée aller et à l'ombre j'ai lentement sombrée dans la somnolence.
J’ai entendu des pas s’approcher et j’ai ouvert les yeux, c’était Alejandra, elle arrive près de moi et me demande si elle peu se mettre à l’ombre à côté de moi, je lui laisse un peu de place sur la natte, elle à l'air soucieuse et je lui demande pourquoi elle est triste.
Elle me dit que personne ne s'intéresse en ce moment et qu'elle se sent seule
Pourtant Alejandra est une belle fille, petite taille fine, mince, cheveux noir de jais, visage anguleux avec des beaux yeux bleus, une petite poitrine à peine formée, des petites mains avec de longs doigts, un petit bijou de femme en devenir.
Elle est habillée avec un jean qui moule son petit cul et bun petit top qui laisse voir son ventre plat, on lui donnerait à peine seize ans bien qu'elle en a déjà vingt.
Elle s’assoit près de moi, son corps dégage une odeur de fraîcheur et je la trouve belle et fragile, je me retiens pour ne pas lui sauter dessus tellement elle est jolie.
- Comment tu me trouves, me demande-t-elle
- Jolie comme un cœur, dis je, pourquoi ?
- Parce que je sais que tu es sortie avec mes sœurs.
- Comment tu sais cela ?
- Je les ai entendue en parler un soir entre elles et parait que tu leur à donnée du plaisir.
- Toi aussi tu me plais, mais je viens d’arriver alors c'est un peu tôt pour lier une relation.
- Ah bon je croyais que je ne t’intéressais pas.
- Mais tu n’as pas de petit ami.
- Non, je suis lesbienne depuis que j'ai été déçue.
- Mais tu sais que je ne suis pas une vraie femme.
- Oui je le sais, mais tu me plais, et avec toi ce doit être différent.
- Oui c'est une bonne raison.
- Mais tu sors avec mes sœurs.
- Cela n'empêche en rien qu'un jour on fasse l'amour tous les deux.
Elle était attentive à mes propos, les yeux remplis d'espoir, mais le moment n'était pas opportun et il me fallait lui expliquer cela.
- Tu sais ce n'est pas le moment maintenant, il faut avoir le temps pour bien s'aimer et ne pas être déranger, mais je te promets de trouver cet instant dès que cela sera possible.
Alejandra était au bord des larmes quand j'ai prononcée cette phrase, alors je me suis approché d’elle et j’ai mis mon bras autour de ses épaules et je l’ai serrée fort contre moi, j'ai déposée un baiser dans son cou en caressant ses cheveux, ensuite je l'ai embrassée sur les lèvres, et je lui ai dit :
- Tu vas voir ce sera super, mais il fait être patiente.
Rassurée elle m'a regardée et ensemble nous nous sommes levées, juste au moment ou Ornella et les filles revenaient de course.
Nous avons toutes aidées Ornella à préparer le déjeuner et ensuite nous avons déjeunées sur la terrasse, avant d'aller ensemble avec les filles à la plage, Ornella préférant rester à la maison pour faire du rangement.
Nous nous sommes installées sur la plage dans un endroit retiré afin d'avoir notre tranquillité, mais à un moment Pilar nous à quitter pour aller dans un coin encore plus isolé, à l'abri des regards indiscrets, elle avait besoin nous expliqua t'elle en me faisant un clin d'œil, d'un peu de solitude.
Je l'ai suivi peu de temps après prétextant aller chercher un coin d'ombre.
J'ai retrouvée Pilar, nue sur sa natte, qui était entrain de se donner du plaisir dans un endroit discret en m'attendant.
Elle se touchait les seins et le minou allongée sur le dos, je la regarde se caresser tout en m'approchant et elle me sourit et je m’allonge à côté d’elle.
D'une main je prends sa nuque et je l’embrasse sur la bouche, elle frémit un peu de plaisir, ma main a caressée sa poitrine, les pointes de ses seins étant déjà érigés par sa masturbation, ses seins étaient déjà durs, j’ai continuée à lui caresser les seins la faisant haleter et quand je me suis attaquer à son sexe elle s'est mise à haleter de plus belle.
Elle avait envie de baiser et je le savais, mais je voulais faire vite pour retourner sur la plage afin de ne pas rendre jalouses mes autres compagnes, son minou était trempé, Pilar mouillait comme une chienne en chaleur.
Un doigt dans son minou je l'ai masturbée, elle feulait en me disant :
- Continue, continue, c’est bon.
Je me suis attardée sur son petit bouton qui était déjà gros et elle s'est mise à hurler son plaisir en m’inondant la main de cyprine, elle venait de jouir.
Je lui ai présentée mon sexe à ses lèvres en pleine érection et elle l'a pris en bouche aussitôt, peu de temps après elle s'est mise à plat ventre, en relevant son cul et en disant :
- Prends-moi !
Elle gémissait déjà attendant ma pénétration, je lui ai écartée les fesses de mes deux mains et j'ai placée mon gland l’entrée du trou de son cul et j’ai poussée un peu la faisant se cabrer de surprise, car Pilar ne pensait pas que j'allais l'enculer.
De plus en rentrant mon sexe dans ses chairs intimes Pilar à pousser un grand cri en commençant à se trémousser sous moi, j’ai commencé des va et viens lents, sa respiration est devenue saccadée, elle se cambrait chaque fois que je la pénétrais pour que j’aille encore plus profond en elle, puis je l’ai soulevée de façon à la mettre à quatre pattes sans sortir de son cul, elle feulait de plus en plus, j’ai continuée à l’enculer, et elle jouis du cul, je ne voulais pas jouir en elle maintenant et garder mes forces pour la nuit, alors je me suis retirée d'elle.
Je me suis levée et je suis partie retrouver mes autres compagnes.
A suivre…
Nous sommes arrivées à la maison d'Ornella où nous attendaient les deux autres sœurs de Pilar, Luciana et Alejandra, tout de suite au premier coup d'œil j'ai vu en Alejandra une jolie jeune fille au tempérament de braise et je me dis que je m'étais fourrée dans la gueule du loup entre ces quatre femmes qui aimaient le sexe.
En fait Pilar est l'ainée et Luciana la seconde mais malgré sa jeunesse, tout au plus vingt ans, Alejandra n'à rien à enviée à ses sœurs.
Après mon installation, une chambre à part pour moi toute seule, nous avons bues un café préparé par la maman des trois filles, j'ai trouvée les filles et la mère excitées comme des puces, prêtes à ma sauter dessus à ma première occasion.
Une demi heure plus tard j'ai été m'allongée dans le jardin pour me reposer un peu alors que Pilar, Luciana et la maman étaient partie faire des commissions.
Allongée je me suis laissée aller et à l'ombre j'ai lentement sombrée dans la somnolence.
J’ai entendu des pas s’approcher et j’ai ouvert les yeux, c’était Alejandra, elle arrive près de moi et me demande si elle peu se mettre à l’ombre à côté de moi, je lui laisse un peu de place sur la natte, elle à l'air soucieuse et je lui demande pourquoi elle est triste.
Elle me dit que personne ne s'intéresse en ce moment et qu'elle se sent seule
Pourtant Alejandra est une belle fille, petite taille fine, mince, cheveux noir de jais, visage anguleux avec des beaux yeux bleus, une petite poitrine à peine formée, des petites mains avec de longs doigts, un petit bijou de femme en devenir.
Elle est habillée avec un jean qui moule son petit cul et bun petit top qui laisse voir son ventre plat, on lui donnerait à peine seize ans bien qu'elle en a déjà vingt.
Elle s’assoit près de moi, son corps dégage une odeur de fraîcheur et je la trouve belle et fragile, je me retiens pour ne pas lui sauter dessus tellement elle est jolie.
- Comment tu me trouves, me demande-t-elle
- Jolie comme un cœur, dis je, pourquoi ?
- Parce que je sais que tu es sortie avec mes sœurs.
- Comment tu sais cela ?
- Je les ai entendue en parler un soir entre elles et parait que tu leur à donnée du plaisir.
- Toi aussi tu me plais, mais je viens d’arriver alors c'est un peu tôt pour lier une relation.
- Ah bon je croyais que je ne t’intéressais pas.
- Mais tu n’as pas de petit ami.
- Non, je suis lesbienne depuis que j'ai été déçue.
- Mais tu sais que je ne suis pas une vraie femme.
- Oui je le sais, mais tu me plais, et avec toi ce doit être différent.
- Oui c'est une bonne raison.
- Mais tu sors avec mes sœurs.
- Cela n'empêche en rien qu'un jour on fasse l'amour tous les deux.
Elle était attentive à mes propos, les yeux remplis d'espoir, mais le moment n'était pas opportun et il me fallait lui expliquer cela.
- Tu sais ce n'est pas le moment maintenant, il faut avoir le temps pour bien s'aimer et ne pas être déranger, mais je te promets de trouver cet instant dès que cela sera possible.
Alejandra était au bord des larmes quand j'ai prononcée cette phrase, alors je me suis approché d’elle et j’ai mis mon bras autour de ses épaules et je l’ai serrée fort contre moi, j'ai déposée un baiser dans son cou en caressant ses cheveux, ensuite je l'ai embrassée sur les lèvres, et je lui ai dit :
- Tu vas voir ce sera super, mais il fait être patiente.
Rassurée elle m'a regardée et ensemble nous nous sommes levées, juste au moment ou Ornella et les filles revenaient de course.
Nous avons toutes aidées Ornella à préparer le déjeuner et ensuite nous avons déjeunées sur la terrasse, avant d'aller ensemble avec les filles à la plage, Ornella préférant rester à la maison pour faire du rangement.
Nous nous sommes installées sur la plage dans un endroit retiré afin d'avoir notre tranquillité, mais à un moment Pilar nous à quitter pour aller dans un coin encore plus isolé, à l'abri des regards indiscrets, elle avait besoin nous expliqua t'elle en me faisant un clin d'œil, d'un peu de solitude.
Je l'ai suivi peu de temps après prétextant aller chercher un coin d'ombre.
J'ai retrouvée Pilar, nue sur sa natte, qui était entrain de se donner du plaisir dans un endroit discret en m'attendant.
Elle se touchait les seins et le minou allongée sur le dos, je la regarde se caresser tout en m'approchant et elle me sourit et je m’allonge à côté d’elle.
D'une main je prends sa nuque et je l’embrasse sur la bouche, elle frémit un peu de plaisir, ma main a caressée sa poitrine, les pointes de ses seins étant déjà érigés par sa masturbation, ses seins étaient déjà durs, j’ai continuée à lui caresser les seins la faisant haleter et quand je me suis attaquer à son sexe elle s'est mise à haleter de plus belle.
Elle avait envie de baiser et je le savais, mais je voulais faire vite pour retourner sur la plage afin de ne pas rendre jalouses mes autres compagnes, son minou était trempé, Pilar mouillait comme une chienne en chaleur.
Un doigt dans son minou je l'ai masturbée, elle feulait en me disant :
- Continue, continue, c’est bon.
Je me suis attardée sur son petit bouton qui était déjà gros et elle s'est mise à hurler son plaisir en m’inondant la main de cyprine, elle venait de jouir.
Je lui ai présentée mon sexe à ses lèvres en pleine érection et elle l'a pris en bouche aussitôt, peu de temps après elle s'est mise à plat ventre, en relevant son cul et en disant :
- Prends-moi !
Elle gémissait déjà attendant ma pénétration, je lui ai écartée les fesses de mes deux mains et j'ai placée mon gland l’entrée du trou de son cul et j’ai poussée un peu la faisant se cabrer de surprise, car Pilar ne pensait pas que j'allais l'enculer.
De plus en rentrant mon sexe dans ses chairs intimes Pilar à pousser un grand cri en commençant à se trémousser sous moi, j’ai commencé des va et viens lents, sa respiration est devenue saccadée, elle se cambrait chaque fois que je la pénétrais pour que j’aille encore plus profond en elle, puis je l’ai soulevée de façon à la mettre à quatre pattes sans sortir de son cul, elle feulait de plus en plus, j’ai continuée à l’enculer, et elle jouis du cul, je ne voulais pas jouir en elle maintenant et garder mes forces pour la nuit, alors je me suis retirée d'elle.
Je me suis levée et je suis partie retrouver mes autres compagnes.
A suivre…
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