Leslie HD90 - histoire érotique

Leslie HD90 – Confessions d’un couple

Avec Laure nous avons un couple d’amis bisexuel et échangiste, Olivier et Anaïs, qui vivent ensemble sans être mariés.
Elle, est une jolie brune de trente ans aux yeux noisette. Elle est grande et mince avec de longues jambes, une belle paire de fesses rebondies, et des seins juste comme il faut.
Lui, un homme de deux ans de plus, pas très grand, mais tellement mignon avec un regard qui fait fondre les femmes.
Ils se sont racontés un soir, depuis leur rencontre jusqu’à aujourd’hui.

Olivier commença :
« Quand nous nous sommes rencontrés nous étions à la fac.
Nous sommes tombés amoureux l’un de l’autre et avons vécu une idylle torride. Partant sur le principe de n’avoir aucun secret envers l’autre nous nous sommes confié l’un à l’autre au fil de nos soirées.
Très vite nous nous sommes aperçus que nous avions vécu des expériences homosexuel et que même si nous ne pratiquions plus ce genre de relations à l’époque de notre rencontre, nous avions, un jour, envie de retenter l’expérience,
Et puis, en discutant ensemble, nous avons découverts que nous désirions, aussi, avoir des rapports ensemble avec d’autres personnes, et même pourquoi pas être échangistes.
Nous pensions que cela permettrait de ne pas tomber dans la routine, celle qui s’installe insidieusement au fil du temps dans un couple et nous voulions éviter ce piège en pensant que ce pourrait être un moyen.
Mais à cette époque, nous n’en étions pas encore là.

C’est Anaïs qui pensa que revivre notre homosexualité pourrait être un début, peut-être d’abord séparément, puis ensemble en faisant des trios.
Puis après se lancer dans l’échangisme, dans des clubs où personnes ne nous connaissaient ou pourquoi pas avec certains de nos amis.
Certains de nos amis sont en couple et d’autres sont célibataires, nous partageons avec eux, sorties et soirées. Il est certain que certains d’entre eux pratiquaient l’échangisme, ils en font parfois discrètement allusion, mais, nous, novices en la matière nous avions du mal à faire le premier pas et à nous lancer dans l’aventure avec eux.

Un soir en rentrant je dis à Anaïs que j’avais retrouvé un ami de fac qu’elle connaissait elle aussi, Tristan, et avec qui j’avais eu de vagues relations homosexuelles.
A l’époque, nous nous caressions dans notre chambre d’étudiant, allant jusqu'à nous faire des fellations. J’y prenais énormément de plaisir en sentant un sexe dans ma bouche et prenais du plaisir en suçant et en masturbant mon copain de chambrée, Tristan.
J’adorais sentir grossir et se contracter de plus en plus, le sexe de son ami, jusqu’à l’explosion finale et les soubresauts qui accompagnaient ses giclées de sperme sur ma langue.
Mais nous n’avons jamais osé franchir le cap de la sodomie, alors que nous en avions très envie. Puis mes fantasmes s’étaient peu à peu endormis, jusqu’à aujourd’hui.
Car le temps avait passé et Tristan était devenu bisexuel.

Sans me le dire ce jour-là, Anaïs vit l’occasion de réaliser mon fantasme, faire un trio avec Tristan.
Elle décida de me préparer dans l’esprit de cette aventure.

Quelques jours après, un soir, alors qu’Anaïs venait de jouir dans un râle de plaisir, je m’abandonnais complètement aux désirs de ma belle, elle m’embrassait à pleine bouche en me branlant, puis elle me fit jouir avec sa bouche.
Alors que nous reposions, nus sur le lit, elle m’a reparlé de nos fantasmes, vivre une expérience homosexuelle, tenter le libertinage et l’échangisme et aussi pour moi de me faire prendre par un homme.
J’écoutais encore dans le plaisir que venais de me donner ma belle, puis en me regardant elle me dit :
- Et pourquoi ne pas faire avec Tristan et cela en ma présence.
- Avec toi, faire un trio ?
- Pourquoi pas, où même toi et lui et moi regardant, Tristan étant un copain de la fac, je pourrais m’arranger pour le rencontrer et organiser une soirée.
Anaïs, était depuis quelques temps d’une humeur toujours enjouée, surtout depuis que nous avions échangés ensemble sur nos fantasmes et aussi surtout partante pour des aventures coquines, je l’ai tout de suite sentie excitée par le fait de ramener Tristan à la maison.
- Bon, dit-elle, il faudra te préparer avant.
Et elle ne dit plus rien.

Peu de temps après, un soir, après un dîner à la maison, romantique à souhait et préparé par Sophie comme elle savait si bien m’en faire la surprise, elle m’a emmené faire une ballade dans les quartiers chauds de la capitale.
Devant les boutiques érotiques qui proposaient de multiples accessoires, elle me montrait divers accessoires qui pourraient pimenter nos soirées et décupler nos plaisirs.
Elle voulait acheter un gode. Elle savait que j’en rêvais depuis longtemps, et elle voulait voir comment je réagirais avec ce nouveau jouet sexuel.
- Avant de te faire prendre par Tristan, me dit-elle, il faut y aller progressivement et donc essayer avec un gode dans l’intimité de nos relations, ainsi tu sauras si tu aimes et si tu sa envie d’aller plus loin.
L’idée d’offrir mon trou du cul à ma compagne et qu’elle me voit soumis à sa volonté me fit bander, je lui dis simplement :
- Ok, allons-y !

Nous sommes entrés dans un magasin, et bien sûr, il y avait des dizaines de godes alignés sur les rayons. Difficile de faire un choix. Et puis, il y avait aussi les godes-ceintures.
- Ce serait tellement excitant ! Me dit Anaïs.
Mais c’est surtout sur le modèle à deux godes qu’Anaïs porta son choix, un gode extérieur de taille fort convenable, sans être énorme et un autre intérieur plus petit mais qui devait faire des ravages.
- Ainsi j’aurais l’impression d’être un mâle, me dit Anaïs, mais en plus je me donnerais du plaisir en sentant le gode intérieur entré en moi pendant que je te sodomiserais.
Nous nous décidâmes donc, pour ce gode, Anaïs était tellement excitée par les perspectives qu’offrait ce double gode et si l’essai s’avérait concluant, nous reviendrions une autre fois pour un autre gode-ceinture de taille plus imposante.

En sortant du magasin, nous n’avions qu’une seule idée en tête, rentrer le plus vite possible à la maison pour tester notre nouveau jouet.
De retour chez nous, l’excitation était à son comble, mais il fallait faire durer le plaisir et ne pas trop précipiter les choses. »

A suivre…