Leslie HD94
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2012 dans la catégorie Plus on est
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Leslie HD94
Leslie HD94 – Confessions d’un couple, suite et fin
« Mes deux amants, maintenant debout me contemplaient, le sexe dressé.
Me relevant j’ai saisi leurs membres bandés dans chacune de mes mains et je me suis remise à les sucer, chacun à leur tour.
Ils avaient l’air d’apprécier le traitement car ils gémissaient, j’ai senti que la pression montait dans leur sexe et qu’il était temps de passer à de nouveaux jeux avant qu’ils ne jouissent.
Alors j’ai demandé à Olivier de venir me remplacer et de prendre Lorenzo en bouche, afin de continuer de réaliser son fantasme et de parcourir ensemble les chemins du plaisir.
Il en suivi des instants dépassant mes espérances.
Olivier ne se fit pas prier et prit le sexe de Lorenzo dans sa bouche, celui-ci se laissa faire certainement habitué à vivre ce genre de moments, puis il prit la tête d’Olivier entre ses mains et lui fit faire des va-et-vient sur son sexe. Il se branlait dans la bouche de mon homme, qui l’aspirait et le suçait avec plaisir non dissimulé.
Mes amants n’avaient plus de retenues, complètement excités par la situation, il était temps de passer aux pénétrations d’usage, excitée comme jamais j’ai dit :
- Lorenzo, prend-moi !
Sans se faire prier, il s’est installé entre mes cuisses et à pointer son gros sexe large sur l’entrée de ma vulve, je tremblais d’excitation et de peur de prendre un tel sexe en moi.
Il a poussé d’un coup de reins et s’est doucement enfoncé en moi, me remplissant pleinement de son sexe large, me faisant hurler par l’intensité de cette pénétration.
Il me baisa lentement et longuement pendant de longues minutes sous le regard attentif de mon homme qui se branlait.
Je ne savais plus où j’étais, soumise aux plaisirs que me procurait le sexe de Lorenzo en moi, j’étais à sa volonté anéantie de jouissance.
Lorenzo, sentant ma soumission, m’a fait mettre à genoux sur le canapé, accoudée au dossier, me tenant par les hanches il s’est à nouveau introduit dans mon con.
La sensation était différente, il allait plus profondément en moi et il a recommencé à me pistonner, plus fort me faisant, inconsciemment bouger mon bassin sur son sexe pour lui donner encore plus de sensations, cette chevauchée était fantastique, et je prenais, sans retenue, un pied terrible. Je me suis, à cet instant entendu dire :
- Ohhh, mon salaud, qu’il est gros ton sexe, il me remplit bien et me fait du bien !
De sa voix grave Lorenzo a répondu :
- On verra ce que tu diras quand tu l’auras dans le fion !
Ah, le salaud, il voulait aussi m’enculer de sa grosse bite de taureau, un frisson m’a parcouru l’échine, le désir mêlé de peur s’empara de tout mon être.
Soudain il s’arrêta, profondément ancré au fond de moi il est resté un instant ainsi avant de dire à Olivier :
- Alors mon minou, qu’attends-tu pour m’enculer pendant que je baise ta femme ?
Lorenzo s’est penché, et s’est allongé sur moi, j’ai sentis alors un poids de plus sur mon dos et j’ai compris, dans le râle de Lorenzo, qu’Olivier, à la demande de mon amant était à son tour en train de le sodomiser.
Je jouis aussitôt en pensant qu’Olivier prenait un homme pour la première fois. Frustrée de ne pas pouvoir, dans la position dans laquelle j’étais de voir mon homme en enculer un autre.
Mais, à entendre ses feulements, il en prenait un réel plaisir, c’était un pas de plus dans la réalisation de ses fantasmes et la possibilité un jour d’aller plus loin ensemble, faire une partouze et pourquoi pas avec Lorenzo et ses amis.
Plus tard mes amants ont échangés leur place, mais Olivier cette fois sans vergogne, me pénétra l’anus avant de se faire sodomiser par Lorenzo
Olivier, me pénétrait avec force, ses mains agrippées à mes hanches, il entrait en moi de plus en plus profondément et à chaque coup de rein qu’il donnait il était lui-même propulsé encore plus en moi, par les coups de reins de Lorenzo qui le sodomisait.
J’ai adoré être prise comme ça, violemment et profondément, je sentais les mouvements de Lorenzo et c’était comme s’il me prenait au travers d’Olivier qui haletait de plaisir.
Le rythme toujours plus rapide augmentait mon plaisir de plus en plus. Je n’en pouvais plus, et j’ai joui dans un cri rauque avant de m’écrouler sur le canapé.
Lorenzo s’est déchaîné entre les fesses de mon chéri, qui en redemandait encore et encore. Après avoir porté ses derniers assauts, il prit son pied en s’enfonçant une dernière fois en lui.
Nous avons fait l’amour pendant des heures, sans nous lasser, changeant sans cesse de positions.
Mais le meilleur fut quand Lorenzo me sodomisa, me pénétrant le cul comme un taureau en rut, pendant qu’Olivier me baisait la bouche.
Installée en levrette sur le canapé, mon homme devant moi, son membre offert à mes lèvres et Lorenzo derrière moi entre mes jambes. Quand le gland se posa sur mon œillet un frisson me parcouru.
Ce ne fut pas sans me faire hurler que son gland me força l’anus et s’introduit dans mon trou, me dilatant le trou comme jamais. Seul mon homme et Tristan m’avaient enculé.
- Ohhh, c’est trop gros, arrêtes tu vas me déchirer ! Dis-je en suppliant.
- Attends un peu et tu vas aimer petite salope !
- Non, non, c’est trop ! Implorais-je.
- Fais taire ta salope en lui fourrant ta bite au fond de sa gorge, dit Lorenzo à Olivier.
Olivier m’enfourna son sexe dans ma gorge, profitant de l’instant ou je cherchais un peu d’air.
Le gros sexe de Lorenzo me dilatait l’anus,
Je ne reconnaissais pas mon homme, il était déchaîné et complètement partit dans un délire.
Le cul remplit et douloureux, à cet instant j’ai su que nous ne pourrions plus nous passer de partenaires et que nous allions vivre des instants fabuleux dans notre libertinage.
Lorenzo me tira de mes pensées en rentrant son membre au fond de mes entrailles, me faisant hurler mais de plaisir cette fois. Et il s’est déchainé dans mon cul.
Jamais je n’avais été enculée comme ça, avec une telle force et l’impression d’être complètement dilatée, je perdis connaissance en jouissant.
Quand j’ouvris les yeux un peu plus tard, Lorenzo était parti, mon homme dormait dans le canapé d’en face.
Les vacances s’annonçaient chaudes.
Ce fut le vrai début de notre libertinage, car les vacances furent purement sexuelles et remplies de nouvelles expériences.
Avec Lorenzo nous nous retrouvâmes chaque soir, seuls comme au premier soir, puis avec des amis pour partouzer.
J’ai eu ma première expérience lesbienne avec une de ses amies, une jolie et belle femme qui n’avait aucune retenue, nous avons passé ensemble tout un après-midi à nous gouiner comme de vielles copines lesbiennes, pendant qu’Olivier vivait son homosexualité avec le mari de cette femme dans une autre chambre.
Un soir j’ai eu droit à ma première double pénétration sous les yeux attentifs de mon homme. Je l’ai vu se faire sodomiser en me faisant enculer par un ami de notre hôte pendant une soirée d’enfer.
Au retour, nos amis furent heureux de nous accueillir dans le cercle fermé des libertins qu’ils étaient. »
A suivre…
« Mes deux amants, maintenant debout me contemplaient, le sexe dressé.
Me relevant j’ai saisi leurs membres bandés dans chacune de mes mains et je me suis remise à les sucer, chacun à leur tour.
Ils avaient l’air d’apprécier le traitement car ils gémissaient, j’ai senti que la pression montait dans leur sexe et qu’il était temps de passer à de nouveaux jeux avant qu’ils ne jouissent.
Alors j’ai demandé à Olivier de venir me remplacer et de prendre Lorenzo en bouche, afin de continuer de réaliser son fantasme et de parcourir ensemble les chemins du plaisir.
Il en suivi des instants dépassant mes espérances.
Olivier ne se fit pas prier et prit le sexe de Lorenzo dans sa bouche, celui-ci se laissa faire certainement habitué à vivre ce genre de moments, puis il prit la tête d’Olivier entre ses mains et lui fit faire des va-et-vient sur son sexe. Il se branlait dans la bouche de mon homme, qui l’aspirait et le suçait avec plaisir non dissimulé.
Mes amants n’avaient plus de retenues, complètement excités par la situation, il était temps de passer aux pénétrations d’usage, excitée comme jamais j’ai dit :
- Lorenzo, prend-moi !
Sans se faire prier, il s’est installé entre mes cuisses et à pointer son gros sexe large sur l’entrée de ma vulve, je tremblais d’excitation et de peur de prendre un tel sexe en moi.
Il a poussé d’un coup de reins et s’est doucement enfoncé en moi, me remplissant pleinement de son sexe large, me faisant hurler par l’intensité de cette pénétration.
Il me baisa lentement et longuement pendant de longues minutes sous le regard attentif de mon homme qui se branlait.
Je ne savais plus où j’étais, soumise aux plaisirs que me procurait le sexe de Lorenzo en moi, j’étais à sa volonté anéantie de jouissance.
Lorenzo, sentant ma soumission, m’a fait mettre à genoux sur le canapé, accoudée au dossier, me tenant par les hanches il s’est à nouveau introduit dans mon con.
La sensation était différente, il allait plus profondément en moi et il a recommencé à me pistonner, plus fort me faisant, inconsciemment bouger mon bassin sur son sexe pour lui donner encore plus de sensations, cette chevauchée était fantastique, et je prenais, sans retenue, un pied terrible. Je me suis, à cet instant entendu dire :
- Ohhh, mon salaud, qu’il est gros ton sexe, il me remplit bien et me fait du bien !
De sa voix grave Lorenzo a répondu :
- On verra ce que tu diras quand tu l’auras dans le fion !
Ah, le salaud, il voulait aussi m’enculer de sa grosse bite de taureau, un frisson m’a parcouru l’échine, le désir mêlé de peur s’empara de tout mon être.
Soudain il s’arrêta, profondément ancré au fond de moi il est resté un instant ainsi avant de dire à Olivier :
- Alors mon minou, qu’attends-tu pour m’enculer pendant que je baise ta femme ?
Lorenzo s’est penché, et s’est allongé sur moi, j’ai sentis alors un poids de plus sur mon dos et j’ai compris, dans le râle de Lorenzo, qu’Olivier, à la demande de mon amant était à son tour en train de le sodomiser.
Je jouis aussitôt en pensant qu’Olivier prenait un homme pour la première fois. Frustrée de ne pas pouvoir, dans la position dans laquelle j’étais de voir mon homme en enculer un autre.
Mais, à entendre ses feulements, il en prenait un réel plaisir, c’était un pas de plus dans la réalisation de ses fantasmes et la possibilité un jour d’aller plus loin ensemble, faire une partouze et pourquoi pas avec Lorenzo et ses amis.
Plus tard mes amants ont échangés leur place, mais Olivier cette fois sans vergogne, me pénétra l’anus avant de se faire sodomiser par Lorenzo
Olivier, me pénétrait avec force, ses mains agrippées à mes hanches, il entrait en moi de plus en plus profondément et à chaque coup de rein qu’il donnait il était lui-même propulsé encore plus en moi, par les coups de reins de Lorenzo qui le sodomisait.
J’ai adoré être prise comme ça, violemment et profondément, je sentais les mouvements de Lorenzo et c’était comme s’il me prenait au travers d’Olivier qui haletait de plaisir.
Le rythme toujours plus rapide augmentait mon plaisir de plus en plus. Je n’en pouvais plus, et j’ai joui dans un cri rauque avant de m’écrouler sur le canapé.
Lorenzo s’est déchaîné entre les fesses de mon chéri, qui en redemandait encore et encore. Après avoir porté ses derniers assauts, il prit son pied en s’enfonçant une dernière fois en lui.
Nous avons fait l’amour pendant des heures, sans nous lasser, changeant sans cesse de positions.
Mais le meilleur fut quand Lorenzo me sodomisa, me pénétrant le cul comme un taureau en rut, pendant qu’Olivier me baisait la bouche.
Installée en levrette sur le canapé, mon homme devant moi, son membre offert à mes lèvres et Lorenzo derrière moi entre mes jambes. Quand le gland se posa sur mon œillet un frisson me parcouru.
Ce ne fut pas sans me faire hurler que son gland me força l’anus et s’introduit dans mon trou, me dilatant le trou comme jamais. Seul mon homme et Tristan m’avaient enculé.
- Ohhh, c’est trop gros, arrêtes tu vas me déchirer ! Dis-je en suppliant.
- Attends un peu et tu vas aimer petite salope !
- Non, non, c’est trop ! Implorais-je.
- Fais taire ta salope en lui fourrant ta bite au fond de sa gorge, dit Lorenzo à Olivier.
Olivier m’enfourna son sexe dans ma gorge, profitant de l’instant ou je cherchais un peu d’air.
Le gros sexe de Lorenzo me dilatait l’anus,
Je ne reconnaissais pas mon homme, il était déchaîné et complètement partit dans un délire.
Le cul remplit et douloureux, à cet instant j’ai su que nous ne pourrions plus nous passer de partenaires et que nous allions vivre des instants fabuleux dans notre libertinage.
Lorenzo me tira de mes pensées en rentrant son membre au fond de mes entrailles, me faisant hurler mais de plaisir cette fois. Et il s’est déchainé dans mon cul.
Jamais je n’avais été enculée comme ça, avec une telle force et l’impression d’être complètement dilatée, je perdis connaissance en jouissant.
Quand j’ouvris les yeux un peu plus tard, Lorenzo était parti, mon homme dormait dans le canapé d’en face.
Les vacances s’annonçaient chaudes.
Ce fut le vrai début de notre libertinage, car les vacances furent purement sexuelles et remplies de nouvelles expériences.
Avec Lorenzo nous nous retrouvâmes chaque soir, seuls comme au premier soir, puis avec des amis pour partouzer.
J’ai eu ma première expérience lesbienne avec une de ses amies, une jolie et belle femme qui n’avait aucune retenue, nous avons passé ensemble tout un après-midi à nous gouiner comme de vielles copines lesbiennes, pendant qu’Olivier vivait son homosexualité avec le mari de cette femme dans une autre chambre.
Un soir j’ai eu droit à ma première double pénétration sous les yeux attentifs de mon homme. Je l’ai vu se faire sodomiser en me faisant enculer par un ami de notre hôte pendant une soirée d’enfer.
Au retour, nos amis furent heureux de nous accueillir dans le cercle fermé des libertins qu’ils étaient. »
A suivre…
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