Leslie HS03
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie HS03
Leslie HS03 – Hors-série – Diane, la fille de Joyce
Je vous l’ai dit, Joyce, la femme cougar que j’avais rencontré un soir et avec qui j’avais eu une relation inoubliable, a une fille, Diane, nous nous sommes rencontrées le dimanche soir après un week-end torride avec sa mère, et elle m’a revue plusieurs fois à l’occasion de mes visites chez sa mère.
Elle savait que nous avions une relation, et ne s’en offusquait pas, même si elle pensait que j’étais une fille et que j’avais presque son âge, j’ai même parfois remarqué le regard de Diane qui me regardait avec insistance et peut-être du désir, et Diane ne se gênait pas de me faire des clins d’œil complice en passant sa langue sur ses lèvres, avant de me dire :
- Tu sais, Leslie, moi aussi je t’aime bien !
Un jour on a sonné à la porte de l’appartement, j’étais seule ce samedi soir, Laure étant dans sa famille pour le week-end.
En ouvrant la porte j’ai découvert une frêle silhouette, la fille de Joyce était là sur le pas de ma porte, elle venait d’avoir dix-huit ans puisqu’une fête avait eue lieu la semaine précédente. J’avais été invité mais un contretemps m’en avait empêché.
Elle paraissait embarrassée…
- Bonjour, que puis-je pour toi ? Lui demandais-je.
- Euh, c'est-à-dire…enfin voilà, ma mère est partie dans la famille et je suis seule à la maison, il n’y a plus rien à manger et elle ne m’a pas laissé d’argent…
- Ce n’est rien, entre nous allons passer la fin de l’après-midi ensemble et après nous dineront.
- C’est que j’ai des devoirs à terminer…
- Alors vient vers dix-neuf heures, je prépare une dinette et ce sera bien.
- Ok, merci, me dit-elle, à tout à l’heure.
Comme prévu, elle est venue diner, elle rigolait tout le temps et, sans s’en rendre peut-être compte, elle m’a dragué, alors après le repas je lui ai proposé d’aller danser, elle était heureuse, car avec sa mère elle n’avait pas souvent l’occasion de sortir…
Nous avons passé une belle soirée et avons dansé comme des folles, Diane était heureuse de passer un tel moment et bien-sûr nous avons un peu bu.
Il est quatre heures du matin, quand nous rentrons de boite, encore un peu soûles d’avoir tant bu toute la nuit et aussi encore enivrées de musique.
Le jour commence à se lever en ce mois de juin et il va faire beau aujourd’hui.
Dans l’ascenseur, qui nous conduit chez moi, je hume une nouvelle fois son parfum envoutant. Je sens qu’elle n’a qu’une envie, celle de m’entendre lui dire que j’ai envie d’elle, qu’elle soit contre moi et que je lui fasse l’amour.
Dans le club où nous nous étions rendues, après une danse, elle m’a regardé et m’a dit :
- Tu me plais, mais c’est la première fois !
- Que tu viens ici ?
- Non, celle d’avoir décidé d’avoir une relation avec une femme.
Nous avons parlé et nous nous sommes rapprochées, le courant passait, en dansant enlacées l’une à l’autre, elle continuait de me draguer, collant son corps contre le mien et n’attendant que ma permission pour m’embrasser.
Elle me disait que maintenant elle était majeure et qu’elle pouvait avoir les relations qu’elle voulait, je l’écoutais en me laissant aller et profitant d’une dans langoureuse, elle m’a embrassé et, collée à elle au milieu de la piste de danse elle a su, à ce moment-là, que je n’étais pas vraiment une femme, mais cela ne l’a pas dérangé, elle m’a juste dit :
- Ce sera aussi un premier pas, mais d’un autre genre.
Elle m’a raconté sa vie, ses aventures amoureuses et son désir d’avoir une relation avec une femme, mais que comme je lui plaisais cela ne la dérangeait pas, avec une femme ce serait pour plus tard.
Nous sommes rentrées dans l’appartement et aussitôt, je la serre dans mes bras, je la couvre de baisers dans son cou, je goûte encore ses lèvres si douces, je m’emporte déjà et je laisse mes mains s’égarer sur son corps.
Forcément, mes mains fouineuses se sont insinuées sous son pull. Forcément, il y en a une qui a cherché à ouvrir son pantalon de cuir, avec succès d’ailleurs ! Et du coup me voilà avec une main sur un sein palpitant, en haut, et l’autre main sur une chatte brûlante, en bas. Mes sens s’affolent et ma bouche ne se rassasie pas de sa peau, de son goût, de sa douceur. Elle m’enivre…
Nous passons dans le salon, je la coince contre le mur et je la déshabille fébrilement, affamée d’elle que je suis.
Son jean, ses chaussures, ses socquettes et la culotte ont valsé dans le salon, pour se retrouver nue devant moi, elle halète dans mes bras, s’offre si indécemment…
Elle m’accueille et je ressens par toutes les fibres de mon être, tout l’amour qu’elle a en elle et qu’elle désire m’offrir.
Je la regarde un moment pour profiter de la vision de son corps juvénile, elle a un joli minois de jeune fille, des petits seins à peine formés pour une fille de son âge, un ventre plat et une silhouette mince, des hanches à peine prononcées et une pubis complètement glabre qui lui donne un air d’adolescence, ses lèvres intimes bien sculptées sont visibles.
Elle est si belle, et si jeune, ses petits seins sont si doux !
Je fais rougir ses tétons, les titillant et les agaçant du bout de ma langue, elle se pâme sous le plaisir qui l’envahit, et elle dit :
- Ohhh, comme c’est fort, j’étais loin de me douter…
- Et encore, dis-je, ce n’est que le début.
- Ohhh, mon Dieu !
Je la butine debout dans le salon ; elle m’a bien allumé et je n’ai pas de limite, elle va connaitre tout du sexe. L’entendre gémir m’excite et je mon sexe raide, alors je l’emmène dans ma chambre.
Elle se met sur le lit et la voilà, les jambes repliées, les talons contre le cul, largement ouverte et offerte, le regard brillant et le souffle court.
Elle attend emprise d’espérance et du désir fou, que simplement je me jette sur sa chatte chaude et trempée, que dis-je, ruisselante.
Je pose mes mains de chaque côté, à l’intérieur de ses cuisses et je commence à la lutiner, caressant tendrement chaque centimètre carré de sa peau, je goûte son désir, son impatience. Enfin, je lèche ardemment sa vulve imberbe qu’elle me tend.
Ohhh, merveille de sa jeunesse et de son indécence ! J’aspire ses nymphes, baise son petit clito, suce ce petit bout de chair qui s’érige sur les lèvres, je le fais tourner sur ma langue, elle s’affole et gémit, et dans un souffle elle soupire :
- Ohhh, oui, je pars !
Elle jouit fort, elle se cambre, s’offre un peu plus à ma bouche gourmande, la respiration courte ! Ma langue coquine, s’insinue en elle et j’explore son œillet, elle ne me repousse pas se délectant de cette caresse et soulève son corps pour s’offrir, comme pour me montrer son assentiment.
Je bande comme une folle, je me redresse et m’agenouille entre ses jambes, dépose ses jambes sur mes épaules et mon sexe vient caresser les parties intimes de son corps.
Elle ne sait pas par où je vais la pénétrer, mais son regard me dit qu’elle est d’accord, mon choix sera le sien, quel présent !
Elle à la chatte ouverte et la rosette offerte, je n’ai qu’à choisir, alors tout glissant deux doigts dans la moiteur de sa chatte, je me penche pour me saisir d’un gode dans le tiroir du chevet de lit, et je l’entends murmurer :
- Ohhh, oui !
Le gode est de belles dimensions, Diane le regarde avec désir et pendant que je le porte à mes lèvres pour l’humidifier, je doigte la chatte de ma si jeune amante, son regard de braise parle pour elle et ses gémissements tombent comme des perles à mes oreilles.
J’humidifie le gode à sa source en le prenant dans ma bouche, elle me regarde faire, puis je place le gland devant sa fente et le plonge en elle, elle s’arque boute dans un long râle de plaisir et retombe quand je commence petit à petit à faire aller et venir l’engin en elle.
Comme elle est belle dans son plaisir, des râles s’échappent de ses lèvres, sa tête si jolie ballotte de droite à gauche. Elle jette son ventre contre ma main, cherchant à avaler le gode encore plus loin et je fais comme elle veut, plus fort et plus vite, et aussitôt elle émet un long cri de jouissance…
Doucement je continue de la baiser avec le gode, en pénétrations lentes et profondes, afin de la retenir dans cet état d’extase où elle se trouve, surfant sur la vague de son plaisir, elle ondule langoureusement, incroyable jeune fille envahie de jouissance, alors je me prépare à l’incroyable…
Sans que je me déplace, juste me redressant un peu, mon gland effleure sa rosette offerte, et alors elle me prend le membre dans sa main et le positionne à l’orée de sa corole, en disant :
- Oui chérie, sodomise-moi !
Elle prend du plaisir à me regarder dans les yeux dans l’attente de la pénétration anale, alors je pousse en elle et entre le gland dans son anus brulant, la faisant soupirer en disant :
- Oui, vas-y !
Je m’enfonce en elle, tandis qu’une larme perle au coin de ses yeux, du bonheur ou de la souffrance, mais elle m’arrange d’aller plus loin, plus profondément en elle.
Alors je m’enfonce au plus profond de ses entrailles et commence à la pistonnée, prise par le gode dans sa chatte et mon sexe dans son cul, Diane délire et hurle des mots incohérents, emprise à l’orgasme qui la terrasse à nouveau.
Longtemps elle accepte cette double pénétration, les yeux dans le vague, puis me demande de la prendre en levrette et s’installe aussitôt dans cette position la tête dans les oreillers en disant :
- Je ne veux sentir que ton membre dans mon cul, je veux être ta petite enculée de Diane !
C’est bon, comme ça derrière elle, je prends plaisir à la chevaucher sauvagement en lui claquant le cul, comme une petite fille qui le mérite du fait d’aimer de se faire enculer. Elle aime, ma petite salope et me le dit, bientôt ses fesses sont rougies sous mes coups secs et cinglants, elle ne se dérobe même pas et en redemande :
- Oui j’adore que tu me claque les fesses en m’enculant !
Je vois son dos qui se creuse, son cul qui se tend allant au-devant de mes pénétrations et sa tête qu’elle rejette ben arrière en se retournant pour réclamer un baiser.
Et sa voix rauque qui hurle son plaisir :
- Bourres-moi, je suis ta petite salope et je jouis de toi !
Son adorable corps vibre, elle halète et dans un hurlement, un orgasme puissant la submerge, elle se crispe et le plaisir coule d’elle sur ses cuisses et je jouis à mon tour en violentes saccades qui lui remplit les entrailles.
Nous restons ainsi un moment, puis je me dégage d’elle et elle vient, pleine de tendresse, m’embrasser, et soudain je vois son regard plein de vice et je me dis qu’elle n’en a pas fini avec moi.
Elle me cajole et me murmure des mots doux et des mots crus, ses baisers profonds me troublent, et ses mains si douces me caressent le corps. Ses mains soupèsent mes seins gonflés, pincent mes tétons qui durcissent, elle agace mes pointes et je chavire…
Une main descend le long de mon corps et trouve mon membre, je tressaille, elle le prend et le fait branle, je m’abandonne à ses caresses si précises pour cette jeune fille.
Sensuelle et sadique, elle me branle de plus belle, je suis folle sous ses caresses, alors elle me dit :
- J’ai vu dans ton tiroir un gode ceinture, je vais le prendre et te sodomiser avec !
Elle s’équipe en un rien de temps et peu de temps après je sens sa tête du gode contre mon œillet et d’un coup d’un seul, elle le pousse dans mon cul ? J’ai le souffle coupé par le gode qu’elle m’enfonce dans l’anus, puis elle le fait coulisser dans mon cul, un peu rudement d’abord, car elle n’a certainement pas l’habitude et me baise comme une chienne, je râle fort et défaille sous la violence du plaisir, en lui demandant d’être douce.
Je suis ouverte, pleinement engodée par le cul ! Maintenant elle le fait coulisser et bouger doucement, je suis étroite autour de lui, elle m’encule maintenant comme si elle avait toujours fait cela et en me branlant elle me fait jouir à nouveau.
Après m’avoir libérée de son étreinte, elle m’embrasse et me serre contre elle en me disant :
- J’ai adoré, et toi ?
- Moi aussi !
Nous nous sommes couchées, dans les bras l’une de l’autre, heureuses, repues d’amour et de luxure. Avant de s’endormir, Diane m’a dit à l’oreille :
- Demain on recommence ?
- Comme tu veux, lui ai-je répondu.
Nous avons passé un week-end de folie, Diane était toute aussi sexuelle que sa mère, heureuse elle m’a quitté le lendemain, mais elle est revenue, plusieurs fois et sa mère aussi…Mais jamais en même temps…
Fin.
Je vous l’ai dit, Joyce, la femme cougar que j’avais rencontré un soir et avec qui j’avais eu une relation inoubliable, a une fille, Diane, nous nous sommes rencontrées le dimanche soir après un week-end torride avec sa mère, et elle m’a revue plusieurs fois à l’occasion de mes visites chez sa mère.
Elle savait que nous avions une relation, et ne s’en offusquait pas, même si elle pensait que j’étais une fille et que j’avais presque son âge, j’ai même parfois remarqué le regard de Diane qui me regardait avec insistance et peut-être du désir, et Diane ne se gênait pas de me faire des clins d’œil complice en passant sa langue sur ses lèvres, avant de me dire :
- Tu sais, Leslie, moi aussi je t’aime bien !
Un jour on a sonné à la porte de l’appartement, j’étais seule ce samedi soir, Laure étant dans sa famille pour le week-end.
En ouvrant la porte j’ai découvert une frêle silhouette, la fille de Joyce était là sur le pas de ma porte, elle venait d’avoir dix-huit ans puisqu’une fête avait eue lieu la semaine précédente. J’avais été invité mais un contretemps m’en avait empêché.
Elle paraissait embarrassée…
- Bonjour, que puis-je pour toi ? Lui demandais-je.
- Euh, c'est-à-dire…enfin voilà, ma mère est partie dans la famille et je suis seule à la maison, il n’y a plus rien à manger et elle ne m’a pas laissé d’argent…
- Ce n’est rien, entre nous allons passer la fin de l’après-midi ensemble et après nous dineront.
- C’est que j’ai des devoirs à terminer…
- Alors vient vers dix-neuf heures, je prépare une dinette et ce sera bien.
- Ok, merci, me dit-elle, à tout à l’heure.
Comme prévu, elle est venue diner, elle rigolait tout le temps et, sans s’en rendre peut-être compte, elle m’a dragué, alors après le repas je lui ai proposé d’aller danser, elle était heureuse, car avec sa mère elle n’avait pas souvent l’occasion de sortir…
Nous avons passé une belle soirée et avons dansé comme des folles, Diane était heureuse de passer un tel moment et bien-sûr nous avons un peu bu.
Il est quatre heures du matin, quand nous rentrons de boite, encore un peu soûles d’avoir tant bu toute la nuit et aussi encore enivrées de musique.
Le jour commence à se lever en ce mois de juin et il va faire beau aujourd’hui.
Dans l’ascenseur, qui nous conduit chez moi, je hume une nouvelle fois son parfum envoutant. Je sens qu’elle n’a qu’une envie, celle de m’entendre lui dire que j’ai envie d’elle, qu’elle soit contre moi et que je lui fasse l’amour.
Dans le club où nous nous étions rendues, après une danse, elle m’a regardé et m’a dit :
- Tu me plais, mais c’est la première fois !
- Que tu viens ici ?
- Non, celle d’avoir décidé d’avoir une relation avec une femme.
Nous avons parlé et nous nous sommes rapprochées, le courant passait, en dansant enlacées l’une à l’autre, elle continuait de me draguer, collant son corps contre le mien et n’attendant que ma permission pour m’embrasser.
Elle me disait que maintenant elle était majeure et qu’elle pouvait avoir les relations qu’elle voulait, je l’écoutais en me laissant aller et profitant d’une dans langoureuse, elle m’a embrassé et, collée à elle au milieu de la piste de danse elle a su, à ce moment-là, que je n’étais pas vraiment une femme, mais cela ne l’a pas dérangé, elle m’a juste dit :
- Ce sera aussi un premier pas, mais d’un autre genre.
Elle m’a raconté sa vie, ses aventures amoureuses et son désir d’avoir une relation avec une femme, mais que comme je lui plaisais cela ne la dérangeait pas, avec une femme ce serait pour plus tard.
Nous sommes rentrées dans l’appartement et aussitôt, je la serre dans mes bras, je la couvre de baisers dans son cou, je goûte encore ses lèvres si douces, je m’emporte déjà et je laisse mes mains s’égarer sur son corps.
Forcément, mes mains fouineuses se sont insinuées sous son pull. Forcément, il y en a une qui a cherché à ouvrir son pantalon de cuir, avec succès d’ailleurs ! Et du coup me voilà avec une main sur un sein palpitant, en haut, et l’autre main sur une chatte brûlante, en bas. Mes sens s’affolent et ma bouche ne se rassasie pas de sa peau, de son goût, de sa douceur. Elle m’enivre…
Nous passons dans le salon, je la coince contre le mur et je la déshabille fébrilement, affamée d’elle que je suis.
Son jean, ses chaussures, ses socquettes et la culotte ont valsé dans le salon, pour se retrouver nue devant moi, elle halète dans mes bras, s’offre si indécemment…
Elle m’accueille et je ressens par toutes les fibres de mon être, tout l’amour qu’elle a en elle et qu’elle désire m’offrir.
Je la regarde un moment pour profiter de la vision de son corps juvénile, elle a un joli minois de jeune fille, des petits seins à peine formés pour une fille de son âge, un ventre plat et une silhouette mince, des hanches à peine prononcées et une pubis complètement glabre qui lui donne un air d’adolescence, ses lèvres intimes bien sculptées sont visibles.
Elle est si belle, et si jeune, ses petits seins sont si doux !
Je fais rougir ses tétons, les titillant et les agaçant du bout de ma langue, elle se pâme sous le plaisir qui l’envahit, et elle dit :
- Ohhh, comme c’est fort, j’étais loin de me douter…
- Et encore, dis-je, ce n’est que le début.
- Ohhh, mon Dieu !
Je la butine debout dans le salon ; elle m’a bien allumé et je n’ai pas de limite, elle va connaitre tout du sexe. L’entendre gémir m’excite et je mon sexe raide, alors je l’emmène dans ma chambre.
Elle se met sur le lit et la voilà, les jambes repliées, les talons contre le cul, largement ouverte et offerte, le regard brillant et le souffle court.
Elle attend emprise d’espérance et du désir fou, que simplement je me jette sur sa chatte chaude et trempée, que dis-je, ruisselante.
Je pose mes mains de chaque côté, à l’intérieur de ses cuisses et je commence à la lutiner, caressant tendrement chaque centimètre carré de sa peau, je goûte son désir, son impatience. Enfin, je lèche ardemment sa vulve imberbe qu’elle me tend.
Ohhh, merveille de sa jeunesse et de son indécence ! J’aspire ses nymphes, baise son petit clito, suce ce petit bout de chair qui s’érige sur les lèvres, je le fais tourner sur ma langue, elle s’affole et gémit, et dans un souffle elle soupire :
- Ohhh, oui, je pars !
Elle jouit fort, elle se cambre, s’offre un peu plus à ma bouche gourmande, la respiration courte ! Ma langue coquine, s’insinue en elle et j’explore son œillet, elle ne me repousse pas se délectant de cette caresse et soulève son corps pour s’offrir, comme pour me montrer son assentiment.
Je bande comme une folle, je me redresse et m’agenouille entre ses jambes, dépose ses jambes sur mes épaules et mon sexe vient caresser les parties intimes de son corps.
Elle ne sait pas par où je vais la pénétrer, mais son regard me dit qu’elle est d’accord, mon choix sera le sien, quel présent !
Elle à la chatte ouverte et la rosette offerte, je n’ai qu’à choisir, alors tout glissant deux doigts dans la moiteur de sa chatte, je me penche pour me saisir d’un gode dans le tiroir du chevet de lit, et je l’entends murmurer :
- Ohhh, oui !
Le gode est de belles dimensions, Diane le regarde avec désir et pendant que je le porte à mes lèvres pour l’humidifier, je doigte la chatte de ma si jeune amante, son regard de braise parle pour elle et ses gémissements tombent comme des perles à mes oreilles.
J’humidifie le gode à sa source en le prenant dans ma bouche, elle me regarde faire, puis je place le gland devant sa fente et le plonge en elle, elle s’arque boute dans un long râle de plaisir et retombe quand je commence petit à petit à faire aller et venir l’engin en elle.
Comme elle est belle dans son plaisir, des râles s’échappent de ses lèvres, sa tête si jolie ballotte de droite à gauche. Elle jette son ventre contre ma main, cherchant à avaler le gode encore plus loin et je fais comme elle veut, plus fort et plus vite, et aussitôt elle émet un long cri de jouissance…
Doucement je continue de la baiser avec le gode, en pénétrations lentes et profondes, afin de la retenir dans cet état d’extase où elle se trouve, surfant sur la vague de son plaisir, elle ondule langoureusement, incroyable jeune fille envahie de jouissance, alors je me prépare à l’incroyable…
Sans que je me déplace, juste me redressant un peu, mon gland effleure sa rosette offerte, et alors elle me prend le membre dans sa main et le positionne à l’orée de sa corole, en disant :
- Oui chérie, sodomise-moi !
Elle prend du plaisir à me regarder dans les yeux dans l’attente de la pénétration anale, alors je pousse en elle et entre le gland dans son anus brulant, la faisant soupirer en disant :
- Oui, vas-y !
Je m’enfonce en elle, tandis qu’une larme perle au coin de ses yeux, du bonheur ou de la souffrance, mais elle m’arrange d’aller plus loin, plus profondément en elle.
Alors je m’enfonce au plus profond de ses entrailles et commence à la pistonnée, prise par le gode dans sa chatte et mon sexe dans son cul, Diane délire et hurle des mots incohérents, emprise à l’orgasme qui la terrasse à nouveau.
Longtemps elle accepte cette double pénétration, les yeux dans le vague, puis me demande de la prendre en levrette et s’installe aussitôt dans cette position la tête dans les oreillers en disant :
- Je ne veux sentir que ton membre dans mon cul, je veux être ta petite enculée de Diane !
C’est bon, comme ça derrière elle, je prends plaisir à la chevaucher sauvagement en lui claquant le cul, comme une petite fille qui le mérite du fait d’aimer de se faire enculer. Elle aime, ma petite salope et me le dit, bientôt ses fesses sont rougies sous mes coups secs et cinglants, elle ne se dérobe même pas et en redemande :
- Oui j’adore que tu me claque les fesses en m’enculant !
Je vois son dos qui se creuse, son cul qui se tend allant au-devant de mes pénétrations et sa tête qu’elle rejette ben arrière en se retournant pour réclamer un baiser.
Et sa voix rauque qui hurle son plaisir :
- Bourres-moi, je suis ta petite salope et je jouis de toi !
Son adorable corps vibre, elle halète et dans un hurlement, un orgasme puissant la submerge, elle se crispe et le plaisir coule d’elle sur ses cuisses et je jouis à mon tour en violentes saccades qui lui remplit les entrailles.
Nous restons ainsi un moment, puis je me dégage d’elle et elle vient, pleine de tendresse, m’embrasser, et soudain je vois son regard plein de vice et je me dis qu’elle n’en a pas fini avec moi.
Elle me cajole et me murmure des mots doux et des mots crus, ses baisers profonds me troublent, et ses mains si douces me caressent le corps. Ses mains soupèsent mes seins gonflés, pincent mes tétons qui durcissent, elle agace mes pointes et je chavire…
Une main descend le long de mon corps et trouve mon membre, je tressaille, elle le prend et le fait branle, je m’abandonne à ses caresses si précises pour cette jeune fille.
Sensuelle et sadique, elle me branle de plus belle, je suis folle sous ses caresses, alors elle me dit :
- J’ai vu dans ton tiroir un gode ceinture, je vais le prendre et te sodomiser avec !
Elle s’équipe en un rien de temps et peu de temps après je sens sa tête du gode contre mon œillet et d’un coup d’un seul, elle le pousse dans mon cul ? J’ai le souffle coupé par le gode qu’elle m’enfonce dans l’anus, puis elle le fait coulisser dans mon cul, un peu rudement d’abord, car elle n’a certainement pas l’habitude et me baise comme une chienne, je râle fort et défaille sous la violence du plaisir, en lui demandant d’être douce.
Je suis ouverte, pleinement engodée par le cul ! Maintenant elle le fait coulisser et bouger doucement, je suis étroite autour de lui, elle m’encule maintenant comme si elle avait toujours fait cela et en me branlant elle me fait jouir à nouveau.
Après m’avoir libérée de son étreinte, elle m’embrasse et me serre contre elle en me disant :
- J’ai adoré, et toi ?
- Moi aussi !
Nous nous sommes couchées, dans les bras l’une de l’autre, heureuses, repues d’amour et de luxure. Avant de s’endormir, Diane m’a dit à l’oreille :
- Demain on recommence ?
- Comme tu veux, lui ai-je répondu.
Nous avons passé un week-end de folie, Diane était toute aussi sexuelle que sa mère, heureuse elle m’a quitté le lendemain, mais elle est revenue, plusieurs fois et sa mère aussi…Mais jamais en même temps…
Fin.
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