Leslie HS09 - histoire érotique

Leslie HS09 – Hors-série – Un dimanche avec Monique

Il y a bien longtemps maintenant, ma transformation étant quasiment acquise, je sortais de plus en plus en femme, j’avais à cette époque une amie femme, plus âgée, que je voyais de temps en temps et avec qui j’avais une relation.
Ce dimanche-là, après avoir passé une soirée entre filles chez elle, mon amie Monique a exprimé le souhait de passer avec moi la journée, chez elle, en femme et elle m’a demandé de lui laisser toutes les initiatives.
En fait, elle aimait à l’époque de notre relation assouvir une certaine domination sur moi, elle savait, que cherchant à exprimer mon côté féminin, je ne refusais pas de me laisser et être un peu soumise en étant avec elle.

Elle me demande de me déshabiller et pendant que je me mets nue, fébrilement en me demandant ce qu’elle me réserve, elle choisit avec soin un ensemble de lingerie dans sa garde-robe.
Elle m’harnache d’une ravissante guêpière rouge et noire très érotique avec ses quatre jarretelles par côté pour empêcher que les bas à couture ne tournent lors de nos ébats, elle roule les bas et les enfile très haut sur mes cuisses pour les accrocher aux jarretelles.
Avec un regard de braise, elle glisse lentement sa main sur mes jambes et s’attarde avec perversité à la lisière de mes bas.
Elle me fixe du regard et quand elle remonte lentement ses mains vers l’intérieur de mes cuisses elle déclencher chez moi une forte érection, je la sens heureuse de son effet et en prévision de nos jeux futurs, et pour faciliter l’accès à mon intimité, elle me fait passer un ravissant slip ouvert assorti à la guêpière, qui expose opportunément mes fesses et met ma queue en valeur. Une longue robe fendue jusqu’aux hanches et des escarpins achèvent ma transformation.

Très excitée, Monique retrousse lentement mes dessous pour m’enfoncer délicatement un plug destiné à m’assouplir l’anneau.
- En attendant mieux, me dit-elle avec un sourire prometteur.
Elle me fait asseoir devant la coiffeuse pour la séance de maquillage. Je ne résiste pas au plaisir de croiser les jambes pour entendre mes bas crisser, et je contracte régulièrement mon muscle intime pour sentir vivre le plug dans mon fourreau. Elle me maquille savamment les yeux avec du fard à paupières et des faux cils, puis ensuite, elle peint mes lèvres d’un rouge ardent et me coiffe d’une perruque blonde mi longue qui me va à ravir, je suis méconnaissable.
Perchée sur mes talons aiguilles, je fais quelques pas devant la glace qui me renvoie l’image troublante d’une courtisane attirante aux jolies courbes, sanglée dans cette ravissante guêpière, j’admire ma taille élancée, j’aime sentir ma jeune poitrine comprimée dans les bonnets. Je tire sur mes bas et fais glisser ma main sur la douceur du voile satiné qui m’électrise. Je contemple enfin le galbe parfait de mes jambes, mis en valeur par mes escarpins.

Habillée d’une jupe fendue sur le côté, avec dessous un porte-jarretelles et des bas recouverts par des cuissardes, un tailleur assorti cachant un soutien-gorge demi-sein. Monique faisait très maîtresse femme, après m’avoir passé une étole de soie, nous sommes allé nous promener au parc un moment et faire un brunch avant de rentrer.

Pendant que je marchais je sentais le plug qui vivait dans mon antre, si-bien que quand nous sommes rentrées j’étais furieusement excitée.
Dès la porte fermée, Monique me laissant debout dans le salon s’est installée à genoux devant moi, la tête sous ma robe fendue, Monique me caresse l’entrejambe et joue avec l’objet qu’elle m’a planté dans l’œillet. Elle me masturbe également jusqu’à ce que mon sexe atteigne la taille idéale pour nos ébats, puis elle me culbute sur le canapé pour me pomper le gland et gober mes bourses l’une après l’autre.
Satisfaite de son effet, elle se lève pour choisir une culotte gode-ceinture noir qu’elle enfile avec soin par-dessus son porte-jarretelles. C’est un triple spécial qui lui permet de s’enfoncer un sexe dans chaque trou, le troisième m’étant réservé. Elle enfile la culotte en latex en enfouissant les deux premiers godes dans ses orifices et le troisième restant fièrement dressé, je frémis un peu en regardant le pal qu’elle me destine.
- Tu as des fesses excitantes et un beau petit cul qui me fait envie, me dit-elle.

Debout face à moi, elle a les seins dressés dans son soutien-gorge demi-seins, son bas ventre habillé de la culotte en latex noir arborant sur le devant le phallus qui est raide et avec ses cuissardes, Monique fait très agressive. Cambrée sur ses talons qui mettent sa chute de reins en valeur, les cuisses pleines et fermes, elle fait dominatrice et sûre d’elle.
Elle s’approche de moi et je frissonne quand je la vois brandir devant mes yeux d’un air décidé ce pal qu’elle tient dans une main.
- Tu ne dois pas avoir peur, je vais te prendre avec douceur, m’assure-t-elle.

Face à moi, elle glisse sournoisement son genou entre mes cuisses pour les écarter, et elle frotte ma queue contre ce sexe factice. Elle me retourne et se place derrière moi et fait coulissé lentement le pal entre mes jambes pour me rassurer. Elle masse ainsi mon périnée et mes bourses à chaque passage. Pendant qu’elle me lime l’entrejambe, je vois, dans la glace du salon, aller et venir cet engin que je vais accueillir dans mes fesses. Alors que je suis en pleine érection, elle me retire le plug et pointe le gode à l’entrée de mon anus en l’excitant par de petites pressions successives.
Elle me fait prendre la position en levrette qui est la mieux adaptée aux pénétrations profondes. Avec un sourire, elle s’accroche à ma taille et tente sans succès de faire rentrer ce gode dans ma grotte. Déçue par cet échec, elle l’enlève de sa fixation avec un fort bruit de succion et le lubrifie abondamment d’un regard ambigu. J’entends un bruit sec quand elle l’emboîte à nouveau sur son socle, et je frémis devant son air pervers quand elle le redresse à deux mains et s’avance vers moi d’un pas décidé. Elle écarte délicatement la dentelle de mon slip ouvert et pointe avec détermination ce pieu contre ma rosette en me disant d’une voix tendre :
- Leslie, ma chérie, tu es très serrée.

Elle pousse le pal en moi et dilatée au maximum, ma rondelle finit par céder brutalement à sa pression et je laisse échapper un cri quand Monique s’engouffre d’un coup dans mes reins.
Je n’ai jamais été prise ainsi et je sens mes chairs s’écarter douloureusement quand elle force mon passage. Indifférente à ma douleur, elle me pistonne sans interruption et m’enfonce peu à peu le pal dans les fesses. Bien calée en moi, elle me masturbe et me relève une jambe pour m’enculer plus à fond.
- Dans cette position, je vais pouvoir te travailler la rondelle et sentir les deux godes que j’ai en moi, me dit-elle en donnant de violents coups de reins pour amplifier son plaisir.

Experte, elle m’assouplit l’anneau et me voit maintenant aller à la rencontre du gode qui me perfore l’anus. Elle m’encourage verbalement et presse énergiquement ma taille pour accompagner mon mouvement.
- Je vois que tu aimes te faire prendre par le cul, ma chérie, cambres-toi davantage pour m’aider à t’enfoncer ce pal plus à fond.
Lors de ses assauts, elle gémit doucement quand elle sent les deux godes lui labourer les muqueuses. Elle s’active un long moment dans mes fesses et me demande de l’attendre pour jouir. Je tiens difficilement jusqu’à ses premiers cris qui précédent de peu son orgasme. Au même moment, elle me masturbe et fait gicler mon sperme. Puis elle sort lentement de ma croupe et regarde avec fascination ma rondelle s’étirer et glisser sur ce pieu comme pour mieux le retenir. Elle détache de sa taille le gode-ceinture et me laisse l’initiative.
- A toi maintenant !

Je l’allonge sur le dos et lui murmure à l’oreille ce que je compte lui faire. Aussitôt, elle s’abandonne sans réserve après avoir ôté la culotte et écarté ses cuisses gainées de nylon,
je pousse un gode dans son vagin et introduis en même temps deux doigts dans son œillet, tandis que de l’autre je pose un vibromasseur sur son clito. Son plaisir monte aussi vite que mon clitoris se durcit, je la bascule doucement sur le côté avant de rentrer mon membre dans ses fesses.
- J’adore être dans ton petit trou et sentir ton anneau me serrer la queue, lui dis-je.
Dans cette position, en petites cuillères, je pilonne son vagin avec le gode et fais vibrer son clito qui me résiste très peu de temps. Elle s’agite frénétiquement quand je la fais jouir et je sens son sphincter se contracter puissamment sur ma verge. Elle coule comme une fontaine et m’inonde le ventre de cyprine en criant son plaisir sans retenue.
- Quel pied tu m’as fait prendre ! Je vais te montrer ce que je sais faire, s’exclame-t-elle.

A suivre…