Leslie HS10
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie HS10
Leslie HS10 – Hors-série – Un dimanche avec Monique, suite et fin
Allongée sur le dos et moi sur elle, elle reprend ses esprits en me laissant m’activer à ma guise dans ses reins. Je lui travaille l’œillet depuis un moment quand, soudain, je sens qu’elle m’emprisonne la taille et me serre avec ses cuissardes. Simultanément, elle écarte délicatement la dentelle de mon slip ouvert et pointe sur ma rondelle un gode de bonne taille. Elle me pénètre avec douceur et tourne le pieu dans mes fesses pour faciliter sa progression. Puis elle ondule du ventre et presse ma queue de son muscle intime. Elle entretient ainsi mon désir pendant de longues minutes en suivant sur mon visage la montée de l’orgasme.
- Essaie de me résister si tu le peux, me dit-elle avec défi.
Elle pousse le gode à fond dans mes entrailles, presse mes bourses de l’autre main et roule du bassin tout en croisant ses jambes dans mon dos pour m’immobiliser. J’essaie désespérément de bloquer avec ma main ce gode qui me fouille avec une efficacité diabolique.
Implacable, Monique ne me laisse aucune chance, elle continue à me labourer de plus belle et me donne de violents coups qui me poignardent le cul. Je sens la sève monter de manière irréversible dans mon sexe. J’abandonne toute résistance et la laisse me porter le coup de grâce. Elle me jette un regard triomphant et dominateur quand elle sent ma semence gicler en elle, accompagnée de mes cris de jouissance.
Elle se relève pour éponger avec une certaine incrédulité les longues coulées de sperme qui s’échappent en permanence de ses fesses, très surprise par la quantité recueillie.
- Eh bien, ma chérie, tu m’as noyée. J’espère que tu as encore des réserves. Reposes-toi un instant et regardes-moi jouir.
Face à moi, elle fléchit les jambes et commence à se masturber en me souriant. Puis elle s’enfonce un double gode et s’applique un vibromasseur sur le clito. Au bout d’un moment, elle est gagnée par le plaisir, son regard se voile et ses yeux se ferment. Je la trouve très belle. J’admire ses gestes gracieux, ses seins dressés dans son corset, sa jupe retroussée sur la taille et ses bas à couture sortant de ses cuissardes. Elle jouit devant moi, impudique. Je la vois emportée par le plaisir quand de nombreux spasmes agitent frénétiquement son corps.
- Il est temps maintenant que je m’occupe à nouveau de toi, dit-elle.
Elle se lève et sort d’un tiroir un plug gonflable vibrant d’une redoutable efficacité.
- Je vais te faire découvrir un plaisir que tu ne connais pas, me dit-elle.
Elle me l’enfile avec adresse dans les fesses et le gonfle lentement, la réaction est instantanée et mon sexe laisse échapper un mince filet de sperme qui se répand sur mes bas.
Attentive, elle s’arrête un instant et observe mon visage avant de poursuivre. Très vite, la tension devient insupportable et elle me soulage en laissant un peu d’air s’échapper du plug. Je m’habitue à ces dilatations successives et lui réclame de me libérer.
Je souhaite que ce moment se termine, mon regard se trouble lorsqu’elle déclenche les vibrations. Allongée entre mes jambes, elle voit palpiter ma rosette qui lui annonce que mon orgasme est proche. Comme elle veut prolonger mon plaisir, elle change son scénario pour retarder mon éjaculation.
- Je vais te faire essayer mon dernier achat avant de te faire jouir, me susurre-t-elle à l’oreille.
Elle me retire alors ce jouet trop efficace et agite devant mes yeux un gode d’un gros diamètre et plein d’aspérités. Face à moi, elle me plante sournoisement son orteil dans l’anus pour me faire patienter. Puis elle me montre plus attentivement le gourdin recouvert de sculptures saillantes qu’elle m’a choisi. Je la vois le lubrifier avec un rire de gorge et un regard équivoque qui augure bien de ce qu’elle me réserve.
Je laisse Monique me montrer ses talents de courtisane. Je croise son regard torride et je bande déjà comme une malade en sachant que ma rosette tiendra bientôt le rôle principal dans ses fantasmes.
Quand elle passe à l’action, j’écarte doucement les cuisses. Je frissonne d’appréhension et de désir en posant mes jambes gainées de nylon sur ses épaules.
Satisfaite de me voir m’abandonner, elle assure sa domination et m’enfonce avec force ce membre noueux qui entre peu à peu en moi. Sans me quitter des yeux, elle ajuste finement les coups de boutoir qui me fouillent le ventre. Pendant un instant, je tente d’échapper à la progression de ce pieu. Mais elle m’enlève toute résistance quand elle me masturbe d’une main experte qui fait monter mon plaisir. Ravie du résultat, elle pousse fermement ce pal démesuré en le tournant de droite à gauche pour me faire sentir son relief tourmenté. Sa technique efficace me donne une forte érection, ce qui l’oblige à me comprimer la racine du sexe pour m’empêcher de jouir.
- Il est planté à fond dans tes fesses, me dit-elle, admirative.
Voulant prolonger ce jeu, elle m’accorde un instant de répit et libère ma croupe pour faire retomber ma tension. Je me sens libre et je fais l’erreur de me tourner sur le ventre pour replacer ma lingerie. Monique ne résiste pas au plaisir de me pétrir les fesses à deux mains. Puis elle pose sa bouche sur ma rondelle et la titille d’une langue agile pour la détendre et mieux tromper ma vigilance. Soudain, elle me replonge brutalement le gode dans les fesses.
Prise par surprise et totalement relâchée, je suis empalée sans pouvoir réagir. Je me cambre et gémis lorsque le gode termine sa course au plus profond de mes entrailles. Clouée par ce dard qui me coupe la respiration, je n’ose plus bouger et elle en profite pour assurer sa prise.
Messaline insatiable, elle écarte mes fesses et s’acharne sur ma glande intime. Je suffoque de plaisir quand elle redouble d’efficacité en se concentrant sur les rotations qu’elle me prodigue d’un poignet expert. Avec étonnement, elle me voit me tortiller pour m’embrocher davantage sur ce sexe monstrueux sans savoir qu’il est déjà planté à fond dans mon ventre. Je serre les cuisses pour ressentir de plus fortes sensations et recouvre sa main qui continue à m’empaler avec ardeur.
De plus en plus excitée, j’écarte maintenant largement les jambes pour m’offrir davantage à ses assauts. Monique ne se lasse pas d’admirer le gode enfoui dans mes fesses et qui bouge au rythme de mes contractions anales.
Je lis dans ses yeux qu’elle va bientôt me faire jouir. Elle s’allonge sur le dos, tête-bêche, et tient le pal pour éviter qu’il ne s’échappe de mon ventre lors de la manœuvre. La tête serrée entre ses cuisses, je suis sans défense, entravée par le poids de son corps. Sa main caresse le haut de mes bas et m’écarte les jambes pour se donner les meilleurs angles d’attaque. Elle m’applique un instant le vibromasseur sur le gland qui laisse échapper quelques gouttes de sperme sur ma guêpière. Elle sent que je ne vais plus pouvoir lui résister. Elle se concentre sur ma croupe et me chuchote à l’oreille :
- Je vais te faire jouir du cul, ma belle, tu vas voir comme c’est bon.
Tremblante d’excitation devant sa détermination, je m’ouvre toujours plus pour l’aider. Avant de poursuivre, elle regarde dans quel état d’excitation elle m’a mise. Elle sait qu’elle ne peut plus toucher ma queue tendue, humide, tressautant de désir, sans me faire exploser. Elle prolonge un moment ma jouissance et remue imperceptiblement le gode entre mes reins. Ces aspérités me font perdre quelques gouttes de sperme sans toutefois dépasser le point de non-retour.
Elle voit que je prends du plaisir et fait durer agréablement ce fragile équilibre. Puis elle me jette un dernier regard brûlant avant de m’achever. Elle prend ma queue en bouche et pousse résolument le pieu à fond dans mes entrailles en décrivant de larges et lents mouvements concentriques. Malgré mes soubresauts, elle me tient fermement et me défonce le cul sans fléchir ni s’arrêter.
Je me raidis et fais des efforts pour ne pas défaillir. Mais, devant l’intensité de son assaut, je cesse tout combat. Pressée maintenant de mettre fin à cette tension insupportable, j’écarte les cuisses au maximum et cambre les reins pour rentrer à fond dans sa bouche.
Elle voit mon regard chavirer et s’active de plus belle pour déclencher mon orgasme. Je pousse un cri libératoire et décharge mon sperme à gros bouillons dans sa gorge. Elle frémit d’excitation quand elle voit l’extrémité du gode tressauter au contact de mes contractions anales, et elle continue un moment à me fouiller le ventre pour prolonger mon plaisir.
Puis elle retire lentement de mon fourreau le gode trempé par l’orgasme qu’elle vient de m’offrir. Heureuse de m’avoir fait jouir avec une telle intensité, elle me donne un long et profond baiser auquel je réponds faiblement, encore tout étourdie de cette jouissance. Monique veut maintenant prendre son pied et s’enfonce un dong de cinq centimètres de diamètre.
Au moment opportun, elle s’allonge entre mes jambes pour m’enfoncer l’autre extrémité dans les fesses. Elle progresse lentement dans mon fourreau en s’aidant de la main. Lorsque je suis complètement embrochée, elle me donne de puissants coups de reins pour s’exciter la chatte et assouvir son désir de domination.
Quand je l’entends gémir, j’empoigne le dong pour le faire coulisser dans sa grotte. Peu de temps après, elle jouit par vagues successives et libère un flot de cyprine qui coule sur mon ventre. Étendue entre mes jambes, elle garde le dong en elle et continue à me pilonner l’anus en accomplissant l’exploit de me sucer la queue dans cette position.
Un moment plus tard, elle sort de mes fesses et arbore un sourire coquin.
De la langue, elle effleure mon frein pour amorcer ma pompe à sperme et faire perler les premières gouttes de liqueur sur mon gland.
Elle m’entend gémir et reste fascinée quand elle voit se répandre lentement ma semence en une coulée épaisse et régulière qui inonde ma guêpière.
Étourdie de plaisir, je continue à me vider longuement et laisse échapper un filet blanchâtre de plus en plus fin. Monique me caresse habilement les bourses et le périnée pour prolonger l’instant.
Après quelques instants de pause, elle m’implore du regard pour que j’apaise sa tension. Elle veut jouir vite. Pour cela, j’introduis mon pouce dans sa chatte et mon index dans ses fesses. Je frotte entre mes doigts la fine membrane interne qui sépare ses muqueuses. Elle apprécie ce massage et soupire de plaisir. Peu après, je me place entre ses cuissardes et pose sur son clito le vibromasseur qui déclenche rapidement son orgasme dans de nombreux spasmes.
A suivre…
Allongée sur le dos et moi sur elle, elle reprend ses esprits en me laissant m’activer à ma guise dans ses reins. Je lui travaille l’œillet depuis un moment quand, soudain, je sens qu’elle m’emprisonne la taille et me serre avec ses cuissardes. Simultanément, elle écarte délicatement la dentelle de mon slip ouvert et pointe sur ma rondelle un gode de bonne taille. Elle me pénètre avec douceur et tourne le pieu dans mes fesses pour faciliter sa progression. Puis elle ondule du ventre et presse ma queue de son muscle intime. Elle entretient ainsi mon désir pendant de longues minutes en suivant sur mon visage la montée de l’orgasme.
- Essaie de me résister si tu le peux, me dit-elle avec défi.
Elle pousse le gode à fond dans mes entrailles, presse mes bourses de l’autre main et roule du bassin tout en croisant ses jambes dans mon dos pour m’immobiliser. J’essaie désespérément de bloquer avec ma main ce gode qui me fouille avec une efficacité diabolique.
Implacable, Monique ne me laisse aucune chance, elle continue à me labourer de plus belle et me donne de violents coups qui me poignardent le cul. Je sens la sève monter de manière irréversible dans mon sexe. J’abandonne toute résistance et la laisse me porter le coup de grâce. Elle me jette un regard triomphant et dominateur quand elle sent ma semence gicler en elle, accompagnée de mes cris de jouissance.
Elle se relève pour éponger avec une certaine incrédulité les longues coulées de sperme qui s’échappent en permanence de ses fesses, très surprise par la quantité recueillie.
- Eh bien, ma chérie, tu m’as noyée. J’espère que tu as encore des réserves. Reposes-toi un instant et regardes-moi jouir.
Face à moi, elle fléchit les jambes et commence à se masturber en me souriant. Puis elle s’enfonce un double gode et s’applique un vibromasseur sur le clito. Au bout d’un moment, elle est gagnée par le plaisir, son regard se voile et ses yeux se ferment. Je la trouve très belle. J’admire ses gestes gracieux, ses seins dressés dans son corset, sa jupe retroussée sur la taille et ses bas à couture sortant de ses cuissardes. Elle jouit devant moi, impudique. Je la vois emportée par le plaisir quand de nombreux spasmes agitent frénétiquement son corps.
- Il est temps maintenant que je m’occupe à nouveau de toi, dit-elle.
Elle se lève et sort d’un tiroir un plug gonflable vibrant d’une redoutable efficacité.
- Je vais te faire découvrir un plaisir que tu ne connais pas, me dit-elle.
Elle me l’enfile avec adresse dans les fesses et le gonfle lentement, la réaction est instantanée et mon sexe laisse échapper un mince filet de sperme qui se répand sur mes bas.
Attentive, elle s’arrête un instant et observe mon visage avant de poursuivre. Très vite, la tension devient insupportable et elle me soulage en laissant un peu d’air s’échapper du plug. Je m’habitue à ces dilatations successives et lui réclame de me libérer.
Je souhaite que ce moment se termine, mon regard se trouble lorsqu’elle déclenche les vibrations. Allongée entre mes jambes, elle voit palpiter ma rosette qui lui annonce que mon orgasme est proche. Comme elle veut prolonger mon plaisir, elle change son scénario pour retarder mon éjaculation.
- Je vais te faire essayer mon dernier achat avant de te faire jouir, me susurre-t-elle à l’oreille.
Elle me retire alors ce jouet trop efficace et agite devant mes yeux un gode d’un gros diamètre et plein d’aspérités. Face à moi, elle me plante sournoisement son orteil dans l’anus pour me faire patienter. Puis elle me montre plus attentivement le gourdin recouvert de sculptures saillantes qu’elle m’a choisi. Je la vois le lubrifier avec un rire de gorge et un regard équivoque qui augure bien de ce qu’elle me réserve.
Je laisse Monique me montrer ses talents de courtisane. Je croise son regard torride et je bande déjà comme une malade en sachant que ma rosette tiendra bientôt le rôle principal dans ses fantasmes.
Quand elle passe à l’action, j’écarte doucement les cuisses. Je frissonne d’appréhension et de désir en posant mes jambes gainées de nylon sur ses épaules.
Satisfaite de me voir m’abandonner, elle assure sa domination et m’enfonce avec force ce membre noueux qui entre peu à peu en moi. Sans me quitter des yeux, elle ajuste finement les coups de boutoir qui me fouillent le ventre. Pendant un instant, je tente d’échapper à la progression de ce pieu. Mais elle m’enlève toute résistance quand elle me masturbe d’une main experte qui fait monter mon plaisir. Ravie du résultat, elle pousse fermement ce pal démesuré en le tournant de droite à gauche pour me faire sentir son relief tourmenté. Sa technique efficace me donne une forte érection, ce qui l’oblige à me comprimer la racine du sexe pour m’empêcher de jouir.
- Il est planté à fond dans tes fesses, me dit-elle, admirative.
Voulant prolonger ce jeu, elle m’accorde un instant de répit et libère ma croupe pour faire retomber ma tension. Je me sens libre et je fais l’erreur de me tourner sur le ventre pour replacer ma lingerie. Monique ne résiste pas au plaisir de me pétrir les fesses à deux mains. Puis elle pose sa bouche sur ma rondelle et la titille d’une langue agile pour la détendre et mieux tromper ma vigilance. Soudain, elle me replonge brutalement le gode dans les fesses.
Prise par surprise et totalement relâchée, je suis empalée sans pouvoir réagir. Je me cambre et gémis lorsque le gode termine sa course au plus profond de mes entrailles. Clouée par ce dard qui me coupe la respiration, je n’ose plus bouger et elle en profite pour assurer sa prise.
Messaline insatiable, elle écarte mes fesses et s’acharne sur ma glande intime. Je suffoque de plaisir quand elle redouble d’efficacité en se concentrant sur les rotations qu’elle me prodigue d’un poignet expert. Avec étonnement, elle me voit me tortiller pour m’embrocher davantage sur ce sexe monstrueux sans savoir qu’il est déjà planté à fond dans mon ventre. Je serre les cuisses pour ressentir de plus fortes sensations et recouvre sa main qui continue à m’empaler avec ardeur.
De plus en plus excitée, j’écarte maintenant largement les jambes pour m’offrir davantage à ses assauts. Monique ne se lasse pas d’admirer le gode enfoui dans mes fesses et qui bouge au rythme de mes contractions anales.
Je lis dans ses yeux qu’elle va bientôt me faire jouir. Elle s’allonge sur le dos, tête-bêche, et tient le pal pour éviter qu’il ne s’échappe de mon ventre lors de la manœuvre. La tête serrée entre ses cuisses, je suis sans défense, entravée par le poids de son corps. Sa main caresse le haut de mes bas et m’écarte les jambes pour se donner les meilleurs angles d’attaque. Elle m’applique un instant le vibromasseur sur le gland qui laisse échapper quelques gouttes de sperme sur ma guêpière. Elle sent que je ne vais plus pouvoir lui résister. Elle se concentre sur ma croupe et me chuchote à l’oreille :
- Je vais te faire jouir du cul, ma belle, tu vas voir comme c’est bon.
Tremblante d’excitation devant sa détermination, je m’ouvre toujours plus pour l’aider. Avant de poursuivre, elle regarde dans quel état d’excitation elle m’a mise. Elle sait qu’elle ne peut plus toucher ma queue tendue, humide, tressautant de désir, sans me faire exploser. Elle prolonge un moment ma jouissance et remue imperceptiblement le gode entre mes reins. Ces aspérités me font perdre quelques gouttes de sperme sans toutefois dépasser le point de non-retour.
Elle voit que je prends du plaisir et fait durer agréablement ce fragile équilibre. Puis elle me jette un dernier regard brûlant avant de m’achever. Elle prend ma queue en bouche et pousse résolument le pieu à fond dans mes entrailles en décrivant de larges et lents mouvements concentriques. Malgré mes soubresauts, elle me tient fermement et me défonce le cul sans fléchir ni s’arrêter.
Je me raidis et fais des efforts pour ne pas défaillir. Mais, devant l’intensité de son assaut, je cesse tout combat. Pressée maintenant de mettre fin à cette tension insupportable, j’écarte les cuisses au maximum et cambre les reins pour rentrer à fond dans sa bouche.
Elle voit mon regard chavirer et s’active de plus belle pour déclencher mon orgasme. Je pousse un cri libératoire et décharge mon sperme à gros bouillons dans sa gorge. Elle frémit d’excitation quand elle voit l’extrémité du gode tressauter au contact de mes contractions anales, et elle continue un moment à me fouiller le ventre pour prolonger mon plaisir.
Puis elle retire lentement de mon fourreau le gode trempé par l’orgasme qu’elle vient de m’offrir. Heureuse de m’avoir fait jouir avec une telle intensité, elle me donne un long et profond baiser auquel je réponds faiblement, encore tout étourdie de cette jouissance. Monique veut maintenant prendre son pied et s’enfonce un dong de cinq centimètres de diamètre.
Au moment opportun, elle s’allonge entre mes jambes pour m’enfoncer l’autre extrémité dans les fesses. Elle progresse lentement dans mon fourreau en s’aidant de la main. Lorsque je suis complètement embrochée, elle me donne de puissants coups de reins pour s’exciter la chatte et assouvir son désir de domination.
Quand je l’entends gémir, j’empoigne le dong pour le faire coulisser dans sa grotte. Peu de temps après, elle jouit par vagues successives et libère un flot de cyprine qui coule sur mon ventre. Étendue entre mes jambes, elle garde le dong en elle et continue à me pilonner l’anus en accomplissant l’exploit de me sucer la queue dans cette position.
Un moment plus tard, elle sort de mes fesses et arbore un sourire coquin.
De la langue, elle effleure mon frein pour amorcer ma pompe à sperme et faire perler les premières gouttes de liqueur sur mon gland.
Elle m’entend gémir et reste fascinée quand elle voit se répandre lentement ma semence en une coulée épaisse et régulière qui inonde ma guêpière.
Étourdie de plaisir, je continue à me vider longuement et laisse échapper un filet blanchâtre de plus en plus fin. Monique me caresse habilement les bourses et le périnée pour prolonger l’instant.
Après quelques instants de pause, elle m’implore du regard pour que j’apaise sa tension. Elle veut jouir vite. Pour cela, j’introduis mon pouce dans sa chatte et mon index dans ses fesses. Je frotte entre mes doigts la fine membrane interne qui sépare ses muqueuses. Elle apprécie ce massage et soupire de plaisir. Peu après, je me place entre ses cuissardes et pose sur son clito le vibromasseur qui déclenche rapidement son orgasme dans de nombreux spasmes.
A suivre…
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