Leslie HS11 - histoire érotique

Leslie HS11 – Hors-série – Une soirée avec Laura, la voisine de l’immeuble

Il y a un moment, alors que je venais d’emménager avec Laure il m’est arrivé une aventure dont je me souviens encore longtemps car pour une fois je me suis faite draguer, ça change la donne, croyez-moi !
C’était un samedi soir dans une toute petite boîte de nuit proche de chez nous, vraiment intimiste comme endroit, l’ambiance était toujours sympathique et les soirées agréables.
Laure étant dans sa famille j’en avais profité pour faire une sortie.

Donc ce samedi-là installée au bar du club, entre deux verres je remarque sur la piste de danse, trois femmes entre quarante et cinquante ans, dont une de mes voisines que je croise de temps en temps dans le hall de l’immeuble.
Cette voisine, Laura, est brune aux cheveux très courts, petite et très belle, elle entretient son corps en faisant de la gymnastique, car elle a souvent un sac de sport avec elle et m’en à parler un jour lors d’une de nos rencontres dans le hall de l’immeuble.
Je la regarde danser énergiquement, en remarquant que sa poitrine bouge beaucoup sous son haut noir et que son pantalon très serré moule agréablement ses petites fesses fermes. Je profite du moment pour observer aussi ses deux copines qui sont également très belles, bien conservées si je puis dire, l’une blonde et l’autre brune, toutes deux avec des cheveux longs mi dos, et habillées pareil, d’un chemisier et d’un pantalon.

En ramenant mes yeux sur Laura je m’aperçois qu’elle me regarde également. En souriant, elle me fait un signe de la main, parle à ses copines et toutes trois s’approchent de moi. Après lui avoir souri je viens un peu à leur rencontre et nous nous faisons la bise.
- Salut Leslie, me dit Laura, je ne t’avais pas vu. Tu vas bien ?
- Oui et toi, chère voisine, la forme ?
- Super ! On s’éclate bien ce soir. Tiens, je te présente Christine et Sylvie, des amies de la gym.
J’embrasse les deux dames en les saluant, et elles me proposent de se joindre à elles à leur table pour boire un verre. J’accepte avec plaisir et après une rapide présentation nous commençons à discuter un peu.
- Alors Laura, vous fêtez quelque chose avec tes amies ?
- Non, en fait nous étions au repas dansant de notre club de gym, mais on s’ennuyait comme pas possible, aucune ambiance ! Alors après le repas on a dansé un peu puis on a filé ici pour s’amuser entre copines et éventuellement rencontrer du monde.

Laura vit seule depuis de nombreuses années et a une réputation sulfureuse auprès des voisins de l’immeuble, car elle ne se cache pas lorsqu’elle ramène des hommes chez elle, et je peux dire que c’est souvent.
- Et vous avez rencontré du monde ce soir ?
- Non, juste toi, ma petite Leslie, mais ça fait plaisir de te rencontrer.
- Moi aussi, dis-je, seule je m’ennuyais alors je suis venue passée un moment ici.
Laura m’observe d’un air gourmand et me lance :
- Peut-être que tu voulais aussi faire une rencontre ? Me dit Laura.
Sylvie, qui écoutait notre conversation, intervient :
- Et tu en as fait une ?
- Non pas encore.
- Et nous trois, hormis que nous sommes trois femmes mûres en pleine forme, ce n’est pas une rencontre, à moins que tu nous trouve dangereuses…
Sur cette phrase toutes les trois éclatent de rire et m’observent avec de grands yeux, attendant ma réponse.
- Ai-je besoin de répondre ? Dis-je.
- Belle comme tu es ce nous ne te voulons que du bien ! Intervient Christine avec un sourire coquin.
Je reste interdite face à cette remarque, me demandant si ces dames n’ont pas abusé de l’alcool. Je ne sais pas quoi répondre en fait, désarmée que je suis, me demandant quelle attitude adopter. Laura vient à mon secours en me disant :
- Ne fais pas cette tête, elle rigole tu sais. Allez fais-moi danser plutôt, j’adore cette musique.

Sur ce, elle m’emmène sur la piste de danse et nous voilà partis dans un zouk endiablé, très collé serré. Laura, tout sourire, se penche pour me parler dans l’oreille à cause de la musique, en collant sa poitrine sur la mienne.
- N’en veux pas à Christine, elle est comme ça, elle provoque toujours et elle a un faible pour les jeunes femmes. Alors, belle comme tu es, elle est toute excitée… C’est la nature.
- Ah bon, je lui ferais cet effet sans la connaître ? Impressionnant !
Laura se colle un peu plus et je sens ses tétons érigés contre moi, ainsi que son bas-ventre qui se love contre moi. Brûlante, ma voisine ce soir !
- Oui, on est comme ça, les femmes mûres, comme on dit. On s’échauffe très vite, même quand on ne connaît pas ! Imagine un peu quand on connaît comment on devient…
- Quoi… ?
Je recule ma tête et observe Laura qui me fixe intensément avec un grand sourire carnassier.
- Leslie, ne fais pas l’enfant ! Tu m’as très bien comprise !
- Laura, j’ai peur de ne pas comprendre tout correctement.
- Ma grande, je vais être claire ! T’imaginer transpirante à moitié nue dans mes bras, sentir contre mon ventre la partie intime de toi qui me fait savoir que tu n’es pas qu’une simple jeune fille, ça ne peut que m’exciter, maintenant tu comprends mieux ?
Je suis abasourdie devant tant de franchise et le langage utilisé par Laura, alors je lui dit :
- Laura, maintenant tu sais qui je suis et je te demande de la discrétion
- Tu es très belle, me dit-elle, et je te veux pour moi toute seule !
Elle se colle encore plus contre moi et rajoute :
- Leslie, j’ai envie de toi !
Et pour appuyer sa phrase elle plaque sa main sur mon bas ventre, contre mon sexe en pleine érection, en rajoutant :
- Crois-moi ma belle, je suis brûlante et prête à tout !
- Mais Laura…
Laura sans se soucier continue de me caresser en dansant collée contre moi, elle plante son regard dans mes yeux, s’approche de mon oreille et me souffle :
- Mes copines vont essayer de te brancher aussi, tu sais, pensant que tu es une femme, elles sont bi comme moi, mais je vais être très salope, dit-elle.
Et elle emprisonne mon sexe plus fort dans sa main à travers mon pantalon de toile.

L’excitation est plus forte que tout, alors je m’avoue vaincue.
- Oui Laura, tes propos crus, ton joli corps lové contre moi et ton air coquin m’ont excitée et qui me tient la queue ?
Laura me sourit d’un air rassuré, heureuse elle m’embrasse à pleine bouche, me lâche le sexe et me dit :
- Viens, on va s’asseoir dans le coin là-bas. En passant je prends nos verres et préviens mes copines de chasser ailleurs, ce soir tu es à moi !
- D’accord, je te suis...
- Leslie, tu ne seras pas déçu du voyage, c’est promis.

C’est dans un état second, tremblant d’excitation et me demandant comment cela va finir que je me retrouve assis au bout de la boîte, dos à la piste de danse, avec en face de nous un mur et un miroir. Nous nous embrassons à perdre haleine quand tout d’un coup Laura me dit, en posant sa main sur la bosse de mon pantalon :
- Tu bandes encore petite cochonne ! Tu veux jouir là maintenant ?
- C’est risqué, non ? Si on nous attrape on va se faire virer.
- On s’en fout ! C’est excitant le risque d’être découvert, non ? Allez laisse-toi faire…
Et Laura se met à défaire les boutons de mon pantalon et glisse une main brûlante dans mon string… En me léchant l’oreille elle me souffle :
- Je vais bien branler ta queue pendant un moment puis tu vas jouir dans ma bouche et j’avalerais ta jouissance.
- Laura…
- Oui je suis une salope, vas-y j’adore l’entendre, ça m’excite encore plus !

Elle se met à me masturber comme jamais, son geste caché derrière ma chemise, quel pied de se faire branler en public ! Au bout d’un long moment d’un traitement exquis fait d’effleurements, de pressions, de va-et-vient lents ou énergiques, le plaisir se fait sentir, et je préviens Laura :
- Laura, je vais jouir dans un instant. Arrête s’il te plait, c’est fou.
- Non, tu vas jouir, et dans ma bouche !
Elle se penche et abaisse sa tête vers mon sexe qu’elle prend entier dans sa bouche au moment où je jouis pour recueillir mon sperme. J’explose par longues saccades en frissonnant, dans sa bouche douce et chaude. Ensuite Laura se redresse et remet ma tenue présentable, et avale ma jouissance avec des yeux brillants en me disant :
- J’adore !
Puis en me regardant droit dans les yeux, après s’être léché les lèvres elle me dit :
- Allez, on s’en va !
Nous nous dirigeons vers le vestiaire en rigolant sous les regards envieux de ses copines qui, apparemment, voudraient bien se joindre à nous et venir jouer avec nous.
La nuit promet d’être chaude…

A suivre…