Leslie LA 17 - histoire érotique

Leslie LA17 - Laure, le journal intime - Première en club libertin, suite et fin

Dans une salle plus vaste, aux vitres sans tain également, nous voyons des couples en pleine action, le spectacle est très hard et je reste sans bouger à regarder.
Cette salle est située juste à côté de la salle des voiles, d’où s’échappent les cris de jouissance d’une femme.
Alors que Pierre à passer sa queue dans un trou et se fait sucer par une bouche avenante, Luce est passée à l’intérieur et accroupie devant un autre trou suce un joli membre, c’est à cet instant que je sens une présence derrière moi et une voix qui me dit à l’oreille :
- Ton petit cul est trop mignon ! Si tu me permettais…
Pour toute réponse je cambre les reins, offrant mes fesses à l’inconnu derrière moi et je sens des mains ouvrir mes fesses tandis qu’un membre de belle taille me pénètre le cul.
Je pousse aussitôt un petit cri de surprise et de plaisir qui fait retourner les têtes vers moi, l’inconnu me pénètre ainsi pendant quelques minutes, se détache de moi pour m’abandonner me laissant le cul ouvert, frustrée et gémissante.
Mais cela est de courte durée, un autre membre vient prendre la place libre et me voilà à nouveau sodomisée sous les regards des personnes présentes.
Quatre hommes disposeront ainsi à tour de rôle de mon petit cul accueillant, et quand le dernier se retire,, j’ai le cul en feu et certainement bien ouvert, alors comme une chienne, je vais dans la salle et me mets à quatre pattes, les fesses bien en arrière vers les éventuels observateurs, mettant ma chatte et mon petit trou du cul ouvert à disposition des regards curieux, et j’entame une fellation au premier qui me présente son membre.

Puis avec Pierre et Luce, nous retournons au salon prendre une boisson et faire une pause avant de continuer nos ébats.
- Dis-moi, laure, dit Luce, tu as l’air de bien profiter de ta soirée ?
- Elle doit avoir son petit cul bien ouvert, dit Pierre, elle en a pris plein le cul notre petite vicieuse.
- Alors t’aime ? Redemande Luce.
- Je ne déteste pas, surtout quand il y a de la spontanéité, j’adore, je vais devenir accroc.

Alors que Luce se fait embarquer par un mâle super monté, avec Pierre nous retournons dans la salle aux voilages. Pierre me fait l’honneur et le bonheur d’un cunnilingus devant les gens qui passent et écartent les voiles pour mieux voir.
Un couple nous regarde, puis s’installe juste à côté de nous. Pendant que Madame s’agenouille par terre devant la banquette et suce Monsieur, ce dernier me caresse tout doucement la main. Je frissonne autant par les caresse de Pierre que par le contact de la main de l’inconnu. Il est beau et son physique est bien proportionné, je me sens excitée.
Je jette un coup d’œil à Pierre qui comprend mon désir et laisse l’homme me caresser le corps avant de laisser la place libre et aller s’occuper de la femme.
Mais la femme ne le voit pas ainsi, elle se redresse et me fait signe de me rapprocher, elle a un corps magnifique, généreux sans trop, avec des courbes joliment dessinées, une peau certainement douce, des seins plus gros que les miens, pommelés, avec des petits tétons fragiles.
Je l’embrasse, c’est magique, elle a les lèvres d’une douceur incomparable, sa langue est à la fois timide et curieuse et je prends du plaisir à embrasser cette femme !
Puis je lui caresse un sein, et l’embrasse dans le cou, sur l’oreille, dans la gorge, sur le sein, titillant son téton de ma langue, sur le ventre, dans l’aine, puis j’arrive à son intimité, que j’explore doucement de ma langue en la faisant gémir.
Elle s’allonge sur le lit, les jambes pendantes au bord du lit, et m’invite à venir à cheval sur elle en soixante-neuf.
Aussitôt installée je me mets à lui lécher sa petite chatte avec délicatesse et elle de son côté se permet de me lécher l’entrejambe à son tour. Pendant ce temps, sous mes yeux Pierre lui caresse l’anus de ses doigts.
Mais je ne suis pas en reste quand son homme à son tour caresse le mien, j’adore cette caresse intime et osée, depuis ma découverte avec Pierre, elle me procure de plus en plus de plaisir.
L’homme regarde le spectacle de mon petit trou ouvert et continue la caresse de ses mains douces, s’égarant parfois un doigt plonge en moi, dans mon fondement.
Beaucoup de gens entrouvrent les rideaux de voiles pour profiter du tableau, voyant deux femmes se gouinant en soixante-neuf tandis que deux hommes s’occupent de leurs anus offert et disponible.
L’homme introduit deux doigts dans mon entrejambe pour constater que je suis prête à l’accueillir, et un instant plus tard son sexe me pénètre, me faisant crier de plaisir.
Pierre à son tour prend le cul de la dame, qui hurle elle aussi…

Quelques temps plus tard sentant mon orgasme approcher, je contracte mon muscle anal sur la verge qui me possède et l’homme jouit aussitôt, me remplissant le fondement de son jus, tandis que je gémis de bonheur et d’extase…
Je suis aussitôt allé me doucher, pour nettoyer les traces de cet accouplement et être fraiche pour un amant d’un soir, laissant Pierre et Luce à leurs ébats, ne prenant même pas le soin de les chercher du regard.
Arrivé aux douches, il y avait un homme seul, qui prenait une douche en se caressant le sexe, et là je suis restée sans voix, cet homme musclé, le corps certainement entretenu par des séances de culturisme, arborait un membre comme jamais j’en avais vu…
Je suis restée plantée là, à le regarder ne pouvant faire un geste.
C’est lui qui a parlé le premier en me disant :
- Si tu veux, je peux t’y faire gouter !
Je ne sais pas ce qui m’a prise, mis je me suis appuyée des mains sur le carrelage des douches, les reins cambrés, offerte et j’ai dit :
- Je veux bien essayer !

Je n’avais pas l’intention de me faire enculer par un tel engin, j’avais ma dose pour le moment, je voulais seulement sentir en moi un tel membre, qui était bien plus épais que celui d’Pierre.
L’homme s’est placé derrière moi et sentant certainement ma crainte il m’a rassuré en disant :
- T’inquiètes, je ne vais pas t’enculer, mais jolie comme tu es je vais te faire hurler de plaisir…
Avec douceur il m’a prise lentement, debout, comme ça, entrant son membre en moi et distendant les chairs intimes de mon sexe. Ahhh, le salaud, il me remplissait bien, je sentais toute les formes de son membre sur mes parois, divine sensation que je vivais là.
Il m’a limé pendant longtemps, prenant son temps et me faisant hurler, mes cris raisonnaient dans les douches sur les parois carrelées.
C’est dans cette position que m’ont trouvés Pierre et Luce, venant à leur tour prendre une douche avec leurs compagnons de plaisir, Luce me voyant ainsi prise eut le désir de me remplacer, mais pas de la même façon, elle désirait se faire enculer, comme ça pour voir…
- Mais avec un tel engin, il va te déchirer ma chérie, dit Pierre.
- Ne t’inquiète pas, si ça ne passe pas je lui dirais d’arrêter, répondis Luce.
Et se plaçant près de moi, dans la même position elle dit :
- Allez vient bel étalon, fait moi le cul !
Inutile de vous préciser que le mâle ne se le fit pas dire deux fois, me quittant il vint se placer derrière Luce et commença, après avoir positionné son gland sur la rosette de Luce, les genoux un peu pliés, à pousser dans son fondement, tout en la tenant par les hanches.
La réaction de Luce ne se fit pas attendre, car elle dit :
- Waouh, il est énorme !
Pierre profitant de l’occasion avait remplacé l’homme dans ma chatte et me bourrait comme un sauvage en regardant sa femme se faire défoncer le cul.

Luce les yeux exorbités et la bouche grande ouverte, d’où aucun son ne sortait, se laissait prendre le cul en grimaçant de douleur.
L’homme allait doucement, entrant lentement centimètre par centimètre son membre dans le cul de Luce, la vision était dantesque, Luce toujours à la recherche d’air, commençait à pousser des petits cris de bête blessée, mais restait toujours cambrée sous les assauts de son étalon.
- Ahhh, je meurs, dit Luce, je suis coupé en deux, je vais mourir de douleur, ohhh, continue c’est trop bon de se sentir ainsi investie.
L’homme dans un dernier et fatidique coup de reins lui enfila son membre entièrement.
Luce hurla à la mort en disant :
- Ohhh, oui, je suis une belle enculée, mais j’aime ça !

Pierre n’en revenait pas et se déchaina dans ma chatte et jouit en hurlant de plaisir et de détresse confondus, sa femme se faisait sauvagement enculée sous ses yeux et elle aimait ça.
Luce prit un pied terrible et s’écroula sur le carrelage des douches, où elle resta ainsi tétanisée pendant un instant, nous offrant sa rondelle grande ouverte aux rebords légèrement boursouflés.
Nous avons pris notre douche, calmement cette fois et avons regagner les vestiaires déserts, après s’être rhabillés, nous avons quittés l’endroit pour rentre chez mes patrons et compagnons de plaisir et je m’aperçus que cela faisait cinq heures que je vivais de plaisir et de jouissance.

Arrivés à la maison, après cette première expérience en club libertin, je suis excitée comme une puce, j’ai une folle envie d’Pierre, et il me fait l’amour longuement, avant de me sodomiser,.
Puis, harnachée du gode ceinture c’est à mon tour d’enculer Luce à deux reprises, sous les yeux de son homme.
Avant d’aller nous coucher, nous promettant de retourner au club le lendemain, Luce me dit :
- Il faudra qu’un jour nous fassions découvrir les joies de la pénétration anale à Pierre.
- Tu veux enculer ton homme ?
- Oui ça me plairait bien, pas toi ?
- C’est quand tu veux ma chérie, lui dis-je.
Cela fut fait peu de temps après, mais c’est une autre histoire…

Cette aventure a duré un peu deux ans, et je dois avouer que ce fut deux années de plaisir, j’avais mis pas mal d’argent de côté et je pouvais maintenant m’acheter tout ce que je désirais et assouvir toutes mes envies…

A suivre…