Leslie LA 21
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2013 dans la catégorie Plus on est
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Leslie LA 21
Leslie LA21 – Laure, le journal intime - Encore trop bon, suite et fin
Je me suis réveillée en sursaut, je me trouvais entièrement nue, les jambes largement écartées sur un lit complètement défait.
Lorsque la bonne est entrée, par un vieux réflexe instinctif, j’ai tout de suite caché mon sexe et mes seins avec mes mains mais ce qui m’a le plus surpris, c’est le contact de ma chatte entièrement épiée et si douce. Je me suis alors rappelé la soirée précédente, tandis que la bonne me disait :
- Voyons, ne soyez pas si chaste, j’en ai déjà vue d’autres !
Elle devait certainement parler de ma petite chatte et des autres pensionnaires m’ayant précédée, peut-être que parfois elle participait aux jeux érotiques du couple qui m’hébergeait. Elle était mignonne et tout à fait à mon goût, mais la venue de Claire m’a sortie de mes rêveries, car en rentrant Claire a dit :
- Allons Bérangère, laissez Mademoiselle tranquille, j’ai son apprentissage à faire et vous aurez certainement l’occasion de me venir en aide.
- Comme il plaira à Madame, dit la soubrette, je me tiens à sa disposition…
Dans la position où j’étais, les jambes ouvertes vers le miroir, je me suis vu avec ma petite chatte imberbe, le soleil était déjà haut dans le ciel et Claire me contemplait en souriant. Elle m’a dit seulement, une lueur de regret dans la voix :
- Laure, profitez du moment exercez-vous et faites-vous plaisir, je reviens dans un instant.
Je me suis retrouvée seule, regardant mon intimité, ma petite chatte entièrement nue et que déjà la petite soubrette avait reluqué, j’espérais que cette vision lui avait fait de l’effet, même si elle en avait vu d’autres, car pour Henri et Claire, c’était fait et il n’y avait aucun doute.
Claire est revenue, et elle m’a dit ;
- Tiens je t’apporte le matériel d’entrainement.
Elle s’est approchée de mon bas-ventre, a sorti un sachet de son sac et s’est arrêtée un moment, sa main m’a effleurée le pubis et elle m’a dit :
- Bon, je t’ai bien réussi et j’espère que tu ne le regrettes pas…
En toisant mon pubis glabre, elle a sorti quelques perles de différentes grosseurs du sachet.
- Ça, c’est pour ta musculation interne, tu commences par la plus grosse et tu finis par la toute petite. Avec de l’entraînement tu dois arriver à les maintenir en toi et même à les faire monter ou descendre et enfin à les expulser. Il y a aussi trois petits godemichets, c’est pour ton petit cul, pour qu’il soit, comment dire, plus souple et plus accueillant, près pour toutes éventualités. Allez, j’y vais, bonne gymnastique et si tu as besoin d’un conseil, tu sonnes, Bérangère viendra…
Elle s’apprêtait à partir quand elle a fait demi-tour.
- J’oubliais le principal ! Tu dois aussi entrainer le muscle de ta chatte.
- Ahhh, et comment ?
- Le muscle qui donne de la force au plaisir ! Celui qui te permet d’arrêter de faire pipi quand tu le veux, bien développé il te donnera plus de plaisir et aussi à ton partenaire quand il se sentira enserrer en toi, tu comprends ?
- Euh, oui je crois !
- Bon alors bon entrainement…
Et Claire est partie.
J’étais rêveuse et je suis restée là, perplexe en ne voyant pas le temps passé, je n’ai pas le temps d’enfiler une perle, ou d’essayer un petit godemichet, ou même de faire quelques exercices que Claire est revenue pour me demander de descendre manger et m’expliquer qu’elle avait prise de nouvelles dispositions à mon égard.
- Voilà, tu es motivée et tu plais beaucoup à Henri, il voudrait que tu sois parfaite pour ta vie et comme nous sommes très amis avec ta mère et que c’est les vacances, tu vas rester avec nous pendant les deux semaines à venir, j’ai téléphoné à ta mère et elle est d’accord. Ainsi tu vas pouvoir parfaire entièrement ton éducation et en partant tu seras vraiment parfaite…
- Mais, je…
- Ne t’inquiètes pas, Bérangère va t’aider, et puis je crois que tu vas aimer le programme que je t’ai réservé.
- En fait tout est prévu ?
- Oui, la première semaine le matin, douche, petit-déjeuner et ensuite exercices dans ta chambre, contrôles par Bérangère avant déjeuner. Puis, l’après-midi, massages et exercices et piscine avant de diner, puis nous passerons du temps ensemble avant de te coucher.
- Bon, et la deuxième semaine ?
- Tu auras plein de surprises au fur et à mesure de tes progrès mais je ne t’en dis pas plus.
Donc ma première semaine s’est passé suivant le rituel organisé par Claire.
Le matin après ma douche, Bérangère, venait me visiter et m’enfiler les perles en moi et bien-sûr m’enfilé un plug dans mon petit cul.
Puis nue, je descendais déjeuner en compagnie de Claire qui vérifiait avant tout que ses instructions avaient été suivi à la lettre, puis satisfaire nous déjeunions.
Dès le petit-déjeuner terminé, je remontais dans ma chambre et m’exerçais sur le lit à expulser les perles, puis les réinsérer en moi, les faire bouger puis à nouveau les expulser.
A dix heures, le drap était trempé et je faisais le travail sur mon muscle.
Le grand moment de bonheur arrivait à onze heures, par l’entrée de Bérangère dans ma chambre, vérifications par des touchés et des pénétrations de ses doigts en moi, m’emportant dans la jouissance.
Puis une petite séance de saphisme avec Bérangère, où elle m’apprenait à faire l’amour aux femmes avec la bouche et les doigts, j’avoue que si je prenais du plaisir, je n’étais pas la seule…
Puis le repas, toujours nue et plugée…
Retour dans ma chambre suivi de Claire, bain aux huiles, massages, nouveaux exercices de musculation intime sous le contrôle de Claire et longueurs dans la piscine avant une demi-heure de yoga.
Retour dans ma chambre pour changer les équipements et diner, nue aux chandelles.
Préparation pour la nuit avec applications par Bérangère d’huiles essentielles, qui en profite à chaque fois pour me doigter, puis le plug de la nuit dans mon cul, installé par Claire avant le baiser final et la bonne nuit, à demain.
Si bien qu’à la fin de la première semaine, mes séances portaient leurs fruits.
Mon anneau était souple, et accueillant comme disait Claire, j’éjaculais les perles presqu’aussi bien que Claire et pouvait retenir de pissé dix fois de suite sans problème et le jet, d’une de ces puissances, je n’en revenais pas moi-même.
Mais le plus intéressant, c’est quand Claire m’a enfilé trois doigt dans la chatte et qu’elle m’a demandé de contracter mon muscle, car à cet instant elle s’est écriée :
- Waouh, la vache, tu serres fort !
La deuxième semaine à démarrer comme la première, douche, petit-déjeuner après visite de Bérangère pour m’équiper, exercices, enfin tout comme avant…
Sauf qu’à onze heures, Bérangère est venue me rejoindre habillée en soubrette, soutien-gorge à balconnets seins nus, un collier autour du cou et un petit tablier blanc court, cachant à peine son cul nu et le gode ceinture équipant son bas ventre.
Me voyant étonnée de la retrouver ainsi harnachée, elle me dit :
- Cette semaine, nous allons parfaire votre éducation saphique, la première semaine était celle de la relation entre femmes, avec l’usage de sa bouche et de ses doigts vers le plaisir, cette semaine sera celle de l’apprentissage de l’usage des objets, comment les accepter et s’en servir…
Je dois dire que Bérangère était une experte dans l’utilisation des objets, non seulement elle m’a appris tout sur les différents gadgets du plaisir féminin, boules, vibrateurs, olisbos, plugs et tout autre sorte de godes, mais elle m’a appris à me servir d’un gode ceinture sur elle, après l’avoir utilisé sur moi, et dans tous mes orifices.
Le vendredi, elle m’a dit :
- Vous, Mademoiselle Laure, vous êtes une tuerie, le sexe vous aimez ça et je pense ne plus rien avoir à vous apprendre, Sapho serait fière de vous !
Le restant de la journée fut aussi pareil, sauf que le soir, avant Claire, j’ai eu la visite d’un mâle, différent chaque soir.
Le premier soir, j’ai vu entrer un homme, il était beau, musclé, le corps tout frais, il bandait déjà préparé certainement avant son entrée et comme convenu je me suis agenouillée devant lui et j’ai commencé à sucer son sexe tendu. Étonnante sensation de tenir un pénis presque inconnu dans sa bouche, comme tout m’étais permis, j’allais même jusqu’à lui caresser l’entrejambe ce qui avait l’air de lui plaire vu que du coup il a écarté un peu plus les cuisses.
L’exercice plaisait à cet homme, je sentais les pulsations de son pénis à chaque fois que ma langue le touchait, à chaque fois que je refermais ma bouche sur lui.
Il m’a relevé pour me jeter sur le lit jambes ouvertes, prête à l’accueillir. La place était chaude et en une seconde je l’ai senti me pénétrer.
Il s’est mis à me labourer avec force, mes griffes s’enfonçaient dans ses fesses, ses bourses battaient mon entrecuisse et mes seins allaient et venaient sur le même rythme.
Enfin j’ai clairement senti son pénis se gonfler encore et libérer sa substance dans des jets puissants. Il n’en fallait pas plus pour me faire éclater à mon tour et finir de le tremper de satisfaction.
Il est aussitôt parti et Claire la remplacer :
- Laure, vous vous êtes laissé aller trop vite, j’espère que vous allez vous reprendre dès demain.
Le lendemain soir, après la traditionnelle fellation de bienvenue, j’ai laissé ses doigts, puis sa bouche me montré combien les apprécient les endroits intimes d’une femme impudiques et surtout les lèvres de petite fille impubère.
Et c’est avec plaisir que j’ai senti le torse velu de mon deuxième inconnu se coucher sur ma poitrine, que j’ai senti ses poils pubiens chatouiller mon clitoris et son pénis trouver son chemin en moi.
J’ai pu à loisir savourer toutes les sensations que cette pénétration me procurait, ses pénétrations étaient puissantes et j’ai faits mes exercices de musculation, le serrant de plus en plus fort. Cela me procurait de nouveaux frissons, m’aidait à découvrir les espaces les plus doux, les plus sensibles de mon intérieur. Et cela était loin de le laisser insensible car à chaque fois que je le serrais, je lui arrachais un soupir, le soupir du mâle au bord de l’extase.
Il a jouit avec moi, sans même me caresser, alors bien-sûr Claire ensuite m’a dit :
- Tu peux leur demander.
Un autre m’a ramoné sauvagement en levrette, puis debout contre le mur, enfin je pense avoir été prise dans toutes les positions, mais jamais ils ne m’ont sodomisés, exercice réservé à Bérangère le matin.
Le dernier week-end fut passé en compagnie de Claire et d’Henri, comme une sorte d’au revoir… Non une apothéose…
Avec Claire, nous avons fait quelques séances de yoga, le vendredi soir, puis elle s’est appliquée à préparer mon corps en le faisant profiter d’un bain, de massages, de caresses et de toute l’attention que peut prodiguer un corps féminin à un corps féminin.
Elle m’a parfumée, je me sentais prête, mon sexe largement offert attendait, alors nous avons été rejoindre Henri.
Quand je me suis tenue devant lui, nue, je me sentais fière de moi et de ce que je montrais. Un frisson chaud m’a parcouru le corps, il fallait que je lui montre que j’étais prête à rendre mes amants et amantes heureux.
Henri a commencé à découvrir mon corps en parcourant toutes mes zones érogènes et s’appliquait à les réveiller. Je ne tenais plus en place, j’aurais voulu lui montrer tout de suite que je savais maintenant faire vibrer mon clitoris jusqu’à l’extase, que je n’avais plus honte d’ouvrir mes lèvres et d’y plonger les doigts et même d’aller caresser mon anus, mais non, sa promenade intime continua.
Claire m’installa sur une table de travail, les pieds dans des harnais, faisant de moi une proie offerte au prédateur, puis elle le déshabilla et présenta son sexe tendu face au mien. J’ai senti sa pénétration comme une délivrance, Claire de ses doigts me caressait, m’écartait et je me sentais bien.
Comme la première fois, il semblait chercher la caresse parfaite, le nerf vaginal le plus réceptif.
Après quelques va-et-vient, j’ai su que nous étions en harmonie et qu’il allait me donner du plaisir comme jamais, car lors d’un de ses passages, j’ai ressenti une sensation inconnue, mon sexe se resserrait sur son membre comme par reflexe, alors il m’a posséder ainsi longtemps, jusqu'à ce que la jouissance envahisse toutes les terminaisons nerveuses de mon corps, et j’ai explosé dans un orgasme immense.
Il m’a fallu un temps fou pour que je redescende sur terre et ma première vision fut Henri se retirant, le ventre et le sexe complètement trempés. Je n’en revenais pas. Machinalement ma main a été voir dans quel état se trouvait ma féminité. Je pouvais à peine me toucher tellement tout mon corps était devenu sensible.
Je me suis tournée vers Claire et elle m’a dit :
- Ejaculation féminine, mais ça t’es déjà arrivé.
Le week-end fut que du plaisir, Henri m’a possédé par tous les orifices trop heureux de mes nouvelles pratiques, Claire aussi m’a fait l’amour, un week-end de sexe, passé entre deux amoureux de la jouissance et de l’orgasme.
Avant de partir, Claire m’a félicité et m’a dit de donner le bonjour à ma mère, et là je me suis demandée si ma mère aussi n’avait pas appris les même techniques que Claire, en même temps qui sait.
Claire m’a souhaité plein de bonheur et m’a offert un bien étrange bijou.
Un brillant monté sur un support en métal d’une forme que je n’avais jamais vue, mais ressemblant à un plug.
- C’est un bijou anal, tu pourras ainsi offrir toute ta beauté à tes futurs partenaires.
J’ai tout de suite rangé mon cadeau à sa place, là où personne ne le verrait sauf si je le voulais et je suis monté m’habiller.
Le retour s’est passé sans problèmes.
Arrivée à la maison, ma mère a tout de suite vue que quelque chose en moi avait changé, mais elle ne m’a pas posé de question, elle savait tout simplement…
A suivre…
Je me suis réveillée en sursaut, je me trouvais entièrement nue, les jambes largement écartées sur un lit complètement défait.
Lorsque la bonne est entrée, par un vieux réflexe instinctif, j’ai tout de suite caché mon sexe et mes seins avec mes mains mais ce qui m’a le plus surpris, c’est le contact de ma chatte entièrement épiée et si douce. Je me suis alors rappelé la soirée précédente, tandis que la bonne me disait :
- Voyons, ne soyez pas si chaste, j’en ai déjà vue d’autres !
Elle devait certainement parler de ma petite chatte et des autres pensionnaires m’ayant précédée, peut-être que parfois elle participait aux jeux érotiques du couple qui m’hébergeait. Elle était mignonne et tout à fait à mon goût, mais la venue de Claire m’a sortie de mes rêveries, car en rentrant Claire a dit :
- Allons Bérangère, laissez Mademoiselle tranquille, j’ai son apprentissage à faire et vous aurez certainement l’occasion de me venir en aide.
- Comme il plaira à Madame, dit la soubrette, je me tiens à sa disposition…
Dans la position où j’étais, les jambes ouvertes vers le miroir, je me suis vu avec ma petite chatte imberbe, le soleil était déjà haut dans le ciel et Claire me contemplait en souriant. Elle m’a dit seulement, une lueur de regret dans la voix :
- Laure, profitez du moment exercez-vous et faites-vous plaisir, je reviens dans un instant.
Je me suis retrouvée seule, regardant mon intimité, ma petite chatte entièrement nue et que déjà la petite soubrette avait reluqué, j’espérais que cette vision lui avait fait de l’effet, même si elle en avait vu d’autres, car pour Henri et Claire, c’était fait et il n’y avait aucun doute.
Claire est revenue, et elle m’a dit ;
- Tiens je t’apporte le matériel d’entrainement.
Elle s’est approchée de mon bas-ventre, a sorti un sachet de son sac et s’est arrêtée un moment, sa main m’a effleurée le pubis et elle m’a dit :
- Bon, je t’ai bien réussi et j’espère que tu ne le regrettes pas…
En toisant mon pubis glabre, elle a sorti quelques perles de différentes grosseurs du sachet.
- Ça, c’est pour ta musculation interne, tu commences par la plus grosse et tu finis par la toute petite. Avec de l’entraînement tu dois arriver à les maintenir en toi et même à les faire monter ou descendre et enfin à les expulser. Il y a aussi trois petits godemichets, c’est pour ton petit cul, pour qu’il soit, comment dire, plus souple et plus accueillant, près pour toutes éventualités. Allez, j’y vais, bonne gymnastique et si tu as besoin d’un conseil, tu sonnes, Bérangère viendra…
Elle s’apprêtait à partir quand elle a fait demi-tour.
- J’oubliais le principal ! Tu dois aussi entrainer le muscle de ta chatte.
- Ahhh, et comment ?
- Le muscle qui donne de la force au plaisir ! Celui qui te permet d’arrêter de faire pipi quand tu le veux, bien développé il te donnera plus de plaisir et aussi à ton partenaire quand il se sentira enserrer en toi, tu comprends ?
- Euh, oui je crois !
- Bon alors bon entrainement…
Et Claire est partie.
J’étais rêveuse et je suis restée là, perplexe en ne voyant pas le temps passé, je n’ai pas le temps d’enfiler une perle, ou d’essayer un petit godemichet, ou même de faire quelques exercices que Claire est revenue pour me demander de descendre manger et m’expliquer qu’elle avait prise de nouvelles dispositions à mon égard.
- Voilà, tu es motivée et tu plais beaucoup à Henri, il voudrait que tu sois parfaite pour ta vie et comme nous sommes très amis avec ta mère et que c’est les vacances, tu vas rester avec nous pendant les deux semaines à venir, j’ai téléphoné à ta mère et elle est d’accord. Ainsi tu vas pouvoir parfaire entièrement ton éducation et en partant tu seras vraiment parfaite…
- Mais, je…
- Ne t’inquiètes pas, Bérangère va t’aider, et puis je crois que tu vas aimer le programme que je t’ai réservé.
- En fait tout est prévu ?
- Oui, la première semaine le matin, douche, petit-déjeuner et ensuite exercices dans ta chambre, contrôles par Bérangère avant déjeuner. Puis, l’après-midi, massages et exercices et piscine avant de diner, puis nous passerons du temps ensemble avant de te coucher.
- Bon, et la deuxième semaine ?
- Tu auras plein de surprises au fur et à mesure de tes progrès mais je ne t’en dis pas plus.
Donc ma première semaine s’est passé suivant le rituel organisé par Claire.
Le matin après ma douche, Bérangère, venait me visiter et m’enfiler les perles en moi et bien-sûr m’enfilé un plug dans mon petit cul.
Puis nue, je descendais déjeuner en compagnie de Claire qui vérifiait avant tout que ses instructions avaient été suivi à la lettre, puis satisfaire nous déjeunions.
Dès le petit-déjeuner terminé, je remontais dans ma chambre et m’exerçais sur le lit à expulser les perles, puis les réinsérer en moi, les faire bouger puis à nouveau les expulser.
A dix heures, le drap était trempé et je faisais le travail sur mon muscle.
Le grand moment de bonheur arrivait à onze heures, par l’entrée de Bérangère dans ma chambre, vérifications par des touchés et des pénétrations de ses doigts en moi, m’emportant dans la jouissance.
Puis une petite séance de saphisme avec Bérangère, où elle m’apprenait à faire l’amour aux femmes avec la bouche et les doigts, j’avoue que si je prenais du plaisir, je n’étais pas la seule…
Puis le repas, toujours nue et plugée…
Retour dans ma chambre suivi de Claire, bain aux huiles, massages, nouveaux exercices de musculation intime sous le contrôle de Claire et longueurs dans la piscine avant une demi-heure de yoga.
Retour dans ma chambre pour changer les équipements et diner, nue aux chandelles.
Préparation pour la nuit avec applications par Bérangère d’huiles essentielles, qui en profite à chaque fois pour me doigter, puis le plug de la nuit dans mon cul, installé par Claire avant le baiser final et la bonne nuit, à demain.
Si bien qu’à la fin de la première semaine, mes séances portaient leurs fruits.
Mon anneau était souple, et accueillant comme disait Claire, j’éjaculais les perles presqu’aussi bien que Claire et pouvait retenir de pissé dix fois de suite sans problème et le jet, d’une de ces puissances, je n’en revenais pas moi-même.
Mais le plus intéressant, c’est quand Claire m’a enfilé trois doigt dans la chatte et qu’elle m’a demandé de contracter mon muscle, car à cet instant elle s’est écriée :
- Waouh, la vache, tu serres fort !
La deuxième semaine à démarrer comme la première, douche, petit-déjeuner après visite de Bérangère pour m’équiper, exercices, enfin tout comme avant…
Sauf qu’à onze heures, Bérangère est venue me rejoindre habillée en soubrette, soutien-gorge à balconnets seins nus, un collier autour du cou et un petit tablier blanc court, cachant à peine son cul nu et le gode ceinture équipant son bas ventre.
Me voyant étonnée de la retrouver ainsi harnachée, elle me dit :
- Cette semaine, nous allons parfaire votre éducation saphique, la première semaine était celle de la relation entre femmes, avec l’usage de sa bouche et de ses doigts vers le plaisir, cette semaine sera celle de l’apprentissage de l’usage des objets, comment les accepter et s’en servir…
Je dois dire que Bérangère était une experte dans l’utilisation des objets, non seulement elle m’a appris tout sur les différents gadgets du plaisir féminin, boules, vibrateurs, olisbos, plugs et tout autre sorte de godes, mais elle m’a appris à me servir d’un gode ceinture sur elle, après l’avoir utilisé sur moi, et dans tous mes orifices.
Le vendredi, elle m’a dit :
- Vous, Mademoiselle Laure, vous êtes une tuerie, le sexe vous aimez ça et je pense ne plus rien avoir à vous apprendre, Sapho serait fière de vous !
Le restant de la journée fut aussi pareil, sauf que le soir, avant Claire, j’ai eu la visite d’un mâle, différent chaque soir.
Le premier soir, j’ai vu entrer un homme, il était beau, musclé, le corps tout frais, il bandait déjà préparé certainement avant son entrée et comme convenu je me suis agenouillée devant lui et j’ai commencé à sucer son sexe tendu. Étonnante sensation de tenir un pénis presque inconnu dans sa bouche, comme tout m’étais permis, j’allais même jusqu’à lui caresser l’entrejambe ce qui avait l’air de lui plaire vu que du coup il a écarté un peu plus les cuisses.
L’exercice plaisait à cet homme, je sentais les pulsations de son pénis à chaque fois que ma langue le touchait, à chaque fois que je refermais ma bouche sur lui.
Il m’a relevé pour me jeter sur le lit jambes ouvertes, prête à l’accueillir. La place était chaude et en une seconde je l’ai senti me pénétrer.
Il s’est mis à me labourer avec force, mes griffes s’enfonçaient dans ses fesses, ses bourses battaient mon entrecuisse et mes seins allaient et venaient sur le même rythme.
Enfin j’ai clairement senti son pénis se gonfler encore et libérer sa substance dans des jets puissants. Il n’en fallait pas plus pour me faire éclater à mon tour et finir de le tremper de satisfaction.
Il est aussitôt parti et Claire la remplacer :
- Laure, vous vous êtes laissé aller trop vite, j’espère que vous allez vous reprendre dès demain.
Le lendemain soir, après la traditionnelle fellation de bienvenue, j’ai laissé ses doigts, puis sa bouche me montré combien les apprécient les endroits intimes d’une femme impudiques et surtout les lèvres de petite fille impubère.
Et c’est avec plaisir que j’ai senti le torse velu de mon deuxième inconnu se coucher sur ma poitrine, que j’ai senti ses poils pubiens chatouiller mon clitoris et son pénis trouver son chemin en moi.
J’ai pu à loisir savourer toutes les sensations que cette pénétration me procurait, ses pénétrations étaient puissantes et j’ai faits mes exercices de musculation, le serrant de plus en plus fort. Cela me procurait de nouveaux frissons, m’aidait à découvrir les espaces les plus doux, les plus sensibles de mon intérieur. Et cela était loin de le laisser insensible car à chaque fois que je le serrais, je lui arrachais un soupir, le soupir du mâle au bord de l’extase.
Il a jouit avec moi, sans même me caresser, alors bien-sûr Claire ensuite m’a dit :
- Tu peux leur demander.
Un autre m’a ramoné sauvagement en levrette, puis debout contre le mur, enfin je pense avoir été prise dans toutes les positions, mais jamais ils ne m’ont sodomisés, exercice réservé à Bérangère le matin.
Le dernier week-end fut passé en compagnie de Claire et d’Henri, comme une sorte d’au revoir… Non une apothéose…
Avec Claire, nous avons fait quelques séances de yoga, le vendredi soir, puis elle s’est appliquée à préparer mon corps en le faisant profiter d’un bain, de massages, de caresses et de toute l’attention que peut prodiguer un corps féminin à un corps féminin.
Elle m’a parfumée, je me sentais prête, mon sexe largement offert attendait, alors nous avons été rejoindre Henri.
Quand je me suis tenue devant lui, nue, je me sentais fière de moi et de ce que je montrais. Un frisson chaud m’a parcouru le corps, il fallait que je lui montre que j’étais prête à rendre mes amants et amantes heureux.
Henri a commencé à découvrir mon corps en parcourant toutes mes zones érogènes et s’appliquait à les réveiller. Je ne tenais plus en place, j’aurais voulu lui montrer tout de suite que je savais maintenant faire vibrer mon clitoris jusqu’à l’extase, que je n’avais plus honte d’ouvrir mes lèvres et d’y plonger les doigts et même d’aller caresser mon anus, mais non, sa promenade intime continua.
Claire m’installa sur une table de travail, les pieds dans des harnais, faisant de moi une proie offerte au prédateur, puis elle le déshabilla et présenta son sexe tendu face au mien. J’ai senti sa pénétration comme une délivrance, Claire de ses doigts me caressait, m’écartait et je me sentais bien.
Comme la première fois, il semblait chercher la caresse parfaite, le nerf vaginal le plus réceptif.
Après quelques va-et-vient, j’ai su que nous étions en harmonie et qu’il allait me donner du plaisir comme jamais, car lors d’un de ses passages, j’ai ressenti une sensation inconnue, mon sexe se resserrait sur son membre comme par reflexe, alors il m’a posséder ainsi longtemps, jusqu'à ce que la jouissance envahisse toutes les terminaisons nerveuses de mon corps, et j’ai explosé dans un orgasme immense.
Il m’a fallu un temps fou pour que je redescende sur terre et ma première vision fut Henri se retirant, le ventre et le sexe complètement trempés. Je n’en revenais pas. Machinalement ma main a été voir dans quel état se trouvait ma féminité. Je pouvais à peine me toucher tellement tout mon corps était devenu sensible.
Je me suis tournée vers Claire et elle m’a dit :
- Ejaculation féminine, mais ça t’es déjà arrivé.
Le week-end fut que du plaisir, Henri m’a possédé par tous les orifices trop heureux de mes nouvelles pratiques, Claire aussi m’a fait l’amour, un week-end de sexe, passé entre deux amoureux de la jouissance et de l’orgasme.
Avant de partir, Claire m’a félicité et m’a dit de donner le bonjour à ma mère, et là je me suis demandée si ma mère aussi n’avait pas appris les même techniques que Claire, en même temps qui sait.
Claire m’a souhaité plein de bonheur et m’a offert un bien étrange bijou.
Un brillant monté sur un support en métal d’une forme que je n’avais jamais vue, mais ressemblant à un plug.
- C’est un bijou anal, tu pourras ainsi offrir toute ta beauté à tes futurs partenaires.
J’ai tout de suite rangé mon cadeau à sa place, là où personne ne le verrait sauf si je le voulais et je suis monté m’habiller.
Le retour s’est passé sans problèmes.
Arrivée à la maison, ma mère a tout de suite vue que quelque chose en moi avait changé, mais elle ne m’a pas posé de question, elle savait tout simplement…
A suivre…
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Les avis des lecteurs
Le rosebud (bijou anal) peut aussi être porté par les hommes. Permet d'atteindre des orgasmes répété en agissant sur la prostate.
Maman suit de près la formation de sa fille ... A Ceylan c'est ancestral : quand elles arrivent à la puberté on leur donne des accessoires pour se muscler le vagin ...