Leslie LA01 - histoire érotique

Leslie LA01 – Laure, le journal intime – Premiers pas

Introduction
A la suite de ma cinq-centième histoires et à la demande de Laure, je lui laisse carte
blanche pour vous raconter son journal intime, érotique certainement, j’espère que ses
récits vous passionnerons.
Bonne lecture à tous.
Leslie.

Présentation
Je m’appelle Laure, vous me connaissez maintenant depuis très longtemps au-travers des
récits de Leslie, avec qui je vis depuis quelques années.
Vous savez que nous vivons librement, mais que nous nous aimons d’un Amour
indescriptible, même les tempêtes que nous avons traversées, et que Leslie pour
certaines vous a raconté, ne nous ont pas séparées, même elles ont renforcées cette
Amour et cette complicité que nous partageons.

Je profite de ce que ma compagne me laisse « plume libre », comme elle dit, pour venir
vous conter quelques-uns de mes souvenirs, mais avant toute chose je vais vous faire
une description de moi telle que je me vois, me sens et veux me montrer.
Il se dit que je suis une superbe blonde aux cheveux mi-longs, mince de la même taille
que Leslie, je travaille au service relation clientèle dans une agence de publicité.
Je m’habille pour mon travail de façon extrêmement chic, je n’ai que des vêtements de
marques en faisant attention qu’ils mettent mes formes en valeur.
J’adore les regards d’envie sur moi et dès que je le peux, je porte des tenues
suggestives à la limite parfois de la décence ou de l’indécence, j’aime provoquer.
Ma poitrine est normale et mon corsage est toujours très ajusté, avec ou sans soutien-
gorge, j’aime mettre ma poitrine en valeur et ne déteste pas de la laisser légèrement
visible sous un corsage transparent.

J’ai besoin de voir les yeux des hommes et des femmes briller sur ma silhouette, étant
bisexuelle cela ne me dérange pas de finir entre les bras d’une femme ou d’un homme
suivant les occasions qui se présentent, parfois même à plusieurs.
Voir des yeux traîner sur mes décolletés et les imaginer, dans mon dos, regarder mes
petites fesses bouger dans mes pantalons moulants ça me fait de l’effet.
J’aime faire sentir qu’en moi il y a du sexe et surtout lorsque je suis avec ma belle
Leslie.
Au travers des récits de Leslie, vous avez certainement compris, que comme elle,
j’aime et j’ai besoin d’énormément de sexe.
Lorsque je ne fais pas l’amour, je dois me soulager avec mes doigts ou mes godes qui
me prennent ou sur lesquels je m’assois. Mon préféré, pour les déplacements, est celui
que j’emmène partout avec moi, un gode reproduisant un vrai sexe, ressemblant à celui
de Leslie, ainsi j’ai l’impression qu’elle est avec moi, il est de belles dimensions,
comme le sexe de Leslie, il me remplit ma chatte brûlante et frotte mon clitoris pour
me donner du plaisir.

Mes désirs peuvent venir à n’importe quel moment, parfois je me sens esclave d’eux et
de cette soif de sexe. Alors, quand je suis dans la vie quotidienne, parfois, je dois
m’isoler pour me calmer et retrouver un peu de sérénité.
Quand je suis au bureau, par exemple, après avoir fermé clé, je retourne à mon poste
et je me recule sur mon fauteuil, puis je pose les pieds encore chaussés de mes
escarpins aux talons aiguilles sur le bureau, je relève ma jupe serrée, je caresse mes
cuisses gainées de bas jusqu’à la limite de ma peau nue, c’est si sensuel pour
commencer et je me donne du plaisir en me caressant jusqu’à le jouissance.
J’aime me sentir bandante, j’aimerais qu’un homme, à cet instant, rentre dans mon
bureau et bande de voir le spectacle. Parfois j’ouvre mon chemisier pour libérer mes
seins et je prends les mamelons entre les deux doigts et commence à le triturer.
Rapidement je commence à avoir chaud car en plus j’imagine une belle queue à sucer
goulûment.

J’adore sucer un homme en le regardant comme une vicieuse, passer la langue sur son
gland comme un supplice et enfin l’avaler en salivant.
Ma chatte est mouillée et je sors mon gode de dépannage, un petit gode mais bien utile
dans ces instants-là, je préfèrerais une belle grosse queue mais le gode fait
l’affaire dans ces instants.
Je suce un peu mon gode, si un homme rentrait à ce moment-là, il ne regretterait pas
le spectacle, d’ailleurs parfois je ne ferme pas mon bureau espérant être surprise pas
Eric, un bel étalon de trente ans qui doit avoir un beau paquet dans son slip.
Je suce mon gode en me massant doucement le clito, et j’avoue que c’est très efficace,
et rapidement je vais le faire pénétrer de quelques centimètres dans ma chatte en
chaleur. J’écarte bien les jambes et je vais et je viens entre mes cuisses grandes
ouvertes. Je remonte encore ma jupe un peu plus, une main sur mes seins qui malaxe les
tétons et l’autre qui astique très vite ma chatte luisante d’envie de bite, j’écarte à
fond pour bien prendre tout le gode. Il branle bien l’intérieur de mon sexe et mes
doigts frottent mon bouton.
Lorsque le plaisir est trop intense alors que ma main malaxe fort mes seins et que je
vais m’abandonner au plaisir, je ferme les yeux et rêve que soudain un homme superbe
en costume élégant rentre dans mon bureau et s’avance vers moi et alors tout va très
vite …

« Je suis terriblement gênée et tentée de baisser ma jupe, fermer mon chemisier, mais
l’homme me dit :
- Ne soyez pas gênée, vous êtes si belle et excitante, vous avez raison de vous
donner du plaisir et vous m’en avez donné beaucoup.
- Mais cela fait longtemps que vous vous trouvez là ?
- Je suis là depuis le début et je pense que vous avez envie de remplacer votre
gode que vous faites entrer dans votre jolie chatte par une vrai queue bien dure.
- Mais…
- Allons, vos bas accrochés à de belles jarretelles noires, vos escarpins si
hauts si fins, votre culotte en dentelle et baissée sur vos chevilles, vous êtes une
belle salope.
- Je suis…
- Chut ne dites rien, vous aimez le sexe et vous me faites bander comme je n’ai
jamais bandé.
- Je ne savais pas que vous étiez là.
- Vous étiez si belle, vos seins, votre bouche… Nous allons finir cela doucement
ensemble. Votre sexe est brûlant et je pense qu’il va accueillir et aimer une vraie
queue pour le limer.
Il s’est rapproché et m’a massé les seins, je sentais son désir, je l’avais rendu fou,
il avait envie de vider en moi.
Il dégagea et me présenta sa queue superbe, que mon sexe réclamait d’accueillir.
Il m’a demandé de le sucer un peu, histoire de le rendre bien ferme, puis il m’a dit :
- Tu la veux ma grosse queue ?
- Oui, prends-moi, maintenant !
Il me retourna, me pencha sur le bureau écarta de ses deux mains mon petit cul et
rentra doucement, dans mon sexe brûlant, son sexe en moi.
- Tu es serrée et si chaude, ses deux mains sur mes seins écrasant mes bouts,
j’avais tout, une belle queue, grosse et dure, un homme qui accélérait au comble du
plaisir.
- Tu me baises si bien, dis-je, j’en avais envie.
- Alors dit moi tes phantasmes pendant que je te baise !
- J’aime que les hommes bandent pour moi, qu’ils s’astiquent la queue en pensant
à moi. J’aime me montrer et qu’ils aperçoivent un bas quand je sors de voiture, le
triangle de mon string quand je décroise les jambes en face d’eux ou qu’ils ne
retiennent plus leur érection en voyant un téton pointer sous la transparence de mon
chemisier. J’aime être celle que l’on rêve de baiser parce que l’on sait
intérieurement qu’elle est capable de tout, de surprendre et faire bander. Je peux
gouiner ta femme, comme la femme de chambre devant toi et partager ton érection avec
elle, je peux être une pute qui monte dans ta chambre pendant que tu regardes un film
porno avec du champagne. Je peux me préparer le petit trou tout en te regardant et
m’enduire de lubrifiant, y glisser un doigt en te demandant de m’enculer à fond, car
j’aime me prendre une belle queue dans le cul, surtout quand c’est un super beau mec
comme toi qui sait si bien baiser une femme. Me faire enculer par toi par ta grosse
queue serait un pur bonheur.
Mes propos décuplèrent ses pénétrations, il était au bord de la jouissance et moi je
n’allais pas tarder à jouir en criant.
- Ohhh, je vais tout gicler.
Il accéléra ses grands coups de lime, ce qui me fit jouir très fort et m’aspergea les
fesses de sa jouissance…
Et il a disparu. »

Je venais de rouvrir les yeux et j’avais jouit, simplement en pensant et en me
caressant.
Voilà un de mes aspects dont Leslie ne vous a jamais parlé, mais maintenant, il est
temps vous parler de moi et de vous livrer une partie de mon journal intime…
Espérons que cela vous plaira et que vous vous donnerez du plaisir en me lisant, cela
me ferait si plaisir…

A suivre…