Leslie LA09
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie LA09
Leslie LA09 - Laure, le journal intime - Encore trop bon
Au mois d’Août, après la colonie, je suis partie en vacances avec mes parents qui avaient loué avec mon oncle, une grande villa sur la côte basque à Biarritz.
Encore toute chaude de ma première expérience pendant le mois de juillet avec Kamal, je pensais profiter de ces vacances au bord de la mer et me reposer tranquillement.
Il n’en fut rien, car il y avait mon cousin, Olivier,
Mon cousin est grand, un mètre quatre-vingt-cinq et il est hyper beau. Il a vingt ans et il fait craquer toutes les filles !
J’avoue avoir fantasmé sur lui, lorsqu’il venait nous rejoindre en vacances, des rêves de jeune fille qui accompagnaient parfois mes plaisirs solitaires.
Nos parents avaient loué une grande villa dans le sud de la France près de Biarritz.
Un matin, en rentrant comme d’habitude précipitamment dans sa chambre, pour lui dire bonjour avant d’aller prendre mon petit-déjeuner, je l’ai surpris en train de se branler !
Je l’avais déjà vu tout nu au bord de la piscine durant les vacances précédentes, et j’avoue que depuis toujours sa queue ne me laissait pas indifférente, mais bon, c’était mon cousin et j’étais si jeune, mais là je voyais carrément sa main qui allait et venait sur son sexe !
Je ne bougeais plus et ne pouvais pas détacher mon regard de son sexe, je me tenais dans l’embrasure de la porte, et ça me faisait des trucs dans le ventre.
Je savais qu’il était bien équipé, par comparaison aux autres sexes vus sur les plages, mais alors comme ça je n’aurais jamais imaginé ! Kamal mon premier petit copain était lui aussi bien pourvu, mais pas comme Olivier, il pourrait sans problème tourner dans un film de cul !
Me voyant immobile à l’entrée de sa chambre, il me dit :
- Entre, et ferme la porte !
Mais je m’enfuie après avoir fermé la porte de sa chambre, le laissant à son plaisir solitaire…
Je suis allé dans ma chambre. J’étais toute chose de l’avoir surprise en train de se masturber. Je me remis vite dans mon lit et mes doigts se dirigèrent aussitôt vers mon intimité. Mon désir de me caresser était trop fort. J’étais toute mouillée, mon clito était tout dur et incroyablement gros, comme gonflé. Je repensais à ce que j’avais vu ! Je ne fus pas longue à venir…
Ce fût si fort que mes draps étaient tous trempés.
L’évidence, c’est que pendant toute la matinée je n’ai plus pensé qu’à ça, mon cousin la bite à la main !
Lors du repas du midi, mes sens se sont réveillés lorsqu’Olivier me demanda :
- Aie, cousine, ça te dirais d’aller faire un tour à la plage ?
- Euhh…
- Nous pourrions aller à celle qui est naturiste, ça te tente ?
- Non, je suis fatiguée, je préfère restée ici faire une sieste et me reposer.
Se penchant vers moi et parlant doucement afin de ne pas être entendu des parents, il me dit :
- Une sieste crapuleuse ça te dirait ?
- Euhh…
- T’inquiètes pas, j’irais te retrouver, dès que les parents seront partis…
Les parents devant aller visiter le pays basque pendant trois jours de randonnée et nous laisser seuls à la maison.
Je suis montée dans ma chambre à la fin du repas et vers deux heures de l’après-midi, les parents étant partis, nous étions seuls, Olivier et moi, à la maison…
Deux minutes plus tard, Olivier est venu me rejoindre dans ma chambre, j’étais allongée sur mon lit et il s’est assis à côte de moi, je me suis sentie aussitôt mal à l’aise, prise de bouffée de chaleur en repensant à son membre, j’avais le feu aux joues, il le remarqua et me dit :
- Ça ne va pas jolie cousine ?
- Euhh, si. Lui répondis-je.
- C’est de m’avoir surpris ce matin qui te met dans tous ces états ? Hein !
- Euhh, je ne sais pas…
Il se rapprocha de moi et en me prit de ses mains les épaules et plantant ses yeux dans les miens, il me dit :
- Toi tu as des désirs, hein ?
- Euhh, je…
Il ne me laissa pas le temps de terminer et déposa ses lèvres sur les miennes, appréciant la chaleur de sa bouche, j’ai aussitôt sentis sa langue forcer mes lèvres, pas longtemps car j’ai entrouvert mes lèvres et sa langue a rencontré la mienne.
Il m’embrassait hyper bien, il était doux et j’étais aux anges.
Nous nous sommes embrassés de plus en plus passionnément, comme si nous attendions cela depuis longtemps, je sentais son désir et ses mains commencèrent à caresser mon corps. Je sentais ses mains sur mes hanches, puis dans mon dos, et mes reins, puis sur mes fesses.
Lorsque ce fut le tour de mes seins il avait mis mon corps en ébullition, attisant mes désirs, les pointes de mes seins étaient toutes dures, si tendues, qu’elles me faisaient presque mal.
Il me répétait qu’il avait envie de moi depuis longtemps, mais qu’il n’avait jamais osé et qu’il ne savait pas si c’était bien ce qu’on était en train de faire, entre cousin et cousine.
Je me sentais bien dans ses bras, ses caresses me mettaient le feu aux corps et j’ai eu peur qu’il s’en tienne là, alors j’enlevais doucement mon top, découvrant ma poitrine qui était libre sous le top moulant, mes seins étaient vraiment gonflés à blocs.
Il se mit aussitôt à caresser doucement ma poitrine qui réagit tout de suite, passant ses mains sur mes pointes nues.
J’étais très excitée et le regardais faire, mes seins entre ses mains, les malaxant avec tendresse et en serrant les tétons érigés.
- Tu as des seins magnifiques ! Me susurra-t-il.
- Ohhh, c’est bon… Lui dis-je.
Je me laissais faire, trop heureuse de ses caresses, sa bouche saisit entre ses lèvres mes pointes toutes dures, il les suça longuement, passant d’un sein à l’autre. Je croyais défaillir à chaque succion, alors tandis que je gémissais de plaisir, ma main s’est posée sur la bosse de son jeans.
Je ressentais de doux picotement dans mon bas ventre, comme si mes tétons étaient reliés à mon clitoris, je jouissais de ses douceurs. Pendant que je le caressais au travers de l’étoffe…
- Tu es chaude comme la braise, dit-il
- Ohhh ! C’est trop bon…
Alors qu’il continuait cette douce torture, l’une de ses mains cherchait à se glisser entre mes cuisses, mais sa main fut bloquée par l’étroitesse de ma jupe, il l’a ressorti, puis chercha la fermeture pour me la retirer.
Très vite, je décidais alors d’être plus active, je retirais ma jupe, sans qu’il quitte mes seins de sa bouche.
J’étais haletante et je venais de lui montrer mon acceptation pour la suite. Ses mains parcoururent alors mes jambes, puis l’une d’elles, remonta jusqu’à mon string, caressant mon sexe par-dessus le tissu, qui était véritablement trempé. J’écartais mes cuisses au maximum. Je me tortillais sous ces caresses.
- Oh ! Laure, qu’est-ce que tu mouilles ! C’est dingue ! T’es toute trempée !
- Je sais ! Je le sens… je suis trop excitée ! C’est la première fois que je ressens ça aussi fort !
Déjà il trouvait mes points sensibles, je voulais qu’il me branle ! Puis il roula mon string sur mes jambes avant de me l’enlever, et ses doigts se mirent à caresser mes grandes lèvres, et doucement ses doigts entraient en moi, parcouraient mon sillon tout humide jusqu’à mon clitoris qui lui avait gonflé sous le désir.
Il me caressait bien, mon sexe semblait envahi par un chaud liquide qui s’écoulait sur ses doigts et sa main. Je ne pus contenir mon premier orgasme.
Il était encore habillé et je me mis alors a le déshabillé, pour découvrir son torse imberbe, musclé, et bronzé. Je le parcourais de ma bouche, allant de ses tétons à son ventre, remontant dans le cou, palpant de ma main la bosse de son pantalon qui me faisait rêver.
Je décidais alors de lui retirer son jeans et son sexe m’apparut…
Bien que je l’aie déjà vue, elle était encore plus belle que celle de Kamal, plus grosse, vraiment énorme, droite, dure et épaisse.
- T’es vraiment une sacrée petite cochonne ! me dit-t-il en souriant…
- T’as vraiment une belle queue !
- Les filles ne s’en plaignant pas…
A suivre…
Au mois d’Août, après la colonie, je suis partie en vacances avec mes parents qui avaient loué avec mon oncle, une grande villa sur la côte basque à Biarritz.
Encore toute chaude de ma première expérience pendant le mois de juillet avec Kamal, je pensais profiter de ces vacances au bord de la mer et me reposer tranquillement.
Il n’en fut rien, car il y avait mon cousin, Olivier,
Mon cousin est grand, un mètre quatre-vingt-cinq et il est hyper beau. Il a vingt ans et il fait craquer toutes les filles !
J’avoue avoir fantasmé sur lui, lorsqu’il venait nous rejoindre en vacances, des rêves de jeune fille qui accompagnaient parfois mes plaisirs solitaires.
Nos parents avaient loué une grande villa dans le sud de la France près de Biarritz.
Un matin, en rentrant comme d’habitude précipitamment dans sa chambre, pour lui dire bonjour avant d’aller prendre mon petit-déjeuner, je l’ai surpris en train de se branler !
Je l’avais déjà vu tout nu au bord de la piscine durant les vacances précédentes, et j’avoue que depuis toujours sa queue ne me laissait pas indifférente, mais bon, c’était mon cousin et j’étais si jeune, mais là je voyais carrément sa main qui allait et venait sur son sexe !
Je ne bougeais plus et ne pouvais pas détacher mon regard de son sexe, je me tenais dans l’embrasure de la porte, et ça me faisait des trucs dans le ventre.
Je savais qu’il était bien équipé, par comparaison aux autres sexes vus sur les plages, mais alors comme ça je n’aurais jamais imaginé ! Kamal mon premier petit copain était lui aussi bien pourvu, mais pas comme Olivier, il pourrait sans problème tourner dans un film de cul !
Me voyant immobile à l’entrée de sa chambre, il me dit :
- Entre, et ferme la porte !
Mais je m’enfuie après avoir fermé la porte de sa chambre, le laissant à son plaisir solitaire…
Je suis allé dans ma chambre. J’étais toute chose de l’avoir surprise en train de se masturber. Je me remis vite dans mon lit et mes doigts se dirigèrent aussitôt vers mon intimité. Mon désir de me caresser était trop fort. J’étais toute mouillée, mon clito était tout dur et incroyablement gros, comme gonflé. Je repensais à ce que j’avais vu ! Je ne fus pas longue à venir…
Ce fût si fort que mes draps étaient tous trempés.
L’évidence, c’est que pendant toute la matinée je n’ai plus pensé qu’à ça, mon cousin la bite à la main !
Lors du repas du midi, mes sens se sont réveillés lorsqu’Olivier me demanda :
- Aie, cousine, ça te dirais d’aller faire un tour à la plage ?
- Euhh…
- Nous pourrions aller à celle qui est naturiste, ça te tente ?
- Non, je suis fatiguée, je préfère restée ici faire une sieste et me reposer.
Se penchant vers moi et parlant doucement afin de ne pas être entendu des parents, il me dit :
- Une sieste crapuleuse ça te dirait ?
- Euhh…
- T’inquiètes pas, j’irais te retrouver, dès que les parents seront partis…
Les parents devant aller visiter le pays basque pendant trois jours de randonnée et nous laisser seuls à la maison.
Je suis montée dans ma chambre à la fin du repas et vers deux heures de l’après-midi, les parents étant partis, nous étions seuls, Olivier et moi, à la maison…
Deux minutes plus tard, Olivier est venu me rejoindre dans ma chambre, j’étais allongée sur mon lit et il s’est assis à côte de moi, je me suis sentie aussitôt mal à l’aise, prise de bouffée de chaleur en repensant à son membre, j’avais le feu aux joues, il le remarqua et me dit :
- Ça ne va pas jolie cousine ?
- Euhh, si. Lui répondis-je.
- C’est de m’avoir surpris ce matin qui te met dans tous ces états ? Hein !
- Euhh, je ne sais pas…
Il se rapprocha de moi et en me prit de ses mains les épaules et plantant ses yeux dans les miens, il me dit :
- Toi tu as des désirs, hein ?
- Euhh, je…
Il ne me laissa pas le temps de terminer et déposa ses lèvres sur les miennes, appréciant la chaleur de sa bouche, j’ai aussitôt sentis sa langue forcer mes lèvres, pas longtemps car j’ai entrouvert mes lèvres et sa langue a rencontré la mienne.
Il m’embrassait hyper bien, il était doux et j’étais aux anges.
Nous nous sommes embrassés de plus en plus passionnément, comme si nous attendions cela depuis longtemps, je sentais son désir et ses mains commencèrent à caresser mon corps. Je sentais ses mains sur mes hanches, puis dans mon dos, et mes reins, puis sur mes fesses.
Lorsque ce fut le tour de mes seins il avait mis mon corps en ébullition, attisant mes désirs, les pointes de mes seins étaient toutes dures, si tendues, qu’elles me faisaient presque mal.
Il me répétait qu’il avait envie de moi depuis longtemps, mais qu’il n’avait jamais osé et qu’il ne savait pas si c’était bien ce qu’on était en train de faire, entre cousin et cousine.
Je me sentais bien dans ses bras, ses caresses me mettaient le feu aux corps et j’ai eu peur qu’il s’en tienne là, alors j’enlevais doucement mon top, découvrant ma poitrine qui était libre sous le top moulant, mes seins étaient vraiment gonflés à blocs.
Il se mit aussitôt à caresser doucement ma poitrine qui réagit tout de suite, passant ses mains sur mes pointes nues.
J’étais très excitée et le regardais faire, mes seins entre ses mains, les malaxant avec tendresse et en serrant les tétons érigés.
- Tu as des seins magnifiques ! Me susurra-t-il.
- Ohhh, c’est bon… Lui dis-je.
Je me laissais faire, trop heureuse de ses caresses, sa bouche saisit entre ses lèvres mes pointes toutes dures, il les suça longuement, passant d’un sein à l’autre. Je croyais défaillir à chaque succion, alors tandis que je gémissais de plaisir, ma main s’est posée sur la bosse de son jeans.
Je ressentais de doux picotement dans mon bas ventre, comme si mes tétons étaient reliés à mon clitoris, je jouissais de ses douceurs. Pendant que je le caressais au travers de l’étoffe…
- Tu es chaude comme la braise, dit-il
- Ohhh ! C’est trop bon…
Alors qu’il continuait cette douce torture, l’une de ses mains cherchait à se glisser entre mes cuisses, mais sa main fut bloquée par l’étroitesse de ma jupe, il l’a ressorti, puis chercha la fermeture pour me la retirer.
Très vite, je décidais alors d’être plus active, je retirais ma jupe, sans qu’il quitte mes seins de sa bouche.
J’étais haletante et je venais de lui montrer mon acceptation pour la suite. Ses mains parcoururent alors mes jambes, puis l’une d’elles, remonta jusqu’à mon string, caressant mon sexe par-dessus le tissu, qui était véritablement trempé. J’écartais mes cuisses au maximum. Je me tortillais sous ces caresses.
- Oh ! Laure, qu’est-ce que tu mouilles ! C’est dingue ! T’es toute trempée !
- Je sais ! Je le sens… je suis trop excitée ! C’est la première fois que je ressens ça aussi fort !
Déjà il trouvait mes points sensibles, je voulais qu’il me branle ! Puis il roula mon string sur mes jambes avant de me l’enlever, et ses doigts se mirent à caresser mes grandes lèvres, et doucement ses doigts entraient en moi, parcouraient mon sillon tout humide jusqu’à mon clitoris qui lui avait gonflé sous le désir.
Il me caressait bien, mon sexe semblait envahi par un chaud liquide qui s’écoulait sur ses doigts et sa main. Je ne pus contenir mon premier orgasme.
Il était encore habillé et je me mis alors a le déshabillé, pour découvrir son torse imberbe, musclé, et bronzé. Je le parcourais de ma bouche, allant de ses tétons à son ventre, remontant dans le cou, palpant de ma main la bosse de son pantalon qui me faisait rêver.
Je décidais alors de lui retirer son jeans et son sexe m’apparut…
Bien que je l’aie déjà vue, elle était encore plus belle que celle de Kamal, plus grosse, vraiment énorme, droite, dure et épaisse.
- T’es vraiment une sacrée petite cochonne ! me dit-t-il en souriant…
- T’as vraiment une belle queue !
- Les filles ne s’en plaignant pas…
A suivre…
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