Leslie LA23
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie LA23
Leslie LA23 – Laure, le journal intime - Il était question de réviser, suite et fin
Maintenant, elle reprend son souffle, calme les élancements de sa poitrine, de son ventre. Tranquillement elle revient dans la réalité. Elle sort de sa torpeur et découvre Laure, les traits tirés et contractés, raidie sur son fauteuil, les mains aux jointures blanchies par la violente contraction qu’elle leur inflige, les yeux un peu extasiés et encore remplis de la scène terminale qu’elle vient de contempler.
Alors qu’elle reprend le contrôle d’elle-même, Hélène tranquillement lâche son sein, extrait son doigt de son fondement, referme les cuisses, et rabat les pans de son déshabillé. Puis tranquillement elle remet de l’ordre dans sa tenue et me regarde avec un désir non feint…
C’est à cet instant que le téléphone portable d’Hélène sonne, après une brève conversation et après avoir raccroché, sur un ton naturel, juste peut-être encore un peu haletant, elle me dit :
- Michel s’excuse et me prévient qu’il ne rentrera pas ce soir et comme mon mari est en déplacement, vouez-vous prendre une tasse de thé et rester avec nous diner ?
Je reste sans voix, je suis encore dans un état second et j’hésite un instant. Devant mon silence et mon non refus, Hélène comprend que je suis d’accord, alors elle plonge sa main entre les coussins de son sofa, récupère un petit boîtier minuscule dont elle actionne le bouton.
Presque instantanément, la porte de la chambre s’ouvre pour laisser apparaître la jolie soubrette, qui dit :
- Madame a sonné ! Madame a besoin de quelque chose ?
- Oui, Annette, servez-nous le thé et préparez-vous, nous allons avoir besoin de vos services.
- Tout de suite, madame, à votre service.
Et elle disparait…
En attendant le retour de la soubrette et que le thé ne soit servi, je me sens prise au piège et n’ose bouger, c’est Hélène qui rompt le silence en disant :
- Je vois que tu n’es pas trop choquée, ma petite Laure, et que peut-être tu te demandes ce qui va maintenant t’arriver, mais sois patiente, le fait de rester prouve bien que tu es une petite vicieuse…
Je n’ai pas le temps de répliquer, la soubrette apparait avec un plateau qu’elle pose sur la table basse et sur lequel, hormis le thé, se trouve un gode. Mais le plus incroyable est la tenue de la soubrette, Annette…
Elle s’est changée et apparait juchée sur des chaussures à talon aiguilles et est habillée d’un corset serre taille laissant ses seins libres et nus, mais lui faisant une taille de guêpe tellement le vêtement est ajusté, un porte-jarretelles maintenant des bas résilles à coutures complètent la panoplie, et son bas-ventre est harnaché d’un gode ceinture noir des plus réaliste.
Après avoir déposé le plateau sur la table basse, Annette se redresse et s’adressant à Hélène, elle dit :
- J’attends les ordres de Madame !
- Servez ma belle, ensuite je vous dirais ce que j’attends de vous !
- Comme il plait à Madame, dit Annette.
Je commence à réaliser qu’Annette est bien plus que la bonne d’Annette, elle doit être son amante et ces deux femmes doivent être des lesbiennes et s’adonner aux plaisirs saphiques.
Cette pensée me fait réaliser que je vais certainement être entre ces deux gouines vicieuses le centre d’intérêt des instants à venir, un frisson me parcoure le corps, mais j’entends Hélène dire :
- Allons, petite vicieuse qui ne rêve que de se donner du plaisir, il faut patienter et nous allons bien nous occuper de toi !
Elle s’est donc rendu compte de l’état dans lequel elle m’a mis, cette femme est sans limites et je frissonne en pensant à ce qui m’attend, mais ai-je refusé ?
Alors comme pour me rassurer, Hélène rajoute :
- Dès que nous aurons pris le thé nous passerons à des choses plus sérieuses, n’est-ce pas Hélène ?
- Comme Madame le désire, ne suis-je pas à son service !
Voilà, maintenant c’est clair, je vais passer à la casserole…
Et sans se soucier de nous, Annette commence son service, non sans laisser le gode bouger au gré de ses gestes et laissant sa poitrine vivre librement lors de son service, puis la jeune bonne après avoir accompli son service avec une lenteur exaspérante, vient se placer derrière moi après avoir dit :
- Madame est servie !
- Vous ne prenez pas le thé avec nous, demande Hélène à sa soubrette.
- Comme il plaira à Madame, répond la docile jeune fille.
- Alors installée vous près de Laure, j’ai remarqué que vous la regardiez depuis tout à l’heure avec des yeux d’envie…
Et voilà la vieille qui tend la perche à la soubrette, peut-être désire-t-elle une petite exhibition saphique entre deux jeunes filles.
Je n’en peux plus, pour me donner un peu d’assurance dans une telle situation, d’une main un peu tremblante, et douloureuse des fortes crispations que je lui ai fait subir, je prends ma tasse de thé et commence à boire le liquide chaud et parfumé.
Lorsque je repose ma tasse, Annette en a terminé elle aussi avec son thé, assise près de moi dans l’autre bergère elle est indécente les seins nus et de gode dressé entre ses cuisses, la voix d’Hélène me sort subitement de ma contemplation.
- Vous ne pouvez pas rester ainsi, Laure ! S’exclame Hélène. Annette présentez l’objet à Mademoiselle Laure et sachez être douce avec notre invité !
- Bien sûr, Madame ! S’empresse de répondre la petite bonne.
Elle se redresse et se met debout devant moi, me présentant le pal à mes yeux, juste à la hauteur de ma bouche.
- Allons Laure, dit Hélène, laissez-vous aller, vous en avez si envie et puis, j’en ai vu d’autres, hein Annette, ce n’est pas la première fois que nous avons une jeune fille à la maison…
Et voilà, je sentais le piège, mais j’ai trop de désirs pour reculer, alors que j’entrouvre les lèvres pour gober le gode et me mettre à le sucer, ma main passe rapidement sous ma courte jupe pour caresser le haut des cuisses à la limite de mon intimité.
- Aidez Laure à enlever sa culotte, dit Hélène, elle sera plus à l’aise pour faire ses attouchements intimes !
Sitôt dit et sitôt fait, et je me retrouve cul nu en train de sucer le gode alors que ma main commence à caresser mon pubis, soigneusement entretenu, épilé avec soin, mais où en ce moment je ne laisse qu’une bande de poils ras, taillée avec précision pour mettre en relief mon abricot et mes lèvres.
D’un geste rapide, le bout de mes doigts s’enfonce légèrement dans le pulpeux de ma vulve, au passage, mes doigts accrochent le bourrelet qui sert de capuchon à mon clitoris et encore sous le coup de l’excitation de tout à l’heure, ce simple effleurement fait qu’il se redresse et me fait soupirer, la bouche entravée du gode qu’Hélène qu’elle m’enfonce dans la gorge avec une douceur infinie.
Maintenant, jambes largement écartées, j’entame une savante mais délicieuse masturbation, sous les yeux d’Hélène qui n’en perd pas une miette, tout en dégustant son thé.
Au moyen de deux doigts, je me branle le clitoris, pendant que tout en suçant le gode, de son autre main, j’empoigne les fesses d’Annette, puis lui enfonce un doigt dens son petit trou§
- Ohhh, s’exclame Annette.
- Vous aurait-elle fourré un doigt dans le cul ? Demande Hélène.
- Oui Madame, elle l’a fait§
- La petite vicieuse, elle est pire que toutes les autres.
En quelques secondes, Hélène et près de moi, la tête entre mes cuisses et commence par me sucer la chatte, puis le clitoris, elle sait y faire et me transporte rapidement vers d’autres horizons.
- Mais c’est qu’elle mouille, notre petite cochonne, dit Hélène.
- Madame désire-elle que je l’encule, demande la vicieuse soubrette.
- Non, Annette, encule moi d’abord pendant que je lui gode la chatte et que je la prépare…
Hélène s’empare du gode sur le plateau, pendant qu’Annette se place derrière sa patronne et c’est au moment où Hélène se redresse en hurlant de plaisir, les yeux révulsés, que je comprends qu’Annette vient de lui pénétrer l’anus.
Peu de temps après, Hélène sodomisée par Annette qui hurle de plaisir, je jouis sous l’effet conjugué de sa langue sur son clitoris et du gode dans ma chatte et je ne peux retenir mes premiers cris de plaisir.
Hélène continue, accélérant les pénétrations et quand elle sent mon sexe palpiter et libérer ma jouissance, elle ralentit, pour recommencer de plus belle.
Complètement dans mon délire de jouissance je ne peux me retenir de dire :
- Putain que c’est bon de se faire goder par une vicieuse comme vous et jouir ainsi…
Alors, presque à la limite de la tétanie, je souffle et ahane, me mord la joue pour ne pas hurler de plaisir, le corps secoué de soubresauts de jouissance.
Maintenant le moindre mouvement d’Hélène est une torture, je ne suis plus que jouissance au grand ravissement de ma vicieuse amante.
Mais ce n’est encore rien comparé à la jouissance anale que m’a offerte Annette en me sodomisant avec un grand savoir.
Plus tard, après une douche prise en compagnie d’Annette, celle-ci m’a dit :
- Pourriez-vous me sodomiser, je n’ai pas souvent cette occasion et Madame me refuse ce plaisir.
Annette à prit un pied énorme, apparemment elle devait être très anale.
Nous avons dinées à moitié nues, puis nous nous somme à nouveau retrouvé dans la chambre d’Hélène, la nuit émaillée de nos cris de jouissance fut courte, le lendemain je suis partie, après avoir pris congé d mes deux amantes.
Avant de partir, Hélène m’a dit :
- Je garde ta culotte en souvenir, c’est la tradition !
Dehors, la fraicheur du matin me surprend et un souffle d’air balaie mes mollets et remonte sur mes cuisses et vient lécher son minou, nu, sans protection, me rappelant que sous ma jupe je suis nue
Alors d’un pas encore un peu hésitant, je m’éloigne de cette maison et de cette femme si originale qui a profiter de mon corps durant toute la nuit, aidée par sa vicieuse soubrette. Je souris à cette pensée, à ces souvenirs et me dit que les hommes que je croise sur mon chemin sont certainement loin de savoir que je suis nue et accessible !
Mais il était seulement question de réviser…
A suivre…
Maintenant, elle reprend son souffle, calme les élancements de sa poitrine, de son ventre. Tranquillement elle revient dans la réalité. Elle sort de sa torpeur et découvre Laure, les traits tirés et contractés, raidie sur son fauteuil, les mains aux jointures blanchies par la violente contraction qu’elle leur inflige, les yeux un peu extasiés et encore remplis de la scène terminale qu’elle vient de contempler.
Alors qu’elle reprend le contrôle d’elle-même, Hélène tranquillement lâche son sein, extrait son doigt de son fondement, referme les cuisses, et rabat les pans de son déshabillé. Puis tranquillement elle remet de l’ordre dans sa tenue et me regarde avec un désir non feint…
C’est à cet instant que le téléphone portable d’Hélène sonne, après une brève conversation et après avoir raccroché, sur un ton naturel, juste peut-être encore un peu haletant, elle me dit :
- Michel s’excuse et me prévient qu’il ne rentrera pas ce soir et comme mon mari est en déplacement, vouez-vous prendre une tasse de thé et rester avec nous diner ?
Je reste sans voix, je suis encore dans un état second et j’hésite un instant. Devant mon silence et mon non refus, Hélène comprend que je suis d’accord, alors elle plonge sa main entre les coussins de son sofa, récupère un petit boîtier minuscule dont elle actionne le bouton.
Presque instantanément, la porte de la chambre s’ouvre pour laisser apparaître la jolie soubrette, qui dit :
- Madame a sonné ! Madame a besoin de quelque chose ?
- Oui, Annette, servez-nous le thé et préparez-vous, nous allons avoir besoin de vos services.
- Tout de suite, madame, à votre service.
Et elle disparait…
En attendant le retour de la soubrette et que le thé ne soit servi, je me sens prise au piège et n’ose bouger, c’est Hélène qui rompt le silence en disant :
- Je vois que tu n’es pas trop choquée, ma petite Laure, et que peut-être tu te demandes ce qui va maintenant t’arriver, mais sois patiente, le fait de rester prouve bien que tu es une petite vicieuse…
Je n’ai pas le temps de répliquer, la soubrette apparait avec un plateau qu’elle pose sur la table basse et sur lequel, hormis le thé, se trouve un gode. Mais le plus incroyable est la tenue de la soubrette, Annette…
Elle s’est changée et apparait juchée sur des chaussures à talon aiguilles et est habillée d’un corset serre taille laissant ses seins libres et nus, mais lui faisant une taille de guêpe tellement le vêtement est ajusté, un porte-jarretelles maintenant des bas résilles à coutures complètent la panoplie, et son bas-ventre est harnaché d’un gode ceinture noir des plus réaliste.
Après avoir déposé le plateau sur la table basse, Annette se redresse et s’adressant à Hélène, elle dit :
- J’attends les ordres de Madame !
- Servez ma belle, ensuite je vous dirais ce que j’attends de vous !
- Comme il plait à Madame, dit Annette.
Je commence à réaliser qu’Annette est bien plus que la bonne d’Annette, elle doit être son amante et ces deux femmes doivent être des lesbiennes et s’adonner aux plaisirs saphiques.
Cette pensée me fait réaliser que je vais certainement être entre ces deux gouines vicieuses le centre d’intérêt des instants à venir, un frisson me parcoure le corps, mais j’entends Hélène dire :
- Allons, petite vicieuse qui ne rêve que de se donner du plaisir, il faut patienter et nous allons bien nous occuper de toi !
Elle s’est donc rendu compte de l’état dans lequel elle m’a mis, cette femme est sans limites et je frissonne en pensant à ce qui m’attend, mais ai-je refusé ?
Alors comme pour me rassurer, Hélène rajoute :
- Dès que nous aurons pris le thé nous passerons à des choses plus sérieuses, n’est-ce pas Hélène ?
- Comme Madame le désire, ne suis-je pas à son service !
Voilà, maintenant c’est clair, je vais passer à la casserole…
Et sans se soucier de nous, Annette commence son service, non sans laisser le gode bouger au gré de ses gestes et laissant sa poitrine vivre librement lors de son service, puis la jeune bonne après avoir accompli son service avec une lenteur exaspérante, vient se placer derrière moi après avoir dit :
- Madame est servie !
- Vous ne prenez pas le thé avec nous, demande Hélène à sa soubrette.
- Comme il plaira à Madame, répond la docile jeune fille.
- Alors installée vous près de Laure, j’ai remarqué que vous la regardiez depuis tout à l’heure avec des yeux d’envie…
Et voilà la vieille qui tend la perche à la soubrette, peut-être désire-t-elle une petite exhibition saphique entre deux jeunes filles.
Je n’en peux plus, pour me donner un peu d’assurance dans une telle situation, d’une main un peu tremblante, et douloureuse des fortes crispations que je lui ai fait subir, je prends ma tasse de thé et commence à boire le liquide chaud et parfumé.
Lorsque je repose ma tasse, Annette en a terminé elle aussi avec son thé, assise près de moi dans l’autre bergère elle est indécente les seins nus et de gode dressé entre ses cuisses, la voix d’Hélène me sort subitement de ma contemplation.
- Vous ne pouvez pas rester ainsi, Laure ! S’exclame Hélène. Annette présentez l’objet à Mademoiselle Laure et sachez être douce avec notre invité !
- Bien sûr, Madame ! S’empresse de répondre la petite bonne.
Elle se redresse et se met debout devant moi, me présentant le pal à mes yeux, juste à la hauteur de ma bouche.
- Allons Laure, dit Hélène, laissez-vous aller, vous en avez si envie et puis, j’en ai vu d’autres, hein Annette, ce n’est pas la première fois que nous avons une jeune fille à la maison…
Et voilà, je sentais le piège, mais j’ai trop de désirs pour reculer, alors que j’entrouvre les lèvres pour gober le gode et me mettre à le sucer, ma main passe rapidement sous ma courte jupe pour caresser le haut des cuisses à la limite de mon intimité.
- Aidez Laure à enlever sa culotte, dit Hélène, elle sera plus à l’aise pour faire ses attouchements intimes !
Sitôt dit et sitôt fait, et je me retrouve cul nu en train de sucer le gode alors que ma main commence à caresser mon pubis, soigneusement entretenu, épilé avec soin, mais où en ce moment je ne laisse qu’une bande de poils ras, taillée avec précision pour mettre en relief mon abricot et mes lèvres.
D’un geste rapide, le bout de mes doigts s’enfonce légèrement dans le pulpeux de ma vulve, au passage, mes doigts accrochent le bourrelet qui sert de capuchon à mon clitoris et encore sous le coup de l’excitation de tout à l’heure, ce simple effleurement fait qu’il se redresse et me fait soupirer, la bouche entravée du gode qu’Hélène qu’elle m’enfonce dans la gorge avec une douceur infinie.
Maintenant, jambes largement écartées, j’entame une savante mais délicieuse masturbation, sous les yeux d’Hélène qui n’en perd pas une miette, tout en dégustant son thé.
Au moyen de deux doigts, je me branle le clitoris, pendant que tout en suçant le gode, de son autre main, j’empoigne les fesses d’Annette, puis lui enfonce un doigt dens son petit trou§
- Ohhh, s’exclame Annette.
- Vous aurait-elle fourré un doigt dans le cul ? Demande Hélène.
- Oui Madame, elle l’a fait§
- La petite vicieuse, elle est pire que toutes les autres.
En quelques secondes, Hélène et près de moi, la tête entre mes cuisses et commence par me sucer la chatte, puis le clitoris, elle sait y faire et me transporte rapidement vers d’autres horizons.
- Mais c’est qu’elle mouille, notre petite cochonne, dit Hélène.
- Madame désire-elle que je l’encule, demande la vicieuse soubrette.
- Non, Annette, encule moi d’abord pendant que je lui gode la chatte et que je la prépare…
Hélène s’empare du gode sur le plateau, pendant qu’Annette se place derrière sa patronne et c’est au moment où Hélène se redresse en hurlant de plaisir, les yeux révulsés, que je comprends qu’Annette vient de lui pénétrer l’anus.
Peu de temps après, Hélène sodomisée par Annette qui hurle de plaisir, je jouis sous l’effet conjugué de sa langue sur son clitoris et du gode dans ma chatte et je ne peux retenir mes premiers cris de plaisir.
Hélène continue, accélérant les pénétrations et quand elle sent mon sexe palpiter et libérer ma jouissance, elle ralentit, pour recommencer de plus belle.
Complètement dans mon délire de jouissance je ne peux me retenir de dire :
- Putain que c’est bon de se faire goder par une vicieuse comme vous et jouir ainsi…
Alors, presque à la limite de la tétanie, je souffle et ahane, me mord la joue pour ne pas hurler de plaisir, le corps secoué de soubresauts de jouissance.
Maintenant le moindre mouvement d’Hélène est une torture, je ne suis plus que jouissance au grand ravissement de ma vicieuse amante.
Mais ce n’est encore rien comparé à la jouissance anale que m’a offerte Annette en me sodomisant avec un grand savoir.
Plus tard, après une douche prise en compagnie d’Annette, celle-ci m’a dit :
- Pourriez-vous me sodomiser, je n’ai pas souvent cette occasion et Madame me refuse ce plaisir.
Annette à prit un pied énorme, apparemment elle devait être très anale.
Nous avons dinées à moitié nues, puis nous nous somme à nouveau retrouvé dans la chambre d’Hélène, la nuit émaillée de nos cris de jouissance fut courte, le lendemain je suis partie, après avoir pris congé d mes deux amantes.
Avant de partir, Hélène m’a dit :
- Je garde ta culotte en souvenir, c’est la tradition !
Dehors, la fraicheur du matin me surprend et un souffle d’air balaie mes mollets et remonte sur mes cuisses et vient lécher son minou, nu, sans protection, me rappelant que sous ma jupe je suis nue
Alors d’un pas encore un peu hésitant, je m’éloigne de cette maison et de cette femme si originale qui a profiter de mon corps durant toute la nuit, aidée par sa vicieuse soubrette. Je souris à cette pensée, à ces souvenirs et me dit que les hommes que je croise sur mon chemin sont certainement loin de savoir que je suis nue et accessible !
Mais il était seulement question de réviser…
A suivre…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Remarque de style pour l'auteur : Très bon quand Laure dit : "Putain que c'est bon de se faire goder par une vicieuse comme vous et de jouir ainsi" elle passe une étape initiatique et de soumise devient égale à Hélène
De mieux en mieux Laure, continue !