Leslie LA24 - histoire érotique

Leslie LA24 – Laure, le journal intime – Lucie, ma colocataire

Bien avant de vivre avec Leslie, je vivais seule dans ce grand appartement qui appartient à mon oncle Michel, il est très grand et mon oncle m’avait autorisé à faire de la location pour me faire un peu d’argent.
Donc j’avais un locataire et une locataire, en fait deux colocataires.
Julien, qui faisait des études à la Sorbonne et avait été très intéressé par la proximité de l’appartement et de son lieu d’études et qu’en plus ce soit une fille qui soit avec lui dans les lieux, compte tenu que c’était un homosexuel affirmé de vingt-trois ans.
Et Lucie, une amie de lycée en retard sur sa scolarité, puisqu’elle était âgée de vingt-trois ans et qui faisait des études de droit.

Notre vie en commun dans l’appartement était fort sympathique, et tout se passait avec une bonne ambiance, juste organisé comme il le faut sans trop de contraintes.
Cuisine commune, soirées délires ensemble quand cela était possible, horaires préétablis pour ce qui est des communs et obligation de prévenir en cas d’absence, afin de ne pas être attendu. Pour les réceptions, discrétion maximale et pas d’enracinement intempestif d’une relation sexuelle.
Nous faisions souvent la fête, avec les amis de chacun, des soirées parfois mémorables.
Et même un soir, alors que Lucie devait rentrée tard, Julien ayant ramené un nouvel amant, laissa la porte de sa chambre entrouverte, prémédité ou pas ?
Je fus quelques instants plus tard, troublée par les gémissements venant de la chambre de Julien, alors discrètement je me suis rendue à la porte pour jeter un coup d’œil…
J’ai vu les ébats entre deux jeunes hommes, et je dois avouer que c’est diablement excitant de voir un homme bien membré, Julien entre autre, s’insérer dans le cul d’un autre, pas mal membré aussi d’ailleurs, et le prendre sauvagement. J’ai aussi pu constater que leurs fellations étaient différentes et plus efficaces que celles des femmes et des miennes.
Mais j’avoue avoir pensé que si Julien n’avait pas été homosexuel, je l’aurais volontiers convié dans ma chambre, quoique si jamais…

Lucie est brune, assez grande et très fine, avec un corps parfaitement sculpté par de nombreuses heures de gymnastique et de piscine, et elle est autant jolie que mignonne. Elle se sentait libre dans sa vie et était d’une nature joyeuse et spontanée et elle avait une sexualité débridée et imaginative.
Je ne compte plus les nuits où elle est rentrée accompagnée et les gémissements venant de sa chambre, peu de temps après.
Lors de nos soirées entre filles, lorsque Julien était de sortie, Lucie me faisait des confidences, essayant peut-être d’en savoir plus sur ma vie sexuelle. Mais je restais discrète et ne lui ai jamais parlé de mes aventures passées, ni même de mes expériences en club échangistes.
Par contre elle, me parlait souvent de ses expériences sexuelles et je savais de sa propre bouche qu’elle avait déjà eue des relations avec plusieurs garçons avec qui elle a couché et aussi avec des hommes plus âgés qu’elle, avec des commentaires sur la taille de leur sexe et sur leurs performances.
Et qu’elle avait aussi eue des relations avec plusieurs hommes en même temps, style gang-bang, mais elle n’avait que moyennement apprécié.
Mais elle ne m’a mais jamais de ses relations avec des femmes ou des filles, Je n’avais pensé qu’elle était attirée par les filles et même qu’elle avait déjà couché avec, je ne la voyais pas bisexuelle, du fait qu’en plus, elle ne m’en avait jamais parlé, qu’elle n’avait jamais tenté de me draguer, jusqu’à ce fameux soir…

Ce dimanche en fin d’après-midi, Julien en week-end et Lucie sortie, je croyais être seule à l’appartement, et flânais dans ma chambre, je venais de faire une longue sieste en tee-shirt long, nue dessous, et n’ayant pas envie de me faire à manger, j’allais m’habiller pour sortir, juste aller manger un morceau dans mon petit restaurant Thaï préféré mais, je me rendis compte que Lucie m’avait emprunté mon haut préféré.
Comme il y avait de grandes chances pour que celui-ci soit dans sa chambre, je suis allée le récupérer, sans frapper à la porte…
Alors que je venais d’ouvrir la porte, je me suis figée net, incapable de bouger ni de détourner le regard de ce que je voyais.
Sur le lit était allongée sur le dos une fille noire, nue, avec de gros seins et une toison fournie, les mains attachées au sommet du lit par une ceinture de peignoir, un sex-toys enfoui dans son intimité.
Et au-dessus de son visage, Lucie, ma colocataire, nue également, en train de se faire lécher jusqu’à l’orgasme. Lucie était en train de saisir la tête de sa partenaire avec ses mains pour ramener la langue de celle-ci au plus profond de son sexe alors qu’elle lâchait un puissant cri de jouissance.

Troublée et honteuse d’avoir rompue l’intimité de Lucie, le feu aux joues, j’ai refermé discrètement la porte rapidement et je suis retournée dans ma chambre. J’ai ouvert la fenêtre pour prendre l’air, car j’en avais besoin en repensant à ce que je venais de voir et le cri de jouissance de Lucie qui continuait à résonner dans mes oreilles.
Je ne l’avais jamais entendue jouir aussi fort, alors qu’elle était dans la chambre à côté de la mienne, car je peux vous dire que je l’ai déjà entendue jouir, que ce soit avec des garçons ou avec des sex-toys, peut-être aussi avec des femmes, mais je pensais qu’elle n’en avait jamais ramené.
Mes pensées ont été interrompues par quelques coups à ma porte et j’ai machinalement répondu :
- Oui.
Et ma porte s’est ouverte, laissant apparaître Lucie habillée d’un peignoir blanc, les cheveux en vrac et encore humides de sueur, résultat de l’orgasme qu’elle venait d’avoir, et elle s’est adressée à moi, avec un ton un peu inquiet :
- Ça va, Laure ?
- Je… Désolée d’avoir ouvert la porte ta chambre de sans frapper, répondis-je.
- Non, c’est de ma faute, j’aurais dû la verrouiller, mais je pensais que tu étais sortie.
- Je dormais.
- Ah, cela explique pourquoi tu n’as pas répondu quand je suis arrivée avec Alyssa.
- Elle est toujours là ?
- Non, elle est repartie. Mais ne t’inquiète pas, elle ne sait pas que tu nous as vues, elle était… occupée, me dit Lucie, avec un petit sourire.
Lucie s’est approchée de moi et m’a serrée dans ses bras pour me réconforter. Je dois avouer que cela m’a fait du bien et je me suis laissé aller dans ses bras, elle avait chaud et sentait encore le sexe.

Deux minutes après, alors que je suis encore dans ses bras, je sens sa bouche près de mon oreille et je l’entends me demander :
- Tu as aimé ?
- Quoi ?
- Tu as aimé me voir jouir grâce à Alyssa ?
- Je…
Je n’ai rien pu répondre, stupéfaite, Lucie a mis sa main sur mon pubis et a passé ses doigts sur mon intimité et me montrant ses doigts, elle m’a dit :
- Je vois que oui, ma puce, regarde, tu es toute mouillée.
Bien sûr que je sais que je suis trempée et qu’elle a raison, ses doigts sont humides et ma chatte est en feu.
Je relève la tête pour donner une réponse à Lucie, mais rien ne sort de ma bouche car Lucie vient de prendre le visage dans ses mains et en me faisant un grand sourire, elle dépose ses lèvres sur les miennes et commence à m’embrasser.

Bien sûr, je me laisse embrasser, et Lucie fait ça bien, sa bouche est douce et chaude, et alors que sa langue force l’entrée de ma bouche, des frissons parcourent mon corps et je suis prise dans l’acte et je me surprends à lui rendre son baiser.
Une de ses mains est derrière ma tête et m’empêche de me retirer, bien que ce ne soit pas mon intention, tandis que l’autre est en train de caresser mes fesses nues.
Le contact est électrique, même si j’ai déjà été dans les bras d’autres femmes, là j’avoue être dans tous mes états, et je sens ses lèvres s’éloigner et me regardant dans les yeux elle me dit :
- Tu veux que je continue ?
- Ohhh oui !
Je la vois alors arborer un grand sourire et dans le même temps elle m’ôte mon tee-shirt et je me retrouve nue en face d’elle, Lucie m’embrasse de nouveau et ses mains se posent sur mes seins et se mettent à les masser. Puis sa bouche se pose sur la pointe de mes seins, et je la sens m’aspirer les tétons avec, alors je rejette ma tête en arrière et je gémis :
- Oui, continue…

A suivre…