Leslie LA45
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie LA45
Leslie LA45 - Laure, le journal intime - Envie de vieux, suite
Mais je n’ai pas le temps de penser plus longtemps, il sort sa queue de ma chatte et présente le gland à l’entrée de mon petit trou.
- Tu me parais bien étroite, me dit-il, ça va être trop bon !
- Mais ce n’est que parce que je n’ai pas trop l’habitude, par cet endroit, dis-je candidement.
Même si ce n’est pas l’exactitude des faits, ce genre de révélation a le don de mettre toujours les hommes dans un état pas possible, ils se sentent privilégiés et ça décuplent leur ardeur.
Il commence à pousser, mais le gland ne passe pas mon muscle, je me sens écartelée et j’ai mal.
- Non, non vous êtes trop gros, j’ai mal, jamais ça ne rentrera…
- Détends-toi, vous dites toutes la même chose et après vous en redemandez !
- Mais je suis vraiment trop étroite !
- Il faut un début à tout, dit-il.
Et il donne un bon coup de rein et je sens son gland passé la barrière de mon anneau.
- Waouh, la vache, c’est gros !
- Oui, mais tu vois je suis dedans.
- Ouais, mais vous n’avez passé que le gland.
- Mais c’est toujours le plus difficile, après ce n’est que du bonheur.
Et lentement il entre dans mon cul et je me sens vraiment étroite, que di bonheur, mon cul, ça fait mal, et je gueule en grimaçant les yeux exorbités.
- Arrêtez, j’ai trop mal, vous ne rentrerez jamais.
- Attend un peu petite salope, je vais te l’ouvrir ton petit cul !
Alors, il ressort et crache encore sur mon petit trou et me reprend, le gland passe à nouveau et je sens son membre qui finit par rentrer en douceur en moi, frottant contre les chairs de mon conduit et l’élargissant de façon démesuré.
J’ai peur qu’il me déchire, mais j’ai trop envie qu’il m’encule, maintenant, dans l’état où je me trouve, cet homme pourrait me faire faire n’importe avec moi.
Il me bourre, me défonce le cul pendant un long moment, j’hurle de douleur et de plaisir mélangés. On ne m’a jamais baisée comme ça, ça me rend dingue, il me remplit le cul complètement, tous mes anciens amants ne m’ont pas rempli le cul de la sorte.
Je jouis, il m’embrasse, puis se retire en disant :
- Mets-toi à genoux petite salope.
J’ai compris, il veut jouir dans ma bouche, alors je le prends, le pompe, le pompe encore. Je sens ses saccades brûlantes me remplir la bouche, alors qu’il gémit en disant :
- Avale tout, petite salope.
Du sperme épais coule dans ma gorge, beaucoup, il n’a pas du baiser depuis longtemps, puis me dit d’aller dans sa chambre et de l’attendre dans son lit.
- La journée est encore longue !
Je l’entends téléphoner, puis il revient et me regarde allongée sur le lit. Il observe ma peau lisse et mate en faisant danser les glaçons dans son verre de whisky.
Les volets sont clos mais la lumière âpre de l’été s’insinue par le moindre interstice. De minces rayons caressent les courbes de mon corps.
Il me regarde et se délecte de ma nudité, de mon indécence et d’ailleurs aussi de son pouvoir sur moi, ne vient-il pas de m’enculer, acte suprême de don de son corps pour une femme à son amant.
Il pense en me contemplant ; « Elle est belle, elle a quoi, vingt ans, peut-être vingt et un, tout au plus. Une jeunette aussi ferme et jolie dans son lit, un vrai cadeau du ciel, et en plus prête à tout… »
Je ferme les yeux et laisse mes sens me guider...
« Ses yeux caressent son ventre, le bas de son ventre, il regarde mon minou de jeune fille glabre et ma bouche, dans laquelle il vient de jouir, une jouissance épaisse, ça doit faire longtemps qu’il n’a pas possédé une petite salope comme moi et je suis certaine qu’il compte bien en profiter encore. Il me regarde, là sur le lit allongé nue et indécente les cuisses écartées, prête aux nouveaux assauts de son membre.
Il voit les perles de sueur entre mes seins et mon attente impassible qui fait gonfler et redresser sa queue, que va-t-il faire, je le sens s’approcher et je rouvre les yeux. »
Il est près du lit et vient s’allonger près de moi, je me tourne de son côté et il trempe un doigt dans son whisky et le passe ensuite sur ma bouche fine. J’entrouvre les lèvres, darde ma langue sur son index.
- Ouvre la bouche, murmure-t-il.
Je le prends comme s’il s’agissait d’une petite queue.
- Lèches. Lèches bien.
Je m’applique et il bande à nouveau, très fort. Puis, sans quitter son doigt de ma bouche, je retourne et lui présente mon dos. Il se rapproche de moi et colle sa bite sur le haut de mes fesses. Je continue de lui lécher le doigt, en saisit un autre, puis un autre, j’en lèche trois en même temps, passe ma langue sur mes lèvres et reprend les doigts dans ma bouche.
Il pose son verre sur la table de nuit en disant :
- Continue, suces-les bien.
Il m’enlace, alors que je suis toujours de côté, lui tournant le dos, son autre main joue avec mes seins, agace et fait durcir les pointes.
Il y a un miroir dans la chambre cossue, il regarde nos deux corps enlacés et cette vision l’excite encore un peu plus. Il me retourne vers lui et m’embrasse doucement, fouille ma bouche, sa langue sur la mienne, autour de la mienne. Il me goutte sa salive et descend sa main sur son ventre.
- Écartes tes cuisses, écartes-les mieux que ça, murmure-t-il.
Ce moment est d’un érotisme incroyable et d’une douceur que je n’aurais jamais soupçonné, il est tendre, prévenant et je me laisse aller à ses demandes…
Il me branle, entre un doigt puis deux dans ma chatte étroite et chaude. Joue avec mon clitoris jusqu’à ce que je mouille bien, jusqu’à ce que ma respiration s’alourdisse, jusqu'à ce que bien chaude j’éjacule ma jouissance en lui mouillant la main.
Heureux du résultat, il se met à genoux sur le lit et place sa queue épaisse devant ma bouche.
- Bouffe-la ma chérie, bouffes-la petite salope !
Je me jette dessus, la plonge profondément dans ma gorge, malaxe ses couilles et passe un doigt sur son anus. Il gémit en disant :
- Tu sais y faire avec les vieux, mais doucement petite salope, doucement, laisse-moi profiter de ta bouche.
Plusieurs fois, il manque de jouir dans ma gorge, mais il me tient par les cheveux et imprime la bonne cadence. Après un long moment, il retire sa bite humide et rougie, puis vient se placer entre mes cuisses. Les écarte encore un peu plus. Lève mon cul à hauteur de sa bouche et doucement tourne sa langue autour de mon petit trou qu’il a déjà baisé une heure plus tôt.
Mais il en veut encore. Il me travaille la rondelle, me mange le cul, me soulève pour que je m’offre et m’ouvre bien. Je gémis et lui dis :
- Oui, j’ai envie que tu me prennes par là.
Il me répond d’une voix assurée :
- T’inquiètes pas Laure chérie, je vais m’occuper de ton petit cul chéri et je te jure que tu vas encore bien la sentir.
Tiens ! Il ne m’appelle plus petite salope, mais Laure chérie, deviendrait-il romantique d’un seul coup.
Longtemps, il me lèche ainsi, mon cul dégouline de salive et de mouille, il peut rentrer trois doigts tellement je suis ouverte, alors il se redresse, place son gland épais à l’entrée de mon anus et rentre très doucement, très lentement.
Je sens la lente progression de son membre en moi, ça me rend folle et quand il a entré sa queue complètement en moi, de sa main il me doigte la chatte et caresse mon clitoris et là, je hurle…
Dans la glace, je le regarde aller et venir en moi, il a placé mes jambes sur ses épaules larges et je vois sa grosse queue entrer et sortir de mon cul. Son ventre en sueur cogne contre moi, les bruits succion et de chair humide s’invitent à la partie.
La scène que je vois dans la glace est obscène, un vieux chevauche une jeune fille, l’enculant de son gros membre viril, et elle y prend du plaisir…
Oui, c’est obscène, tout malgré la douceur inattendue de cet homme, est cru, bestiale, et pourtant je mouille comme jamais, m’offre comme jamais, tandis qu’il repaît de mon corps ruisselant de plaisir, sous cette bite large qui me défonce.
Ça me rend dingue, et lui dit :
- J’aime que tu me baise comme ça et tu pourras me baiser toute la journée.
Alors il me retourne, me place à quatre pattes et rentre à nouveau dans mon cul.
- Regardes-toi petite salope de Laure !
Dans la glace, je me regarde, d’abord mon reflet, offerte à quatre pattes la bouche ouverte sous les assauts du mâle puissant placé derrière moi, et lui qui sourit, lui qui me tire par les cheveux, pour me cambre outrageusement, lui qui entre et ressort lentement sa queue de mon cul. Il joue de moi, en souriant, joue avec ma chatte, passe son gland sur ma fente me pénètre un moment, puis revient dans son cul.
Il me baise ainsi un long moment, j’ai mal de tout mon corps, mais je le supplie de continuer. Il gémit et continue, je veux le sentir, le sentir venir en elle, alors je resserre mon muscle autour de son membre et je l’entends dire :
- Ahhh, ma petite salope !
Il se lâche, tire un peu plus fort mes cheveux, place une main sur mes seins et jouit soudainement en vidant dans mon cul. Je sens les jets, courts, épais et chauds explosés contre mes parois intimes. Puis tandis qu’il se retire, la semence coule le long de mes jambes et je m’écroule sur le lit, les fesses en feu.
Il s’allonge près d’elle, m’embrasse dans le cou, en disant :
- Tu es merveilleuse !
Plus tard, bien plus tard, devant la porte d’entrée, alors qu’elle m’apprête à partir, il prend ma main et la place sur la fermeture éclair de son pantalon de toile.
Il bandait encore !
Je souris et il m’embrasse à pleine bouche, longtemps, et me dit :
- Si tu veux, tu peux rester.
Longtemps il m’a possédée, toute l’après-midi et une bonne partie de la soirée, alors je lui réponds :
- J’ai ma dose pour aujourd’hui, une prochaine fois peut-être…
- Mais reviendras-tu ? Me demande-t-il.
- Qui sait !
Lorsque je le quitte, juste au moment de renter dans l’ascenseur, j’entends sa voix me dire :
- Laure, appelles-moi vite !
La voix était presque suppliante, remplie de détresse, comme s’il venait de perdre un trésor qu’il ne reverrait jamais.
L’ascenseur s’est mis en marche et j’ai senti mon anus frémir, certainement pas complètement fermé…
A suivre…
Mais je n’ai pas le temps de penser plus longtemps, il sort sa queue de ma chatte et présente le gland à l’entrée de mon petit trou.
- Tu me parais bien étroite, me dit-il, ça va être trop bon !
- Mais ce n’est que parce que je n’ai pas trop l’habitude, par cet endroit, dis-je candidement.
Même si ce n’est pas l’exactitude des faits, ce genre de révélation a le don de mettre toujours les hommes dans un état pas possible, ils se sentent privilégiés et ça décuplent leur ardeur.
Il commence à pousser, mais le gland ne passe pas mon muscle, je me sens écartelée et j’ai mal.
- Non, non vous êtes trop gros, j’ai mal, jamais ça ne rentrera…
- Détends-toi, vous dites toutes la même chose et après vous en redemandez !
- Mais je suis vraiment trop étroite !
- Il faut un début à tout, dit-il.
Et il donne un bon coup de rein et je sens son gland passé la barrière de mon anneau.
- Waouh, la vache, c’est gros !
- Oui, mais tu vois je suis dedans.
- Ouais, mais vous n’avez passé que le gland.
- Mais c’est toujours le plus difficile, après ce n’est que du bonheur.
Et lentement il entre dans mon cul et je me sens vraiment étroite, que di bonheur, mon cul, ça fait mal, et je gueule en grimaçant les yeux exorbités.
- Arrêtez, j’ai trop mal, vous ne rentrerez jamais.
- Attend un peu petite salope, je vais te l’ouvrir ton petit cul !
Alors, il ressort et crache encore sur mon petit trou et me reprend, le gland passe à nouveau et je sens son membre qui finit par rentrer en douceur en moi, frottant contre les chairs de mon conduit et l’élargissant de façon démesuré.
J’ai peur qu’il me déchire, mais j’ai trop envie qu’il m’encule, maintenant, dans l’état où je me trouve, cet homme pourrait me faire faire n’importe avec moi.
Il me bourre, me défonce le cul pendant un long moment, j’hurle de douleur et de plaisir mélangés. On ne m’a jamais baisée comme ça, ça me rend dingue, il me remplit le cul complètement, tous mes anciens amants ne m’ont pas rempli le cul de la sorte.
Je jouis, il m’embrasse, puis se retire en disant :
- Mets-toi à genoux petite salope.
J’ai compris, il veut jouir dans ma bouche, alors je le prends, le pompe, le pompe encore. Je sens ses saccades brûlantes me remplir la bouche, alors qu’il gémit en disant :
- Avale tout, petite salope.
Du sperme épais coule dans ma gorge, beaucoup, il n’a pas du baiser depuis longtemps, puis me dit d’aller dans sa chambre et de l’attendre dans son lit.
- La journée est encore longue !
Je l’entends téléphoner, puis il revient et me regarde allongée sur le lit. Il observe ma peau lisse et mate en faisant danser les glaçons dans son verre de whisky.
Les volets sont clos mais la lumière âpre de l’été s’insinue par le moindre interstice. De minces rayons caressent les courbes de mon corps.
Il me regarde et se délecte de ma nudité, de mon indécence et d’ailleurs aussi de son pouvoir sur moi, ne vient-il pas de m’enculer, acte suprême de don de son corps pour une femme à son amant.
Il pense en me contemplant ; « Elle est belle, elle a quoi, vingt ans, peut-être vingt et un, tout au plus. Une jeunette aussi ferme et jolie dans son lit, un vrai cadeau du ciel, et en plus prête à tout… »
Je ferme les yeux et laisse mes sens me guider...
« Ses yeux caressent son ventre, le bas de son ventre, il regarde mon minou de jeune fille glabre et ma bouche, dans laquelle il vient de jouir, une jouissance épaisse, ça doit faire longtemps qu’il n’a pas possédé une petite salope comme moi et je suis certaine qu’il compte bien en profiter encore. Il me regarde, là sur le lit allongé nue et indécente les cuisses écartées, prête aux nouveaux assauts de son membre.
Il voit les perles de sueur entre mes seins et mon attente impassible qui fait gonfler et redresser sa queue, que va-t-il faire, je le sens s’approcher et je rouvre les yeux. »
Il est près du lit et vient s’allonger près de moi, je me tourne de son côté et il trempe un doigt dans son whisky et le passe ensuite sur ma bouche fine. J’entrouvre les lèvres, darde ma langue sur son index.
- Ouvre la bouche, murmure-t-il.
Je le prends comme s’il s’agissait d’une petite queue.
- Lèches. Lèches bien.
Je m’applique et il bande à nouveau, très fort. Puis, sans quitter son doigt de ma bouche, je retourne et lui présente mon dos. Il se rapproche de moi et colle sa bite sur le haut de mes fesses. Je continue de lui lécher le doigt, en saisit un autre, puis un autre, j’en lèche trois en même temps, passe ma langue sur mes lèvres et reprend les doigts dans ma bouche.
Il pose son verre sur la table de nuit en disant :
- Continue, suces-les bien.
Il m’enlace, alors que je suis toujours de côté, lui tournant le dos, son autre main joue avec mes seins, agace et fait durcir les pointes.
Il y a un miroir dans la chambre cossue, il regarde nos deux corps enlacés et cette vision l’excite encore un peu plus. Il me retourne vers lui et m’embrasse doucement, fouille ma bouche, sa langue sur la mienne, autour de la mienne. Il me goutte sa salive et descend sa main sur son ventre.
- Écartes tes cuisses, écartes-les mieux que ça, murmure-t-il.
Ce moment est d’un érotisme incroyable et d’une douceur que je n’aurais jamais soupçonné, il est tendre, prévenant et je me laisse aller à ses demandes…
Il me branle, entre un doigt puis deux dans ma chatte étroite et chaude. Joue avec mon clitoris jusqu’à ce que je mouille bien, jusqu’à ce que ma respiration s’alourdisse, jusqu'à ce que bien chaude j’éjacule ma jouissance en lui mouillant la main.
Heureux du résultat, il se met à genoux sur le lit et place sa queue épaisse devant ma bouche.
- Bouffe-la ma chérie, bouffes-la petite salope !
Je me jette dessus, la plonge profondément dans ma gorge, malaxe ses couilles et passe un doigt sur son anus. Il gémit en disant :
- Tu sais y faire avec les vieux, mais doucement petite salope, doucement, laisse-moi profiter de ta bouche.
Plusieurs fois, il manque de jouir dans ma gorge, mais il me tient par les cheveux et imprime la bonne cadence. Après un long moment, il retire sa bite humide et rougie, puis vient se placer entre mes cuisses. Les écarte encore un peu plus. Lève mon cul à hauteur de sa bouche et doucement tourne sa langue autour de mon petit trou qu’il a déjà baisé une heure plus tôt.
Mais il en veut encore. Il me travaille la rondelle, me mange le cul, me soulève pour que je m’offre et m’ouvre bien. Je gémis et lui dis :
- Oui, j’ai envie que tu me prennes par là.
Il me répond d’une voix assurée :
- T’inquiètes pas Laure chérie, je vais m’occuper de ton petit cul chéri et je te jure que tu vas encore bien la sentir.
Tiens ! Il ne m’appelle plus petite salope, mais Laure chérie, deviendrait-il romantique d’un seul coup.
Longtemps, il me lèche ainsi, mon cul dégouline de salive et de mouille, il peut rentrer trois doigts tellement je suis ouverte, alors il se redresse, place son gland épais à l’entrée de mon anus et rentre très doucement, très lentement.
Je sens la lente progression de son membre en moi, ça me rend folle et quand il a entré sa queue complètement en moi, de sa main il me doigte la chatte et caresse mon clitoris et là, je hurle…
Dans la glace, je le regarde aller et venir en moi, il a placé mes jambes sur ses épaules larges et je vois sa grosse queue entrer et sortir de mon cul. Son ventre en sueur cogne contre moi, les bruits succion et de chair humide s’invitent à la partie.
La scène que je vois dans la glace est obscène, un vieux chevauche une jeune fille, l’enculant de son gros membre viril, et elle y prend du plaisir…
Oui, c’est obscène, tout malgré la douceur inattendue de cet homme, est cru, bestiale, et pourtant je mouille comme jamais, m’offre comme jamais, tandis qu’il repaît de mon corps ruisselant de plaisir, sous cette bite large qui me défonce.
Ça me rend dingue, et lui dit :
- J’aime que tu me baise comme ça et tu pourras me baiser toute la journée.
Alors il me retourne, me place à quatre pattes et rentre à nouveau dans mon cul.
- Regardes-toi petite salope de Laure !
Dans la glace, je me regarde, d’abord mon reflet, offerte à quatre pattes la bouche ouverte sous les assauts du mâle puissant placé derrière moi, et lui qui sourit, lui qui me tire par les cheveux, pour me cambre outrageusement, lui qui entre et ressort lentement sa queue de mon cul. Il joue de moi, en souriant, joue avec ma chatte, passe son gland sur ma fente me pénètre un moment, puis revient dans son cul.
Il me baise ainsi un long moment, j’ai mal de tout mon corps, mais je le supplie de continuer. Il gémit et continue, je veux le sentir, le sentir venir en elle, alors je resserre mon muscle autour de son membre et je l’entends dire :
- Ahhh, ma petite salope !
Il se lâche, tire un peu plus fort mes cheveux, place une main sur mes seins et jouit soudainement en vidant dans mon cul. Je sens les jets, courts, épais et chauds explosés contre mes parois intimes. Puis tandis qu’il se retire, la semence coule le long de mes jambes et je m’écroule sur le lit, les fesses en feu.
Il s’allonge près d’elle, m’embrasse dans le cou, en disant :
- Tu es merveilleuse !
Plus tard, bien plus tard, devant la porte d’entrée, alors qu’elle m’apprête à partir, il prend ma main et la place sur la fermeture éclair de son pantalon de toile.
Il bandait encore !
Je souris et il m’embrasse à pleine bouche, longtemps, et me dit :
- Si tu veux, tu peux rester.
Longtemps il m’a possédée, toute l’après-midi et une bonne partie de la soirée, alors je lui réponds :
- J’ai ma dose pour aujourd’hui, une prochaine fois peut-être…
- Mais reviendras-tu ? Me demande-t-il.
- Qui sait !
Lorsque je le quitte, juste au moment de renter dans l’ascenseur, j’entends sa voix me dire :
- Laure, appelles-moi vite !
La voix était presque suppliante, remplie de détresse, comme s’il venait de perdre un trésor qu’il ne reverrait jamais.
L’ascenseur s’est mis en marche et j’ai senti mon anus frémir, certainement pas complètement fermé…
A suivre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très exitant bravo il y a juste une chose qui me dérange d'un seul coup tu dit elle puis avec tu dit je donc ca ma un peu embrouiller sinon c'est bien