Leslie LA58
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie LA58
Leslie LA58 – Laure, le journal intime – Aventures dans le train, le retour à Paris, la bourgeoise
Après le voyage de Paris à Toulouse et celui de Toulouse à Nice, je prenais à nouveau le train pour rentrer à Paris.
Il faisait chaud ce jour-là, une de ces fins d’après-midi où l’on ne rêve qu’à une chose, celle d’être nue au bord d’une piscine, mais pas une journée à faire des galipettes et surtout dans un train…
Lorsque je suis montée dans le train, je ne m’attendais pas à voyager dans un compartiment vide, enfin quand je me suis installée, car juste avant que le train ne démarre une femme est venue s’installer en face de moi.
- Bonjour mademoiselle, nous allons voyager ensemble !
Je lui ai répondu par un bref :
- Bonjour !
Pensant que cela suffirait à la satisfaire et me laisser tranquille dans mon coin, mais la femme continua par :
- Moi c’est Deborah… et vous ?
Je répondis tout aussi brièvement par :
- Et moi Laure.
Elle a dû penser que je ne devais pas être très loquace, ma naïveté me montra aussitôt qu’il en fallait plus pour la décourager.
La dame, une fois installée, s’est mise à parler et s’est montrée vite captivante, le temps de s’installer et la voilà qui me raconte sa vie, tout en me regardant et en me déshabillant des yeux, faisant monter en moi des frissons de la pointe des pieds jusqu’à la racine de mes cheveux, en passant par bien des détours je vous l’avoue.
Mais son regard acier qui me scrutait au fur et à mesure qu’elle me confiait sa vie, ne me laissait pas indifférente, si bien que je n’entendais même plus ce qu’elle me disait.
Est-ce qu’elle avait dit qu’elle était lesbienne, non je ne crois pas, juste qu’elle était séparée, mais la conversation à vite tournée aux questions intimes, voire parfois très intimes, c’est ainsi qu’elle m’a demandé en me tutoyant :
- T’arrive de le faire toute seule ?
Faire ça, faire quoi, mais je voyais bien ce dont elle voulait parler, alors sans trop savoir pourquoi, je lui ai répondu :
- Ben, ça dépend des jours et des idées aussi.
Nous étions dans l’intime et je sentais, à ce moment que quelque chose allait se passer, sans trop savoir quoi, et continuant dans le même sens elle m’a demandé :
- Et là, tu aurais envie ?
Trop étonnée de sa question, je ne sais plus si j’ai répondu ou si j’ai piqué un fard avant qu’elle n’enchaîne, peut-être en voyant un début de gêne ou de confusion sur mon visage, ou même qui sait un peu de curiosité à entrer dans son jeu :
- Finalement la masturbation, n’est-ce pas faire l’amour à celle qu’on aime le plus ?
Je ne savais quoi dire, alors elle a rajoutée :
- As-tu déjà goûté à une femme comme moi, cela te tente-t-il ?
Ses questions étaient ciblées et sans équivoque, elle me proposait de faire un petit tour avec elle sans détours et, même si je la trouvais désirable et certainement ayant de l’expérience, je ne pouvais répondre « pourquoi pas », car c’eût été reconnaître mes inclinations un peu facilement.
Elle s’était aperçue que les images qu’elle avait savamment distillées avaient fait leur petit effet sur moi et sans pudeur elle a relevé sa jupe pour me monter son intimité glabre qu’aucune étoffe ne cachait, mais mise en valeur par des jarretelles qui retenaient ses bas à coutures.
Une bouffée, de plaisir ou d’envie, me submergea et sans réfléchir ma main se porta sur l’ourlet de mon short pour me caresser, rêvant qu’un pouce et un index se promène sur mon ventre, profitant de l’espace nu entre mon short et mon débardeur, certainement trop court qui s’arrêtait au-dessus de mon nombril et que ses doigts, remontant vers ma poitrine, effleurent le bout d’un sein avant de venir caresser mon intimité consentante.
J’avais pris un plaisir pervers à jouer les ingénues et maintenant j’étais piégée, attendant que ses mains s’essaient à m’ouvrir les cuisses.
Elle s’était levée, dans sa jupe étriquée et sur des escarpins à talons mi hauts, les jambes fines aux mollets bien dessinés, peut-être à peine plus grande que moi.
Il flottait, dans le compartiment, depuis un moment ce quelque chose de très troublant et d’infiniment plus cérébral qui pousse à l’indécence sans s’obliger d’être amoureuse. Ajoutez au mélange un zeste de curiosités partagées, sans compter l’aspect amoral de la différence d’âge, qui force à la retenue mais qui attise aussi les perceptions et aussi de l’endroit quelque peu non conventionnel.
D’ailleurs, le train maintenant roulait et nous nous étions aperçues qu’il avait démarré sa course folle nous menant à Paris.
Puis appuyée contre la porte du compartiment, ce fut d’abord le tissu noir de la jupe qui se relève, le blanc du pubis et un sexe entièrement épilé, deux longs doigts aux ongles bruts qui écarte les chairs et se glissent entre les lèvres et s’évertuent à faire jaillir un clito que je trouve soudainement démesuré.
Comment décrire ces instants sans risquer les clichés ?
Je souris, pensant au cliché que j’avais, car la toison était pour moi le symbole de la maturité, et là je me retrouve devant ce pubis glabre de quoi se remettre en question.
Toujours assise sur la banquette je n’ai pas à vous préciser que dans ma poitrine, ça s’était mis à battre la chamade, ma respiration était saccadée et mon corps parcouru par de petits tremblements. Ma main s’est glissée sous mon débardeur et j’ai commencé à me toucher les bouts des seins, et c’est là qu’elle m’a dit :
- Montre-moi ta poitrine, maintenant !
Je me doutais bien qu’à cet instant, elle m’évaluait, voulant connaître mes limites et savoir si j’allais lui obéir…
- Alors Laure, tu veux bien me montrer ce que tu sais faire maintenant ?
Le ton était redevenu doux, voir à peine suppliant, certainement pour m’apprivoiser, car toujours adossée contre la porte, elle m’observait comme si c’était la première fois qu’elle allait regarder une jeune fille se donner du plaisir.
J’ai relevé mon débardeur pour lui montrer mes seins et elle se montra ravie de me voir faire et lui obéir, et elle m’a dit :
- Mais tu es toute menue, caresse-toi les bouts car j’ai envie de les voir se dresser.
Comme s’ils n’étaient pas déjà tendus mes tétons, mes doigts me confirmaient qu’ils étaient durs comme l’acier et j’ai lu dans son regard qu’elle avait envie de me peloter, mais elle ne bougea pas, continuant de se caresser.
Puis après un instant, elle s’est approchée, m’a mise debout devant elle et a commencé à me malaxer les seins, d’abord à pleines mains, s’attardant autour des aréoles, m’embrassant sur la bouche et reprenant le périple du plat de la main, mais cette fois bien plus fermement qu’au début.
Elle s’acharne sur un sein et sur l’autre à tour ensuite et sa bouche s’écrase contre la mienne et sa langue s’insinue entre mes lèvres et je sens un genou qui s’enchâsse entre mes jambes.
Mon souffle est court et dès lors tout va très vite…
- Ouvre… donne ta langue… mieux que ça !
Elle trépigne d’impatience, une main me prend la nuque pour m’obliger à ne pas quitter mes lèvres des siennes, tandis que l’autre s’acharne sur mon short, et me caresse la vulve.
- Mets-toi nue !
L’ordre est tombé, cinglant, elle veut que je me foute à poils dans le compartiment, l’envie tout à coup de l’envoyer au diable, de forcer la porte et de m’enfuir avant de devenir sa petite chienne obéissante !
Mais elle redevient douce et câline, et me dit :
- C’était seulement pour t’apprivoiser, voyons.
J’étais là debout, les cuisses encore serrées, le débardeur au-dessus de ma poitrine, alors j’ai craqué et je me suis foutue à poils devant elle.
Son regard sur ma chatte, ses mains qui se pressent sur mon corps cherchant les zones sensibles pendant que ses yeux guettent mes réactions. Elle s’applique à m’écarter mes grandes lèvres sans trop de ménagement, puis à introduire un doigt en moi, comme ça pour voir si j’accepte, puis des aller-retours savamment dosés de son doigt en moi en surveillant toujours mes réactions et en appréciant mes immanquables contorsions.
- Là, ça glisse et tu mouilles bien, tu aimes les femmes petite vicieuse…
Son doigt presse sur mon clitoris, insiste longuement puis, se réinsère en moi et me pénètre, arque ses phalanges jusqu’à me faire sentir ses assiduités au plus profond de mon vagin, peut-être à la recherche de ce point G qui en tant que tel m’était encore inconnu.
Puis un mouvement qui soudain s’accélère, la main m’écrase la vulve au rythme d’un métronome devenu fou, presse mes chairs et irradie en même temps mon clito, l’enflamme de mille feux.
Je chavire dans une jouissance incroyable, elle me fait poser le pied sur le bord de la banquette et j’entends comme dans un souffle à mon oreille :
- Juste pour bien t’écarter !
Puis le bruit rythmé et caractéristique du va-et-vient du doigt dans mes lymphes trempées, elle me malaxe un sein de l’autre main, je me raidis, me cambre à l’extrême, et lâche de petits cris, qui se mêlent au souffle rauque dans mon cou.
Elle guette le moment, et continue jusqu’à l’extase sans plus de ménagements et je m’écroule soudain sur ces phalanges de sorcière qu’elle retire lentement.
Satisfaite, elle lèche ses doigts puis les tend vers ma bouche encore entrouverte.
- Petite salope, jouisseuse et soumise !
Oui, elle me soumet et elle me sent réceptive à ses désirs, alors elle me dit :
- J’ai de jolis objets chez moi, pour ton plaisir et si tu viens, tu vas aimer.
Une proposition, saurais-je refuser cette invitation…
- Tu dois être belle quand tu te caresses, j’aimerais te voir le faire !
J’ai dû rougir un peu, et devant mon hésitation, elle redit :
- Je veux te voir !
Je viens de me faire tripoter par une vieille et qui, maintenant, voudrait m’inciter à me masturber devant elle, une vicieuse qui teste ma soumission.
A nouveau adossée à la porte, les bras croisés, elle attend en prenant son temps et sûrement plaisir à me sentir aussi mal à l’aise devant son impudeur.
- Tu es terriblement excitante avec tes allures d’innocente, mais je suis certaine que tu aimerais te caresser en même temps que moi, alors fais-le !
Le ton est cinglant, pas une demande mais un ordre. Je vais certainement me caresser, me toucher car elle m’a bien excitée, et elle le sait. Je me sens coincée entre me faire plaisir et lui obéir, mais pas disposée à accepter toutes ses excentricités, enfin je ne sais plus…
Le temps qu’elle dégrafe sa jupe, la suspende au crochet de la porte, défasse son chemisier et se retrouve pratiquement nue, la culotte à mi-cuisses, et la voilà qui commence à se caresser, sûre de l’effet qu’elle fait sur moi.
Le bout des doigts se promène sur les parties intimes de son corps, elle soupire et je m’allonge sur la banquette, indécente j’ouvre les cuisses et commence à me caresser, elle me regarde dans les yeux en me faisant comprendre d’aller plus loin…
Peu de temps après nous jouissons ensemble et excitée, je me redresse et m’approche d’elle, elle m’effleure la peau de ses mains, puis enserre ma taille, une pression sur mes reins, alors qu’elle tend elle aussi son bassin, et nos monts de vénus se touchent, se frottent obstinément l’un contre l’autre.
Puis elle s’accroupit, me tenant les cuisses, inspecte ma vulve que ses doigts écartent, et sa bouche se plaque sur mon intimité. Elle me lèche, sa langue se promène le long de mes lèvres, joue par petits coups autour, puis sur le clito presque aussitôt, et je jouis en hurlant.
Puis me quittant, elle s’assoit au bord de la banquette, les cuisses grandes ouvertes, me regarde et me dit :
- Fais-moi jouir, maintenant !
Je me place à genoux entre ses jambes et plonge ma tête entre ses jambes, et je me suis mise à la lécher, la sucer, exciter son clitoris gros et dur, la faisant gémir de plaisir.
Ma langue dardée à explorer les moindres recoins de son intimité et elle a inondé ma bouche de cyprine quand elle a jouit en hurlant.
Elle m’a prise et en m’allongeant sur la banquette, elle m’a dit :
- Viens… laisse-toi aller… ouvre bien les cuisses.
L’ordre est cinglant, je renverse une nouvelle fois la tête, totalement engloutie dans l’instant de cette soumission, et j’ouvre les cuisses pour recevoir des petits coups de langue rapides sur le clitoris, et d’un geste rapide mais direct, elle m’enfonce un doigt dans l’anus, me faisant me tendre et gémir de plaisir.
Ma bouche entr’ouverte, est fouillée par sa langue, je gémis encore plus quand son doigt s’agite dans mon rectum et que son autre main me triture le bout d’un sein entre le pouce et l’index, essoufflée, je me tords dans tous les sens.
Elle sourit presque méchamment, continuant de me fouiller et de me triturer, puis c’est l’orgasme qui m’envahit, dévastateur tel un tsunami, je me tends, ruisselante, et je l’entends me dire :
- Petite vicieuse, tu es une bonne élève, il faudra que nous allions plus loin, tu seras une bonne soumise, crois-moi !
Il est temps de se rajuster, le train entre en gare, le voyage se termine, je suis crevée et elle est heureuse de cet instant.
Dehors, il faisait chaud et nous avons marché sur le quai côte à côte en direction de la sortie, on aurait pu se tenir un moment par la main comme pour esquisser un semblant de tendresse, mais elle était redevenue une femme du monde, oubliant presque qu’elle était une sacrée vicieuse !
- Viens, on va boire quelque chose avant de nous quitter, me dit-elle.
Une petite table ronde au bar de la gare, au milieu des vacanciers en partance, deux verres avalés en trois gorgées.
- Oh Laure, un stylo et un papier s’il vous plaît ?
Elle me tendit le papier après y avoir inscrit son numéro de son portable, en me disant :
- Appelles-moi, je te ferais connaître les plaisirs de la soumission !
- Je vais y réfléchir, dis-je.
- Comme il te plaira, au revoir Laure !
Et elle a disparue dans la foule de la gare...
Je l’ai appelée la semaine d’après, juste pour savoir si elle était bien rentrée, mais pas pour qu’elle m’éduque à la soumission…
A suivre…
Après le voyage de Paris à Toulouse et celui de Toulouse à Nice, je prenais à nouveau le train pour rentrer à Paris.
Il faisait chaud ce jour-là, une de ces fins d’après-midi où l’on ne rêve qu’à une chose, celle d’être nue au bord d’une piscine, mais pas une journée à faire des galipettes et surtout dans un train…
Lorsque je suis montée dans le train, je ne m’attendais pas à voyager dans un compartiment vide, enfin quand je me suis installée, car juste avant que le train ne démarre une femme est venue s’installer en face de moi.
- Bonjour mademoiselle, nous allons voyager ensemble !
Je lui ai répondu par un bref :
- Bonjour !
Pensant que cela suffirait à la satisfaire et me laisser tranquille dans mon coin, mais la femme continua par :
- Moi c’est Deborah… et vous ?
Je répondis tout aussi brièvement par :
- Et moi Laure.
Elle a dû penser que je ne devais pas être très loquace, ma naïveté me montra aussitôt qu’il en fallait plus pour la décourager.
La dame, une fois installée, s’est mise à parler et s’est montrée vite captivante, le temps de s’installer et la voilà qui me raconte sa vie, tout en me regardant et en me déshabillant des yeux, faisant monter en moi des frissons de la pointe des pieds jusqu’à la racine de mes cheveux, en passant par bien des détours je vous l’avoue.
Mais son regard acier qui me scrutait au fur et à mesure qu’elle me confiait sa vie, ne me laissait pas indifférente, si bien que je n’entendais même plus ce qu’elle me disait.
Est-ce qu’elle avait dit qu’elle était lesbienne, non je ne crois pas, juste qu’elle était séparée, mais la conversation à vite tournée aux questions intimes, voire parfois très intimes, c’est ainsi qu’elle m’a demandé en me tutoyant :
- T’arrive de le faire toute seule ?
Faire ça, faire quoi, mais je voyais bien ce dont elle voulait parler, alors sans trop savoir pourquoi, je lui ai répondu :
- Ben, ça dépend des jours et des idées aussi.
Nous étions dans l’intime et je sentais, à ce moment que quelque chose allait se passer, sans trop savoir quoi, et continuant dans le même sens elle m’a demandé :
- Et là, tu aurais envie ?
Trop étonnée de sa question, je ne sais plus si j’ai répondu ou si j’ai piqué un fard avant qu’elle n’enchaîne, peut-être en voyant un début de gêne ou de confusion sur mon visage, ou même qui sait un peu de curiosité à entrer dans son jeu :
- Finalement la masturbation, n’est-ce pas faire l’amour à celle qu’on aime le plus ?
Je ne savais quoi dire, alors elle a rajoutée :
- As-tu déjà goûté à une femme comme moi, cela te tente-t-il ?
Ses questions étaient ciblées et sans équivoque, elle me proposait de faire un petit tour avec elle sans détours et, même si je la trouvais désirable et certainement ayant de l’expérience, je ne pouvais répondre « pourquoi pas », car c’eût été reconnaître mes inclinations un peu facilement.
Elle s’était aperçue que les images qu’elle avait savamment distillées avaient fait leur petit effet sur moi et sans pudeur elle a relevé sa jupe pour me monter son intimité glabre qu’aucune étoffe ne cachait, mais mise en valeur par des jarretelles qui retenaient ses bas à coutures.
Une bouffée, de plaisir ou d’envie, me submergea et sans réfléchir ma main se porta sur l’ourlet de mon short pour me caresser, rêvant qu’un pouce et un index se promène sur mon ventre, profitant de l’espace nu entre mon short et mon débardeur, certainement trop court qui s’arrêtait au-dessus de mon nombril et que ses doigts, remontant vers ma poitrine, effleurent le bout d’un sein avant de venir caresser mon intimité consentante.
J’avais pris un plaisir pervers à jouer les ingénues et maintenant j’étais piégée, attendant que ses mains s’essaient à m’ouvrir les cuisses.
Elle s’était levée, dans sa jupe étriquée et sur des escarpins à talons mi hauts, les jambes fines aux mollets bien dessinés, peut-être à peine plus grande que moi.
Il flottait, dans le compartiment, depuis un moment ce quelque chose de très troublant et d’infiniment plus cérébral qui pousse à l’indécence sans s’obliger d’être amoureuse. Ajoutez au mélange un zeste de curiosités partagées, sans compter l’aspect amoral de la différence d’âge, qui force à la retenue mais qui attise aussi les perceptions et aussi de l’endroit quelque peu non conventionnel.
D’ailleurs, le train maintenant roulait et nous nous étions aperçues qu’il avait démarré sa course folle nous menant à Paris.
Puis appuyée contre la porte du compartiment, ce fut d’abord le tissu noir de la jupe qui se relève, le blanc du pubis et un sexe entièrement épilé, deux longs doigts aux ongles bruts qui écarte les chairs et se glissent entre les lèvres et s’évertuent à faire jaillir un clito que je trouve soudainement démesuré.
Comment décrire ces instants sans risquer les clichés ?
Je souris, pensant au cliché que j’avais, car la toison était pour moi le symbole de la maturité, et là je me retrouve devant ce pubis glabre de quoi se remettre en question.
Toujours assise sur la banquette je n’ai pas à vous préciser que dans ma poitrine, ça s’était mis à battre la chamade, ma respiration était saccadée et mon corps parcouru par de petits tremblements. Ma main s’est glissée sous mon débardeur et j’ai commencé à me toucher les bouts des seins, et c’est là qu’elle m’a dit :
- Montre-moi ta poitrine, maintenant !
Je me doutais bien qu’à cet instant, elle m’évaluait, voulant connaître mes limites et savoir si j’allais lui obéir…
- Alors Laure, tu veux bien me montrer ce que tu sais faire maintenant ?
Le ton était redevenu doux, voir à peine suppliant, certainement pour m’apprivoiser, car toujours adossée contre la porte, elle m’observait comme si c’était la première fois qu’elle allait regarder une jeune fille se donner du plaisir.
J’ai relevé mon débardeur pour lui montrer mes seins et elle se montra ravie de me voir faire et lui obéir, et elle m’a dit :
- Mais tu es toute menue, caresse-toi les bouts car j’ai envie de les voir se dresser.
Comme s’ils n’étaient pas déjà tendus mes tétons, mes doigts me confirmaient qu’ils étaient durs comme l’acier et j’ai lu dans son regard qu’elle avait envie de me peloter, mais elle ne bougea pas, continuant de se caresser.
Puis après un instant, elle s’est approchée, m’a mise debout devant elle et a commencé à me malaxer les seins, d’abord à pleines mains, s’attardant autour des aréoles, m’embrassant sur la bouche et reprenant le périple du plat de la main, mais cette fois bien plus fermement qu’au début.
Elle s’acharne sur un sein et sur l’autre à tour ensuite et sa bouche s’écrase contre la mienne et sa langue s’insinue entre mes lèvres et je sens un genou qui s’enchâsse entre mes jambes.
Mon souffle est court et dès lors tout va très vite…
- Ouvre… donne ta langue… mieux que ça !
Elle trépigne d’impatience, une main me prend la nuque pour m’obliger à ne pas quitter mes lèvres des siennes, tandis que l’autre s’acharne sur mon short, et me caresse la vulve.
- Mets-toi nue !
L’ordre est tombé, cinglant, elle veut que je me foute à poils dans le compartiment, l’envie tout à coup de l’envoyer au diable, de forcer la porte et de m’enfuir avant de devenir sa petite chienne obéissante !
Mais elle redevient douce et câline, et me dit :
- C’était seulement pour t’apprivoiser, voyons.
J’étais là debout, les cuisses encore serrées, le débardeur au-dessus de ma poitrine, alors j’ai craqué et je me suis foutue à poils devant elle.
Son regard sur ma chatte, ses mains qui se pressent sur mon corps cherchant les zones sensibles pendant que ses yeux guettent mes réactions. Elle s’applique à m’écarter mes grandes lèvres sans trop de ménagement, puis à introduire un doigt en moi, comme ça pour voir si j’accepte, puis des aller-retours savamment dosés de son doigt en moi en surveillant toujours mes réactions et en appréciant mes immanquables contorsions.
- Là, ça glisse et tu mouilles bien, tu aimes les femmes petite vicieuse…
Son doigt presse sur mon clitoris, insiste longuement puis, se réinsère en moi et me pénètre, arque ses phalanges jusqu’à me faire sentir ses assiduités au plus profond de mon vagin, peut-être à la recherche de ce point G qui en tant que tel m’était encore inconnu.
Puis un mouvement qui soudain s’accélère, la main m’écrase la vulve au rythme d’un métronome devenu fou, presse mes chairs et irradie en même temps mon clito, l’enflamme de mille feux.
Je chavire dans une jouissance incroyable, elle me fait poser le pied sur le bord de la banquette et j’entends comme dans un souffle à mon oreille :
- Juste pour bien t’écarter !
Puis le bruit rythmé et caractéristique du va-et-vient du doigt dans mes lymphes trempées, elle me malaxe un sein de l’autre main, je me raidis, me cambre à l’extrême, et lâche de petits cris, qui se mêlent au souffle rauque dans mon cou.
Elle guette le moment, et continue jusqu’à l’extase sans plus de ménagements et je m’écroule soudain sur ces phalanges de sorcière qu’elle retire lentement.
Satisfaite, elle lèche ses doigts puis les tend vers ma bouche encore entrouverte.
- Petite salope, jouisseuse et soumise !
Oui, elle me soumet et elle me sent réceptive à ses désirs, alors elle me dit :
- J’ai de jolis objets chez moi, pour ton plaisir et si tu viens, tu vas aimer.
Une proposition, saurais-je refuser cette invitation…
- Tu dois être belle quand tu te caresses, j’aimerais te voir le faire !
J’ai dû rougir un peu, et devant mon hésitation, elle redit :
- Je veux te voir !
Je viens de me faire tripoter par une vieille et qui, maintenant, voudrait m’inciter à me masturber devant elle, une vicieuse qui teste ma soumission.
A nouveau adossée à la porte, les bras croisés, elle attend en prenant son temps et sûrement plaisir à me sentir aussi mal à l’aise devant son impudeur.
- Tu es terriblement excitante avec tes allures d’innocente, mais je suis certaine que tu aimerais te caresser en même temps que moi, alors fais-le !
Le ton est cinglant, pas une demande mais un ordre. Je vais certainement me caresser, me toucher car elle m’a bien excitée, et elle le sait. Je me sens coincée entre me faire plaisir et lui obéir, mais pas disposée à accepter toutes ses excentricités, enfin je ne sais plus…
Le temps qu’elle dégrafe sa jupe, la suspende au crochet de la porte, défasse son chemisier et se retrouve pratiquement nue, la culotte à mi-cuisses, et la voilà qui commence à se caresser, sûre de l’effet qu’elle fait sur moi.
Le bout des doigts se promène sur les parties intimes de son corps, elle soupire et je m’allonge sur la banquette, indécente j’ouvre les cuisses et commence à me caresser, elle me regarde dans les yeux en me faisant comprendre d’aller plus loin…
Peu de temps après nous jouissons ensemble et excitée, je me redresse et m’approche d’elle, elle m’effleure la peau de ses mains, puis enserre ma taille, une pression sur mes reins, alors qu’elle tend elle aussi son bassin, et nos monts de vénus se touchent, se frottent obstinément l’un contre l’autre.
Puis elle s’accroupit, me tenant les cuisses, inspecte ma vulve que ses doigts écartent, et sa bouche se plaque sur mon intimité. Elle me lèche, sa langue se promène le long de mes lèvres, joue par petits coups autour, puis sur le clito presque aussitôt, et je jouis en hurlant.
Puis me quittant, elle s’assoit au bord de la banquette, les cuisses grandes ouvertes, me regarde et me dit :
- Fais-moi jouir, maintenant !
Je me place à genoux entre ses jambes et plonge ma tête entre ses jambes, et je me suis mise à la lécher, la sucer, exciter son clitoris gros et dur, la faisant gémir de plaisir.
Ma langue dardée à explorer les moindres recoins de son intimité et elle a inondé ma bouche de cyprine quand elle a jouit en hurlant.
Elle m’a prise et en m’allongeant sur la banquette, elle m’a dit :
- Viens… laisse-toi aller… ouvre bien les cuisses.
L’ordre est cinglant, je renverse une nouvelle fois la tête, totalement engloutie dans l’instant de cette soumission, et j’ouvre les cuisses pour recevoir des petits coups de langue rapides sur le clitoris, et d’un geste rapide mais direct, elle m’enfonce un doigt dans l’anus, me faisant me tendre et gémir de plaisir.
Ma bouche entr’ouverte, est fouillée par sa langue, je gémis encore plus quand son doigt s’agite dans mon rectum et que son autre main me triture le bout d’un sein entre le pouce et l’index, essoufflée, je me tords dans tous les sens.
Elle sourit presque méchamment, continuant de me fouiller et de me triturer, puis c’est l’orgasme qui m’envahit, dévastateur tel un tsunami, je me tends, ruisselante, et je l’entends me dire :
- Petite vicieuse, tu es une bonne élève, il faudra que nous allions plus loin, tu seras une bonne soumise, crois-moi !
Il est temps de se rajuster, le train entre en gare, le voyage se termine, je suis crevée et elle est heureuse de cet instant.
Dehors, il faisait chaud et nous avons marché sur le quai côte à côte en direction de la sortie, on aurait pu se tenir un moment par la main comme pour esquisser un semblant de tendresse, mais elle était redevenue une femme du monde, oubliant presque qu’elle était une sacrée vicieuse !
- Viens, on va boire quelque chose avant de nous quitter, me dit-elle.
Une petite table ronde au bar de la gare, au milieu des vacanciers en partance, deux verres avalés en trois gorgées.
- Oh Laure, un stylo et un papier s’il vous plaît ?
Elle me tendit le papier après y avoir inscrit son numéro de son portable, en me disant :
- Appelles-moi, je te ferais connaître les plaisirs de la soumission !
- Je vais y réfléchir, dis-je.
- Comme il te plaira, au revoir Laure !
Et elle a disparue dans la foule de la gare...
Je l’ai appelée la semaine d’après, juste pour savoir si elle était bien rentrée, mais pas pour qu’elle m’éduque à la soumission…
A suivre…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
au fil des histoires il est très agréable de constater que le style devient plus fluide et en même temps plus bandant
cette histoire est bien faite et, entre des femmes c'est toujours très excitant;
merci à l'auteur en demandant des histoires de ce genre;
une petite réponse me ferait extrèmement plaisir....
merci à l'auteur en demandant des histoires de ce genre;
une petite réponse me ferait extrèmement plaisir....