Leslie LA67
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie LA67
Leslie LA67 – Laure, le journal intime - Saphisme à la campagne, suite et fin
- Oh, Diane, Diane chérie, je veux jouir de toi ! Lui avouais-je dans un souffle chaud entre deux longs râles de plaisir.
Elle ne répondit rien mais continua à enfoncer sa langue de plus en plus profondément entre mes lèvres intimes, jouant à titiller du bout de la langue mon joli bouton d’amour et le résultat ne se fit pas attendre, sans la moindre gêne, je criais ma jouissance au milieu de la clairière déserte et me lâchais complètement en sentant mon sexe couler de plaisir.
Visiblement très satisfaite de pouvoir recueillir mon jus d’amour, Diane leva les yeux vers moi et me dit avec ferveur :
- Humm, tu as déjà jouis et tu mouilles comme une vraie salope en chaleur ! Laisse-moi te mettre un doigt dans ta petite chatte trempée, tu vas beaucoup aimer !
Je n’eus pas beaucoup à protester car, c’est vrai, j’avais terriblement envie de recevoir autre chose qu’une langue entre mes cuisses !
Véritable experte en plaisirs lesbiens, Diane enfonça donc sans hésitation son index dans mon vagin et entreprit de me caresser de la manière la plus lascive qui soit, plongeant toujours plus profondément dans mon ventre.
Constatant que j’appréciais tout particulièrement de me faire doigter de la sorte, elle s’empressa alors de m’introduire un deuxième puis un troisième doigt dans la vulve !
- Tu aimes te faire bourrer la chatte, hein ma salope ?
- Oui, Diane, mets-moi tout, je t’en supplie !
C’était si excellent que je devenais folle de plaisir et en espérais toujours plus de sa part…
A ce massage intérieur, je ne pus résister très longtemps, il me fallait autre chose, plus long, plus gros, plus efficace !
Elle se releva précipitamment et s’enfuit vers le chalet.
- Ne bouge pas, j’arrive ! Me dit-elle en s’éloignant.
S’éloignant, elle se retourna et me lança encore :
- Je t’apporte de quoi jouir comme une folle, en attendant, tu peux continuer à te branler toute seule, il faut que tu restes bien chaude !
Ca, elle n’avait vraiment pas besoin de me le préciser car je m’étais déjà mis deux doigts dans la chatte qu’elle venait d’abandonner…
Diane revint moins de cinq minutes plus tard, munie de plusieurs godemichés !
- Maintenant, je vais vraiment te faire plaisir, me dit-elle avec grande assurance.
J’étais toujours étendue sur le dos, jambes largement écartées et ma main s’activant sur mon intimité, quand Diane est revenue. En me voyant elle m’a dit :
- Retire tes doigts que je te colle un beau vibro entre les jambes !
Et de fait, elle présenta à l’entrée de mon vagin un splendide gode en plastique d’au moins vingt-deux centimètres de long et en plus assez large
Elle n’eut aucune difficulté à l’introduire en moi et de le faire glisser jusque tout au fond de mon intimité, même si l’épaisseur de ce gode frottait sur les chairs intérieures, me procurant de doux frissons.
Une fois bien en place, elle déclencha le petit moteur à piles qui fit vibrer et tournoyer sur lui-même le bout arrondi de l’engin qui venait cogner dans le fond de mon trou !
- Tu aimes cela ? Me demanda-t-elle.
- Oui, j’adore, dis-je.
J’étais terriblement excitée par ce gode vibrant que Diane utilisait…
Soucieuse de m’accorder le plus de plaisir possible, elle tourna la petite molette afin de régler l’engin sur la vitesse maximum.
Les sensations procurées par ce gros morceau de plastique qui gigotait dans mon ventre me firent passer d’intenses moments d’un plaisir réel que je ne me privais pas de crier bien fort.
Alors que je pensais lui demander de laisser le gode me branler automatiquement pour me permettre de m’occuper un peu d’elle en même temps, elle vérifia que le gode était bien en place et le repoussa un peu, car il avait tendance à sortir sous l’effet des vibrations et vint tout naturellement s’asseoir sur mon visage, offrant enfin, à ma bouche gourmande l’accès à son intimité !
C’était vraiment une excitante position !
Couchée sur le dos, Diane, accompagnant d’une main les mouvements du vibro dans mon ventre, elle cherchait de son autre main d'autres parties de mon corps pour m’exciter encore plus…
Pendant ce temps, je m’occupais de sa vulve qu’elle avait collée à ma bouche.Ce petit jeu ne se prolongea pas très longtemps car, cette fois, c’est elle qui arriva au plaisir avant moi :
- Tu vas me faire jouir, jolie coquine et je vais jouir sur ta bouche et t’inonder de mon plaisir…
Elle me dit cela juste avant d’expulser de son corps une décharge de jouissance inondant ma figure et je n’eus d’autre recours que celui de plaquer ma bouche à sa fente et d’aspirer du plus fort que je pus la moindre de goutte de son nectar…
Ainsi abreuvée, je ne tardais pas à me laisser aller à ma deuxième jouissance de l’après-midi.
Après avoir ainsi pris mon pied, elle ressortit de mon vagin le vibro trempé, lui aussi et aussitôt, Diane le porta à sa bouche en me disant :
- Je veux te goûter tout entière !
Nous sommes ensuite restées quelques instants allongées pour nous reposer et nous avons bavardées, plaisantées sur nos situations respectives, complimentées sur les formes et la beauté de nos corps, tout en continuant à boire du vin rosé…Loin d’être rassasiées par nos premiers ébats et toujours d’avantage grisées par la boisson, nous eûmes très rapidement envie de reprendre notre corps à corps.Les choses devinrent à nouveau rapidement sérieuses.
Je me suis assise devant Daine qui se tenait debout devant moi, quand elle me dit :
Nous sommes deux femmes seules ici, mais je vais maintenant te baiser comme le ferait un vrai mec !
Elle prit alors un gode-ceinture dont elle se ceint la taille.
Le gode avait la taille et le diamètre d’un vrai phallus d’homme, merveilleusement imité comme celui d’un homme jeune et au mieux de sa forme ! Et Diane faisait vraiment illusion ainsi parée.
- Suces-moi la queue, salope ! Me dit-elle en me présentant le pal à mes lèvres.
Je ne me fis pas prier et m’appliquais du mieux que je pus, assise devant elle, je pris la tige de latex en mains et la suçais avec ferveur et application, l’avalant au plus profond de ma gorge et la léchant généreusement pour qu’elle soit parfaitement lubrifiée…
Au bout d’un moment, elle décida d’arrêter cette splendide fellation et me fit mettre à quatre pattes pour lui présenter mes fesses en levrette et d’un geste sûr et adroit, elle m’enfonça le gode dans la chatte. Puis elle se démena en moi comme l’aurait fait un amant dans la force de l’âge, allant et venant, changeant de rythme et me limant comme un homme !
Elle se courbait sur moi et je pouvais alors sentir ses beaux seins sur mon dos, me caressant au gré de ses pénétrations…
Mais voyant que j’étais à nouveau aux portes de l’orgasme, Diane décida subitement de changer de position et, d’un geste rapide, me fourra l’engin un rien plus haut, dans mon cul.
J’eus assez mal au moment où la tige de latex força l’entrée de mon œillet, mais quelle sensation délicieuse lorsqu’elle entreprit de l’enfoncer plus profondément dans mon étroit passage !
Je ne pus réprimer mes cris de joie en hurlant :
- J’adore me faire baiser comme une salope ! Et tu sais y faire, vicieuse !
- Je suis certaine que tu voudrais être remplie des deux côtés, me dit-elle en continuant à me ravager l’arrière-train.
- Ohhh, oui, Diane.
Elle empoigna alors le vibro qui nous avait servi auparavant et, d’autorité, me l’introduisit par-devant !
Ainsi branchée, avec le vibro devant et le gode derrière, je sentais Diane se démener sur moi comme une vraie tigresse, il y avait bien longtemps que je ne m’étais pas faite prendre en sandwich comme cela !
Évidemment, je ne mis pas beaucoup de temps à jouir, cette fois complètement anéantie par les successives vagues de plaisir qui déferlèrent dans mes entrailles…
Nous sommes rentrées dans la maison et nous avons continué à nous aimer, prenant tour à tour l’initiative de nos jeux érotiques en nous laissant aller aux mains expertes et aux désirs de l’autre…
Je fus ainsi initiée au fist, après avoir mis un, puis deux et trois doigts, Diane parvint à introduire toute sa main dans mon vagin, assez effrayant au début, mais terriblement excitant par la suite ! Pratiques jusqu’alors inconnue pour moi, mais au combien jouissive que je retenterais peut-être un jour…
Nous nous sommes encore adonnées à bien d’autres jeux aussi originaux que pervers pendant de longues heures de plaisir ininterrompu, Diane n’avait pas de limite dans les plaisir et la nuit était tombée quand nous sommes allées nous coucher, sans avoir mangé, mais complètement rassasiées de plaisir.
L’amour en pleine nature est manifestement délicieux.
Le week-end fut torride et Diane viendra me rejoindre samedi prochain pour prolonger nos inoubliables ébats de ce magnifique week-end à la campagne !
A suivre…
- Oh, Diane, Diane chérie, je veux jouir de toi ! Lui avouais-je dans un souffle chaud entre deux longs râles de plaisir.
Elle ne répondit rien mais continua à enfoncer sa langue de plus en plus profondément entre mes lèvres intimes, jouant à titiller du bout de la langue mon joli bouton d’amour et le résultat ne se fit pas attendre, sans la moindre gêne, je criais ma jouissance au milieu de la clairière déserte et me lâchais complètement en sentant mon sexe couler de plaisir.
Visiblement très satisfaite de pouvoir recueillir mon jus d’amour, Diane leva les yeux vers moi et me dit avec ferveur :
- Humm, tu as déjà jouis et tu mouilles comme une vraie salope en chaleur ! Laisse-moi te mettre un doigt dans ta petite chatte trempée, tu vas beaucoup aimer !
Je n’eus pas beaucoup à protester car, c’est vrai, j’avais terriblement envie de recevoir autre chose qu’une langue entre mes cuisses !
Véritable experte en plaisirs lesbiens, Diane enfonça donc sans hésitation son index dans mon vagin et entreprit de me caresser de la manière la plus lascive qui soit, plongeant toujours plus profondément dans mon ventre.
Constatant que j’appréciais tout particulièrement de me faire doigter de la sorte, elle s’empressa alors de m’introduire un deuxième puis un troisième doigt dans la vulve !
- Tu aimes te faire bourrer la chatte, hein ma salope ?
- Oui, Diane, mets-moi tout, je t’en supplie !
C’était si excellent que je devenais folle de plaisir et en espérais toujours plus de sa part…
A ce massage intérieur, je ne pus résister très longtemps, il me fallait autre chose, plus long, plus gros, plus efficace !
Elle se releva précipitamment et s’enfuit vers le chalet.
- Ne bouge pas, j’arrive ! Me dit-elle en s’éloignant.
S’éloignant, elle se retourna et me lança encore :
- Je t’apporte de quoi jouir comme une folle, en attendant, tu peux continuer à te branler toute seule, il faut que tu restes bien chaude !
Ca, elle n’avait vraiment pas besoin de me le préciser car je m’étais déjà mis deux doigts dans la chatte qu’elle venait d’abandonner…
Diane revint moins de cinq minutes plus tard, munie de plusieurs godemichés !
- Maintenant, je vais vraiment te faire plaisir, me dit-elle avec grande assurance.
J’étais toujours étendue sur le dos, jambes largement écartées et ma main s’activant sur mon intimité, quand Diane est revenue. En me voyant elle m’a dit :
- Retire tes doigts que je te colle un beau vibro entre les jambes !
Et de fait, elle présenta à l’entrée de mon vagin un splendide gode en plastique d’au moins vingt-deux centimètres de long et en plus assez large
Elle n’eut aucune difficulté à l’introduire en moi et de le faire glisser jusque tout au fond de mon intimité, même si l’épaisseur de ce gode frottait sur les chairs intérieures, me procurant de doux frissons.
Une fois bien en place, elle déclencha le petit moteur à piles qui fit vibrer et tournoyer sur lui-même le bout arrondi de l’engin qui venait cogner dans le fond de mon trou !
- Tu aimes cela ? Me demanda-t-elle.
- Oui, j’adore, dis-je.
J’étais terriblement excitée par ce gode vibrant que Diane utilisait…
Soucieuse de m’accorder le plus de plaisir possible, elle tourna la petite molette afin de régler l’engin sur la vitesse maximum.
Les sensations procurées par ce gros morceau de plastique qui gigotait dans mon ventre me firent passer d’intenses moments d’un plaisir réel que je ne me privais pas de crier bien fort.
Alors que je pensais lui demander de laisser le gode me branler automatiquement pour me permettre de m’occuper un peu d’elle en même temps, elle vérifia que le gode était bien en place et le repoussa un peu, car il avait tendance à sortir sous l’effet des vibrations et vint tout naturellement s’asseoir sur mon visage, offrant enfin, à ma bouche gourmande l’accès à son intimité !
C’était vraiment une excitante position !
Couchée sur le dos, Diane, accompagnant d’une main les mouvements du vibro dans mon ventre, elle cherchait de son autre main d'autres parties de mon corps pour m’exciter encore plus…
Pendant ce temps, je m’occupais de sa vulve qu’elle avait collée à ma bouche.Ce petit jeu ne se prolongea pas très longtemps car, cette fois, c’est elle qui arriva au plaisir avant moi :
- Tu vas me faire jouir, jolie coquine et je vais jouir sur ta bouche et t’inonder de mon plaisir…
Elle me dit cela juste avant d’expulser de son corps une décharge de jouissance inondant ma figure et je n’eus d’autre recours que celui de plaquer ma bouche à sa fente et d’aspirer du plus fort que je pus la moindre de goutte de son nectar…
Ainsi abreuvée, je ne tardais pas à me laisser aller à ma deuxième jouissance de l’après-midi.
Après avoir ainsi pris mon pied, elle ressortit de mon vagin le vibro trempé, lui aussi et aussitôt, Diane le porta à sa bouche en me disant :
- Je veux te goûter tout entière !
Nous sommes ensuite restées quelques instants allongées pour nous reposer et nous avons bavardées, plaisantées sur nos situations respectives, complimentées sur les formes et la beauté de nos corps, tout en continuant à boire du vin rosé…Loin d’être rassasiées par nos premiers ébats et toujours d’avantage grisées par la boisson, nous eûmes très rapidement envie de reprendre notre corps à corps.Les choses devinrent à nouveau rapidement sérieuses.
Je me suis assise devant Daine qui se tenait debout devant moi, quand elle me dit :
Nous sommes deux femmes seules ici, mais je vais maintenant te baiser comme le ferait un vrai mec !
Elle prit alors un gode-ceinture dont elle se ceint la taille.
Le gode avait la taille et le diamètre d’un vrai phallus d’homme, merveilleusement imité comme celui d’un homme jeune et au mieux de sa forme ! Et Diane faisait vraiment illusion ainsi parée.
- Suces-moi la queue, salope ! Me dit-elle en me présentant le pal à mes lèvres.
Je ne me fis pas prier et m’appliquais du mieux que je pus, assise devant elle, je pris la tige de latex en mains et la suçais avec ferveur et application, l’avalant au plus profond de ma gorge et la léchant généreusement pour qu’elle soit parfaitement lubrifiée…
Au bout d’un moment, elle décida d’arrêter cette splendide fellation et me fit mettre à quatre pattes pour lui présenter mes fesses en levrette et d’un geste sûr et adroit, elle m’enfonça le gode dans la chatte. Puis elle se démena en moi comme l’aurait fait un amant dans la force de l’âge, allant et venant, changeant de rythme et me limant comme un homme !
Elle se courbait sur moi et je pouvais alors sentir ses beaux seins sur mon dos, me caressant au gré de ses pénétrations…
Mais voyant que j’étais à nouveau aux portes de l’orgasme, Diane décida subitement de changer de position et, d’un geste rapide, me fourra l’engin un rien plus haut, dans mon cul.
J’eus assez mal au moment où la tige de latex força l’entrée de mon œillet, mais quelle sensation délicieuse lorsqu’elle entreprit de l’enfoncer plus profondément dans mon étroit passage !
Je ne pus réprimer mes cris de joie en hurlant :
- J’adore me faire baiser comme une salope ! Et tu sais y faire, vicieuse !
- Je suis certaine que tu voudrais être remplie des deux côtés, me dit-elle en continuant à me ravager l’arrière-train.
- Ohhh, oui, Diane.
Elle empoigna alors le vibro qui nous avait servi auparavant et, d’autorité, me l’introduisit par-devant !
Ainsi branchée, avec le vibro devant et le gode derrière, je sentais Diane se démener sur moi comme une vraie tigresse, il y avait bien longtemps que je ne m’étais pas faite prendre en sandwich comme cela !
Évidemment, je ne mis pas beaucoup de temps à jouir, cette fois complètement anéantie par les successives vagues de plaisir qui déferlèrent dans mes entrailles…
Nous sommes rentrées dans la maison et nous avons continué à nous aimer, prenant tour à tour l’initiative de nos jeux érotiques en nous laissant aller aux mains expertes et aux désirs de l’autre…
Je fus ainsi initiée au fist, après avoir mis un, puis deux et trois doigts, Diane parvint à introduire toute sa main dans mon vagin, assez effrayant au début, mais terriblement excitant par la suite ! Pratiques jusqu’alors inconnue pour moi, mais au combien jouissive que je retenterais peut-être un jour…
Nous nous sommes encore adonnées à bien d’autres jeux aussi originaux que pervers pendant de longues heures de plaisir ininterrompu, Diane n’avait pas de limite dans les plaisir et la nuit était tombée quand nous sommes allées nous coucher, sans avoir mangé, mais complètement rassasiées de plaisir.
L’amour en pleine nature est manifestement délicieux.
Le week-end fut torride et Diane viendra me rejoindre samedi prochain pour prolonger nos inoubliables ébats de ce magnifique week-end à la campagne !
A suivre…
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