Leslie LA71
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Leslie LA71
Leslie LA71 - Laure, le journal intime - L’inconnu, suite et fin
La question était sans ambiguïté, il avait apprécié et me demandait de revenir…
Un bref sentiment de honte et de gêne l’avait envahie en réalisant qu’elle venait de s’exhiber devant cet horrible personnage. Si elle aimait visiblement s’exhiber, elle n’appréciait pas d’être confrontée à ses voyeurs.
- Dites-moi plutôt qui vous a réservé la salle.
- Ce n’est pas vous ?
- Pourquoi aurais-je fait ça ?
- Pour le plaisir ou pour réaliser un fantasme !
- Ça arrive souvent que des femmes vous réservent une cabine pour venir s’exhiber et faire l’amour avec des inconnus.
Il a éclaté de rire car visiblement, c’était une pratique courante et l’une des spécialités de la maison. Des bourgeoises anonymes, plus ou moins jeunes, plus ou moins belles, venaient s’offrir aux regards des clients, pour le plaisir de tous.
Il était clair que je n’en tirerais rien de plus et j’allais donc quitter l’établissement, quand Didier m’a rappelé.
- N’oubliez pas vos cadeaux.
Et il m’a tendu un grand sac par-dessus le comptoir.
- Parfois les clients offrent des cadeaux aux filles et celui-ci a dû vous apprécier parce qu’il n’a pas lésiné sur la dépense.
Une panoplie de sex-toys et de s’entassaient dans le sac grand ouvert, je n’allais pas refuser et de lui dire de tout garder, après tout, je les avais gagnés et si xiam me les avait offerts, c’était certainement pour une bonne raison.
- Et… pour la prochaine fois ? Me demanda Didier.
- Après avoir pris la carte du magasin, je lui ai dit :
- Je vous téléphonerais !
Tandis que je rentrais à mon appartement, j’avais la tête dans les nuages, n’ayant plus aucune crainte, ni aucune pudeur, à promener mon corps à moitié nu au milieu de la foule grouillante de la nuit.
Que de souvenirs en si peu de temps, tous sans exception étaient liés à des moments de plaisir aussi intenses que variés, mais le dernier plaisir avec mon inconnu allait-il avoir lieu ?
Arrivée à l’appartement, j’ai retiré mon trench-coat, et je n’ai pas fermé les rideaux du salon, restant nue, comme si j’invitais les occupants des appartements situés en face du mien à se délecter à leur guise de mon corps.
Je me suis servi un grand whisky-glace, pour apaiser ce feu qui me dévorait le corps, mais j’ai reçu un nouveau message, le carillon familier de ma boîte mails venait de retentir…
C’était lui.
De : xiam@hotmail.com
Envoyé le : Ven. 30 mars 2011, 22 h 05 min 46 s
Objet : Chère Laure,
J’espère que vous avez apprécié...
Comme je vous le disais, vous êtes faite pour le sexe.
Prenez du plaisir ce soir…
Une dizaine de photos accompagnaient le message.
Pour me donner le courage de les regarder, j’ai vidé d’un trait mon verre de whisky, puis un autre et j’ai fait défiler les photos une à une.
Sortant de mon immeuble, le haut de ses cuisses brillantes au-dessus de mes cuissardes noires, assise sur le banc du parc, les jambes croisées sous le regard pénétrant de l’inconnu, en train de me faire baiser appuyée à un arbre, à moitié nue, l’exhibition de mon cul, coquinement dévoilé, tandis que je sortais du parc, dans la rue grouillante, sous les regards admiratifs des passants et une série bien plus explicite, dans la cabine du sex-shop, offrant mon corps et mon sexe béant à l’objectif de l’appareil.
Je ne savais que penser. Il m’avait suivie toute la journée, épiant chacun de mes gestes, capturant à mon insu l’image de mon corps de plus en plus dénudé. Je m’en voulais d’avoir été une nouvelle fois son docile jouet, d’avoir répondu à chacun de ses ordres comme une petite chienne obéissant à son maître. J’avais envie de pleurer…
J’ai regardé dans le sac les objets en les sortant un à un du sac et en les déposant sur le canapé, un gode ceinture, deux godes réalistes, trois godes d’anus, des boules de Geisha et un œuf vibrant. Une parfaite panoplie destinée aux plaisirs féminin.
Puis Carole m’a téléphoné...
- Salut. Ça va ? Ta voix est bizarre.
- Je ne sais plus où j’en suis, Carole. Je crains que cette histoire ne finisse par me rendre folle.
- Qu’est-ce que tu racontes, tu es fatiguée voilà tout. Je crois que tu as eu pas mal d’émotions ces derniers temps, il faut décompresser, c’est tout. Allez, bois un verre de whisky et vas te coucher, demain il fera jour.
Mais je n’ai pu résister à lui raconter ma journée, ce que j’avais fait un peu mécaniquement au début, puis les extases successives, dans le par cet dans la cabine du peep-show, tout, je lui ai tout raconté.
Quand Carole a raccroché, je me suis écroulée sur le divan, trempée de sueur et remplie à nouveau de désirs, alors j’ai été prendre une douche pour reprendre mes esprits sous le massage revigorant des jets bouillonnants de la douche, en ressortant de la salle de bains, j’avais un nouveau message.
Le corps nu et trempé de l’eau de la douche, je l’ai regardé, c’était lui…
De : xiam@hotmail.com
Envoyé le : Ven. 30 mars 2011, 22 h 45 min 17 s
Objet : Chère Laure,
Je n’en peux plus de vous faire languir…
Ce soir, si vous le souhaitez, je me révèlerais à vous, je ne pourrais être chez vous que dans une heure, si vous le voulez.
Mais si vous acceptez, je vous demande de m’attendre les yeux bandés, allongée nue sur votre lit et de préférence sur le ventre, afin de me laisser profiter anonymement de votre corps…
C’est aussi pour cela que je vous demanderais de ne pas m’adresser la parole tant que je ne vous l’aurais pas adressée moi-même.
J’attends votre réponse….
J’avais attendu ce moment, à présent, je n’étais plus du tout sûr d’en avoir envie, refuser ou accepter. Au point où j’en étais à quoi bon ne pas aller au bout, alors j’ai envoyé un mail.
De : mignonne.laure@free.fr
Envoyé le : Ven. 30 mars 2011, 22 h 59 min 14 s
Objet : Inconnu
Je vous attendrais pour minuit, j’espère que vous ne me décevrez pas.
Laure
PS : vous devez connaitre mon adresse puisque vous avez fait une photo de moi sortant de l’immeuble, alors pas la peine de vous la transmettre.
Je me suis préparée et peu de temps après, alors que j’étais allongée nue, à plat ventre sur le lit, j’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir.
Il est là !
Une décharge électrique m’a traversé les chairs lorsque j’ai entendu le bruit de la porte d’entrée se refermant, puis le bruit de mouvements dans le salon, peut-être-était-il de train de fouiller dans mes affaires, il devait avoir découvert mes accessoires restés sur le canapé
Ce fut comme une libération d’entendre des pas dans le couloir menant à ma chambre et cette présence à côté de moi, trahie par une respiration plutôt douce et les arômes puissants d’un parfum masculin, aux relents de musc et d’ambre, une libération qui me fit couler une chaude humidité de mon sexe que j’ai senti couler entre mes cuisses, tandis que l’impatience commençait à monter en moi.
J’ai senti son regard glisser sur mon corps dénudé, avant que ses doigts ne viennent frôler ma peau. Il m’a pris les mains pour les amener au-dessus de ma tête et je me suis laissé faire, définitivement offerte aux désirs de mon mystérieux visiteur, inconnu.
Trois minutes plus tard, je gisais les poignets noués au-dessus de ma tête, toujours sur le ventre, mon sexe béant brillait des liqueurs qui ne cessaient de s’écouler de ma caverne.
Les mains et les lèvres de xiam étaient douces, presque féminines, j’aurais aimé qu’il vienne me dévorer la bouche, mais il était trop occupé à me dévorer le dos, les fesses, les cuisses, retardant le moment où il s’attaquerait au fruit juteux qui frémissait d’impatience entre ses cuisses.
Lorsque la langue est enfin venue se glisser dans ma raie des fesses, un frisson m’a parcouru, puis la langue est descendue pour aller titiller mon petit bouton et mes fesses se sont brusquement relevées, comme pour faciliter l’accès, lançant mon sexe à la rencontre de cette bouche dévorante, déclenchant par la même occasion un long jet de cyprine qui a dû inonder le visage de mon mystérieux amant.
Il s’est éloigné un instant, et j’ai eu peur qu’il ne m’abandonne déjà, mais j’ai bientôt entendu le bruit d’un petit moteur dont je n’ai pas tardé à en deviner l’origine. J’ai poussé un râle de plaisir lorsque la tête du vibro est venue se poser sur son clitoris gonflé de désir et j’ai jouis durant de longues minutes, faisant trembler mon corps au rythme de l’énorme engin enfoncé dans ma chatte, puis il m’a de nouveau abandonné, le cul baignant dans les vagues salées de mes orgasmes.
Je suis restée seule dans la chambre, reprenant peu à peu mon souffle et mes esprits, je ne pouvais toujours pas deviner qui pouvait être son mystérieux inconnu, mais je fus sortie de mes réflexions lorsque l’inconnu est revenu dans la chambre pour me soulever le ventre et passer un coussin dessous, la tête posée entre ses bras toujours attachés au sommet du lit.
Ainsi disposée, j’avais le cul cambré et offert à toutes ses velléités.
Il lui m’a caressé avec ses mains qui parcouraient sensuellement chaque centimètre de mon corps, puis la tête enfoncée dans les draps, il m’a obligée à m’agenouiller pour que je lui offre le spectacle enivrant de mon cul dressé.
Il a pris mon clitoris entre ses doigts pour le malmener, me faisant agiter mon cul en poussant de petits cris, comme pour m’obliger à m’abandonner avant de glisser ses doigts entre mes lèvres béantes et ruisselantes de ma petite chatte, avant de remonter entre mes fesses et se presser contre ma rondelle frémissante.
Il savait y faire et me tenait en haleine m’obligeant à cambrer encore et encore plus mes reins et aller au-devant de ses caresses.
Puis jugeant sans doute que j’étais prête, il m’avait saisi par les hanches, et je m’étais préparée à offrir enfin ma chatte affamée à ses assauts virils.
Mais ce n’est pas un sexe d’homme, chaud et frémissant, qui est venu m’écarteler la chatte. C’était le gode qui m’avait déjà visitée plusieurs fois déjà et que mes amantes se servaient pour m’embrocher.
Ce gode-ceinture, dont Carole aimait se servir lorsqu’il était attaché à son bassin… Alors j’ai hurlé :
- Carole !
J’ai crié son prénom, comme une révélation alors le gourdin de latex me défonçait la chatte.
Je jouissais presque malgré moi sans pouvoir chasser de mon esprit l’idée que mon amie avait tout manigancé à mon insu, alors j’ai répété :
- Carole ?
Et pour toute réponse, j’ai eu le contact glacé d’un gode métallique sur mon petit trou fripé, qui préalablement lubrifié s’est enfoncé inexorablement dans mon anus.
Sous l’effet du gobe enfoncé dans mes fesses et les coups de boutoir du gourdin de latex avec lequel on me pilonnait la chatte, je me suis mise à râler bruyamment, le visage enfoui dans les draps défaits. Le frottement des deux bites artificielles coulissant contre mes chairs provoquait des éclairs violents qui m’enflammaient la chatte et le cul.
- Arrête Carole, je t’en supplie, je n’en peux plus !
Mon mystérieux visiteur n’a pas obéi tout de suite, prolongeant encore pendant plus d’une minute l’orgasme ininterrompu qui m’embrasait le corps, puis il a arrêté les pénétrations de retirer lentement les deux lances enfoncées dans ms intimités.
C’était fini. Je me suis laissée retomber sur le lit avant de sentir le corps nu de mon amie venir se coller contre le mien, délivrer mes mains encore nouées au-dessus de ma tête, et poser un chapelet de baiser sur mon corps brûlant.
- Tu ne m’en veux pas trop ?
Pour toute réponse, j’ai tourné la tête pour aller à la rencontre de la bouche de mon amie, et laisser nos langues se mêler dans un baiser passionné.
Nous avons fait l’amour toute la nuit sans que je lui reproche quoi que ce soit, ce n’était ni l’heure, ni le moment, mais je songeais déjà à ma prochaine vengeance…
Au petit matin, Carole s’est réveillé les mains et les pieds attachés aux quatre coins du lit, elle m’a regardé surprise, mais elle a tout de suite compris que l’heure de la revanche était arrivée.
A suivre…
La question était sans ambiguïté, il avait apprécié et me demandait de revenir…
Un bref sentiment de honte et de gêne l’avait envahie en réalisant qu’elle venait de s’exhiber devant cet horrible personnage. Si elle aimait visiblement s’exhiber, elle n’appréciait pas d’être confrontée à ses voyeurs.
- Dites-moi plutôt qui vous a réservé la salle.
- Ce n’est pas vous ?
- Pourquoi aurais-je fait ça ?
- Pour le plaisir ou pour réaliser un fantasme !
- Ça arrive souvent que des femmes vous réservent une cabine pour venir s’exhiber et faire l’amour avec des inconnus.
Il a éclaté de rire car visiblement, c’était une pratique courante et l’une des spécialités de la maison. Des bourgeoises anonymes, plus ou moins jeunes, plus ou moins belles, venaient s’offrir aux regards des clients, pour le plaisir de tous.
Il était clair que je n’en tirerais rien de plus et j’allais donc quitter l’établissement, quand Didier m’a rappelé.
- N’oubliez pas vos cadeaux.
Et il m’a tendu un grand sac par-dessus le comptoir.
- Parfois les clients offrent des cadeaux aux filles et celui-ci a dû vous apprécier parce qu’il n’a pas lésiné sur la dépense.
Une panoplie de sex-toys et de s’entassaient dans le sac grand ouvert, je n’allais pas refuser et de lui dire de tout garder, après tout, je les avais gagnés et si xiam me les avait offerts, c’était certainement pour une bonne raison.
- Et… pour la prochaine fois ? Me demanda Didier.
- Après avoir pris la carte du magasin, je lui ai dit :
- Je vous téléphonerais !
Tandis que je rentrais à mon appartement, j’avais la tête dans les nuages, n’ayant plus aucune crainte, ni aucune pudeur, à promener mon corps à moitié nu au milieu de la foule grouillante de la nuit.
Que de souvenirs en si peu de temps, tous sans exception étaient liés à des moments de plaisir aussi intenses que variés, mais le dernier plaisir avec mon inconnu allait-il avoir lieu ?
Arrivée à l’appartement, j’ai retiré mon trench-coat, et je n’ai pas fermé les rideaux du salon, restant nue, comme si j’invitais les occupants des appartements situés en face du mien à se délecter à leur guise de mon corps.
Je me suis servi un grand whisky-glace, pour apaiser ce feu qui me dévorait le corps, mais j’ai reçu un nouveau message, le carillon familier de ma boîte mails venait de retentir…
C’était lui.
De : xiam@hotmail.com
Envoyé le : Ven. 30 mars 2011, 22 h 05 min 46 s
Objet : Chère Laure,
J’espère que vous avez apprécié...
Comme je vous le disais, vous êtes faite pour le sexe.
Prenez du plaisir ce soir…
Une dizaine de photos accompagnaient le message.
Pour me donner le courage de les regarder, j’ai vidé d’un trait mon verre de whisky, puis un autre et j’ai fait défiler les photos une à une.
Sortant de mon immeuble, le haut de ses cuisses brillantes au-dessus de mes cuissardes noires, assise sur le banc du parc, les jambes croisées sous le regard pénétrant de l’inconnu, en train de me faire baiser appuyée à un arbre, à moitié nue, l’exhibition de mon cul, coquinement dévoilé, tandis que je sortais du parc, dans la rue grouillante, sous les regards admiratifs des passants et une série bien plus explicite, dans la cabine du sex-shop, offrant mon corps et mon sexe béant à l’objectif de l’appareil.
Je ne savais que penser. Il m’avait suivie toute la journée, épiant chacun de mes gestes, capturant à mon insu l’image de mon corps de plus en plus dénudé. Je m’en voulais d’avoir été une nouvelle fois son docile jouet, d’avoir répondu à chacun de ses ordres comme une petite chienne obéissant à son maître. J’avais envie de pleurer…
J’ai regardé dans le sac les objets en les sortant un à un du sac et en les déposant sur le canapé, un gode ceinture, deux godes réalistes, trois godes d’anus, des boules de Geisha et un œuf vibrant. Une parfaite panoplie destinée aux plaisirs féminin.
Puis Carole m’a téléphoné...
- Salut. Ça va ? Ta voix est bizarre.
- Je ne sais plus où j’en suis, Carole. Je crains que cette histoire ne finisse par me rendre folle.
- Qu’est-ce que tu racontes, tu es fatiguée voilà tout. Je crois que tu as eu pas mal d’émotions ces derniers temps, il faut décompresser, c’est tout. Allez, bois un verre de whisky et vas te coucher, demain il fera jour.
Mais je n’ai pu résister à lui raconter ma journée, ce que j’avais fait un peu mécaniquement au début, puis les extases successives, dans le par cet dans la cabine du peep-show, tout, je lui ai tout raconté.
Quand Carole a raccroché, je me suis écroulée sur le divan, trempée de sueur et remplie à nouveau de désirs, alors j’ai été prendre une douche pour reprendre mes esprits sous le massage revigorant des jets bouillonnants de la douche, en ressortant de la salle de bains, j’avais un nouveau message.
Le corps nu et trempé de l’eau de la douche, je l’ai regardé, c’était lui…
De : xiam@hotmail.com
Envoyé le : Ven. 30 mars 2011, 22 h 45 min 17 s
Objet : Chère Laure,
Je n’en peux plus de vous faire languir…
Ce soir, si vous le souhaitez, je me révèlerais à vous, je ne pourrais être chez vous que dans une heure, si vous le voulez.
Mais si vous acceptez, je vous demande de m’attendre les yeux bandés, allongée nue sur votre lit et de préférence sur le ventre, afin de me laisser profiter anonymement de votre corps…
C’est aussi pour cela que je vous demanderais de ne pas m’adresser la parole tant que je ne vous l’aurais pas adressée moi-même.
J’attends votre réponse….
J’avais attendu ce moment, à présent, je n’étais plus du tout sûr d’en avoir envie, refuser ou accepter. Au point où j’en étais à quoi bon ne pas aller au bout, alors j’ai envoyé un mail.
De : mignonne.laure@free.fr
Envoyé le : Ven. 30 mars 2011, 22 h 59 min 14 s
Objet : Inconnu
Je vous attendrais pour minuit, j’espère que vous ne me décevrez pas.
Laure
PS : vous devez connaitre mon adresse puisque vous avez fait une photo de moi sortant de l’immeuble, alors pas la peine de vous la transmettre.
Je me suis préparée et peu de temps après, alors que j’étais allongée nue, à plat ventre sur le lit, j’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir.
Il est là !
Une décharge électrique m’a traversé les chairs lorsque j’ai entendu le bruit de la porte d’entrée se refermant, puis le bruit de mouvements dans le salon, peut-être-était-il de train de fouiller dans mes affaires, il devait avoir découvert mes accessoires restés sur le canapé
Ce fut comme une libération d’entendre des pas dans le couloir menant à ma chambre et cette présence à côté de moi, trahie par une respiration plutôt douce et les arômes puissants d’un parfum masculin, aux relents de musc et d’ambre, une libération qui me fit couler une chaude humidité de mon sexe que j’ai senti couler entre mes cuisses, tandis que l’impatience commençait à monter en moi.
J’ai senti son regard glisser sur mon corps dénudé, avant que ses doigts ne viennent frôler ma peau. Il m’a pris les mains pour les amener au-dessus de ma tête et je me suis laissé faire, définitivement offerte aux désirs de mon mystérieux visiteur, inconnu.
Trois minutes plus tard, je gisais les poignets noués au-dessus de ma tête, toujours sur le ventre, mon sexe béant brillait des liqueurs qui ne cessaient de s’écouler de ma caverne.
Les mains et les lèvres de xiam étaient douces, presque féminines, j’aurais aimé qu’il vienne me dévorer la bouche, mais il était trop occupé à me dévorer le dos, les fesses, les cuisses, retardant le moment où il s’attaquerait au fruit juteux qui frémissait d’impatience entre ses cuisses.
Lorsque la langue est enfin venue se glisser dans ma raie des fesses, un frisson m’a parcouru, puis la langue est descendue pour aller titiller mon petit bouton et mes fesses se sont brusquement relevées, comme pour faciliter l’accès, lançant mon sexe à la rencontre de cette bouche dévorante, déclenchant par la même occasion un long jet de cyprine qui a dû inonder le visage de mon mystérieux amant.
Il s’est éloigné un instant, et j’ai eu peur qu’il ne m’abandonne déjà, mais j’ai bientôt entendu le bruit d’un petit moteur dont je n’ai pas tardé à en deviner l’origine. J’ai poussé un râle de plaisir lorsque la tête du vibro est venue se poser sur son clitoris gonflé de désir et j’ai jouis durant de longues minutes, faisant trembler mon corps au rythme de l’énorme engin enfoncé dans ma chatte, puis il m’a de nouveau abandonné, le cul baignant dans les vagues salées de mes orgasmes.
Je suis restée seule dans la chambre, reprenant peu à peu mon souffle et mes esprits, je ne pouvais toujours pas deviner qui pouvait être son mystérieux inconnu, mais je fus sortie de mes réflexions lorsque l’inconnu est revenu dans la chambre pour me soulever le ventre et passer un coussin dessous, la tête posée entre ses bras toujours attachés au sommet du lit.
Ainsi disposée, j’avais le cul cambré et offert à toutes ses velléités.
Il lui m’a caressé avec ses mains qui parcouraient sensuellement chaque centimètre de mon corps, puis la tête enfoncée dans les draps, il m’a obligée à m’agenouiller pour que je lui offre le spectacle enivrant de mon cul dressé.
Il a pris mon clitoris entre ses doigts pour le malmener, me faisant agiter mon cul en poussant de petits cris, comme pour m’obliger à m’abandonner avant de glisser ses doigts entre mes lèvres béantes et ruisselantes de ma petite chatte, avant de remonter entre mes fesses et se presser contre ma rondelle frémissante.
Il savait y faire et me tenait en haleine m’obligeant à cambrer encore et encore plus mes reins et aller au-devant de ses caresses.
Puis jugeant sans doute que j’étais prête, il m’avait saisi par les hanches, et je m’étais préparée à offrir enfin ma chatte affamée à ses assauts virils.
Mais ce n’est pas un sexe d’homme, chaud et frémissant, qui est venu m’écarteler la chatte. C’était le gode qui m’avait déjà visitée plusieurs fois déjà et que mes amantes se servaient pour m’embrocher.
Ce gode-ceinture, dont Carole aimait se servir lorsqu’il était attaché à son bassin… Alors j’ai hurlé :
- Carole !
J’ai crié son prénom, comme une révélation alors le gourdin de latex me défonçait la chatte.
Je jouissais presque malgré moi sans pouvoir chasser de mon esprit l’idée que mon amie avait tout manigancé à mon insu, alors j’ai répété :
- Carole ?
Et pour toute réponse, j’ai eu le contact glacé d’un gode métallique sur mon petit trou fripé, qui préalablement lubrifié s’est enfoncé inexorablement dans mon anus.
Sous l’effet du gobe enfoncé dans mes fesses et les coups de boutoir du gourdin de latex avec lequel on me pilonnait la chatte, je me suis mise à râler bruyamment, le visage enfoui dans les draps défaits. Le frottement des deux bites artificielles coulissant contre mes chairs provoquait des éclairs violents qui m’enflammaient la chatte et le cul.
- Arrête Carole, je t’en supplie, je n’en peux plus !
Mon mystérieux visiteur n’a pas obéi tout de suite, prolongeant encore pendant plus d’une minute l’orgasme ininterrompu qui m’embrasait le corps, puis il a arrêté les pénétrations de retirer lentement les deux lances enfoncées dans ms intimités.
C’était fini. Je me suis laissée retomber sur le lit avant de sentir le corps nu de mon amie venir se coller contre le mien, délivrer mes mains encore nouées au-dessus de ma tête, et poser un chapelet de baiser sur mon corps brûlant.
- Tu ne m’en veux pas trop ?
Pour toute réponse, j’ai tourné la tête pour aller à la rencontre de la bouche de mon amie, et laisser nos langues se mêler dans un baiser passionné.
Nous avons fait l’amour toute la nuit sans que je lui reproche quoi que ce soit, ce n’était ni l’heure, ni le moment, mais je songeais déjà à ma prochaine vengeance…
Au petit matin, Carole s’est réveillé les mains et les pieds attachés aux quatre coins du lit, elle m’a regardé surprise, mais elle a tout de suite compris que l’heure de la revanche était arrivée.
A suivre…
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