Leslie NR11
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2016 dans la catégorie A dormir debout
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Leslie NR11
Leslie RN11 – Nouveaux récits
Récits d’un rêve. Ah si seulement…
« Au premier contact, j’ai frémit, bien que prête j’ai inconsciemment fait un mouvement de recul pour échapper au contact…
Rapide et fugace, des bouts de doigts avaient simplement parcouru ma peau nue, comme le souffle du vent caresse les blés en été, sans jamais s’arrêter.
Dans l’obscurité presque complète d’une pièce, sur le lit, je reposais nue sur le ventre, les fesses justes éclairées par un halo de lumière, me laissant dans une position quasiment indécente…
Je sursaute encore lorsqu’un doigt hardi dessine la courbe de mes reins avant de s’arrêter, hésitant, à la naissance du sillon de mes fesses, un court instant il ne bougea, puis s’enhardissant glissa doucement entre mes fesses, glissant mutin et délicat sur toute mon intimité, effleurant toute ma fente jusqu’à la perle nichée à la commissure de mes lèvres. Sans se hâter, il la fit doucement rouler, la dégageant de son petit capuchon en de gestes précis et délicats.
D’autres doigts se joignirent bientôt à la fête pour caresser sur mes chairs à vif, s’insinuant dans mon intimité, sans se presser en ouvrant progressivement les voies de mon plaisir.
Je me suis cambrer en ouvrant les jambes un peu plus pour m’offrir sans entrave aux caresses et les doigts prirent possession de mon corps qui s’ouvrait à eux, glissant toujours plus loin.
Fermant les yeux, soumise et consentante, je me laissais entraîner.
Bientôt un nouveau contact se fit, sur mon petit bouton une langue, certainement, venait de pointer. Des mains poussèrent sur mes chevilles pour m’ouvrir les jambes, encore plus pour laisser le champ libre à la tête qui venait de prendre possession de mon bas-ventre.
La langue experte commença sa danse infernale, se baladant sur toute mon intimité, tantôt taquinant mon clitoris, centre de mon plaisir, tantôt lapant goulûment mes lèvres débordantes de jouissance.
Les deux mains prirent mes fesses pour les écarter, faisant naître un torrent de plaisir qui m’emporta, me laissant sans réaction. La langue se promenait partout, glissait et s’insinuait en moi, tourbillonnait autour de ma perle maintenant chauffée à blanc.
Bientôt, elle s’aventura plus haut pour se poser subrepticement sur mon petit anneau que mes fesses maintenues ouvertes ne dissimulaient plus.
Mon bouton fut aspiré, léché, alors que les mains pétrissaient mes fesses, mon petit trou visité par la langue, puis par un doigt inquisiteur.
Je sentais l’excitation dans chacun des gestes qui exploraient mon corps, ce désir puissant et animal qu’une femme ressent au contact du mâle et qui me met toujours dans le même état.
A cet instant plus rien ne comptait sinon qu’un membre dur et gonflé de désir, conquérant, me possède…
Comme pour répondre à ma demande, la douce caresse d’un gland chaud se fit sentir sur mes lèvres gonflées par l’excitation, il les parcourut doucement de haut en bas, s’enfonçant à peine dans mon fourreau moelleux et humide, semblant se délecter de l’impatience qu’il provoquait en moi.
Puis, sans se hâter, le membre tendu s’enfonça en moi, d’un trait, ne s’arrêtant qu’en fin de course, lorsque le bas-ventre de mon assaillant toucha mes fesses.
Le membre était large et je me sentis délicieusement remplie. Des mains fortes me saisirent par les hanches et le corps derrière moi entama sa danse diabolique.
D’abord lents, les mouvements devinrent vite amples et réguliers, me pénétrant sans relâche en tentant d’aller plus loin encore, je m’abandonnais en me cambrant le plus possible pour accueillir le membre qui coulissait en moi, merveilleusement serré.
Mes chairs les plus intimes, écartelées par le sexe massif, me lançaient des ondes de plaisir, irradiant mon corps dans une douce volupté, mon fourreau brûlant fourmillait de mille sensations qui ne cessaient de grandir, prenant peu à peu possession de tout son corps.
La tête me tournait maintenant, la jouissance qui m’emportait était puissante, j’aurais voulu être baisée ainsi longtemps, sans jamais que ça s’arrête.
Tout mon corps était pris de tremblements incontrôlables, soumise au plaisir qui m’emportait, haletant et gémissant sans pouvoir me contrôler, je perdais pied par ce sexe qui me pénétrait sans relâche…
Soudain, il accéléra, me prenant de plus en plus vite, me bousculant à chaque poussée, sans faillir et de ma gorge s’échappa un cri de bonheur lorsque l’orgasme m’emporta.
A cet instant, son amant se plaqua contre moi, me maintenant de toutes ses forces pour exploser, bien calé au plus profond de mon ventre.
Je me fis accueillante pour profiter de chaque tressaillement du sexe qui se vidait en moi dans de grandes saccades désordonnées.
Dans un dernier élan conquérant, il se retira soudain, et presque aussitôt, son gland luisant de nos deux jus mêlés et encore parcouru de spasmes violent plongea entre mes fesses cambrées. Mon petit anneau, longuement titillé par une langue et des doigts curieux, ne résista pas longtemps et s’ouvrit pour accueillir le membre en éruption.
Malgré les secousses qui la traversaient, la colonne de chair déchaînée progressa rapidement, continuant à cracher sa lave incandescente dans de puissants jets. Elle ne sembla se calmer qu’une fois enfouie au plus profond de moi.
Il s’attarda longuement entre mes fesses, profitant de mon anus accueillant pour continuer ses allers et venues, puis lentement il se retira, me laissant seulement sa jouissance en moi et un grand vide dans mon cul.
Les yeux mi-clos, je me suis laissé aller doucement, imaginant le spectacle de ma croupe cambrée et de mes deux orifices encore entrouverts, suintant de la jouissance du mâle qui m’avait possédé et qui commençait à s’échapper... »
Je vis dans l’obscurité, le réveil marqué deux heures, alors je me suis retournée vers le corps allongé de Laure auprès de moi, qui me regardait.
- Tu n’as pas honte de me réveiller ? demandais-je faussement sévère.
- Je ne t’ai pas réveillée, tu as dû faire un rêve ma Leslie.
- Certainement, dis-je.
- En plus franchement, ça devait être torride, car les draps en témoignent, regarde l’inondation que tu as faite, me dit Laure.
- J’ai rêvé que j’étais une femme et je t’avoue que ce rêve m’a mis dans un drôle d’état.
- Je le vois. Tu me raconteras ? Me demanda Laure.
- Je ne sais pas, on verra…
Et je me suis glissée sous la couette pour me rendormir, la tête pleine d’images, le corps emplit de sensations et le sexe raide. Laure attendra…
A suivre…
Récits d’un rêve. Ah si seulement…
« Au premier contact, j’ai frémit, bien que prête j’ai inconsciemment fait un mouvement de recul pour échapper au contact…
Rapide et fugace, des bouts de doigts avaient simplement parcouru ma peau nue, comme le souffle du vent caresse les blés en été, sans jamais s’arrêter.
Dans l’obscurité presque complète d’une pièce, sur le lit, je reposais nue sur le ventre, les fesses justes éclairées par un halo de lumière, me laissant dans une position quasiment indécente…
Je sursaute encore lorsqu’un doigt hardi dessine la courbe de mes reins avant de s’arrêter, hésitant, à la naissance du sillon de mes fesses, un court instant il ne bougea, puis s’enhardissant glissa doucement entre mes fesses, glissant mutin et délicat sur toute mon intimité, effleurant toute ma fente jusqu’à la perle nichée à la commissure de mes lèvres. Sans se hâter, il la fit doucement rouler, la dégageant de son petit capuchon en de gestes précis et délicats.
D’autres doigts se joignirent bientôt à la fête pour caresser sur mes chairs à vif, s’insinuant dans mon intimité, sans se presser en ouvrant progressivement les voies de mon plaisir.
Je me suis cambrer en ouvrant les jambes un peu plus pour m’offrir sans entrave aux caresses et les doigts prirent possession de mon corps qui s’ouvrait à eux, glissant toujours plus loin.
Fermant les yeux, soumise et consentante, je me laissais entraîner.
Bientôt un nouveau contact se fit, sur mon petit bouton une langue, certainement, venait de pointer. Des mains poussèrent sur mes chevilles pour m’ouvrir les jambes, encore plus pour laisser le champ libre à la tête qui venait de prendre possession de mon bas-ventre.
La langue experte commença sa danse infernale, se baladant sur toute mon intimité, tantôt taquinant mon clitoris, centre de mon plaisir, tantôt lapant goulûment mes lèvres débordantes de jouissance.
Les deux mains prirent mes fesses pour les écarter, faisant naître un torrent de plaisir qui m’emporta, me laissant sans réaction. La langue se promenait partout, glissait et s’insinuait en moi, tourbillonnait autour de ma perle maintenant chauffée à blanc.
Bientôt, elle s’aventura plus haut pour se poser subrepticement sur mon petit anneau que mes fesses maintenues ouvertes ne dissimulaient plus.
Mon bouton fut aspiré, léché, alors que les mains pétrissaient mes fesses, mon petit trou visité par la langue, puis par un doigt inquisiteur.
Je sentais l’excitation dans chacun des gestes qui exploraient mon corps, ce désir puissant et animal qu’une femme ressent au contact du mâle et qui me met toujours dans le même état.
A cet instant plus rien ne comptait sinon qu’un membre dur et gonflé de désir, conquérant, me possède…
Comme pour répondre à ma demande, la douce caresse d’un gland chaud se fit sentir sur mes lèvres gonflées par l’excitation, il les parcourut doucement de haut en bas, s’enfonçant à peine dans mon fourreau moelleux et humide, semblant se délecter de l’impatience qu’il provoquait en moi.
Puis, sans se hâter, le membre tendu s’enfonça en moi, d’un trait, ne s’arrêtant qu’en fin de course, lorsque le bas-ventre de mon assaillant toucha mes fesses.
Le membre était large et je me sentis délicieusement remplie. Des mains fortes me saisirent par les hanches et le corps derrière moi entama sa danse diabolique.
D’abord lents, les mouvements devinrent vite amples et réguliers, me pénétrant sans relâche en tentant d’aller plus loin encore, je m’abandonnais en me cambrant le plus possible pour accueillir le membre qui coulissait en moi, merveilleusement serré.
Mes chairs les plus intimes, écartelées par le sexe massif, me lançaient des ondes de plaisir, irradiant mon corps dans une douce volupté, mon fourreau brûlant fourmillait de mille sensations qui ne cessaient de grandir, prenant peu à peu possession de tout son corps.
La tête me tournait maintenant, la jouissance qui m’emportait était puissante, j’aurais voulu être baisée ainsi longtemps, sans jamais que ça s’arrête.
Tout mon corps était pris de tremblements incontrôlables, soumise au plaisir qui m’emportait, haletant et gémissant sans pouvoir me contrôler, je perdais pied par ce sexe qui me pénétrait sans relâche…
Soudain, il accéléra, me prenant de plus en plus vite, me bousculant à chaque poussée, sans faillir et de ma gorge s’échappa un cri de bonheur lorsque l’orgasme m’emporta.
A cet instant, son amant se plaqua contre moi, me maintenant de toutes ses forces pour exploser, bien calé au plus profond de mon ventre.
Je me fis accueillante pour profiter de chaque tressaillement du sexe qui se vidait en moi dans de grandes saccades désordonnées.
Dans un dernier élan conquérant, il se retira soudain, et presque aussitôt, son gland luisant de nos deux jus mêlés et encore parcouru de spasmes violent plongea entre mes fesses cambrées. Mon petit anneau, longuement titillé par une langue et des doigts curieux, ne résista pas longtemps et s’ouvrit pour accueillir le membre en éruption.
Malgré les secousses qui la traversaient, la colonne de chair déchaînée progressa rapidement, continuant à cracher sa lave incandescente dans de puissants jets. Elle ne sembla se calmer qu’une fois enfouie au plus profond de moi.
Il s’attarda longuement entre mes fesses, profitant de mon anus accueillant pour continuer ses allers et venues, puis lentement il se retira, me laissant seulement sa jouissance en moi et un grand vide dans mon cul.
Les yeux mi-clos, je me suis laissé aller doucement, imaginant le spectacle de ma croupe cambrée et de mes deux orifices encore entrouverts, suintant de la jouissance du mâle qui m’avait possédé et qui commençait à s’échapper... »
Je vis dans l’obscurité, le réveil marqué deux heures, alors je me suis retournée vers le corps allongé de Laure auprès de moi, qui me regardait.
- Tu n’as pas honte de me réveiller ? demandais-je faussement sévère.
- Je ne t’ai pas réveillée, tu as dû faire un rêve ma Leslie.
- Certainement, dis-je.
- En plus franchement, ça devait être torride, car les draps en témoignent, regarde l’inondation que tu as faite, me dit Laure.
- J’ai rêvé que j’étais une femme et je t’avoue que ce rêve m’a mis dans un drôle d’état.
- Je le vois. Tu me raconteras ? Me demanda Laure.
- Je ne sais pas, on verra…
Et je me suis glissée sous la couette pour me rendormir, la tête pleine d’images, le corps emplit de sensations et le sexe raide. Laure attendra…
A suivre…
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