Leslie NR12 - Lesbienne active pour p’tit cul
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie NR12 - Lesbienne active pour p’tit cul
Leslie NR12 – Nouveaux récitsSouvenirs de jeune fille. Lesbienne active pour p’tit cul
J’en avais rêvé depuis bien longtemps…Moi, Ambre, jeune fille de vingt-ans, au corps mince et frêle, les seins à peine formés, des cheveux bruns et coupés courts à la garçonne me donnant cet air androgyne que j’aime bien montré, d’autant plus qu’en m’habillant en garçon je n’arrange rien à mon apparence, mais c’est ainsi que j’aime être.
J’avoue que ma vie sexuelle a commencé très jeune, initiée par une amie de ma mère de vingt-cinq ans plus âgée que moi, aux jeux saphiques, elle à, dans l’ambiance feutrée de sa chambre et dans le plus grand secret, parfait à mon éducation lesbienne.
Après une brève incartade vers les garçons et deux déceptions, je suis revenue dans le monde des femmes pour devenir définitivement lesbienne…Je ne manque pas une occasion qui se présente à moi, pour aller dans les bras d’une femme qui me plait, je ne suis pas nympho, simplement j’aime le sexe avec les femmes qui savent me donner du plaisir.
Mais durant toutes ces années et toutes mes expériences sexuelles, tant avec les femmes que les deux copains que j’ai eus, il est un fait, je n’ai jamais été pénétrée. Je ne sais pas si c’est un hasard ou une volonté de mes amantes du fait de mon jeune âge, mais le fait est là et c’est ainsi.
Alors au fil du temps, un fantasme est né en moi, celui d’être pénétrée, de me faire prendre par le gode d’une amante, sentir mon corps s’ouvrir sous ses assauts déchainés et connaitre, enfin, les délices de la pénétration.
Ainsi, ayant franchis le pas, je pourrais me donner sans crainte à mes futures amantes qui pourront me prendre, si elles le désirent, enfin si la première expérience n’est pas une nouvelle déception.
Alors, aujourd’hui je saute le pas, avec une inconnue rencontrée à la terrasse d’un café deux jours auparavant, elle m’a ouvertement dragué, sans complexe, puis après m’avoir séduite, puis après une longue conversation, elle a répondu positivement à mon désir, celui d’être pénétrée.
Lesbienne elle-même depuis des années, elle ne se cache pas d’être active et un peu dominante et adore la compagnie des jeunes filles, avouant sans complexe qu’elle aime les dévergonder et les pervertir, et encore mieux, leur prendre leur virginité…
Je suis devant la porte de chez elle et après avoir pris une grande bouffée d’air, je sonne, deux secondes plus tard, la porte s’ouvre et elle est devant moi, la peur me gagne un peu, mais le désir l’emporte, je ne bouge pas même si je tremblote un peu à l’idée que ce fantasme que j’ai depuis des années, va enfin se réaliser avec elle.
Elle me fait signe d’entrer, et je l’entends refermer la porte derrière moi, puis je sens sa main me pousser vers l’intérieur de la maison et j’avance donc sans me retourner.
Arrivées dans le salon, elle me fait asseoir dans un fauteuil et me laisse un instant la regarder…Un sourire sur ses lèvres lui donne de la douceur au visage, mais je la sens déterminée. Ses cheveux noirs de jais, coiffés en chignon, lui donne un air légèrement sévère faisant ressortir l’éclat bleu de ses yeux, les lèvres dont enduit de rouge carmin coordonnées avec ses ongles.
Un bustier demi-seins noir mat tranche avec la peau blanche de son cou et met en valeur ses magnifiques seins lourds dénudés, aux larges aréoles roses et aux bouts dressés. Les jambes habillées de bas noirs, chacun tenus par une jarretière en fine dentelle mettant en valeur ses cuisses fines et se terminant dans escarpins à talons aiguilles.
Mais ce qui retenait le plus l’attention sur cette femme, malgré sa beauté naturelle et la façon d’être vêtue, était le bas de son ventre équipé d’une ceinture phallique prête à me faire découvrir les nouvelles sensations que j’étais venu chercher.
D’elle en plus, s’échappait un parfum doux en enivrant.
Installées face à face dans le salon, nous prenons sans un mot le thé ensemble, elle ne cesse de me dévisager et parcourir mon corps. C’est une jeune soubrette, juste habillée d’un tablier couvrant à peine sa nudité qui nous sert, sa tenue ne couvre pas ses petits seins et masque à peine son pubis glabre, laissant ses fesses entièrement nues.
Aucun doute sur sa présence chez cette femme, elle doit être son amante, sa soumise et se laisser aller à tous les désirs de cette femme.
Après m’avoir versé mon thé, elle se retourne pour servir cette femme et en se penchant pour servir, je découvris planter dans son petit cul, un rosebud orné s’un saphir que laissait entrevoir ses fesses entrouvertes.
- Laure, avez-vous préparer la chambre mauve ?
- Oui Madame Carole, tout est comme vous le désirez.
- Bien, vous pouvez vous retirer…Laure, prit congé me laissant admirer son petit cul aux hanches étroites…
Puis, carole se leva et me dit :- Allons, Ambre, c’est le moment !
Elle me prend la main et m’emmène dans le lieu qu’elle a choisi pour officier, la chambre mauve, un voile mauve couvrant les fenêtres laisse passer une douce lumière, tous les murs sont recouverts d’une couleur mauve, un grand lit, une simple table et une chaise composent le mobilier, rien d’autre.
Elle m’arrête au milieu de la pièce et commence par me tourner autour, je peux à loisir profiter de sa plastique superbe, ses seins lourds se gonflant à chaque respiration.
Après quelques instants, elle commence par retirer mon tee-shirt, découvrant ma petite poitrine nue et laisse sa main parcourir mon torse, mon dos.
Elle défait ma ceinture et me dit de me mettre nue.
Je m’exécute aussitôt, les chaussures sont retirées, puis les socquettes, le pantalon et la culotte tombent sous son regard et malgré que je sois tout de même un peu intimidée, je sens mon sexe s’humidifier un tout petit peu…Une fois que je suis nue, elle passe derrière moi et place ses seins contre mon dos. Je sens sa main qui s’empare de mon sexe et commence à le caresser, il ne faut que quelques instants pour que je mouille comme une petite cochonne.
- Bien, me dit-elle, tu mouilles déjà, cela va faciliter la tâche !
Quelques instants plus tard, elle me fait asseoir sur le bord de la table, puis relever les jambes en me faisant poser les pieds sur la table et de ses deux mains écartent mes genoux, ainsi dans cette position je suis complètement accessible, ma vulve complètement épilée est grande ouverte à la vue de Carole, qui ne se prive pas de la regarder…Puis elle me caresse les cuisses en remontant lentement vers mon intimité, je sens ses doigts sur mon bouton qui le caresse pour l’exciter, et un doigt entre en moi, s’enfonce profondément et Carole en me regardant me demande :- Tu n’as jamais été pénétrée ?
- Non jamais, par rien, même pas moi dans mes instants solitaires.
- Tu n’as plus d’hymen, as-tu fais de la danse ?
- Oui pendant dix ans quand j’étais plus jeune ;- Bon, voilà certainement la raison, c’est mieux, tu auras à peine mal…Tout en parlant, elle à continuer de me masturber le clito et la vulve de ses doigts, maintenant je suis trempée, Carole en a profité pour se rapprocher de moi et je sens le gode tout contre moi, elle avance doucement, ça y est, je le sens contre ma vulve et commence à entrer.
Après une légère gêne, du fait de la première fois je dois être étroite et le gland doit passer, puis d’un coup, voilà, il est en moi. J’ai un hoquet de surprise et je me rends compte que c’est vraiment très agréable. Elle ressort, rentre à nouveau et va un peu plus loin, une légère douleur vrille mon bas-ventre, mais aussitôt une chaleur monte de mon ventre et se propage en moi.
Elle est entièrement en moi et commence un va-et-vient lent, régulier, à ce rythme-là, il ne me faut pas longtemps pour que mon sexe soit trempé, je suis devenue une vraie fontaine.
Son mouvement s’accélère, elle me ramone de façon régulière et profonde, dès que je peux, j’agrippe ses cuisses pour qu’elle reste au plus profond de moi.
Et je jouis intensément en hurlant de plaisir et je la vois sourire.
Puis me prenant par la main, elle m’entraine sur le lit, où elle m’allonge sur le ventre, un coussin au niveau des hanches, ainsi mon petit cul est bien cambré et offert.
Je sens, aussitôt, un de ses doigts caresser mes fesses, puis se faire plus précis dans la raie, il s’y glisse et va vers mon orifice le plus intime…- Oh, non ! Dis-je en me crispant un peu.
- Voyons Ambre, laisse-toi aller, tu vas adorer.
Le doigt est désormais sur ma rosette, il en titille les bords puis entre un peu, ressort, continue sa danse lubrique et entre à nouveau, mais va plus profond. Cette caresse et ce qui peux suivre ensuite, la sodomie, pour avoir tellement entendu de chose là-dessus, je l’appréhendais, mais j’avoue que là, c’est très agréable.
Elle est douce, et prend son temps, je pense que me dépuceler le cul, doit lui faire plaisir.
Le balancement de sa poitrine m’hypnotise, et je ne me rends même pas compte qu’elle a maintenant deux doigts en moi. Lorsqu’elle les retire, un sentiment de frustration s’empare de moi ; j’en veux plus.
Lentement elle enduit son membre, puis elle écarte mes fesses et présente-le gode à l’entrée de mon anus, mais je sens qu’elle souhaite que je m’offre à elle, alors de mes deux mains j’écarte le plus possible mes fesses, lui dévoilant ma rosette et lui montrant que je suis toute à elle, soumise et prête à me faire prendre.
Je sens le gland se poser à l’orée de mon antre et puis, avancer tout doucement en moi, elle prend son temps, j’ai l’impression qu’elle a envie de profiter elle aussi de cet instant.
Instant magique d’une jeune fille offrant son cul pour une première sodomie.
Je ne ressens aucune douleur, juste le sentiment d’être écartelée et d’avoir le cul bien remplit.
Une fois au fond de moi, elle commence des allers-retours de plus en plus rapides, et de plus en plus profond, le claquement de ses cuisses sur mes fesses m’indique qu’elle me pénètre bien à fond, me faisant hurler en disant :- Que c’est gros, mais que c’est bon !
Elle ralentit, puis s’arrête enfoncée entièrement en moi, son corps collé au mien et ses seins s’écrasant dans mon dos. Elle halète dans mon cou et sa langue dans mon oreille me fait frissonner de plaisir.
Puis elle se redresse et reprend son rythme, quelques instant plus tard, je jouis de cette pénétration et je l’entends gémir de plaisir, alors elle accélère, me défonce littéralement comme une déchainée et nous jouissons ensemble.
Elle se couche sur moi, gémissante et je peux sentir sa transpiration inonder mon dos, puis elle se retire doucement et je sens sa langue qui passe sur mon cul et mon sexe et puis elle vient déposer un baiser sur mes lèvres en me faisant gouter ma jouissance qu’elle a recueillie sur sa langue…
Puis elle m’accompagne pour prendre une douche, je n’ai pas envie que ce moment s’arrête, je voudrais rester encore et être reprise sans cesse, c’est si bon…Une fois sortie de la douche et rhabillée, elle me dit qu’elle va me garder cette nuit pour me prendre et me reprendre et lui donner du plaisir aussi en lui rendant la pareille.
Après une nuit de débauche, je sens mes orifices chauffés à blanc, légèrement douloureux de toutes les pénétrations qu’ils ont subies, et lorsqu’elle me raccompagne à la porte, le lendemain matin, je ne pensais pas que je puisse jouir autant de toutes ces pénétrations, autant de fois en si peu de temps et surtout de mon intimité la plus secrète…Je la quitte heureuse et comblée, je sais que dorénavant je ne refuserais pas à une de mes amantes de s’harnachée d’un gode ceinture et de me pénétrer dans l’orifice de son choix, si elle en a le désir, car je pense aimer la sodomie.
A suivre…
J’en avais rêvé depuis bien longtemps…Moi, Ambre, jeune fille de vingt-ans, au corps mince et frêle, les seins à peine formés, des cheveux bruns et coupés courts à la garçonne me donnant cet air androgyne que j’aime bien montré, d’autant plus qu’en m’habillant en garçon je n’arrange rien à mon apparence, mais c’est ainsi que j’aime être.
J’avoue que ma vie sexuelle a commencé très jeune, initiée par une amie de ma mère de vingt-cinq ans plus âgée que moi, aux jeux saphiques, elle à, dans l’ambiance feutrée de sa chambre et dans le plus grand secret, parfait à mon éducation lesbienne.
Après une brève incartade vers les garçons et deux déceptions, je suis revenue dans le monde des femmes pour devenir définitivement lesbienne…Je ne manque pas une occasion qui se présente à moi, pour aller dans les bras d’une femme qui me plait, je ne suis pas nympho, simplement j’aime le sexe avec les femmes qui savent me donner du plaisir.
Mais durant toutes ces années et toutes mes expériences sexuelles, tant avec les femmes que les deux copains que j’ai eus, il est un fait, je n’ai jamais été pénétrée. Je ne sais pas si c’est un hasard ou une volonté de mes amantes du fait de mon jeune âge, mais le fait est là et c’est ainsi.
Alors au fil du temps, un fantasme est né en moi, celui d’être pénétrée, de me faire prendre par le gode d’une amante, sentir mon corps s’ouvrir sous ses assauts déchainés et connaitre, enfin, les délices de la pénétration.
Ainsi, ayant franchis le pas, je pourrais me donner sans crainte à mes futures amantes qui pourront me prendre, si elles le désirent, enfin si la première expérience n’est pas une nouvelle déception.
Alors, aujourd’hui je saute le pas, avec une inconnue rencontrée à la terrasse d’un café deux jours auparavant, elle m’a ouvertement dragué, sans complexe, puis après m’avoir séduite, puis après une longue conversation, elle a répondu positivement à mon désir, celui d’être pénétrée.
Lesbienne elle-même depuis des années, elle ne se cache pas d’être active et un peu dominante et adore la compagnie des jeunes filles, avouant sans complexe qu’elle aime les dévergonder et les pervertir, et encore mieux, leur prendre leur virginité…
Je suis devant la porte de chez elle et après avoir pris une grande bouffée d’air, je sonne, deux secondes plus tard, la porte s’ouvre et elle est devant moi, la peur me gagne un peu, mais le désir l’emporte, je ne bouge pas même si je tremblote un peu à l’idée que ce fantasme que j’ai depuis des années, va enfin se réaliser avec elle.
Elle me fait signe d’entrer, et je l’entends refermer la porte derrière moi, puis je sens sa main me pousser vers l’intérieur de la maison et j’avance donc sans me retourner.
Arrivées dans le salon, elle me fait asseoir dans un fauteuil et me laisse un instant la regarder…Un sourire sur ses lèvres lui donne de la douceur au visage, mais je la sens déterminée. Ses cheveux noirs de jais, coiffés en chignon, lui donne un air légèrement sévère faisant ressortir l’éclat bleu de ses yeux, les lèvres dont enduit de rouge carmin coordonnées avec ses ongles.
Un bustier demi-seins noir mat tranche avec la peau blanche de son cou et met en valeur ses magnifiques seins lourds dénudés, aux larges aréoles roses et aux bouts dressés. Les jambes habillées de bas noirs, chacun tenus par une jarretière en fine dentelle mettant en valeur ses cuisses fines et se terminant dans escarpins à talons aiguilles.
Mais ce qui retenait le plus l’attention sur cette femme, malgré sa beauté naturelle et la façon d’être vêtue, était le bas de son ventre équipé d’une ceinture phallique prête à me faire découvrir les nouvelles sensations que j’étais venu chercher.
D’elle en plus, s’échappait un parfum doux en enivrant.
Installées face à face dans le salon, nous prenons sans un mot le thé ensemble, elle ne cesse de me dévisager et parcourir mon corps. C’est une jeune soubrette, juste habillée d’un tablier couvrant à peine sa nudité qui nous sert, sa tenue ne couvre pas ses petits seins et masque à peine son pubis glabre, laissant ses fesses entièrement nues.
Aucun doute sur sa présence chez cette femme, elle doit être son amante, sa soumise et se laisser aller à tous les désirs de cette femme.
Après m’avoir versé mon thé, elle se retourne pour servir cette femme et en se penchant pour servir, je découvris planter dans son petit cul, un rosebud orné s’un saphir que laissait entrevoir ses fesses entrouvertes.
- Laure, avez-vous préparer la chambre mauve ?
- Oui Madame Carole, tout est comme vous le désirez.
- Bien, vous pouvez vous retirer…Laure, prit congé me laissant admirer son petit cul aux hanches étroites…
Puis, carole se leva et me dit :- Allons, Ambre, c’est le moment !
Elle me prend la main et m’emmène dans le lieu qu’elle a choisi pour officier, la chambre mauve, un voile mauve couvrant les fenêtres laisse passer une douce lumière, tous les murs sont recouverts d’une couleur mauve, un grand lit, une simple table et une chaise composent le mobilier, rien d’autre.
Elle m’arrête au milieu de la pièce et commence par me tourner autour, je peux à loisir profiter de sa plastique superbe, ses seins lourds se gonflant à chaque respiration.
Après quelques instants, elle commence par retirer mon tee-shirt, découvrant ma petite poitrine nue et laisse sa main parcourir mon torse, mon dos.
Elle défait ma ceinture et me dit de me mettre nue.
Je m’exécute aussitôt, les chaussures sont retirées, puis les socquettes, le pantalon et la culotte tombent sous son regard et malgré que je sois tout de même un peu intimidée, je sens mon sexe s’humidifier un tout petit peu…Une fois que je suis nue, elle passe derrière moi et place ses seins contre mon dos. Je sens sa main qui s’empare de mon sexe et commence à le caresser, il ne faut que quelques instants pour que je mouille comme une petite cochonne.
- Bien, me dit-elle, tu mouilles déjà, cela va faciliter la tâche !
Quelques instants plus tard, elle me fait asseoir sur le bord de la table, puis relever les jambes en me faisant poser les pieds sur la table et de ses deux mains écartent mes genoux, ainsi dans cette position je suis complètement accessible, ma vulve complètement épilée est grande ouverte à la vue de Carole, qui ne se prive pas de la regarder…Puis elle me caresse les cuisses en remontant lentement vers mon intimité, je sens ses doigts sur mon bouton qui le caresse pour l’exciter, et un doigt entre en moi, s’enfonce profondément et Carole en me regardant me demande :- Tu n’as jamais été pénétrée ?
- Non jamais, par rien, même pas moi dans mes instants solitaires.
- Tu n’as plus d’hymen, as-tu fais de la danse ?
- Oui pendant dix ans quand j’étais plus jeune ;- Bon, voilà certainement la raison, c’est mieux, tu auras à peine mal…Tout en parlant, elle à continuer de me masturber le clito et la vulve de ses doigts, maintenant je suis trempée, Carole en a profité pour se rapprocher de moi et je sens le gode tout contre moi, elle avance doucement, ça y est, je le sens contre ma vulve et commence à entrer.
Après une légère gêne, du fait de la première fois je dois être étroite et le gland doit passer, puis d’un coup, voilà, il est en moi. J’ai un hoquet de surprise et je me rends compte que c’est vraiment très agréable. Elle ressort, rentre à nouveau et va un peu plus loin, une légère douleur vrille mon bas-ventre, mais aussitôt une chaleur monte de mon ventre et se propage en moi.
Elle est entièrement en moi et commence un va-et-vient lent, régulier, à ce rythme-là, il ne me faut pas longtemps pour que mon sexe soit trempé, je suis devenue une vraie fontaine.
Son mouvement s’accélère, elle me ramone de façon régulière et profonde, dès que je peux, j’agrippe ses cuisses pour qu’elle reste au plus profond de moi.
Et je jouis intensément en hurlant de plaisir et je la vois sourire.
Puis me prenant par la main, elle m’entraine sur le lit, où elle m’allonge sur le ventre, un coussin au niveau des hanches, ainsi mon petit cul est bien cambré et offert.
Je sens, aussitôt, un de ses doigts caresser mes fesses, puis se faire plus précis dans la raie, il s’y glisse et va vers mon orifice le plus intime…- Oh, non ! Dis-je en me crispant un peu.
- Voyons Ambre, laisse-toi aller, tu vas adorer.
Le doigt est désormais sur ma rosette, il en titille les bords puis entre un peu, ressort, continue sa danse lubrique et entre à nouveau, mais va plus profond. Cette caresse et ce qui peux suivre ensuite, la sodomie, pour avoir tellement entendu de chose là-dessus, je l’appréhendais, mais j’avoue que là, c’est très agréable.
Elle est douce, et prend son temps, je pense que me dépuceler le cul, doit lui faire plaisir.
Le balancement de sa poitrine m’hypnotise, et je ne me rends même pas compte qu’elle a maintenant deux doigts en moi. Lorsqu’elle les retire, un sentiment de frustration s’empare de moi ; j’en veux plus.
Lentement elle enduit son membre, puis elle écarte mes fesses et présente-le gode à l’entrée de mon anus, mais je sens qu’elle souhaite que je m’offre à elle, alors de mes deux mains j’écarte le plus possible mes fesses, lui dévoilant ma rosette et lui montrant que je suis toute à elle, soumise et prête à me faire prendre.
Je sens le gland se poser à l’orée de mon antre et puis, avancer tout doucement en moi, elle prend son temps, j’ai l’impression qu’elle a envie de profiter elle aussi de cet instant.
Instant magique d’une jeune fille offrant son cul pour une première sodomie.
Je ne ressens aucune douleur, juste le sentiment d’être écartelée et d’avoir le cul bien remplit.
Une fois au fond de moi, elle commence des allers-retours de plus en plus rapides, et de plus en plus profond, le claquement de ses cuisses sur mes fesses m’indique qu’elle me pénètre bien à fond, me faisant hurler en disant :- Que c’est gros, mais que c’est bon !
Elle ralentit, puis s’arrête enfoncée entièrement en moi, son corps collé au mien et ses seins s’écrasant dans mon dos. Elle halète dans mon cou et sa langue dans mon oreille me fait frissonner de plaisir.
Puis elle se redresse et reprend son rythme, quelques instant plus tard, je jouis de cette pénétration et je l’entends gémir de plaisir, alors elle accélère, me défonce littéralement comme une déchainée et nous jouissons ensemble.
Elle se couche sur moi, gémissante et je peux sentir sa transpiration inonder mon dos, puis elle se retire doucement et je sens sa langue qui passe sur mon cul et mon sexe et puis elle vient déposer un baiser sur mes lèvres en me faisant gouter ma jouissance qu’elle a recueillie sur sa langue…
Puis elle m’accompagne pour prendre une douche, je n’ai pas envie que ce moment s’arrête, je voudrais rester encore et être reprise sans cesse, c’est si bon…Une fois sortie de la douche et rhabillée, elle me dit qu’elle va me garder cette nuit pour me prendre et me reprendre et lui donner du plaisir aussi en lui rendant la pareille.
Après une nuit de débauche, je sens mes orifices chauffés à blanc, légèrement douloureux de toutes les pénétrations qu’ils ont subies, et lorsqu’elle me raccompagne à la porte, le lendemain matin, je ne pensais pas que je puisse jouir autant de toutes ces pénétrations, autant de fois en si peu de temps et surtout de mon intimité la plus secrète…Je la quitte heureuse et comblée, je sais que dorénavant je ne refuserais pas à une de mes amantes de s’harnachée d’un gode ceinture et de me pénétrer dans l’orifice de son choix, si elle en a le désir, car je pense aimer la sodomie.
A suivre…
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