Leslie NR18
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie NR18
Leslie NR18 – Nouveaux récits
Réalisation d’un rêve – Paris Venise avec l’Orient-Express, suite et fin
Il me déshabille et m’allonge sur la couchette de sa cabine, puis il se met nu à son tour.
Son torse est complètement épilé tout comme son bas-ventre, son sexe est déjà raide et je suis un petit peu déçue. Ce bel homme si séduisant arbore un membre, certes convenable, mais je l’aurais aimé un peu plus épais, pour me laisser non pas un bon souvenir, mais un souvenir inoubliable, car le cadre si prête…
Il me présente son membre pour que je le suce, j’en ai très envie mais j’ai aussi envie de le sentir en moi et voir comment il va me laisser un bon souvenir de lui.
Il est très dur et je n’ai aucun mal à faire aller mes lèvres le long de sa verge pendant un instant, puis je lui présente mes fesses pour qu’il me prenne le cul.
Il se positionne derrière moi pour écarter mes fesses et me lécher la rondelle, il sait y faire le salaud, ce ne doit pas être la première fois qu’il prépare un cul pour la sodomie, sa langue est chaude sur mon œillet plissé et pour augmenter mon plaisir je me masturbe en même temps, c’est tellement bon.
Il se redresse, enfin il va me prendre, je m’allonge sur le ventre et il se met sur moi, je relève les fesses, et il ajuste son gland sur mon petit trou et pousse doucement pour introduire son sexe en moi.
Ça rentre tout seul tellement il m’a bien préparé la rondelle, et après une longue poussée, je le sens bien planté dans mon cul, bien au fond.
Il me tient par les épaules tout en me sodomisant, dans cette position il se sent dominant, je ne peux me relever et il me clou au lit de son membre par le cul, je suis prisonnière, sa chose.
Il me sodomise ainsi longtemps et doucement je le sens, ça monte tout doucement, il va me faire jouir, et je commence à, partir prise de tremblements…
Sentant que je pars, il accélère le mouvement.
Je me rends compte qu’il est endurant, le salaud et qu’il va m’enculer ainsi pendant des heures, il ne va pas me casser le cul mais il va y mettre le feu…
Parfois, il s’arrête de me pilonner, son membre bien au fond de moi, dans ces instants-là, nous ne bougeons plus, Il est resté planté en moi, raide et dur, me laissant sentir sa virilité qui me possède, puis ses mouvements reprennent, lents et tendres, mais néanmoins bien appuyés. Puis, je remonte encore un peu mes fesses pour me cambrer encore plus, alors il passe ses deux mains sous mon bassin pour me branler.
C’est une torture, je suis à vif, il me fait gémir de plaisir, puis il fait sortir son sexe de ma gaine anale, il le fait glisser un moment dans ma raie entre les fesses, et il veut me posséder à nouveau complètement.
Mon anus, à peine refermé s’ouvre à nouveau sous la poussée de son gland et je le sens une nouvelle fois s’insinuer tout doucement. Il envoie de petits coups de reins brefs, de plus en plus appuyés.
Je serre mon cul autour de son membre afin de lui donner un maximum de plaisir, c’est tellement bon, il va et vient m’arrachant des gémissements, cela dure encore de longues minutes, il résiste, repoussant l’échéance ultime où, jouissant il me remplira de son sperme chand…
Puis soudain, je le sens se cabrer, se tendre dans une dernière poussée, son membre est au plus profond de moi et il jouit en de longues saccades, en hurlant.
Pendant près de deux heures, il m’a enculé, cet inconnu est un expert et de plus il m’a fait jouir de nombreuses fois, je le prévoyais, j’ai le trou en compote !
Le temps de reprendre mes esprits, de me rhabiller et je me dirige vers la porte quand il essaie de me retenir. Je lui souris en le remerciant, en lui disant que c’était très bien, que je suis fatiguée et que je voudrais dormir, seule dans ma cabine.
Il me demande si on se reverra, je ne réponds pas et m’éclipse.
Il est quatre heures du matin quand je suis de retour dans ma cabine, je croise le steward qui me souhaite bonne nuit et qui me dit en souriant, des étincelles plein les yeux :
- Mademoiselle, j’espère que vous avez passé une très bonne soirée, n’hésitez pas à me demander si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis à votre disposition, une bonne nuit…
En entrant dans ma cabine, le steward a préparé ma cabine en la transformant en chambre confortable, il ne me reste plus qu’à me coucher et dormir, en pensant à cette soirée et au regard lubrique du steward.
Il est sept heures quand je me réveille et par la fenêtre de ma cabine je découvre un superbe panorama sur les alpes suisses, une petite toilette et je retourne regarder le paysage qui défile.
Une heure plus tard, le steward me dépose le petit déjeuner dans ma cabine.
Il est dix heures quand je m’installe dans la voiture piano-bar pour prendre un café, puis de retour dans ma cabine contempler le paysage qui défile sous mes yeux.
De retour dans la voiture-restaurant, j’ai dégusté un merveilleux déjeuner en compagnie de Pierre, mon inconnu et amant de la nuit, il m’a ouvertement fait comprendre que cela le comblerait de bonheur si, dans l’intimité de ma cabine, je lui permettais de m’enculer à nouveau.
Je l’ai donc, le déjeuner terminé, emmenée dans ma cabine, où à quatre pattes sur la banquette regardant le paysage unique des Dolomites italiennes, je l’ai laissé derrière moi à genoux, profiter à nouveau de mon cul.
Nous avons ensuite, ensemble dans ma cabine, prit le thé que le steward nous a servi avec un grand sourire et un regard malicieux à mon égard.
Puis Pierre à prit congé, le train longeait la lagune, juste le temps de se préparer et j’arrivais à Venise…
A suivre…
Réalisation d’un rêve – Paris Venise avec l’Orient-Express, suite et fin
Il me déshabille et m’allonge sur la couchette de sa cabine, puis il se met nu à son tour.
Son torse est complètement épilé tout comme son bas-ventre, son sexe est déjà raide et je suis un petit peu déçue. Ce bel homme si séduisant arbore un membre, certes convenable, mais je l’aurais aimé un peu plus épais, pour me laisser non pas un bon souvenir, mais un souvenir inoubliable, car le cadre si prête…
Il me présente son membre pour que je le suce, j’en ai très envie mais j’ai aussi envie de le sentir en moi et voir comment il va me laisser un bon souvenir de lui.
Il est très dur et je n’ai aucun mal à faire aller mes lèvres le long de sa verge pendant un instant, puis je lui présente mes fesses pour qu’il me prenne le cul.
Il se positionne derrière moi pour écarter mes fesses et me lécher la rondelle, il sait y faire le salaud, ce ne doit pas être la première fois qu’il prépare un cul pour la sodomie, sa langue est chaude sur mon œillet plissé et pour augmenter mon plaisir je me masturbe en même temps, c’est tellement bon.
Il se redresse, enfin il va me prendre, je m’allonge sur le ventre et il se met sur moi, je relève les fesses, et il ajuste son gland sur mon petit trou et pousse doucement pour introduire son sexe en moi.
Ça rentre tout seul tellement il m’a bien préparé la rondelle, et après une longue poussée, je le sens bien planté dans mon cul, bien au fond.
Il me tient par les épaules tout en me sodomisant, dans cette position il se sent dominant, je ne peux me relever et il me clou au lit de son membre par le cul, je suis prisonnière, sa chose.
Il me sodomise ainsi longtemps et doucement je le sens, ça monte tout doucement, il va me faire jouir, et je commence à, partir prise de tremblements…
Sentant que je pars, il accélère le mouvement.
Je me rends compte qu’il est endurant, le salaud et qu’il va m’enculer ainsi pendant des heures, il ne va pas me casser le cul mais il va y mettre le feu…
Parfois, il s’arrête de me pilonner, son membre bien au fond de moi, dans ces instants-là, nous ne bougeons plus, Il est resté planté en moi, raide et dur, me laissant sentir sa virilité qui me possède, puis ses mouvements reprennent, lents et tendres, mais néanmoins bien appuyés. Puis, je remonte encore un peu mes fesses pour me cambrer encore plus, alors il passe ses deux mains sous mon bassin pour me branler.
C’est une torture, je suis à vif, il me fait gémir de plaisir, puis il fait sortir son sexe de ma gaine anale, il le fait glisser un moment dans ma raie entre les fesses, et il veut me posséder à nouveau complètement.
Mon anus, à peine refermé s’ouvre à nouveau sous la poussée de son gland et je le sens une nouvelle fois s’insinuer tout doucement. Il envoie de petits coups de reins brefs, de plus en plus appuyés.
Je serre mon cul autour de son membre afin de lui donner un maximum de plaisir, c’est tellement bon, il va et vient m’arrachant des gémissements, cela dure encore de longues minutes, il résiste, repoussant l’échéance ultime où, jouissant il me remplira de son sperme chand…
Puis soudain, je le sens se cabrer, se tendre dans une dernière poussée, son membre est au plus profond de moi et il jouit en de longues saccades, en hurlant.
Pendant près de deux heures, il m’a enculé, cet inconnu est un expert et de plus il m’a fait jouir de nombreuses fois, je le prévoyais, j’ai le trou en compote !
Le temps de reprendre mes esprits, de me rhabiller et je me dirige vers la porte quand il essaie de me retenir. Je lui souris en le remerciant, en lui disant que c’était très bien, que je suis fatiguée et que je voudrais dormir, seule dans ma cabine.
Il me demande si on se reverra, je ne réponds pas et m’éclipse.
Il est quatre heures du matin quand je suis de retour dans ma cabine, je croise le steward qui me souhaite bonne nuit et qui me dit en souriant, des étincelles plein les yeux :
- Mademoiselle, j’espère que vous avez passé une très bonne soirée, n’hésitez pas à me demander si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis à votre disposition, une bonne nuit…
En entrant dans ma cabine, le steward a préparé ma cabine en la transformant en chambre confortable, il ne me reste plus qu’à me coucher et dormir, en pensant à cette soirée et au regard lubrique du steward.
Il est sept heures quand je me réveille et par la fenêtre de ma cabine je découvre un superbe panorama sur les alpes suisses, une petite toilette et je retourne regarder le paysage qui défile.
Une heure plus tard, le steward me dépose le petit déjeuner dans ma cabine.
Il est dix heures quand je m’installe dans la voiture piano-bar pour prendre un café, puis de retour dans ma cabine contempler le paysage qui défile sous mes yeux.
De retour dans la voiture-restaurant, j’ai dégusté un merveilleux déjeuner en compagnie de Pierre, mon inconnu et amant de la nuit, il m’a ouvertement fait comprendre que cela le comblerait de bonheur si, dans l’intimité de ma cabine, je lui permettais de m’enculer à nouveau.
Je l’ai donc, le déjeuner terminé, emmenée dans ma cabine, où à quatre pattes sur la banquette regardant le paysage unique des Dolomites italiennes, je l’ai laissé derrière moi à genoux, profiter à nouveau de mon cul.
Nous avons ensuite, ensemble dans ma cabine, prit le thé que le steward nous a servi avec un grand sourire et un regard malicieux à mon égard.
Puis Pierre à prit congé, le train longeait la lagune, juste le temps de se préparer et j’arrivais à Venise…
A suivre…
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