Leslie NR36
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2016 dans la catégorie Plus on est
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Leslie NR36
Leslie NR36 – Nouveaux récits
Le congrès – Mais pas que, suite
Avant que je puisse répondre, elle prit mon sexe dans sa bouche et commença une fellation divine… En même temps qu’elle me suçait, elle me malaxait les testicules. De temps en temps, elle me regardait dans les yeux, et me souriait.
Elle me suça avec vigueur pendant un long moment sous le regard attentif de Claude, puis ce qui devait arriver arriva, je me vidai dans sa bouche…
Sans se poser de question, elle avala le tout…
- Délicieux ! J’adore ton sexe, Leslie ! Allez, à toi de me lécher, maintenant.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Elle s’allongea sur un matelas posé sur le deck, elle retira son maillot de bain et écarta ses jambes, m’offrant sa vulve lisse et ouverte, alors j’approchai ma bouche de ses lèvres et commençai par lui lécher le clitoris…
Elle sentait bon, elle avait un goût doux et sucré, c’était très agréable, puis ma langue s’insinua dans son vagin et aux contractions de son ventre, je sentais qu’elle appréciait beaucoup le traitement que je lui infligeais et vu l’humidité de son sexe, je pense qu’elle adorait ça.
De temps à autre, ma langue s’égarait sur son petit trou. Elle semblait apprécier aussi ces incursions qui la faisait gémir….
Son homme ne perdait pas un instant et regardait tout en emmenant le bateau vers le large, puis à un moment, il stoppa les moteurs et après avoir ôté son caleçon de bain, se mis à se masturber en nous regardant.
Je mis mon majeur dans ma bouche, pour bien l’humidifier, puis je l’ai introduit dans les fesses de Cathy et j’entamais des va-et-vient langoureux, tout en continuant de la lécher.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle jouit brutalement !
- Waouh… trop bon ! Putain tu m’as fait jouir de première et en plus, ton doigt dans mes fesses, c’était divin… j’ai adoré.
Je me suis redressée, le membre raide et je l’ai prise sans ménagement la faisant hurler de plaisir…
- Toi, tu sais y faire, déclara Claude, je te prendrais bien tout de suite…
- Je voudrais me baigner, dis-je, par contre, si tu veux, quand je sors de l’eau, tu pourras me prendre en levrette !
- Alors vas vite te baigner…
- Impatient… Au fait, rappelle-toi que j’ai du gel à bord car avec toi, gauler comme tu es, je pense que je vais en avoir besoin…
- Cathy s’est habituée, tu verras tu vas hurler de plaisir…
- Bon, nous verrons cela dans un instant, dis-je.
Je me suis levée et toute nue j’ai plongé dans l’eau, elle était bonne et j’ai nagé un petit moment sans m’éloigner du bateau, puis je suis remontée, dix minutes plus tard, j’émergeai de l’onde !
Je me suis déchée et me suis postée devant la console de navigation, les reins cambrés et les seins dressés, ma peau encore humide brillait au soleil, mes fesses étaient un tout petit peu plus blanches que le reste de mon corps qui depuis que j’étais dans le sud était constamment halé.
En regardant Claude dans les yeux j’ai commencé à me masturber avec ma main droite en disant à Claude :
- Allez viens, occupe-toi de moi maintenant…
Je bandais comme un folle, lui aussi d’ailleurs, ce qui me fit frissonner, il se positionna derrière moi et je cambrais un peu plus les reins, en lui disant :
- N’oublie pas le gel !
Il prit un tube de gel qui était sur la console de commandes et m’enduisit copieusement le cul, en n’oubliant pas de m’en faire entrer quelque peu dans le conduit à l’aide de son doigt. Cathy nous observait allongée dans un transat…
Puis se positionnant, lentement, il me pénétra, avec un peu de difficulté au début car son membre était vraiment épais, puis ensuite il entra toute la longueur de son sexe en moi.
- Ah, c’est bon… Vas-y, enfonce-toi bien, c’est divin.
Il ne se fit pas prier, sa main gauche enserrait mon sein gauche et sa main droite était bien agrippée à ma hanche, ainsi il me besogna lentement et j’avoue que c’était super bon.
- Comme il est bon ton petit cul serré, dit-il.
- J’espère que je me régalerais du tien, répondis-je.
- Ne t’inquiète pas, tu verras, je te ferai bien bander et tu pourras apprécier de me sodomiser.
- Ohhh oui, pour l’instant si tu pouvais aller un peu plus vite.
Son ventre tapait contre mes fesses, il accéléra la cadence… Il sortait de plus en plus, et rentrait d’un coup, à fond…
- Oui… continue comme ça… je vais jouir…
Je lui ai attrapé ses testicules avec ma main, et les ai serrés, aussitôt il a tout envoyé d’un coup au fond de mes entrailles.
- Mince, j’ai joui dans ton cul !
- Et alors, tu voulais jouir où, lui dis-je, mais ne t’inquiète pas, pour ce côté-là pas besoin de prendre la pilule, mais putain que c’était bon et fort ! Waouh, trop bon…
- J’ai vu que tu avais jouis toi aussi ?
- Oui, Claude.
On est resté soudés quelques minutes, puis il s’est extrait de mon cul…
Je me suis allongée près de Cathy pendant que Claude retournait vers la terre afin de trouver un point de mouillage pour la nuit.
- Tu aimes te faire enculer ? Me demanda Cathy.
- Dans mon état je ne vois pas comment faire autrement.
- Tu pourrais songer à te faire opérer.
- Je ne suis pas très chaude pour passer sur la table d’opérations, et puis je suis en couple avec une jeune femme, alors tu comprends que l’opération ne me parle guère.
- Oui, c’est un fait.
- Et toi, tu aimes ça ? osai-je demander…
- J’adore et surtout avec Claude, bien que les premières fois n’aient pas été très agréables, avec Claude c’est différent, il est tendre et pas brutal, avec lui je m’éclate par le cul, et j’en profite méchamment.
Le repas fut des plus agréables. Nous avons discuté de tout et de rien, nous nous sommes trouvés beaucoup de points communs, nous avons parlé de nous et j’ai appris que Claude, issue d’une riche famille d’industriels, avait été marié une première fois, une jeune fille élevée strictement dans une éducation religieuse qui lui avait offert une vie conjugale monotone, elle s’avéra coincée sur tout ce qui touchait au sexe, jusqu’au jour où il l’avait trouvée, un bel après-midi, en train de se faire vigoureusement sodomiser par son professeur d’aquagym dans le lit conjugal
Rapidement divorcé, Cathy était devenue sa maîtresse moins d’une semaine après la séparation, et juste après le divorce ils avaient décidés de vivre sur le yacht flambant neuf que Claude venait d’acheter.
Ils se trouvèrent une passion commune pour la bisexualité et les petits moments entre amis, Claude, malgré ses quarante ans avait des revenus largement suffisants pour vivre une vie de roturier et se consacrer à ses penchants sexuels.
Le repas terminé, je me suis isolée sur le pont avant, la nuit était calme, une belle lune éclairait la mer et faisait scintiller les légers flots, un moment de tranquillité, j’aimais ce moment de détente, ce calme… et la relative fraîcheur du soir.
Je me suis allongé sur un matelas, les mains croisées derrière la tête. C’est là que Claude m’a rejoint.
- Leslie ?
- Oui, Claude ?
Il était devant moi et je constatais qu’il était toujours nu et présentait un début d’érection.
- Voilà, je voudrais te remercier pour cette super journée et du plaisir que tu as offert à Cathy.
- Mais tu n’as pas à me remercier, j’ai passé une excellente journée aussi !
- Cathy est allée se coucher, tu l’as crevé, mais ce n’est pas le cas pour moi, regarde !
Il présentait une belle érection, puis il fit demi-tour et me présenta ses fesses, en me disant :
- Tu sais de quoi j’ai envie ?
J’avais ma petite idée, mais je fis l’ingénue en lui répondant :
- Je n’en ai pas la moindre idée ! Mais tu pourrais me mettre sur la voie…
- Alors là, tu le fais exprès, je viens de me mettre plein de gel dans mes fesses, et je te les offre pour te remercier ! Sois juste douce, au moins au début ce n’est pas tous les jours que j’offre mon cul, même si j’adore ça ! C’est tout ce que je te demande…
En disant cela, il se mit à quatre pattes sur le deuxième matelas, les fesses bien relevées et ouvertes. En mer, les côtes à plusieurs centaines de mètres de notre point de mouillage personne ne pouvait nous voir et si même…
De mon matelas, j’avais une vue directe sur son anus et son membre raide, un joli spectacle et si attirant, comment résister ?
Mon sexe durcit immédiatement, alors je me suis levée et je me suis approchée de lui, je me suis agenouillée derrière lui et j’ai saisi ses hanches, aussitôt mon sexe vint buter contre ses fesses et je l’ai senti frémir…
- J’ai envie… Vas-y doucement au début, ça fait longtemps que je ne me suis pas fait sodomiser.
- D’accord. Tu vas adorer !
- J’en suis certain car tu dois avoir l’habitude…
- On peut dire que j’ai de l’expérience.
Je positionnais mon gland sur son anus, et je commençais à pousser pour la pénétrer.
- Oui… Encule-moi ma belle…
Mon membre se faisait un passage au centre de son petit trou serré et petit à petit il s’enfonçait dans le fourreau anal de Claude.
- Ohhh, ça rentre, oui tu y es ! Comme tu me la mets bien !
Mon gland venait de franchir son anneau, ça rentrait plus facilement maintenant.
- Ah Leslie… Ahhh, ça rentre ! Tu me fourres profond…
Je l’ai sodomisée pendant un bon quart d’heure, alternant la douceur du mouvement, puis accélérant le rythme, Claude aux anges ne cessaient de geindre et de pousser des petits grognements de plaisir.
- Ahhh, que, c’est bon, ne cessait-il de dire.
Il se masturbait furieusement en même temps que je lui pilonnais le cul, puis soudain n’arrivant plus à me retenir, et me vidais dans ses entrailles…
Putain que c’était bon, dit-il… On s’allonge ? Mais reste dans mon cul un instant…
Il se mit à plat ventre, puis nous nous sommes tournés sur le côté. J’étais toujours fichée dans ses fesses.
- Merci Leslie, c’était divin… Reste encore un peu, j’aime cette sensation d’être remplit…
Tout en parlant, je lui caressais le sexe, qui même s’il avait débandé était encore imposant.
- Ce que j’aime en toi, c’est ta spontanéité et ta simplicité devant la vie, tu acceptes de venir avec nous et tu fais l’amour en offrant ton sexe ou ton cul, et cela naturellement.
Le lendemain matin, jeudi, je me réveillai vers 8 heures, attiré par une bonne odeur de café. Cathy avait mis la table du petit déjeuner.
Nous avons déjeuner ensemble, Claude dormait encore, puis nous nous sommes douchés, chacun notre tour, vu l’exiguïté de la cabine de douche.
Lorsque je suis sortie de la salle de bain, Cathy m’attendait toute nue et elle me dit :
Claude dort encore et j’aimerais que tu me sodomise, ton doigt hier m’a laissé sur ma faim…
Elle est sortie pour s’installer sur un matelas, les jambes repliées sur son ventre. complètement offerte.
- Leslie, ça me ferait plaisir si tu me masturbais et si tu me remettais ton doigt dans le cul, comme hier… J’ai adoré. Moi, je te branlerai et je te mettrai aussi mon doigt dans ton joli petit cul, si tu veux, puis tu m’enculeras.
Il en fut fait comme elle le demandait, je me suis installée au-dessus d’elle pour la lécher en la doigtant, elle me branlait d’une main et me suçait de temps en temps pour me garder en érection, non sans oublier de taquiner mon petit trou en se permettant de me rentrer son doigt de temps en temps.
J’embrassais et léchais son sexe en la faisant gémir, et elle mouillait de façon incroyable, elle appréciait pour son plus grand plaisir mon doigt qui s’agitait dans ses fesses.
Puis, aux contractions de ses abdos, je sentis qu’elle jouissait, puis sans un mot, encore frémissante, elle se mit en levrette en me disant :
- Encule-moi !
Je lui ai pénétré le petit trou sans difficulté et elle s’est mise à hurler de plaisir en disant :
- Vas-y ma chérie, fais-moi du bien, encule-moi comme une salope…
J’accélérai le mouvement, c’était géant… Lorsque la jouissance arriva, je poussais mon sexe au plus profond d’elle et je jouis au fond de ses entrailles.
Je jouis longuement, lui envoyant du sperme au plus profond d’elle…
- Eh bien, tu m’as mis la dose, toi… J’ai le cul remplit…
En disant cela, elle s’approcha et m’embrassa en me disant :
- Tu es vraiment géniale…
A suivre…
Le congrès – Mais pas que, suite
Avant que je puisse répondre, elle prit mon sexe dans sa bouche et commença une fellation divine… En même temps qu’elle me suçait, elle me malaxait les testicules. De temps en temps, elle me regardait dans les yeux, et me souriait.
Elle me suça avec vigueur pendant un long moment sous le regard attentif de Claude, puis ce qui devait arriver arriva, je me vidai dans sa bouche…
Sans se poser de question, elle avala le tout…
- Délicieux ! J’adore ton sexe, Leslie ! Allez, à toi de me lécher, maintenant.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Elle s’allongea sur un matelas posé sur le deck, elle retira son maillot de bain et écarta ses jambes, m’offrant sa vulve lisse et ouverte, alors j’approchai ma bouche de ses lèvres et commençai par lui lécher le clitoris…
Elle sentait bon, elle avait un goût doux et sucré, c’était très agréable, puis ma langue s’insinua dans son vagin et aux contractions de son ventre, je sentais qu’elle appréciait beaucoup le traitement que je lui infligeais et vu l’humidité de son sexe, je pense qu’elle adorait ça.
De temps à autre, ma langue s’égarait sur son petit trou. Elle semblait apprécier aussi ces incursions qui la faisait gémir….
Son homme ne perdait pas un instant et regardait tout en emmenant le bateau vers le large, puis à un moment, il stoppa les moteurs et après avoir ôté son caleçon de bain, se mis à se masturber en nous regardant.
Je mis mon majeur dans ma bouche, pour bien l’humidifier, puis je l’ai introduit dans les fesses de Cathy et j’entamais des va-et-vient langoureux, tout en continuant de la lécher.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle jouit brutalement !
- Waouh… trop bon ! Putain tu m’as fait jouir de première et en plus, ton doigt dans mes fesses, c’était divin… j’ai adoré.
Je me suis redressée, le membre raide et je l’ai prise sans ménagement la faisant hurler de plaisir…
- Toi, tu sais y faire, déclara Claude, je te prendrais bien tout de suite…
- Je voudrais me baigner, dis-je, par contre, si tu veux, quand je sors de l’eau, tu pourras me prendre en levrette !
- Alors vas vite te baigner…
- Impatient… Au fait, rappelle-toi que j’ai du gel à bord car avec toi, gauler comme tu es, je pense que je vais en avoir besoin…
- Cathy s’est habituée, tu verras tu vas hurler de plaisir…
- Bon, nous verrons cela dans un instant, dis-je.
Je me suis levée et toute nue j’ai plongé dans l’eau, elle était bonne et j’ai nagé un petit moment sans m’éloigner du bateau, puis je suis remontée, dix minutes plus tard, j’émergeai de l’onde !
Je me suis déchée et me suis postée devant la console de navigation, les reins cambrés et les seins dressés, ma peau encore humide brillait au soleil, mes fesses étaient un tout petit peu plus blanches que le reste de mon corps qui depuis que j’étais dans le sud était constamment halé.
En regardant Claude dans les yeux j’ai commencé à me masturber avec ma main droite en disant à Claude :
- Allez viens, occupe-toi de moi maintenant…
Je bandais comme un folle, lui aussi d’ailleurs, ce qui me fit frissonner, il se positionna derrière moi et je cambrais un peu plus les reins, en lui disant :
- N’oublie pas le gel !
Il prit un tube de gel qui était sur la console de commandes et m’enduisit copieusement le cul, en n’oubliant pas de m’en faire entrer quelque peu dans le conduit à l’aide de son doigt. Cathy nous observait allongée dans un transat…
Puis se positionnant, lentement, il me pénétra, avec un peu de difficulté au début car son membre était vraiment épais, puis ensuite il entra toute la longueur de son sexe en moi.
- Ah, c’est bon… Vas-y, enfonce-toi bien, c’est divin.
Il ne se fit pas prier, sa main gauche enserrait mon sein gauche et sa main droite était bien agrippée à ma hanche, ainsi il me besogna lentement et j’avoue que c’était super bon.
- Comme il est bon ton petit cul serré, dit-il.
- J’espère que je me régalerais du tien, répondis-je.
- Ne t’inquiète pas, tu verras, je te ferai bien bander et tu pourras apprécier de me sodomiser.
- Ohhh oui, pour l’instant si tu pouvais aller un peu plus vite.
Son ventre tapait contre mes fesses, il accéléra la cadence… Il sortait de plus en plus, et rentrait d’un coup, à fond…
- Oui… continue comme ça… je vais jouir…
Je lui ai attrapé ses testicules avec ma main, et les ai serrés, aussitôt il a tout envoyé d’un coup au fond de mes entrailles.
- Mince, j’ai joui dans ton cul !
- Et alors, tu voulais jouir où, lui dis-je, mais ne t’inquiète pas, pour ce côté-là pas besoin de prendre la pilule, mais putain que c’était bon et fort ! Waouh, trop bon…
- J’ai vu que tu avais jouis toi aussi ?
- Oui, Claude.
On est resté soudés quelques minutes, puis il s’est extrait de mon cul…
Je me suis allongée près de Cathy pendant que Claude retournait vers la terre afin de trouver un point de mouillage pour la nuit.
- Tu aimes te faire enculer ? Me demanda Cathy.
- Dans mon état je ne vois pas comment faire autrement.
- Tu pourrais songer à te faire opérer.
- Je ne suis pas très chaude pour passer sur la table d’opérations, et puis je suis en couple avec une jeune femme, alors tu comprends que l’opération ne me parle guère.
- Oui, c’est un fait.
- Et toi, tu aimes ça ? osai-je demander…
- J’adore et surtout avec Claude, bien que les premières fois n’aient pas été très agréables, avec Claude c’est différent, il est tendre et pas brutal, avec lui je m’éclate par le cul, et j’en profite méchamment.
Le repas fut des plus agréables. Nous avons discuté de tout et de rien, nous nous sommes trouvés beaucoup de points communs, nous avons parlé de nous et j’ai appris que Claude, issue d’une riche famille d’industriels, avait été marié une première fois, une jeune fille élevée strictement dans une éducation religieuse qui lui avait offert une vie conjugale monotone, elle s’avéra coincée sur tout ce qui touchait au sexe, jusqu’au jour où il l’avait trouvée, un bel après-midi, en train de se faire vigoureusement sodomiser par son professeur d’aquagym dans le lit conjugal
Rapidement divorcé, Cathy était devenue sa maîtresse moins d’une semaine après la séparation, et juste après le divorce ils avaient décidés de vivre sur le yacht flambant neuf que Claude venait d’acheter.
Ils se trouvèrent une passion commune pour la bisexualité et les petits moments entre amis, Claude, malgré ses quarante ans avait des revenus largement suffisants pour vivre une vie de roturier et se consacrer à ses penchants sexuels.
Le repas terminé, je me suis isolée sur le pont avant, la nuit était calme, une belle lune éclairait la mer et faisait scintiller les légers flots, un moment de tranquillité, j’aimais ce moment de détente, ce calme… et la relative fraîcheur du soir.
Je me suis allongé sur un matelas, les mains croisées derrière la tête. C’est là que Claude m’a rejoint.
- Leslie ?
- Oui, Claude ?
Il était devant moi et je constatais qu’il était toujours nu et présentait un début d’érection.
- Voilà, je voudrais te remercier pour cette super journée et du plaisir que tu as offert à Cathy.
- Mais tu n’as pas à me remercier, j’ai passé une excellente journée aussi !
- Cathy est allée se coucher, tu l’as crevé, mais ce n’est pas le cas pour moi, regarde !
Il présentait une belle érection, puis il fit demi-tour et me présenta ses fesses, en me disant :
- Tu sais de quoi j’ai envie ?
J’avais ma petite idée, mais je fis l’ingénue en lui répondant :
- Je n’en ai pas la moindre idée ! Mais tu pourrais me mettre sur la voie…
- Alors là, tu le fais exprès, je viens de me mettre plein de gel dans mes fesses, et je te les offre pour te remercier ! Sois juste douce, au moins au début ce n’est pas tous les jours que j’offre mon cul, même si j’adore ça ! C’est tout ce que je te demande…
En disant cela, il se mit à quatre pattes sur le deuxième matelas, les fesses bien relevées et ouvertes. En mer, les côtes à plusieurs centaines de mètres de notre point de mouillage personne ne pouvait nous voir et si même…
De mon matelas, j’avais une vue directe sur son anus et son membre raide, un joli spectacle et si attirant, comment résister ?
Mon sexe durcit immédiatement, alors je me suis levée et je me suis approchée de lui, je me suis agenouillée derrière lui et j’ai saisi ses hanches, aussitôt mon sexe vint buter contre ses fesses et je l’ai senti frémir…
- J’ai envie… Vas-y doucement au début, ça fait longtemps que je ne me suis pas fait sodomiser.
- D’accord. Tu vas adorer !
- J’en suis certain car tu dois avoir l’habitude…
- On peut dire que j’ai de l’expérience.
Je positionnais mon gland sur son anus, et je commençais à pousser pour la pénétrer.
- Oui… Encule-moi ma belle…
Mon membre se faisait un passage au centre de son petit trou serré et petit à petit il s’enfonçait dans le fourreau anal de Claude.
- Ohhh, ça rentre, oui tu y es ! Comme tu me la mets bien !
Mon gland venait de franchir son anneau, ça rentrait plus facilement maintenant.
- Ah Leslie… Ahhh, ça rentre ! Tu me fourres profond…
Je l’ai sodomisée pendant un bon quart d’heure, alternant la douceur du mouvement, puis accélérant le rythme, Claude aux anges ne cessaient de geindre et de pousser des petits grognements de plaisir.
- Ahhh, que, c’est bon, ne cessait-il de dire.
Il se masturbait furieusement en même temps que je lui pilonnais le cul, puis soudain n’arrivant plus à me retenir, et me vidais dans ses entrailles…
Putain que c’était bon, dit-il… On s’allonge ? Mais reste dans mon cul un instant…
Il se mit à plat ventre, puis nous nous sommes tournés sur le côté. J’étais toujours fichée dans ses fesses.
- Merci Leslie, c’était divin… Reste encore un peu, j’aime cette sensation d’être remplit…
Tout en parlant, je lui caressais le sexe, qui même s’il avait débandé était encore imposant.
- Ce que j’aime en toi, c’est ta spontanéité et ta simplicité devant la vie, tu acceptes de venir avec nous et tu fais l’amour en offrant ton sexe ou ton cul, et cela naturellement.
Le lendemain matin, jeudi, je me réveillai vers 8 heures, attiré par une bonne odeur de café. Cathy avait mis la table du petit déjeuner.
Nous avons déjeuner ensemble, Claude dormait encore, puis nous nous sommes douchés, chacun notre tour, vu l’exiguïté de la cabine de douche.
Lorsque je suis sortie de la salle de bain, Cathy m’attendait toute nue et elle me dit :
Claude dort encore et j’aimerais que tu me sodomise, ton doigt hier m’a laissé sur ma faim…
Elle est sortie pour s’installer sur un matelas, les jambes repliées sur son ventre. complètement offerte.
- Leslie, ça me ferait plaisir si tu me masturbais et si tu me remettais ton doigt dans le cul, comme hier… J’ai adoré. Moi, je te branlerai et je te mettrai aussi mon doigt dans ton joli petit cul, si tu veux, puis tu m’enculeras.
Il en fut fait comme elle le demandait, je me suis installée au-dessus d’elle pour la lécher en la doigtant, elle me branlait d’une main et me suçait de temps en temps pour me garder en érection, non sans oublier de taquiner mon petit trou en se permettant de me rentrer son doigt de temps en temps.
J’embrassais et léchais son sexe en la faisant gémir, et elle mouillait de façon incroyable, elle appréciait pour son plus grand plaisir mon doigt qui s’agitait dans ses fesses.
Puis, aux contractions de ses abdos, je sentis qu’elle jouissait, puis sans un mot, encore frémissante, elle se mit en levrette en me disant :
- Encule-moi !
Je lui ai pénétré le petit trou sans difficulté et elle s’est mise à hurler de plaisir en disant :
- Vas-y ma chérie, fais-moi du bien, encule-moi comme une salope…
J’accélérai le mouvement, c’était géant… Lorsque la jouissance arriva, je poussais mon sexe au plus profond d’elle et je jouis au fond de ses entrailles.
Je jouis longuement, lui envoyant du sperme au plus profond d’elle…
- Eh bien, tu m’as mis la dose, toi… J’ai le cul remplit…
En disant cela, elle s’approcha et m’embrassa en me disant :
- Tu es vraiment géniale…
A suivre…
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