Leslie NR54 : Le train de nuit
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie NR54 : Le train de nuit
Leslie NR54 – Nouveaux récits
Rencontres insolites – Le train de nuit
Il est vingt-trois heures, le train de nuit démarre enfin…
C’est la fin de l’été et elle rentre chez elle à Paris, elle est seule dans le compartiment, et s’installe tranquillement en rêvant d’une nuit calme bercée par le seul bruit des roues sur les rails. Elle préfère voyager de nuit.
Elle porte une minijupe et un corsage transparent qui laisse deviner ses petits seins nus aux petites aréoles roses, sa petite poitrine ferme n’a aucun besoin d’artifices pour se tenir, d’autant que ses tétons très érectiles sont souvent dressés.
En dessous des bas et des chaussures à talons hauts et surtout un minuscule petit string blanc, ouvert, elle adore provoquée discrètement car elle sait qu’on peut voir son string si elle desserre un peu les jambes ou si elle fait un mouvement, et on peut même découvrir son sexe toujours soigneusement épilé.
Elle est, à ce que l’on dit, une jolie femme de vingt-huit ans, séduisante, blonde, yeux verts. Elle plait aux hommes et ne refuse pas une aventure avec un homme qui lui plaît et les jolies femmes ne la laissent pas indifférentes, oui elle est bi-sexuelle.
Un groupe de trois types ouvre soudain la porte de son compartiment, trois noirs, ils sont gigantesques, énormes et leur attitude ne fait pas de doute sur leurs intentions.
Ils le disent et ils lui font bien comprendre aussi, elle va y passer. Elle me maudit de s’être habillée de façon aussi courte et sexy, bien que le contraire n’aurait certainement rien changé…
Ils l’observent, ironiques. Elle a envie de sortir et de s’enfuir, mais la peur l’empêche de bouger, elle est tétanisée, une peur incroyable l’envahit, et elle prend soudainement conscience qu’ils vont la violer, maintenant elle en est sure.
Elle n’arrive même pas à l’imaginer, mais elle est certaine que ce sera le cas…
Ils s’installent, l’un à sa droite et les deux autres sur la banquette en face d’elle, et l’un d’eux ordonne :
- Ecarte tes cuisses, salope.
A ce moment le type à côté d’elle passe son bras droit autour de son cou et commence à lui peloter la poitrine de sa main gauche, comme elle ne porte pas de soutien-gorge, il s’en aperçoit, et dit :
- Elle est nue, poitrine offerte !
- Le minimum sur sa chatte, déclare l’un d’eux en face d’elle.
- Elle nous attendait, déclare le dernier.
Ils ouvrent son chemisier et libère ses seins qu’ils se mettent à palper durement.
En même temps, celui d’en face se penche et lui écarte les cuisses de ses deux mains puissantes. Elle a les seins à l’air et la jupe remontée haut, et disent :
- Oh la salope ! tu as vu comme elle est sapée cette gonzesse, pratiquement rien sur elle, on ne va pas la décevoir…
Le noir placer à sa droite lui met directement la main sur la vulve, il ouvre le string fendu et plonge directement un doigt dans sa fente, elle hurle sachant que personne ne viendra…
Il lui fouille le sexe, elle est désespérée de la situation, mais elle sent qu’elle mouille malgré elle et s’en veut de prendre du plaisir et de lui montrer.
Puis il la place au milieu du compartiment et lui relève sa minijupe jusqu’à la taille, en ayant toujours le corsage ouvert sur ses seins nus à l’air, elle est à la merci de ces trois noirs lubriques.
Elle imagine leur désir et l’excitation qu’elle provoque avec le spectacle qu’elle leur offre ainsi troussée, les seins à l’air et la jupe retroussée sur la taille, dévoilant son string ouvert qui ne cache même plus sa vulve glabre
Les jambes à demi écartées, son string fendu voir sa vulve humide aux lèvres bien visibles déjà entrebâillées, la rendant prête à l’emploi, et les jarretelles et les bas lui donne un air encore plus désirable, quant à ses seins fièrement dressés aux pointes déjà durcis qui dansent à chaque mouvement, l’empêche de cacher son désir.
L’un d’eux lui arrache son string et ils la scrutent, la palpent et lui caressent toutes les parties sensibles de son corps, elle sent des mains partout sur son corps et des doigts entrent et sortent de tous ses orifices.
Ils ont, maintenant, tous sortis leur membre, ils sont énormes, longs épais, noirs, aux glands luisants, dressés, érigés, durs, palpitants, menaçants, prêts.
Elle ne peut s’empêcher de les comparer aux sexes de ses ex, ils sont tous, et de beaucoup, plus gros, plus longs que ce qu’elle a déjà vu et enduré en lui donnant du plaisir, dans le passé.
Elle est maintenant résignée, soumise, ouverte, consentante, elle attend l’inéluctable, qu’ils la baisent, la défoncent et la possèdent comme ils veulent. Elle n’a qu’une hâte, c’est de jouir, longtemps et de nombreuses fois, mais elle ne veut pas être déchirée et espère qu’ils seront doux.
Elle frissonne d’impatience et de peur mélangées dans cette attente insoutenable, même si elle sait qu’elle va être violée encore et encore, des viols multiples et répétitifs.
Elle s’imagine déjà subissant leurs assauts, elle en frissonne et l’envie qu’ils la pénètrent, devient insoutenable
Elle est maintenant devenue une femelle en chaleur, les idées lui ont tournées la tête, elle a le feu aux joues et les gouttes de sueur qui perlent à son front démontrent qu’elle est au bord de la jouissance, et rien n’empêche sa bouche de s’ouvrir pour dire :
Bande se salauds, violez-moi puisque c’est ce que vous voulez !
Le premier la soulève et en la basculant sur lui, il force sa vulve. Son membre est trop gros pour entrer en une fois, mais ses lèvres humidifiées de sa liqueur s’ouvrent sous la poussée du gland, s’écartent pour laisser le membre entrer, il la pénètre au plus profond d’elle, jusqu’au fond du vagin.
Elle crie car c’est gros, mais aussi de plaisir, ses muqueuses sont envahies, écartées, son clitoris gonflé glisse et s'excite sur cette grosse bite, son vagin est rempli, plein de cette virilité dure,
Puis en allant et venant, il s’enfonce sans relâche délicieusement tout au fond d’elle, qui de ses yeux écarquillés ce sexe noir démesuré qui rentre en elle, qui va et vient dans son intimité, elle est baisée comme jamais elle ne l’as jamais été.
Toute cette jouissance lui fait oublier les deux autres, ils sont là attendant patiemment leur tour, car comme elle ils savent que cela ne fait que de commencer et que le voyage va être long…
Ils ont le temps et elle pressant qu’elle va déguster…
Soudain, elle sent que l’on écarte ses fesses et qu’une langue râpeuse lui lèche l’anus, un bon moment après, alors qu’elle sent son œillet est bien humide, elle sent qu’un énorme gland se place à l’entrée de son anus.
Elle ne veut pas, et crie pour qui veut l’entendre :
- Non, non, pas par-là !
- Tu n’as pas le choix, lui réponds une voix grave dans son dos.
Puis elle sent le gland rentrer au contact de ses chairs rectales intimes, puis une poussée, la force, lui faisant mal.
Elle gueule comme jamais, la douleur est insupportable, mais il pousse encore, il va la déchirer, mais enfin il entre le gland en elle et elle jouit tellement de celui qui la baise que son anus sans le vouloir s’ouvre, ce qui facilite involontairement l’introduction du membre dans son anus.
Il rentre petit à petit un peu plus, elle hurle de douleur, elle le sent s’insinuer petit à petit dans ses chairs les plus intimes et soudain avec un grand coup de rein il s’est enfoncé jusqu’à la garde, son ventre est scellé à ses fesses, il l’encule et elle prend toute la longueur de son membre raide dans le rectum, elle n’ose imaginer jusqu’où il va, son anus est totalement distendu, anormalement dilaté, mais il est entré, il est au fond d’elle, s’est insensé, elle est prise en sandwich par deux membres aux dimensions démesurées.
La douleur se calme doucement, remplacée par une excitation nouvelle, une chaleur, il synchronise ses mouvements sur celui qui lui ramone la vulve, son esprit chavire au bord de la perte de conscience.
Ce viol monstrueux lui procure un orgasme démentiel, elle crie et gueule, l’enculage doublé de la baise lui procure des sensations inconnues, touche des zones inviolées, c’est incroyablement bon, ses orgasmes se succèdent …
Les uns après les autres ils se déversent en elle en puissantes giclées, lorsque l’un se retire d’un de ses orifices, un autre arrive immédiatement et le remplace, sans cesse elle est prise par la chatte et le cul qui sont tellement dilatés et graissés de foutre que ça devient facile maintenant, ils rentrent maintenant en elle sans problème et souhaite que ça ne s’arrête jamais.
Sa peur a fait place au plaisir et elle s’aperçois qu’elle aime ça, elle jouis en continuité, sa bouche continuellement obstruée pas un sexe au fond de sa gorge, l’empêche de hurler et seuls quelques gémissement se font entendre.
Et cela recommence, encore et encore, ils n’ont pas de cesse
Ils la prennent, devant, derrière, dans la bouche, chacun à leur tour, ils entrent, ils sortent, ils le baisent, lui défoncent le cul, ils jouissent lui remplissant tous les orifices, ils abusent d’elle comme ils veulent au gré de leur pulsion.
Elle est haletante, épuisée. Elle a le cul en feu et le ventre douloureux, la bouche meurtrie, le corps poisseux parcouru d’incessantes ondes de plaisirs.
Plus tard, bien plus tard, ils la laissent seule dans son compartiment, nue et épuisée de tant de jouissance, La lueur de la pleine lune fera bientôt place à celle du jour qui se lève, elle est complètement cassée, car depuis le départ du train elle s’est faite baisée sans interruption, car il y en avait toujours au moins un qui la besognait.
Sa minijupe et mon corsage sont déchirés, comme ses vêtements elle est maculée de sperme, elle en a partout et elle en est pleine, il coule de mon sexe et de son cul. Elle n’a même pas honte de s’être laissé aller, elle a tellement joui.
J’ai juste le temps de faire une toilette avant d’arriver et de mettre de l’ordre dans sa tenue, et en rangeant ses habits souillés, elle pense qu’elle ne serais pas contre de faire une même expérience de ce type.
A suivre…
Rencontres insolites – Le train de nuit
Il est vingt-trois heures, le train de nuit démarre enfin…
C’est la fin de l’été et elle rentre chez elle à Paris, elle est seule dans le compartiment, et s’installe tranquillement en rêvant d’une nuit calme bercée par le seul bruit des roues sur les rails. Elle préfère voyager de nuit.
Elle porte une minijupe et un corsage transparent qui laisse deviner ses petits seins nus aux petites aréoles roses, sa petite poitrine ferme n’a aucun besoin d’artifices pour se tenir, d’autant que ses tétons très érectiles sont souvent dressés.
En dessous des bas et des chaussures à talons hauts et surtout un minuscule petit string blanc, ouvert, elle adore provoquée discrètement car elle sait qu’on peut voir son string si elle desserre un peu les jambes ou si elle fait un mouvement, et on peut même découvrir son sexe toujours soigneusement épilé.
Elle est, à ce que l’on dit, une jolie femme de vingt-huit ans, séduisante, blonde, yeux verts. Elle plait aux hommes et ne refuse pas une aventure avec un homme qui lui plaît et les jolies femmes ne la laissent pas indifférentes, oui elle est bi-sexuelle.
Un groupe de trois types ouvre soudain la porte de son compartiment, trois noirs, ils sont gigantesques, énormes et leur attitude ne fait pas de doute sur leurs intentions.
Ils le disent et ils lui font bien comprendre aussi, elle va y passer. Elle me maudit de s’être habillée de façon aussi courte et sexy, bien que le contraire n’aurait certainement rien changé…
Ils l’observent, ironiques. Elle a envie de sortir et de s’enfuir, mais la peur l’empêche de bouger, elle est tétanisée, une peur incroyable l’envahit, et elle prend soudainement conscience qu’ils vont la violer, maintenant elle en est sure.
Elle n’arrive même pas à l’imaginer, mais elle est certaine que ce sera le cas…
Ils s’installent, l’un à sa droite et les deux autres sur la banquette en face d’elle, et l’un d’eux ordonne :
- Ecarte tes cuisses, salope.
A ce moment le type à côté d’elle passe son bras droit autour de son cou et commence à lui peloter la poitrine de sa main gauche, comme elle ne porte pas de soutien-gorge, il s’en aperçoit, et dit :
- Elle est nue, poitrine offerte !
- Le minimum sur sa chatte, déclare l’un d’eux en face d’elle.
- Elle nous attendait, déclare le dernier.
Ils ouvrent son chemisier et libère ses seins qu’ils se mettent à palper durement.
En même temps, celui d’en face se penche et lui écarte les cuisses de ses deux mains puissantes. Elle a les seins à l’air et la jupe remontée haut, et disent :
- Oh la salope ! tu as vu comme elle est sapée cette gonzesse, pratiquement rien sur elle, on ne va pas la décevoir…
Le noir placer à sa droite lui met directement la main sur la vulve, il ouvre le string fendu et plonge directement un doigt dans sa fente, elle hurle sachant que personne ne viendra…
Il lui fouille le sexe, elle est désespérée de la situation, mais elle sent qu’elle mouille malgré elle et s’en veut de prendre du plaisir et de lui montrer.
Puis il la place au milieu du compartiment et lui relève sa minijupe jusqu’à la taille, en ayant toujours le corsage ouvert sur ses seins nus à l’air, elle est à la merci de ces trois noirs lubriques.
Elle imagine leur désir et l’excitation qu’elle provoque avec le spectacle qu’elle leur offre ainsi troussée, les seins à l’air et la jupe retroussée sur la taille, dévoilant son string ouvert qui ne cache même plus sa vulve glabre
Les jambes à demi écartées, son string fendu voir sa vulve humide aux lèvres bien visibles déjà entrebâillées, la rendant prête à l’emploi, et les jarretelles et les bas lui donne un air encore plus désirable, quant à ses seins fièrement dressés aux pointes déjà durcis qui dansent à chaque mouvement, l’empêche de cacher son désir.
L’un d’eux lui arrache son string et ils la scrutent, la palpent et lui caressent toutes les parties sensibles de son corps, elle sent des mains partout sur son corps et des doigts entrent et sortent de tous ses orifices.
Ils ont, maintenant, tous sortis leur membre, ils sont énormes, longs épais, noirs, aux glands luisants, dressés, érigés, durs, palpitants, menaçants, prêts.
Elle ne peut s’empêcher de les comparer aux sexes de ses ex, ils sont tous, et de beaucoup, plus gros, plus longs que ce qu’elle a déjà vu et enduré en lui donnant du plaisir, dans le passé.
Elle est maintenant résignée, soumise, ouverte, consentante, elle attend l’inéluctable, qu’ils la baisent, la défoncent et la possèdent comme ils veulent. Elle n’a qu’une hâte, c’est de jouir, longtemps et de nombreuses fois, mais elle ne veut pas être déchirée et espère qu’ils seront doux.
Elle frissonne d’impatience et de peur mélangées dans cette attente insoutenable, même si elle sait qu’elle va être violée encore et encore, des viols multiples et répétitifs.
Elle s’imagine déjà subissant leurs assauts, elle en frissonne et l’envie qu’ils la pénètrent, devient insoutenable
Elle est maintenant devenue une femelle en chaleur, les idées lui ont tournées la tête, elle a le feu aux joues et les gouttes de sueur qui perlent à son front démontrent qu’elle est au bord de la jouissance, et rien n’empêche sa bouche de s’ouvrir pour dire :
Bande se salauds, violez-moi puisque c’est ce que vous voulez !
Le premier la soulève et en la basculant sur lui, il force sa vulve. Son membre est trop gros pour entrer en une fois, mais ses lèvres humidifiées de sa liqueur s’ouvrent sous la poussée du gland, s’écartent pour laisser le membre entrer, il la pénètre au plus profond d’elle, jusqu’au fond du vagin.
Elle crie car c’est gros, mais aussi de plaisir, ses muqueuses sont envahies, écartées, son clitoris gonflé glisse et s'excite sur cette grosse bite, son vagin est rempli, plein de cette virilité dure,
Puis en allant et venant, il s’enfonce sans relâche délicieusement tout au fond d’elle, qui de ses yeux écarquillés ce sexe noir démesuré qui rentre en elle, qui va et vient dans son intimité, elle est baisée comme jamais elle ne l’as jamais été.
Toute cette jouissance lui fait oublier les deux autres, ils sont là attendant patiemment leur tour, car comme elle ils savent que cela ne fait que de commencer et que le voyage va être long…
Ils ont le temps et elle pressant qu’elle va déguster…
Soudain, elle sent que l’on écarte ses fesses et qu’une langue râpeuse lui lèche l’anus, un bon moment après, alors qu’elle sent son œillet est bien humide, elle sent qu’un énorme gland se place à l’entrée de son anus.
Elle ne veut pas, et crie pour qui veut l’entendre :
- Non, non, pas par-là !
- Tu n’as pas le choix, lui réponds une voix grave dans son dos.
Puis elle sent le gland rentrer au contact de ses chairs rectales intimes, puis une poussée, la force, lui faisant mal.
Elle gueule comme jamais, la douleur est insupportable, mais il pousse encore, il va la déchirer, mais enfin il entre le gland en elle et elle jouit tellement de celui qui la baise que son anus sans le vouloir s’ouvre, ce qui facilite involontairement l’introduction du membre dans son anus.
Il rentre petit à petit un peu plus, elle hurle de douleur, elle le sent s’insinuer petit à petit dans ses chairs les plus intimes et soudain avec un grand coup de rein il s’est enfoncé jusqu’à la garde, son ventre est scellé à ses fesses, il l’encule et elle prend toute la longueur de son membre raide dans le rectum, elle n’ose imaginer jusqu’où il va, son anus est totalement distendu, anormalement dilaté, mais il est entré, il est au fond d’elle, s’est insensé, elle est prise en sandwich par deux membres aux dimensions démesurées.
La douleur se calme doucement, remplacée par une excitation nouvelle, une chaleur, il synchronise ses mouvements sur celui qui lui ramone la vulve, son esprit chavire au bord de la perte de conscience.
Ce viol monstrueux lui procure un orgasme démentiel, elle crie et gueule, l’enculage doublé de la baise lui procure des sensations inconnues, touche des zones inviolées, c’est incroyablement bon, ses orgasmes se succèdent …
Les uns après les autres ils se déversent en elle en puissantes giclées, lorsque l’un se retire d’un de ses orifices, un autre arrive immédiatement et le remplace, sans cesse elle est prise par la chatte et le cul qui sont tellement dilatés et graissés de foutre que ça devient facile maintenant, ils rentrent maintenant en elle sans problème et souhaite que ça ne s’arrête jamais.
Sa peur a fait place au plaisir et elle s’aperçois qu’elle aime ça, elle jouis en continuité, sa bouche continuellement obstruée pas un sexe au fond de sa gorge, l’empêche de hurler et seuls quelques gémissement se font entendre.
Et cela recommence, encore et encore, ils n’ont pas de cesse
Ils la prennent, devant, derrière, dans la bouche, chacun à leur tour, ils entrent, ils sortent, ils le baisent, lui défoncent le cul, ils jouissent lui remplissant tous les orifices, ils abusent d’elle comme ils veulent au gré de leur pulsion.
Elle est haletante, épuisée. Elle a le cul en feu et le ventre douloureux, la bouche meurtrie, le corps poisseux parcouru d’incessantes ondes de plaisirs.
Plus tard, bien plus tard, ils la laissent seule dans son compartiment, nue et épuisée de tant de jouissance, La lueur de la pleine lune fera bientôt place à celle du jour qui se lève, elle est complètement cassée, car depuis le départ du train elle s’est faite baisée sans interruption, car il y en avait toujours au moins un qui la besognait.
Sa minijupe et mon corsage sont déchirés, comme ses vêtements elle est maculée de sperme, elle en a partout et elle en est pleine, il coule de mon sexe et de son cul. Elle n’a même pas honte de s’être laissé aller, elle a tellement joui.
J’ai juste le temps de faire une toilette avant d’arriver et de mettre de l’ordre dans sa tenue, et en rangeant ses habits souillés, elle pense qu’elle ne serais pas contre de faire une même expérience de ce type.
A suivre…
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