Leslie PH14
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2014 dans la catégorie Plus on est
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Leslie PH14
Leslie PH14 – Petites histoire courtes
Chantage pour réaliser un fantasme
Cela fait longtemps que ma collègue me parle de son couple, depuis quelques temps ça ne marche plus sexuellement entre eux, bien qu’encore amoureuse, elle envisageait sérieusement d’avoir une aventure extra-conjugale, ou même d’emmener un autre homme dans leur couple pour pimenter leur relation et jour à nouveau…
Elle me répétait sans cesse :
- Mon copain depuis quelques temps me délaisse, il ne me fait plus l’amour et quand il le fait il ne me fait même pas jouir, ce n’est plus une vie, je vais prendre un amant !
- Mais pourquoi te délaisse-t-il, il y a certainement une raison ? Lui demandais-je.
- Oui, je pense que c’est parce que je refuse qu’il m’encule, comme si j’étais une trainée, il pourrait me comprendre un peu et arrêter d’insister.
- Tu as raison en partie, lui expliquais-je, mais admettons que tu prennes un amant, tu crois que lui ne vas pas te faire le cul et que tu seras heureuse de lui offrir ton intimité la plus chère ?
- C’est bien possible, mais ce n’est pas pareille…
- Ne soit pas idiote, être enculée, c’est se faire prendre le petit, qu’importe par qui !
- Ahhh, tu me troubles, je vais y réfléchir…
Quelques temps plus tard, je l’ai croisé à la cafétéria, et sans hésitation elle me dit :
- Hier, j’ai acheté un bon lubrifiant, je vais offrir mon cul à mon homme en espérant que ça lui redonne des envies de mon corps, mais au cas où je vais lui poser une condition, celle de pouvoir avoir un amant qui pourrait de temps à autre se joindre à nous.
- C’est du chantage, lui dis-je.
- Oui mais j’espère que ça va le réveiller, car depuis le temps qu’il veut me sodomiser, savoir qu’il peut ne pas être le seul va certainement réveiller sa libido de macho.
- Et s’il refuse ?
- Je prendrais un amant et on verra comment il le prend, il n’a pas le choix !
- Alors bon week-end et à lundi.
Le lundi, Clarisse est venue me raconter son week-end :
« Vendredi soir, j’ai parlé à Jean, et je lui ai expliqué que pour m’amener à me faire mettre par le cul, il devait accepter que je prenne un amant et qu’il accepte d’accueillir mon amant entre nous dans nos ébats.
- En fait tu veux baiser de temps en temps avec deux bites et te faire défoncer par un autre quand tu en as envie ?
- C’est à peu près cela, oui.
- Tu sais tu m’as déjà parlé de cette envie et je ne vois pas d’inconvénient à faire ub=n trio, mais je veux être le premier à t’enculer ma chérie.
- Pas de problème, j’ai ce qu’il faut et ce soir tu m’encules !
Nous avons été au restaurant et j’avoue avoir abusé du vin, peut-être histoire de me détendre et surmonter mes appréhensions, mais de retour à la maison, en route directe pour la baise, Jean est super excité et les préliminaires durent peu de temps, il enlève mes vêtements, m’allonge sur le lit et son visage est déjà entre mes cuisses. Je commence à me masturber. Il me suce divinement bien, fait monter en moi le plaisir et repousse mes dernières appréhensions, je retrouve mon Jean si fougueux dans le passé, son membre est raide d’impatience, frémissant de désir et je crois que je ne l’avais jamais vu aussi gros.
Après m’avoir fait jouir de sa langue, celle-ci se perd sur mon trou de mon cul et je trouve ça très bon, et doucement il m’implore :
- Donne-le, donne-moi ton cul.
Je me mets en levrette, une position qu’il affectionne quand il me fait l’amour, car il voit mon petit trou si longtemps convoité, le lubrifiant est à portée de sa main, il le prend, tandis que je pose mes coudes sur le lit, la tête dans l’oreiller.
Je sais que je vais avoir certainement mal, j’ai peur et je commence à haleter, il lubrifie mon copieusement mon anneau et son sexe et caresse mon trou du doigt. Je frémis…
Il me chuchote à l’oreille à plusieurs reprises :
- Tu vas voir, tu as être une belle enculée ma chérie !
Je sens qu’il pose sa bite dure de sa bite sur mon petit trou chéri, il va m’enculer et je retiens ma respiration, il exerce une légère pression sur mon trou qui refuse de s’ouvrir, il pousse, et repousse encore, et soudain, je sens son gland glisser en moi, mon trou du cul cède, se dilate lentement, son gland rentre dans mon trou et que tout son sexe glisse en moi, jusqu’à la sentir tout au fond de mon orifice secret.
J’éprouve une douleur intense, mes jambes tremblent, je vais tomber dans les pommes mais non, tout est fini, je suis enculée, il a enculé sa petite pute, la douleur que je ressentais n’a duré que le temps de la pénétration, maintenant c’est bon, oui c’est bon, jamais je n’ai ressenti un plaisir aussi intense.
Avec ma main je me donne du plaisir en caressant ma chatte, c’est bon mais pas autant que d’être enculée, en fait j’adore me faire enculer…
Sa bite enfoncée en moi ressort lentement de mon cul, il la retire très lentement, j’aime cette sensation de sentir ses chairs glisser sur mes chairs intimes, mais aussitôt il replonge avec ardeur au fond de mes entrailles, me faisant pousser un cri rauque.
Ses coups de bite sont puissants maintenant, le souffle coupé et le cœur battant la chamade, je hurle de plaisir à chaque fois qu’il s’enfonce de nouveau en moi.
Puis il s’arrête, ne bouge plus et je me prends à aimer cette sensation de me sentir remplie, une queue au fond de mon cul.
Et lorsqu’il se répand dans mes entrailles, je hurle de bonheur en regrettant de ne pas faite enculée plus tôt.
Puis, il s’effondre sur moi, satisfait d’avoir conquis mon cul.
Je reste immobile, pétrifiée, mais je désire maintenant autre chose… »
- Je vais prendre un amant, me dit Clarisse, et accueillir deux bites d’homme en même temps, cela va se faire, il a promis, et s’il veut continuer de m’enculer, il faudra qu’il tienne sa promesse, car moi je tiendrais la mienne !
A suivre…
Chantage pour réaliser un fantasme
Cela fait longtemps que ma collègue me parle de son couple, depuis quelques temps ça ne marche plus sexuellement entre eux, bien qu’encore amoureuse, elle envisageait sérieusement d’avoir une aventure extra-conjugale, ou même d’emmener un autre homme dans leur couple pour pimenter leur relation et jour à nouveau…
Elle me répétait sans cesse :
- Mon copain depuis quelques temps me délaisse, il ne me fait plus l’amour et quand il le fait il ne me fait même pas jouir, ce n’est plus une vie, je vais prendre un amant !
- Mais pourquoi te délaisse-t-il, il y a certainement une raison ? Lui demandais-je.
- Oui, je pense que c’est parce que je refuse qu’il m’encule, comme si j’étais une trainée, il pourrait me comprendre un peu et arrêter d’insister.
- Tu as raison en partie, lui expliquais-je, mais admettons que tu prennes un amant, tu crois que lui ne vas pas te faire le cul et que tu seras heureuse de lui offrir ton intimité la plus chère ?
- C’est bien possible, mais ce n’est pas pareille…
- Ne soit pas idiote, être enculée, c’est se faire prendre le petit, qu’importe par qui !
- Ahhh, tu me troubles, je vais y réfléchir…
Quelques temps plus tard, je l’ai croisé à la cafétéria, et sans hésitation elle me dit :
- Hier, j’ai acheté un bon lubrifiant, je vais offrir mon cul à mon homme en espérant que ça lui redonne des envies de mon corps, mais au cas où je vais lui poser une condition, celle de pouvoir avoir un amant qui pourrait de temps à autre se joindre à nous.
- C’est du chantage, lui dis-je.
- Oui mais j’espère que ça va le réveiller, car depuis le temps qu’il veut me sodomiser, savoir qu’il peut ne pas être le seul va certainement réveiller sa libido de macho.
- Et s’il refuse ?
- Je prendrais un amant et on verra comment il le prend, il n’a pas le choix !
- Alors bon week-end et à lundi.
Le lundi, Clarisse est venue me raconter son week-end :
« Vendredi soir, j’ai parlé à Jean, et je lui ai expliqué que pour m’amener à me faire mettre par le cul, il devait accepter que je prenne un amant et qu’il accepte d’accueillir mon amant entre nous dans nos ébats.
- En fait tu veux baiser de temps en temps avec deux bites et te faire défoncer par un autre quand tu en as envie ?
- C’est à peu près cela, oui.
- Tu sais tu m’as déjà parlé de cette envie et je ne vois pas d’inconvénient à faire ub=n trio, mais je veux être le premier à t’enculer ma chérie.
- Pas de problème, j’ai ce qu’il faut et ce soir tu m’encules !
Nous avons été au restaurant et j’avoue avoir abusé du vin, peut-être histoire de me détendre et surmonter mes appréhensions, mais de retour à la maison, en route directe pour la baise, Jean est super excité et les préliminaires durent peu de temps, il enlève mes vêtements, m’allonge sur le lit et son visage est déjà entre mes cuisses. Je commence à me masturber. Il me suce divinement bien, fait monter en moi le plaisir et repousse mes dernières appréhensions, je retrouve mon Jean si fougueux dans le passé, son membre est raide d’impatience, frémissant de désir et je crois que je ne l’avais jamais vu aussi gros.
Après m’avoir fait jouir de sa langue, celle-ci se perd sur mon trou de mon cul et je trouve ça très bon, et doucement il m’implore :
- Donne-le, donne-moi ton cul.
Je me mets en levrette, une position qu’il affectionne quand il me fait l’amour, car il voit mon petit trou si longtemps convoité, le lubrifiant est à portée de sa main, il le prend, tandis que je pose mes coudes sur le lit, la tête dans l’oreiller.
Je sais que je vais avoir certainement mal, j’ai peur et je commence à haleter, il lubrifie mon copieusement mon anneau et son sexe et caresse mon trou du doigt. Je frémis…
Il me chuchote à l’oreille à plusieurs reprises :
- Tu vas voir, tu as être une belle enculée ma chérie !
Je sens qu’il pose sa bite dure de sa bite sur mon petit trou chéri, il va m’enculer et je retiens ma respiration, il exerce une légère pression sur mon trou qui refuse de s’ouvrir, il pousse, et repousse encore, et soudain, je sens son gland glisser en moi, mon trou du cul cède, se dilate lentement, son gland rentre dans mon trou et que tout son sexe glisse en moi, jusqu’à la sentir tout au fond de mon orifice secret.
J’éprouve une douleur intense, mes jambes tremblent, je vais tomber dans les pommes mais non, tout est fini, je suis enculée, il a enculé sa petite pute, la douleur que je ressentais n’a duré que le temps de la pénétration, maintenant c’est bon, oui c’est bon, jamais je n’ai ressenti un plaisir aussi intense.
Avec ma main je me donne du plaisir en caressant ma chatte, c’est bon mais pas autant que d’être enculée, en fait j’adore me faire enculer…
Sa bite enfoncée en moi ressort lentement de mon cul, il la retire très lentement, j’aime cette sensation de sentir ses chairs glisser sur mes chairs intimes, mais aussitôt il replonge avec ardeur au fond de mes entrailles, me faisant pousser un cri rauque.
Ses coups de bite sont puissants maintenant, le souffle coupé et le cœur battant la chamade, je hurle de plaisir à chaque fois qu’il s’enfonce de nouveau en moi.
Puis il s’arrête, ne bouge plus et je me prends à aimer cette sensation de me sentir remplie, une queue au fond de mon cul.
Et lorsqu’il se répand dans mes entrailles, je hurle de bonheur en regrettant de ne pas faite enculée plus tôt.
Puis, il s’effondre sur moi, satisfait d’avoir conquis mon cul.
Je reste immobile, pétrifiée, mais je désire maintenant autre chose… »
- Je vais prendre un amant, me dit Clarisse, et accueillir deux bites d’homme en même temps, cela va se faire, il a promis, et s’il veut continuer de m’enculer, il faudra qu’il tienne sa promesse, car moi je tiendrais la mienne !
A suivre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bien que 100% lesbienne, j'ai apprécié ton texte. Sans doute le fait qu'il soit raconté du côté de la femme.