Leslie RE03
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Leslie RE03
Leslie RE03 – Rêves.
Un rêve bien étrange ou la suite de mes premiers pas, suite et fin
Dès notre arrivée à mon appartement, l’homme me félicita pour le début de la soirée en parlant de ma beauté et de l’illusion que j’avais provoquée auprès de ses amis et de ce que je dégageais auprès des autres, mon côté sexy et quelque peu allumeuse, j’étais aux anges.
Puis l’homme s’approcha de moi et vint m’embrasser passionnément à pleine bouche et tout en m’embrassant, sa main se mit à découvrir mon corps, en particulier mes cuisses et mon ventre.
Il libéra ma poitrine en ouvrant ma veste et embrassa le bout de mes seins et lorsqu’il se colla à moi, je sentis une énorme bosse dure au travers de son pantalon, au niveau de mon pubis.
Alors, machinalement, sans un mot, j’ouvris sa braguette et sortis son membre, j’étais prête à lui administrer une fellation d’enfer mais, au moment où je m’apprêtais à me pencher pour le prendre en bouche, l’homme me stoppa et me dit :
- Non, pas maintenant, va dans ta chambre et attends-moi à quatre pattes sur le lit !
On y était, c’était l’heure de passer à la casserole…
Je pris mon courage à deux mains et me dirigeais vers la chambre et je m’installais à quatre pattes sur le lit, les avant-bras et les paumes de la main bien à plat. Mes genoux étaient à la limite du lit et je cambrais au maximum les reins pour offrir mon petit cul dans son intégralité.
Une sensation étrange m’envahie, car je me sentais littéralement offerte à l’homme comme une vraie salope, puis je l’entendis entrer dans la chambre et il vint se poster derrière moi.
Tournant la tête pour le voir, je le vis complètement nu, le sexe dressé, se branlant doucement en prenant son temps pour m’observer sous toutes les coutures, cela me gêna un peu, mais je ne bougeais pas, attendant…
Puis je sentis tout à coup ma mini-jupe se relever, l’homme la retroussa sur mes reins afin de me découvrir et me voir avec le seul rempart qui le séparait bien mal ma rondelle, mon petit string fendu.
Mais au lieu le baisser, il l’ouvrit simplement pour mettre mon anus à découvert et pouvoir me posséder.
- Vas-y doucement, c’est la première fois, lui dis-je d’une voix tremblotante.
- T’inquiètes, salope, ça va bien se passer, ton petit cul doit être accueillant et tu dois être une bonne baiseuse !
A ces mots, je frémis et il introduisit doucement son majeur dans mon cul, la surprise me fit me contracter, l’homme le laissa dedans et commença un mouvement circulaire qui me fit gémir et frissonner.
Voulant l’encourager, je simulais par des soupirs une certaine extase, mais je fis une grossière erreur !
L’homme sortit son doigt de mon anus et je sentis son sexe venir se coller à mon petit trou. Il était énorme, par rapport à son majeur. Je sus immédiatement que ce ne serait pas aussi facile à engloutir. Mes craintes me firent me crisper. L’homme avait beau essayer de s’introduire dans mon anus, son sexe n’arrivait pas à me percer et cela l’énerva.
- Tu es trop crispée ! Attrape tes chevilles et tu verras, tu t’ouvriras comme une fleur.
Je m’exécutais, en attrapant les talons de mes escarpins et effectivement, je me sentis plus ouverte, l’homme devait voir mon petit trou ouvert.
Il accentua encore ma cambrure en appuyant ses mains sur mes reins et en me demandant d’écarter le plus possible les jambes. Une fois bien positionnée, l’homme recommença ses assauts. Au bout de quelques tentatives, le gland parvint à s’enfoncer quelque peu.
- Laisse-toi aller et pousse, comme si tu avais envie d’aller aux toilettes, me dit-il.
Je me mis donc à pousser et ce fut comme si je faisais sauter les derniers obstacles.
Le sexe de l’homme me perfora jusqu’à la garde et la douleur fut intense, mais je n’arrivais pas à crier, je poussais seulement des petits jappements incontrôlés.
Une brûlure se propagea dans mes chairs intimes et me fit cambrer les reins.
L’homme prit cela comme un encouragement et se mit à me pistonner violemment, les deux mains accrochées à mes hanches, tout content de m’avoir enfin transpercé.
A chaque coup de reins, je me sentais comme ouverte en deux, ma vue se troublait, tandis que tout mon corps allait et venait au rythme des coups de butoir de cet homme et mes longues boucles d’oreilles ne cessaient de gifler mes joues.
Je n’arrivais pas à lui dire de se calmer, les seuls sons sortant de ma bouche étant limités à des geignements de souffrance. Le lit grinçait au rythme du pilonnage de sa queue en moi.
- Mais elle aime ça, ma la petite salope, éructa l’homme, en soufflant comme un taureau.
Je n’arrivais toujours pas à parler et encouragé par mes gémissements, il accéléra encore la cadence et là, je me mis à glousser, sans pouvoir me contrôler. Cela l’excita davantage.
- C’est bien, jouis salope !
J’étais littéralement défoncée et criais, hurlais, sans pouvoir me retenir.
Cette cadence infernale vint vite à bout de la résistance de mon étalon et les doigts enfoncés dans mes hanches, il éjacula bruyamment en moi, meuglant comme un taureau.
Encore quelques va-et-vient et le calvaire s’arrêta, il se retira, me claqua les fesses comme on flatte la croupe d’une jument et me dit :
- Tu es faite pour te faire enculer, t’as un cul d’enfer ! Extraordinaire !
Je n’ai pu lui répondre, j’étais véritablement sonnée. Mon anus était en feu et je me sentais vidée, un comble après s’être fait remplir le fondement !
Je n’avais toujours pas bougée ni dit un mot, lorsque l’homme recommença à me doigter.
Afin d’éviter de nouvelles douleurs, je me retournais enfin et l’homme me prit la tête et la dirigea, sans aucune résistance de ma part, vers son sexe.
- Allez maintenant, suce salope !
Tant qu’à faire, je préférais cela !
Je pris son sexe en bouche et pompais son dard, la tête vide et l’anus grand ouvert sentant de temps à autre, du sperme couler de mon trou béant le long de mes cuisses, mais qu’importe, je le suçais sans me rendre compte que je redonnais vie à son sexe.
Dès qu’il fut à nouveau en érection, il me demanda de reprendre la position pour une nouvelle sodomie et là, je fondis en larmes.
Il m’avait quasiment violé et ce n’était pas la conception que je m’étais faite d’une première fois, celle avec des préliminaires et beaucoup de douceur et de tendresse, lui m’avait enculé à sec et n’avait pensé qu’à son plaisir, et pas au mien.
Maintenant mon anus était meurtri, et je n’avais pas envie de revivre une telle expérience.
L’homme se leva et partit vers le frigo, pour prendre le pot de margarine, puis il revint vers moi et me demanda de reprendre la position dans laquelle il m’avait possédé.
Sans savoir pourquoi, je repris la position, pour lui offrir une nouvelle fois mon cul.
Il mit une grosse motte sur son index et me tartina la rosette, puis il m’enfonça son doigt plus profondément. Étonnement, le gras de la margarine m’apaisa un peu et petit à petit, des picotements très agréables se firent ressentir.
Là, c’était tellement bon que je commençais à prendre mon pied !
Je l’encourageais à poursuivre cette caresse en accompagnant son doigté de mouvements de reins. Au bout d’un certain de temps une chaleur douce commença à envahir mes entrailles et je m’entendis dire :
- Maintenant, prends-moi !
J’étais telle une chienne en chaleur. J’écartais au maximum les cuisses et, de mes mains, éloignais les deux parties de mon fessier, afin d’offrir au maximum mon intimité.
- Sacrée Leslie, tu es une vraie salope, mais ne t’inquiète pas, je bien vais m’occuper de ta rondelle…
- Humm, n’oublie pas quand même d’être doux…
L’homme me pénétra tout en douceur. Malgré cela, j’avais le sentiment d’être embroché jusqu’à la gorge. Son mouvement de va-et-vient était lent mais ferme. Parfois, il sortait carrément de mon anus pour y revenir plus profondément encore, l’effet était irrésistible.
Ne pouvant me maîtriser, je poussais des :
- Ohhh et des Ahhh !
Qui devenaient plus brefs dès que le rythme s’accélérait, j’ahanais au rythme de cette sodomie que l’homme me faisait subir et lorsque je le pouvais l’encourageais par des paroles salaces.
Je ne me reconnaissais plus, j’étais une vraie chienne en chaleur et l’homme semblait adorer ça, car il dit :
- T’aime ça te faire enculer, t’aimes ça la sodomie, je n’ai jamais enculé une telle excitée du cul !
- Encore ! C’est bon !
- T’aime ça ! Hein, que t’aime ça !
J’étais complètement chavirée, que quand l’homme, une fois de plus, se vida en moi en longues saccades de foutre, j’ai jouis, me rependant sur la couverture du lit.
Cette fois-ci, je me relevais et nous nous embrassâmes longuement, tendrement, j’étais aux anges, comme sur un nuage.
Je me suis réveillée en sueur, en espérant quand même que cela, pour la première fois, ne se passerait comme cela, et vous le savez, ce fut bien autrement, ma première fois…
A suivre…
Un rêve bien étrange ou la suite de mes premiers pas, suite et fin
Dès notre arrivée à mon appartement, l’homme me félicita pour le début de la soirée en parlant de ma beauté et de l’illusion que j’avais provoquée auprès de ses amis et de ce que je dégageais auprès des autres, mon côté sexy et quelque peu allumeuse, j’étais aux anges.
Puis l’homme s’approcha de moi et vint m’embrasser passionnément à pleine bouche et tout en m’embrassant, sa main se mit à découvrir mon corps, en particulier mes cuisses et mon ventre.
Il libéra ma poitrine en ouvrant ma veste et embrassa le bout de mes seins et lorsqu’il se colla à moi, je sentis une énorme bosse dure au travers de son pantalon, au niveau de mon pubis.
Alors, machinalement, sans un mot, j’ouvris sa braguette et sortis son membre, j’étais prête à lui administrer une fellation d’enfer mais, au moment où je m’apprêtais à me pencher pour le prendre en bouche, l’homme me stoppa et me dit :
- Non, pas maintenant, va dans ta chambre et attends-moi à quatre pattes sur le lit !
On y était, c’était l’heure de passer à la casserole…
Je pris mon courage à deux mains et me dirigeais vers la chambre et je m’installais à quatre pattes sur le lit, les avant-bras et les paumes de la main bien à plat. Mes genoux étaient à la limite du lit et je cambrais au maximum les reins pour offrir mon petit cul dans son intégralité.
Une sensation étrange m’envahie, car je me sentais littéralement offerte à l’homme comme une vraie salope, puis je l’entendis entrer dans la chambre et il vint se poster derrière moi.
Tournant la tête pour le voir, je le vis complètement nu, le sexe dressé, se branlant doucement en prenant son temps pour m’observer sous toutes les coutures, cela me gêna un peu, mais je ne bougeais pas, attendant…
Puis je sentis tout à coup ma mini-jupe se relever, l’homme la retroussa sur mes reins afin de me découvrir et me voir avec le seul rempart qui le séparait bien mal ma rondelle, mon petit string fendu.
Mais au lieu le baisser, il l’ouvrit simplement pour mettre mon anus à découvert et pouvoir me posséder.
- Vas-y doucement, c’est la première fois, lui dis-je d’une voix tremblotante.
- T’inquiètes, salope, ça va bien se passer, ton petit cul doit être accueillant et tu dois être une bonne baiseuse !
A ces mots, je frémis et il introduisit doucement son majeur dans mon cul, la surprise me fit me contracter, l’homme le laissa dedans et commença un mouvement circulaire qui me fit gémir et frissonner.
Voulant l’encourager, je simulais par des soupirs une certaine extase, mais je fis une grossière erreur !
L’homme sortit son doigt de mon anus et je sentis son sexe venir se coller à mon petit trou. Il était énorme, par rapport à son majeur. Je sus immédiatement que ce ne serait pas aussi facile à engloutir. Mes craintes me firent me crisper. L’homme avait beau essayer de s’introduire dans mon anus, son sexe n’arrivait pas à me percer et cela l’énerva.
- Tu es trop crispée ! Attrape tes chevilles et tu verras, tu t’ouvriras comme une fleur.
Je m’exécutais, en attrapant les talons de mes escarpins et effectivement, je me sentis plus ouverte, l’homme devait voir mon petit trou ouvert.
Il accentua encore ma cambrure en appuyant ses mains sur mes reins et en me demandant d’écarter le plus possible les jambes. Une fois bien positionnée, l’homme recommença ses assauts. Au bout de quelques tentatives, le gland parvint à s’enfoncer quelque peu.
- Laisse-toi aller et pousse, comme si tu avais envie d’aller aux toilettes, me dit-il.
Je me mis donc à pousser et ce fut comme si je faisais sauter les derniers obstacles.
Le sexe de l’homme me perfora jusqu’à la garde et la douleur fut intense, mais je n’arrivais pas à crier, je poussais seulement des petits jappements incontrôlés.
Une brûlure se propagea dans mes chairs intimes et me fit cambrer les reins.
L’homme prit cela comme un encouragement et se mit à me pistonner violemment, les deux mains accrochées à mes hanches, tout content de m’avoir enfin transpercé.
A chaque coup de reins, je me sentais comme ouverte en deux, ma vue se troublait, tandis que tout mon corps allait et venait au rythme des coups de butoir de cet homme et mes longues boucles d’oreilles ne cessaient de gifler mes joues.
Je n’arrivais pas à lui dire de se calmer, les seuls sons sortant de ma bouche étant limités à des geignements de souffrance. Le lit grinçait au rythme du pilonnage de sa queue en moi.
- Mais elle aime ça, ma la petite salope, éructa l’homme, en soufflant comme un taureau.
Je n’arrivais toujours pas à parler et encouragé par mes gémissements, il accéléra encore la cadence et là, je me mis à glousser, sans pouvoir me contrôler. Cela l’excita davantage.
- C’est bien, jouis salope !
J’étais littéralement défoncée et criais, hurlais, sans pouvoir me retenir.
Cette cadence infernale vint vite à bout de la résistance de mon étalon et les doigts enfoncés dans mes hanches, il éjacula bruyamment en moi, meuglant comme un taureau.
Encore quelques va-et-vient et le calvaire s’arrêta, il se retira, me claqua les fesses comme on flatte la croupe d’une jument et me dit :
- Tu es faite pour te faire enculer, t’as un cul d’enfer ! Extraordinaire !
Je n’ai pu lui répondre, j’étais véritablement sonnée. Mon anus était en feu et je me sentais vidée, un comble après s’être fait remplir le fondement !
Je n’avais toujours pas bougée ni dit un mot, lorsque l’homme recommença à me doigter.
Afin d’éviter de nouvelles douleurs, je me retournais enfin et l’homme me prit la tête et la dirigea, sans aucune résistance de ma part, vers son sexe.
- Allez maintenant, suce salope !
Tant qu’à faire, je préférais cela !
Je pris son sexe en bouche et pompais son dard, la tête vide et l’anus grand ouvert sentant de temps à autre, du sperme couler de mon trou béant le long de mes cuisses, mais qu’importe, je le suçais sans me rendre compte que je redonnais vie à son sexe.
Dès qu’il fut à nouveau en érection, il me demanda de reprendre la position pour une nouvelle sodomie et là, je fondis en larmes.
Il m’avait quasiment violé et ce n’était pas la conception que je m’étais faite d’une première fois, celle avec des préliminaires et beaucoup de douceur et de tendresse, lui m’avait enculé à sec et n’avait pensé qu’à son plaisir, et pas au mien.
Maintenant mon anus était meurtri, et je n’avais pas envie de revivre une telle expérience.
L’homme se leva et partit vers le frigo, pour prendre le pot de margarine, puis il revint vers moi et me demanda de reprendre la position dans laquelle il m’avait possédé.
Sans savoir pourquoi, je repris la position, pour lui offrir une nouvelle fois mon cul.
Il mit une grosse motte sur son index et me tartina la rosette, puis il m’enfonça son doigt plus profondément. Étonnement, le gras de la margarine m’apaisa un peu et petit à petit, des picotements très agréables se firent ressentir.
Là, c’était tellement bon que je commençais à prendre mon pied !
Je l’encourageais à poursuivre cette caresse en accompagnant son doigté de mouvements de reins. Au bout d’un certain de temps une chaleur douce commença à envahir mes entrailles et je m’entendis dire :
- Maintenant, prends-moi !
J’étais telle une chienne en chaleur. J’écartais au maximum les cuisses et, de mes mains, éloignais les deux parties de mon fessier, afin d’offrir au maximum mon intimité.
- Sacrée Leslie, tu es une vraie salope, mais ne t’inquiète pas, je bien vais m’occuper de ta rondelle…
- Humm, n’oublie pas quand même d’être doux…
L’homme me pénétra tout en douceur. Malgré cela, j’avais le sentiment d’être embroché jusqu’à la gorge. Son mouvement de va-et-vient était lent mais ferme. Parfois, il sortait carrément de mon anus pour y revenir plus profondément encore, l’effet était irrésistible.
Ne pouvant me maîtriser, je poussais des :
- Ohhh et des Ahhh !
Qui devenaient plus brefs dès que le rythme s’accélérait, j’ahanais au rythme de cette sodomie que l’homme me faisait subir et lorsque je le pouvais l’encourageais par des paroles salaces.
Je ne me reconnaissais plus, j’étais une vraie chienne en chaleur et l’homme semblait adorer ça, car il dit :
- T’aime ça te faire enculer, t’aimes ça la sodomie, je n’ai jamais enculé une telle excitée du cul !
- Encore ! C’est bon !
- T’aime ça ! Hein, que t’aime ça !
J’étais complètement chavirée, que quand l’homme, une fois de plus, se vida en moi en longues saccades de foutre, j’ai jouis, me rependant sur la couverture du lit.
Cette fois-ci, je me relevais et nous nous embrassâmes longuement, tendrement, j’étais aux anges, comme sur un nuage.
Je me suis réveillée en sueur, en espérant quand même que cela, pour la première fois, ne se passerait comme cela, et vous le savez, ce fut bien autrement, ma première fois…
A suivre…
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