Leslie RE17 : Souvenirs – Escorte occasionnelle, suite 1 - histoire érotique

Leslie RE17 – Les récits érotiquesSouvenirs – Escorte occasionnelle, suite 1
Caroline, un peu chamboulée par l’entretien, s’allongea sur son lit en arrivant chez elle, après avoir déjeuner, elle se coucha et dormit jusqu’au lendemain matin.
Le lendemain, le chauffeur qui attendait descendit de la berline arrêtée au de son immeuble, et lui ouvrit la portière. Elle monta, Agnès déjà installée dans la Mercedes noire, puis l’instant d’après ils étaient en route.
Vingt minutes plus tard, la Mercedes stoppa devant un immeuble et le chauffeur leur ouvrit la porte et les salua. Elles descendirent, puis avancèrent vers l’immeuble pour entrer dans le hall. Au rez-de-chaussée, Agnès appuya sur le bouton de sonnette situé près de la porte de gauche et une jeune femme vint leur ouvrir.
- Bonjour, entrez s’il vous plaît.
Caroline et Agnès suivirent la jeune femme dans une salle d’attente vide et peu de temps après la porte du cabinet de consultation s’ouvrit sur un homme dans la quarantaine.
- Bonjour Mademoiselle Caldert, suivez-moi, s’il vous plaît, venez aussi Agnès.

Il les fit entrer dans son cabinet et indiqua un fauteuil de cuir à Agnès, et après que Caroline se fut installée dans la chaise en face du bureau, il s’assit et consulta son carnet de santé un moment puis relevant la tête et lui demanda :- Aucun problème de santé majeur récemment ?
- Non… je suis en forme et pratique les arts martiaux.
- Vous imaginez que cette visite est un peu particulière et plus complète qu’un simple examen médical. Mon assistante va venir vous faire une prise de sang, si toutefois vous êtes à jeun.
- Je n’ai pas déjeuner ce matin.
Il décrocha son téléphone et dit :- Patricia, vous pouvez venir pour une prise de sang et apportez le nécessaire pour les analyses.
Patricia arriva et invita Caroline à passer dans la pièce attenante réservée aux examens.
Caroline remplit un bocal d’urine et Patricia lui fit une prise de sang.
Puis après lui avoir demandé de se déshabiller elle prit son poids et la toisa avant de lui prendre ses mensurations, tour de poitrine, de taille, de hanches et des cuisses.
Puis elle lui indiqua la table d’examen gynécologique, en disant :- Vous voulez bien prendre place ?
Caroline monta sur la table et Patricia l’aida à prendre place, en disant :- Mettez-vous en position, s’il vous plaît.
Puis cala ses chevilles dans les étriers, sentant Caroline un peu gênée, elle lui dit :- Laissez-vous faire, tout va bien se passer.
Quand Caroline sentit les mains de l’assistante du médecin glisser vers l’intérieur de ses cuisses, elle sentit un frisson dans son ventre, Patricia le remarqua et dit :- Vous êtes plutôt réceptive, Mademoiselle Caldert…Elle ouvrit largement les écarteurs avant de les bloquer.
- Le docteur va arriver, je vous positionne.

Caroline dans cette position était totalement offerte et quelques instants plus tard le médecin revint vers elle. Il enfila des gants de latex en demandant :- Vous n’avez pas trop froid ?
- Non, ça va…- Je vais vous faire un examen assez complet, bon voyons… Vous avez eu des rapports sexuels récemment car je vois que vous êtes irritée ?
- Non, pas récemment, enfin, pas avec…- Je vois, pas de problème, vous prenez le plaisir comme vous voulez, mais je vous conseille d’utiliser un lubrifiant approprié.
Il écouta son cœur avec son stéthoscope et commença à palper doucement ses seins, aussitôt Caroline sentit la pointe de ses seins se dresser et durcir.
- Vous êtes très sensible ! Dit le docteur.
La main du docteur descendit sur son corps, il palpa son ventre en s’attardant sur l’aine gauche, puis sur la droite au niveau des trompes, puis le pubis, doucement en frôlant d’un doigt son clitoris, peut-être un peu exprès. Caroline frissonna et le docteur lui redit :- Effectivement, vous êtes très sensible, clitoridienne je suppose ?
- Non les deux, vaginale aussi.
Il dégagea délicatement le petit bouton de son capuchon, pour s’apercevoir qu’il était gonflé et dur.
- Vous en avez de la chance !

Puis il prit un spéculum dans un tiroir et le présenta devant le sexe de Caroline. Il le fit entrer très facilement, le métal froid augmenta l’excitation de Caroline dont la respiration s’accéléra soudain.
- Tout va bien ? Demanda le docteur.
- Ohhh…oui… Tout va bien docteur… Dit-elle dans un soupirCaroline sentait son sexe ouvert couler d’excitation entre ses cuisses, puis entre ses fesses.
- Vous êtes très souple, Mademoiselle, bien tout a l’air normal, à part cette irritation, je vais vous prescrire une crème et un lubrifiant.
Puis après avoir ôté le spéculum il enfonça son majeur et son index dans le vagin de Caroline encore distendu et demanda ;- Vous pouvez contracter vos muscles ?
Caroline contracta ses muscles et serra les doigts du docteur dans son sexe. C’était délicieux et comme elle aurait aimé qu’il la masturbe.
- Parfait, vous êtes très tonique, Mademoiselle Caldert, c’est vraiment impressionnant !
Puis elle sentit un doigt descendre le long du sillon vers son anus, dans la situation dans laquelle se trouvait Caroline, le docteur ne pouvait ignorer l’état dans lequel elle était, compte-tenu de ses gémissements répétés et de son sexe luisant obscènement ouvert.
Elle sentit un doigt sur son petit anneau rose, certainement le majeur, puis elle le sentit s’enfoncer doucement dans son anus, elle gémit, mais pas de la douleur.
- Vous êtes serré de ce côté… Lui dit le docteur en lui fouillant l’anus.
- Ohhh…oui…c’est parce que je m’exerce…- C’est agréable ?
- Euh… oui.
Caroline respirait de plus en plus vite, se sentant fouillée.
- Parfait, nous y sommes. Tout semble en ordre.

Il sortit son majeur, laissant Caroline pantelante et insatisfaite. Après avoir jeté son gant, il l’aida à descendre de la table, il dit :- Je suis certain que certain vont avoir une sacrée chance de vous rencontrer ! Vous pouvez vous rhabiller maintenant. Nous contacterons madame Parker pour lui transmettre vos résultats. Voici une ordonnance pour un contraceptif qui vous conviendra mieux, commencez à le prendre dès ce soir, à bientôt Mademoiselle Caldert.
- Merci docteur…- Et surtout n’oubliez pas les visites semestrielles de contrôle pour votre pilule et les mensuelles pour les examens des maladies.
A la fin de la visite, le médecin dit à Agnès :- Tout est en ordre, vous pourrez rassurer Madame Parker, Mademoiselle Caldert est tout à fait opérationnelle.

Elles sortent du cabinet et elles retournèrent dans la voiture, une fois installées, alors que le chauffeur reconduisait Caroline chez elle, Agnès lui remit l’enveloppe et la liste des magasins…Arrivée devant chez elle, Agnès lui dit :- Francis viendra demain matin te chercher, à dix heures, et sera à ta disposition toute ka journée pour te conduire dans les boutiques de ton choix, celles de la liste.
Une fois déposée devant chez elle, Caroline se rendit à la pharmacie et entra dans l’officine pour prendre son contraceptif, des préservatifs, une pommade calmante, au cas où, et un gel lubrifiant. Une fois cette question réglée, elle alla chez elle pour se reposer.

Le lendemain Francis était là pour la conduire dans les boutiques faisant partie de la liste remise par Agnès la veille. Dans la première elle dirigea vers le rayon lingerie. Une femme l’aborda et lui demanda si elle venait de la part de Madame Parker, Caroline acquiesça.
- Dans ce cas, suivez-moi, Mademoiselle.
Elle l’emmena hors des rayonnages, dans un salon privé situé à l’arrière.
Elle se déshabilla et la vendeuse contrôla ses mensurations, puis s’absenta deux minutes pour revenir les bras chargés de boites, contenant des dessous…L’essayage dura plus de deux heures et Caroline essaya des ensembles tous plus sexy les uns que les autres, transparents ou non, dentelle et soie… À la fin, la vendeuse emballa ses achats et lui tendit le paquet.
Elle apprit que tout était pris en charge par l’agence.
Puis ce fut le magasin de chaussures, la même scène se reproduisit, et Caroline ressortit de la boutique avec six paires de chaussures à talons entre 8 et 12 centimètres.
Dans les boutiques Caroline se laissait docilement guider docilement et les achats terminés, Francis récupérait les paquets pour les disposer dans le coffre de la berline, Caroline se serrait cru dans le film Pretty womanPuis elle passa dans un autre magasin où on lui conseilla des vêtements très féminins : jupes, tailleurs, chemisiers transparents, robes moulantes, pantalon de cuir…Lorsqu’elle rentra chez elle, la nuit était tombée et elle était épuisée. Elle se déshabilla et se jeta dans son lit.
Ne trouvant pas le sommeil, elle s’adonna ç son passe-temps favori, se donner du plaisir.
Elle s’installa sur le lit jambes écartées et se masturba avant de s’enfoncer un gode dans son sexe, le faire aller et venir en le laissant buter au fond de son ventre et laisser monter le plaisir qu’elle ressentait d’être ainsi remplie… Jusqu’à jouir… Elle s’endormit la main lovée contre son sexe humide, en pendant à son avenir d’escorte.

A suivre…