Leslie SE13
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie SE13
Leslie SE13 – Seule, Yann et le gros calibre
Au cabinet d’architecture, ma collègue, Martine, bosse depuis quelques temps en relation avec un autre cabinet sur un gros projet.
Le collègue avec lequel elle bosse est super bandant, beau comme un adonis et je suppose que, connaissant Martine et son attachement pour les beaux mecs, elle l’a déjà certainement emmené dans son lit.
Depuis quelques jours, ils passent souvent à l’agence pour le boulot et cela me donne l’occasion de le rencontrer de temps en temps, à la cafétéria, par exemple, où buvant notre café ensemble, il ne manque pas cette occasion de me draguer, j’avoue que je l’ai laissé faire, trop heureuse qu’il s’intéresse à moi, et le fait d’être désirée me plait et faisait monter en moi le désir
Ce jour-là du mois de juillet, je l’ai retrouvé à la cafétéria, Michel le patron m’ayant demandé de l’aider sur une nouvelle affaire, la rénovation d’un manoir en Normandie.
Yann trop heureux de travailler avec moi, m’avait tout de suite proposé d’aller faire une visite des lieux dès le lendemain.
Etant libre, j’ai accepté et nous avons convenus de partir, ensemble, avec sa voiture.
- Je passerais te chercher à sept heures, chez toi et nous déjeunerons sur la route, me dit-il, comme des amoureux.
- Ouais, dis-je, on verra !
Le lendemain pile à l’heure, il était en bas de mon immeuble et nous avons aussitôt démarrés, nos sans avoir auparavant échangés le traditionnel bisou du matin.
À peine dans la voiture de Yann, confortablement installée, Yann a mis de la musique en fond sonore et nous avons commencés à discutés.
Il voulait tout savoir de ma vie, de mes désirs et de mes passions, si j’étais seule dans la vie, en fait tout ce qu’un mec désire savoir sur une fille quand il l’a drague.
Dans la conversation il me donnait quelques détails sur sa vie, mais restant le plus vague possible, je crus deviner dans ses propos qu’il était bisexuel et que rien dans le sexe ne l’arrêtait.
D’ailleurs en traversant le Bois de Boulogne pour rejoindre l’autoroute, nous vîmes les dernières transexuelles de la nuit, attardées encore sur leur lieu de travail, c’est à ce moment-là que Yann me dit :
- Il faudra qu’un jour je m’en fasse une, il y en a de vraiment très belle !
Et plouf, le voilà qu’il me déclare est attiré par le transgenre, serait-il au courant de mon état, ou a-t-il dit cela sans savoir, mais ayant vraiment le désir d’assouvir ce qu’il m’annonçait toujours est-il que maintenant je savais.
Nous avons pris l’autoroute et après une heure nous nous sommes arrêtés pour prendre un petit-déjeuner.
Nous étions seuls dans le relais et ce fut vraiment sympa, non pas un petit-déjeuner d’amoureux, comme Yann l’avait dit, mais sympa, d’autant plus qu’il continuait à me draguer et que je commençais à être vraiment excitée.
Avant de reprendre la route, je me suis rendue aux toilettes pour me caresser le membre et me donner un peu de plaisir, juste comme ça, sans jouir, pour le fun.
Nous avons rejoint la voiture et nous avons repris la route.
Nous n’avions pas fait cinq kilomètres que Yann, posa sa main sur ma cuisse dénudée, en me disant de façon très directe :
- Tu sais, tu me plais et je sens que je ne te laisse pas insensible !
- Yann, tu…
- Allez, avoue-le !
Je me sentais piégée et rougir un peu, alors pour clore le débat, je lui ai dit :
- Oui, tu me plais, voilà je l’ai dit et après !
- Après, dit Yann, tu vas me sucer car je sais que tu en as envie !
Et avant que j’aie pu réagir ou dire un mot, Yann, tout en conduisant, avait ouvert sa braguette sous mes yeux médusés et en avait extrait un membre déjà long, pas encore dur, mais déjà impressionnant. Il s’est caressé et j’ai vu son sexe se dresser et gonfler lentement. Je m’étais rapidement retrouvée avec, sous les yeux, un sexe de vingt-deux centimètres de long et de près de cinq centimètres de diamètre !
La situation, je l’avoue, m’excitait et je me suis imaginée ce membre impressionnant en moi, me pénétrant et me dilatant.
C’était le plus gros et le plus bel engin que j’avais eu sous les yeux. Et même si l’audace de Yann me sidérait, je ne pouvais qu’admirer son membre.
Nous étions maintenant sur une route de campagne et là, sans réfléchir, comme hypnotisée, je me suis penchée vers le membre de Yann, pour me retrouver avec les vingt-deux centimètres de chair tendue à portée immédiate de ma bouche.
- Tu vois que t’en a envie, me dit Yann comme pour m’encourager.
Bandant comme jamais, j’avais d’abord branlé longuement l’engin, appréciant en connaisseuse ses dimensions. J’avais dû utiliser mes deux mains pour le caresser complètement.
Puis je m’étais penchée vers son entrejambe, après avoir détaché ma ceinture de sécurité, approchant ma bouche de la tige dure.
J’avais ensuite léché et sucé le gland, puis le membre. Je l’ai pompé avec fougue. Mais, malgré ma bonne volonté, j’arrivais à peine à en prendre la moitié en bouche.
Quand Yann s’arrêta en bordure d’un chemin désert, je frémis, il était temps de lui avouer que je n’étais pas une femme au sens strict du terme.
Me redressant et en le regardant dans les yeux je lui ai demandé :
- Et si avec moi tu vivais ton rêve de ce matin ?
- Que veux-tu dire par là ? Me demanda-t-il d’un air étonné.
- Si j’étais une créature comme celle de ce matin, que dirais-tu ?
- Je serais heureux, mais tu n’es pas une transexuelle Leslie ?
- Et bien si, dis-je.
Et pour lui prouver je tirais sur ma jupe pour lui montrer mon string déformé par mon sexe en érection.
- Alors là ! Dis Yann.
Il descendit de la voiture, le sexe à l’air toujours bandé en me disant :
- Je suis à point et je vais te prendre.
Sa queue d’étalon dure et raide entre les jambes, il me dévorait des yeux.
Rapidement, je me retrouvais jupe relevée, slip ôté, penchée en avant, le gland de Yann posé au bord de mon anus et il appuya avec son gros gland contre mon petit trou. J’avais déjà pris des gros calibres dans le cul, mais jamais un tel engin.
Yann dut s’y reprendre à plusieurs fois et appuyer fortement son gland contre mon petit trou pour le pénétrer. Son sexe força finalement le passage. Et il s’enfonça en moi…
J’en avais le souffle coupé. Je sentais la queue de Yann remplir mon cul. Les vingt-deux centimètres de l’homme, qui avaient déjà distendu ma bouche, pourfendaient mon anus, le distendant complètement.
J’étais très, très excitée, et mon conduit s’adapta rapidement à la taille gigantesque du membre qui me possédait. Je le reçus entièrement en moi, planté au fond de mes fesses, ahanant de plaisir.
En même temps, je me sentais remplie comme jamais par ce pieu énorme qui taraudait mon cul. Yann entrait et sortait maintenant entièrement son sexe de mon anus, m’arrachant des cris de plaisir rauques à chaque fois qu’il replongeait en moi.
Mon cul était ouvert et Yann me dit :
- Jamais je n’ai connu un cul aussi accueillant.
Je subissais avec délectation les assauts de Yann dans mes fesses. Il me possédait totalement, il me défonçait en m’arrachant des râles de plaisir.
Cambrée, je me faisais enculer comme une vraie salope dans la campagne normande. Au bout d’un long moment, il me prévint qu’il allait venir et pour ne pas rester souillée, je me dégageais, laissant un vide dans mon cul lorsqu’il sortit de mon petit trou, et lui demandais de jouir dans ma bouche.
Trop heureux il s’exécuta et éjacula de longues giclées de foutre dans ma gorge que j’avalais en hoquetant.
Après nous être rhabillés, je bus un peu d’eau et nous nous sommes rendus à notre rendez-vous. Je sentais mon cul entrouvert et la sensation de vide me pesait, j’avais encore envie de lui.
Après le rendez-vous nous avons dinés dans une petite auberge et nous avons pris une chambre pour assouvir encore nos folies.
Yann m’a de nouveau sodomisé, puis se fut mon tour de lui prendre son petit cul d’étalon, il devait avoir l’habitude car tout se passa à merveille et il me laissa jouir au fond de ses entrailles.
Sur le chemin du retour, je repris en main le sexe de taureau de mon nouvel amant. Après l’avoir longuement caressé il s’arrêta de nouveau sur le bord de la route et là à genoux à ses pieds, je le suçais à nouveau.
Puis je me relevais, ôtais d’abord mon string, puis ma jupe et à moitié nue, je me mis devant la voiture. Puis, me penchant en avant, les seins sur le capot, je dis à Yann en lui exhibant mon cul tendu et déjà offert :
- Encule-moi encore !
Ce dernier ne se fit pas prier. Il se colla contre moi et me pénétra sans plus de préliminaires. Sa grosse queue s’enfonça cette fois-ci sans problème dans mes fesses. Et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il était à fond de mon cul. Yann me sodomisa pendant près d’un quart d’heure, il m’encula profondément, me pénétrant de toute la longueur de sa grosse queue, distendant mon anus et me déchirant les fesses.
Mes seins durs tressautaient au rythme des ruades de mon amant dans mes fesses, puis, à bout, Yann rua une dernière fois en moi, et éjacula dans mes fesses, son pieu planté au fond de mon cul, tandis que je jouissais avec force.
En rentrant, dans la voiture, près de Yann, je ne pus m’empêcher de caresser de la main mon anus encore ouvert et le simple souvenir des deux sodomies subies me firent bander comme une folle. J’avais du mal à me tenir tranquille sur mon siège et je me serais bien branler pour me calmer.
Le soir, à la maison je m’aperçus dans ma salle de bains, juste avant de me mettre au lit, que mon anus était toujours très dilaté. Je me penchais en avant et me mis de dos face à la glace. Je vis mon petit trou ouvert et tressaillis de plaisir.
Je me branlais en regardant mon petit trou et jouis en pensant à ce membre qui m’avait donné tant de plaisir…
A suivre…
Au cabinet d’architecture, ma collègue, Martine, bosse depuis quelques temps en relation avec un autre cabinet sur un gros projet.
Le collègue avec lequel elle bosse est super bandant, beau comme un adonis et je suppose que, connaissant Martine et son attachement pour les beaux mecs, elle l’a déjà certainement emmené dans son lit.
Depuis quelques jours, ils passent souvent à l’agence pour le boulot et cela me donne l’occasion de le rencontrer de temps en temps, à la cafétéria, par exemple, où buvant notre café ensemble, il ne manque pas cette occasion de me draguer, j’avoue que je l’ai laissé faire, trop heureuse qu’il s’intéresse à moi, et le fait d’être désirée me plait et faisait monter en moi le désir
Ce jour-là du mois de juillet, je l’ai retrouvé à la cafétéria, Michel le patron m’ayant demandé de l’aider sur une nouvelle affaire, la rénovation d’un manoir en Normandie.
Yann trop heureux de travailler avec moi, m’avait tout de suite proposé d’aller faire une visite des lieux dès le lendemain.
Etant libre, j’ai accepté et nous avons convenus de partir, ensemble, avec sa voiture.
- Je passerais te chercher à sept heures, chez toi et nous déjeunerons sur la route, me dit-il, comme des amoureux.
- Ouais, dis-je, on verra !
Le lendemain pile à l’heure, il était en bas de mon immeuble et nous avons aussitôt démarrés, nos sans avoir auparavant échangés le traditionnel bisou du matin.
À peine dans la voiture de Yann, confortablement installée, Yann a mis de la musique en fond sonore et nous avons commencés à discutés.
Il voulait tout savoir de ma vie, de mes désirs et de mes passions, si j’étais seule dans la vie, en fait tout ce qu’un mec désire savoir sur une fille quand il l’a drague.
Dans la conversation il me donnait quelques détails sur sa vie, mais restant le plus vague possible, je crus deviner dans ses propos qu’il était bisexuel et que rien dans le sexe ne l’arrêtait.
D’ailleurs en traversant le Bois de Boulogne pour rejoindre l’autoroute, nous vîmes les dernières transexuelles de la nuit, attardées encore sur leur lieu de travail, c’est à ce moment-là que Yann me dit :
- Il faudra qu’un jour je m’en fasse une, il y en a de vraiment très belle !
Et plouf, le voilà qu’il me déclare est attiré par le transgenre, serait-il au courant de mon état, ou a-t-il dit cela sans savoir, mais ayant vraiment le désir d’assouvir ce qu’il m’annonçait toujours est-il que maintenant je savais.
Nous avons pris l’autoroute et après une heure nous nous sommes arrêtés pour prendre un petit-déjeuner.
Nous étions seuls dans le relais et ce fut vraiment sympa, non pas un petit-déjeuner d’amoureux, comme Yann l’avait dit, mais sympa, d’autant plus qu’il continuait à me draguer et que je commençais à être vraiment excitée.
Avant de reprendre la route, je me suis rendue aux toilettes pour me caresser le membre et me donner un peu de plaisir, juste comme ça, sans jouir, pour le fun.
Nous avons rejoint la voiture et nous avons repris la route.
Nous n’avions pas fait cinq kilomètres que Yann, posa sa main sur ma cuisse dénudée, en me disant de façon très directe :
- Tu sais, tu me plais et je sens que je ne te laisse pas insensible !
- Yann, tu…
- Allez, avoue-le !
Je me sentais piégée et rougir un peu, alors pour clore le débat, je lui ai dit :
- Oui, tu me plais, voilà je l’ai dit et après !
- Après, dit Yann, tu vas me sucer car je sais que tu en as envie !
Et avant que j’aie pu réagir ou dire un mot, Yann, tout en conduisant, avait ouvert sa braguette sous mes yeux médusés et en avait extrait un membre déjà long, pas encore dur, mais déjà impressionnant. Il s’est caressé et j’ai vu son sexe se dresser et gonfler lentement. Je m’étais rapidement retrouvée avec, sous les yeux, un sexe de vingt-deux centimètres de long et de près de cinq centimètres de diamètre !
La situation, je l’avoue, m’excitait et je me suis imaginée ce membre impressionnant en moi, me pénétrant et me dilatant.
C’était le plus gros et le plus bel engin que j’avais eu sous les yeux. Et même si l’audace de Yann me sidérait, je ne pouvais qu’admirer son membre.
Nous étions maintenant sur une route de campagne et là, sans réfléchir, comme hypnotisée, je me suis penchée vers le membre de Yann, pour me retrouver avec les vingt-deux centimètres de chair tendue à portée immédiate de ma bouche.
- Tu vois que t’en a envie, me dit Yann comme pour m’encourager.
Bandant comme jamais, j’avais d’abord branlé longuement l’engin, appréciant en connaisseuse ses dimensions. J’avais dû utiliser mes deux mains pour le caresser complètement.
Puis je m’étais penchée vers son entrejambe, après avoir détaché ma ceinture de sécurité, approchant ma bouche de la tige dure.
J’avais ensuite léché et sucé le gland, puis le membre. Je l’ai pompé avec fougue. Mais, malgré ma bonne volonté, j’arrivais à peine à en prendre la moitié en bouche.
Quand Yann s’arrêta en bordure d’un chemin désert, je frémis, il était temps de lui avouer que je n’étais pas une femme au sens strict du terme.
Me redressant et en le regardant dans les yeux je lui ai demandé :
- Et si avec moi tu vivais ton rêve de ce matin ?
- Que veux-tu dire par là ? Me demanda-t-il d’un air étonné.
- Si j’étais une créature comme celle de ce matin, que dirais-tu ?
- Je serais heureux, mais tu n’es pas une transexuelle Leslie ?
- Et bien si, dis-je.
Et pour lui prouver je tirais sur ma jupe pour lui montrer mon string déformé par mon sexe en érection.
- Alors là ! Dis Yann.
Il descendit de la voiture, le sexe à l’air toujours bandé en me disant :
- Je suis à point et je vais te prendre.
Sa queue d’étalon dure et raide entre les jambes, il me dévorait des yeux.
Rapidement, je me retrouvais jupe relevée, slip ôté, penchée en avant, le gland de Yann posé au bord de mon anus et il appuya avec son gros gland contre mon petit trou. J’avais déjà pris des gros calibres dans le cul, mais jamais un tel engin.
Yann dut s’y reprendre à plusieurs fois et appuyer fortement son gland contre mon petit trou pour le pénétrer. Son sexe força finalement le passage. Et il s’enfonça en moi…
J’en avais le souffle coupé. Je sentais la queue de Yann remplir mon cul. Les vingt-deux centimètres de l’homme, qui avaient déjà distendu ma bouche, pourfendaient mon anus, le distendant complètement.
J’étais très, très excitée, et mon conduit s’adapta rapidement à la taille gigantesque du membre qui me possédait. Je le reçus entièrement en moi, planté au fond de mes fesses, ahanant de plaisir.
En même temps, je me sentais remplie comme jamais par ce pieu énorme qui taraudait mon cul. Yann entrait et sortait maintenant entièrement son sexe de mon anus, m’arrachant des cris de plaisir rauques à chaque fois qu’il replongeait en moi.
Mon cul était ouvert et Yann me dit :
- Jamais je n’ai connu un cul aussi accueillant.
Je subissais avec délectation les assauts de Yann dans mes fesses. Il me possédait totalement, il me défonçait en m’arrachant des râles de plaisir.
Cambrée, je me faisais enculer comme une vraie salope dans la campagne normande. Au bout d’un long moment, il me prévint qu’il allait venir et pour ne pas rester souillée, je me dégageais, laissant un vide dans mon cul lorsqu’il sortit de mon petit trou, et lui demandais de jouir dans ma bouche.
Trop heureux il s’exécuta et éjacula de longues giclées de foutre dans ma gorge que j’avalais en hoquetant.
Après nous être rhabillés, je bus un peu d’eau et nous nous sommes rendus à notre rendez-vous. Je sentais mon cul entrouvert et la sensation de vide me pesait, j’avais encore envie de lui.
Après le rendez-vous nous avons dinés dans une petite auberge et nous avons pris une chambre pour assouvir encore nos folies.
Yann m’a de nouveau sodomisé, puis se fut mon tour de lui prendre son petit cul d’étalon, il devait avoir l’habitude car tout se passa à merveille et il me laissa jouir au fond de ses entrailles.
Sur le chemin du retour, je repris en main le sexe de taureau de mon nouvel amant. Après l’avoir longuement caressé il s’arrêta de nouveau sur le bord de la route et là à genoux à ses pieds, je le suçais à nouveau.
Puis je me relevais, ôtais d’abord mon string, puis ma jupe et à moitié nue, je me mis devant la voiture. Puis, me penchant en avant, les seins sur le capot, je dis à Yann en lui exhibant mon cul tendu et déjà offert :
- Encule-moi encore !
Ce dernier ne se fit pas prier. Il se colla contre moi et me pénétra sans plus de préliminaires. Sa grosse queue s’enfonça cette fois-ci sans problème dans mes fesses. Et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il était à fond de mon cul. Yann me sodomisa pendant près d’un quart d’heure, il m’encula profondément, me pénétrant de toute la longueur de sa grosse queue, distendant mon anus et me déchirant les fesses.
Mes seins durs tressautaient au rythme des ruades de mon amant dans mes fesses, puis, à bout, Yann rua une dernière fois en moi, et éjacula dans mes fesses, son pieu planté au fond de mon cul, tandis que je jouissais avec force.
En rentrant, dans la voiture, près de Yann, je ne pus m’empêcher de caresser de la main mon anus encore ouvert et le simple souvenir des deux sodomies subies me firent bander comme une folle. J’avais du mal à me tenir tranquille sur mon siège et je me serais bien branler pour me calmer.
Le soir, à la maison je m’aperçus dans ma salle de bains, juste avant de me mettre au lit, que mon anus était toujours très dilaté. Je me penchais en avant et me mis de dos face à la glace. Je vis mon petit trou ouvert et tressaillis de plaisir.
Je me branlais en regardant mon petit trou et jouis en pensant à ce membre qui m’avait donné tant de plaisir…
A suivre…
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