Leslie SE22
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie SE22
Leslie SE22 – Seule, Delphine, suite
Je positionne mon sexe à l’entrée de sa vulve et j’entre mon gland en elle, je pousse doucement, il a du mal à entrer tellement elle est étroite, rien que le bout du gland déforme déjà ses lèvres, je sens que ça va être magique.
- Ohhh, oui, vas-y ! Baise-moi !
- Je vais te faire mal, tu es si étroite.
- Baise-moi ! dit-elle en hurlant.
- Très bien, petite salope, mais tu vas hurler.
- Ce ne sera rien en comparaison au moment où tu m’enculeras !
Poussant mon sexe en elle, je force l’entrée de sa chatte qui s’élargit sous la pression. Elle se met à gueuler, mais ne demande que ça, elle a envie que ma queue la transperce, et la fasse jouir.
- Ohhh putain, oui ! Leslie, Oui !
- Tu la sens, là ? Tu l’aimes ? Que t’es serrée. Je ne vais pas tenir longtemps.
- Ohhh. Si encore. Humm.
- Ohhh, la vache tu es serrée comme une pucelle.
- Ahhh oui, je la sens tu me la mise bien au fond.
Une fois de plus, elle est tétanisée par l’orgasme qui la foudroie alors que je sens mon sperme gicler en elle en longues saccades.
Elle tressaute comme une carpe hors de l’eau, la bouche ouverte, complètement déboussolée. Puis elle s’effondre sous moi.
Je vois sa chatte ouverte et dégoulinante de mon plaisir.
J’ai encore envie mais je suis épuisée, doucement je me relève et l’aide à faire de même. Elle m’embrasse tendrement, me caresse les fesses. Sa langue dans ma bouche me fouille et je lui rends son baiser. Nous restons là un moment à nous regarder, puis elle me dit :
- Reprends des forces car ce soir tu vas m’enculer ma chérie !
Suivant les conseils de Delphine, je me calme un peu, alors elle me demande :
- Tu veux boire quelque chose ?
- Oui ! Un cognac si tu en as.
- Ok, pas de problème j’en ai, et d’ailleurs je vais en prendre un aussi !
Elle se lève et je peux l’admirer dans toute sa nudité alors qu’elle sert les deux verres, ses petites fesses qui vont bientôt mettre offertes et sa taille fine, sa petite poitrine, je commence à rebander rien qu’en la regardant
Elle se pose près de moi avec deux cognacs. On les boit quasiment sans rien dire mais en se regardant d’envie, sans pudeur elle me dévisage et regarde mon sexe qui se redresse alors que je viens de la baiser, elle tend la main pour prendre ma queue dans sa main frêle et me branle doucement en disant :
- Tu es prête me semble-t-il !
Je suis assise cul nu et les seins à l’air, comme elle, sans aucune pudeur, sur le canapé, j’ai, aussi comme elle, encore les tétons pointés, mes seins me font encore mal et j’ai envie de la sodomiser, mais j’attends calmement son accord.
Nous terminons notre verre sans un mot, puis je me lève.
- Où vas-tu ? Me demande Delphine.
- Je vais prendre une douche.
Une fois dans la douche, je me lave de partout puis soudain, Delphine entre dans la salle de bain me faisant sursauter, elle me regarde en train de me laver.
Je perds toute pudeur, elle regarde mon sexe dressé, elle est nue et je la vois se caresser en passant sa langue sur ses lèvres.
Elle s’approche et entre sous la douche près de moi et commence à me caresser en passant ses mains partout sur mon corps, je bande comme une folle, Delphine m’excite et elle le sait, je la caresse et lui doigte la vulve alors qu’elle a pris mon membre vans sa main et me branle.
Puis, sans un mot tout en tenant mon sexe dans sa main, elle se retourne contre la faïence, s’enduit l’anus de gel et pousse son doigt entre ses fesses sur son anus.
Je sais ce qu’elle a en tête, elle me l’a dit, son doigt entre tout seul dans son conduit, elle se prépare et cela m’excite tellement que je prends sa main et pousse pour l’aider à entrer son doigt au fond d’elle.
Elle soupire et se laisse faire, elle s’enfonce son doigt et déjà je sens son autre main tiré sur mon sexe pour me positionner contre elle, contre ses fesses.
A ses yeux brillants de désirs, je vois qu’elle adore cette soumission à laquelle elle va se livrer et dont le seul but est de se faire prendre par le cul.
Puis au bout d’un moment, elle prend mes doigt et tente d’en introduire deux, ils entrent plus difficilement, mais bientôt, à force de patience, elle les accepte les deux bien profond dans son fondement.
Elle doit sentir maintenant la sensation lui remonter dans les reins puis dans son ventre, cette sensation juste avant d’être pénétrée, de plus la situation est un peu humiliante.
Elle, la tête contre la faïence, en train de se faire doigter l’anus par son amante transexuelle, cela la fait mouiller comme une folle, car elle ne peut s’empêcher de passer une main entre ses cuisses pour se masturber.
- Mais dis-donc, c’est que tu as vraiment envie de te sodomiser, dis-je.
Elle pousse un long soupir de plaisir quand mes doigts griffent mon clitoris et que je continue de lui doigter le cul.
- Avoue aussi que tu aimes ça, que je te prépare ton petit œillet.
Pour toute réponse elle pousse un petit cri de surprise et de douleur.
- Tu vas voir ! Tu vas adorer quand je vais y mettre ma queue.
- Ohhh, oui, vas-y je suis prête ! Même si je trouve ton sexe un peu gros, sois douce et ne me déchire pas.
- Je vais être douce et tu vas adorer.
- Retire ta main ma chérie, mer demande Delphine.
Puis de sa main elle guide mon sexe contre son anus. D’une poussée, je la pénètre. Elle ouvre la bouche comme un poisson hors de l’eau, le souffle coupé par ma pénétration, elle ressent comme un coup d’électricité entre ses reins.
Le gland est passé sans difficulté et elle gémit en disant :
- Ohhh, ouiii !
Je pousse encore un peu pour rentrer mon sexe au fond d’elle la faisant hurler et dire :
- Ohhh, Leslie, tu me fais mal.
Alors, doucement, par à-coups, je la pénètre lentement.
Cette pénétration la rend complètement folle, elle dit des mots que je ne comprends pas, tout en m’encourageant de continuer plus fort pour qu’elle ressente ce plaisir d’être remplie et de sentir son anus offert et posséder par mon sexe.
- Tiens ! Ma chérie, tu sens, je suis entièrement dans ton petit cul !
- Ohhh, Oui je la sens bien au fond de moi.
- Tu vois, tu aimes ça.
- Je n’ai jamais dit que je n’aimais pas, j’avais juste un peu peur.
La tenant fermement par les hanches, je m’enfonce et ressort de son cul, en lents et continus mouvements.
- Aaaah !
- Tu es très étroite et tu me presses bien le sexe, c’est un vrai régal.
- Ouiii, mon dieu, qu’elle est grosse. J’en ai plein le cul.
- Oui, tu sens comme je te remplis bien, maintenant je vais bien te limer le fion, tu vas voir tu vas prendre ton pied, ma petite chérie…
- Oui, vas-y, prends-moi comme une petite enculée, j’ai tellement envie de jouir.
Je continue à aller et venir dans son cul sur toute la longueur de mon sexe, elle hurle et soupire de plaisir en me disant qu’elle adore.
Je redouble d’énergie en l’écoutant et elle hurle dans la douche à s’en rompre les cordes vocales, alors que je lui défonce le cul à grand coup de reins.
Je m’enfonce une dernière fois en elle et je jouis au fond de ses entrailles, pendant qu’elle hurle à la mort lorsque l’orgasme la terrasse.
Je la tiens un moment contre la faïence ma queue raide au plus profond de son cul, puis je finis de me vider en elle, et je finis par ressortir.
Elle est haletante, pantelante, heureuse mais l’anus en compote
Nous reprenons sagement notre douche et sortons-nous sécher, puis nous allons diner avant de continuer la soirée.
A suivre…
Je positionne mon sexe à l’entrée de sa vulve et j’entre mon gland en elle, je pousse doucement, il a du mal à entrer tellement elle est étroite, rien que le bout du gland déforme déjà ses lèvres, je sens que ça va être magique.
- Ohhh, oui, vas-y ! Baise-moi !
- Je vais te faire mal, tu es si étroite.
- Baise-moi ! dit-elle en hurlant.
- Très bien, petite salope, mais tu vas hurler.
- Ce ne sera rien en comparaison au moment où tu m’enculeras !
Poussant mon sexe en elle, je force l’entrée de sa chatte qui s’élargit sous la pression. Elle se met à gueuler, mais ne demande que ça, elle a envie que ma queue la transperce, et la fasse jouir.
- Ohhh putain, oui ! Leslie, Oui !
- Tu la sens, là ? Tu l’aimes ? Que t’es serrée. Je ne vais pas tenir longtemps.
- Ohhh. Si encore. Humm.
- Ohhh, la vache tu es serrée comme une pucelle.
- Ahhh oui, je la sens tu me la mise bien au fond.
Une fois de plus, elle est tétanisée par l’orgasme qui la foudroie alors que je sens mon sperme gicler en elle en longues saccades.
Elle tressaute comme une carpe hors de l’eau, la bouche ouverte, complètement déboussolée. Puis elle s’effondre sous moi.
Je vois sa chatte ouverte et dégoulinante de mon plaisir.
J’ai encore envie mais je suis épuisée, doucement je me relève et l’aide à faire de même. Elle m’embrasse tendrement, me caresse les fesses. Sa langue dans ma bouche me fouille et je lui rends son baiser. Nous restons là un moment à nous regarder, puis elle me dit :
- Reprends des forces car ce soir tu vas m’enculer ma chérie !
Suivant les conseils de Delphine, je me calme un peu, alors elle me demande :
- Tu veux boire quelque chose ?
- Oui ! Un cognac si tu en as.
- Ok, pas de problème j’en ai, et d’ailleurs je vais en prendre un aussi !
Elle se lève et je peux l’admirer dans toute sa nudité alors qu’elle sert les deux verres, ses petites fesses qui vont bientôt mettre offertes et sa taille fine, sa petite poitrine, je commence à rebander rien qu’en la regardant
Elle se pose près de moi avec deux cognacs. On les boit quasiment sans rien dire mais en se regardant d’envie, sans pudeur elle me dévisage et regarde mon sexe qui se redresse alors que je viens de la baiser, elle tend la main pour prendre ma queue dans sa main frêle et me branle doucement en disant :
- Tu es prête me semble-t-il !
Je suis assise cul nu et les seins à l’air, comme elle, sans aucune pudeur, sur le canapé, j’ai, aussi comme elle, encore les tétons pointés, mes seins me font encore mal et j’ai envie de la sodomiser, mais j’attends calmement son accord.
Nous terminons notre verre sans un mot, puis je me lève.
- Où vas-tu ? Me demande Delphine.
- Je vais prendre une douche.
Une fois dans la douche, je me lave de partout puis soudain, Delphine entre dans la salle de bain me faisant sursauter, elle me regarde en train de me laver.
Je perds toute pudeur, elle regarde mon sexe dressé, elle est nue et je la vois se caresser en passant sa langue sur ses lèvres.
Elle s’approche et entre sous la douche près de moi et commence à me caresser en passant ses mains partout sur mon corps, je bande comme une folle, Delphine m’excite et elle le sait, je la caresse et lui doigte la vulve alors qu’elle a pris mon membre vans sa main et me branle.
Puis, sans un mot tout en tenant mon sexe dans sa main, elle se retourne contre la faïence, s’enduit l’anus de gel et pousse son doigt entre ses fesses sur son anus.
Je sais ce qu’elle a en tête, elle me l’a dit, son doigt entre tout seul dans son conduit, elle se prépare et cela m’excite tellement que je prends sa main et pousse pour l’aider à entrer son doigt au fond d’elle.
Elle soupire et se laisse faire, elle s’enfonce son doigt et déjà je sens son autre main tiré sur mon sexe pour me positionner contre elle, contre ses fesses.
A ses yeux brillants de désirs, je vois qu’elle adore cette soumission à laquelle elle va se livrer et dont le seul but est de se faire prendre par le cul.
Puis au bout d’un moment, elle prend mes doigt et tente d’en introduire deux, ils entrent plus difficilement, mais bientôt, à force de patience, elle les accepte les deux bien profond dans son fondement.
Elle doit sentir maintenant la sensation lui remonter dans les reins puis dans son ventre, cette sensation juste avant d’être pénétrée, de plus la situation est un peu humiliante.
Elle, la tête contre la faïence, en train de se faire doigter l’anus par son amante transexuelle, cela la fait mouiller comme une folle, car elle ne peut s’empêcher de passer une main entre ses cuisses pour se masturber.
- Mais dis-donc, c’est que tu as vraiment envie de te sodomiser, dis-je.
Elle pousse un long soupir de plaisir quand mes doigts griffent mon clitoris et que je continue de lui doigter le cul.
- Avoue aussi que tu aimes ça, que je te prépare ton petit œillet.
Pour toute réponse elle pousse un petit cri de surprise et de douleur.
- Tu vas voir ! Tu vas adorer quand je vais y mettre ma queue.
- Ohhh, oui, vas-y je suis prête ! Même si je trouve ton sexe un peu gros, sois douce et ne me déchire pas.
- Je vais être douce et tu vas adorer.
- Retire ta main ma chérie, mer demande Delphine.
Puis de sa main elle guide mon sexe contre son anus. D’une poussée, je la pénètre. Elle ouvre la bouche comme un poisson hors de l’eau, le souffle coupé par ma pénétration, elle ressent comme un coup d’électricité entre ses reins.
Le gland est passé sans difficulté et elle gémit en disant :
- Ohhh, ouiii !
Je pousse encore un peu pour rentrer mon sexe au fond d’elle la faisant hurler et dire :
- Ohhh, Leslie, tu me fais mal.
Alors, doucement, par à-coups, je la pénètre lentement.
Cette pénétration la rend complètement folle, elle dit des mots que je ne comprends pas, tout en m’encourageant de continuer plus fort pour qu’elle ressente ce plaisir d’être remplie et de sentir son anus offert et posséder par mon sexe.
- Tiens ! Ma chérie, tu sens, je suis entièrement dans ton petit cul !
- Ohhh, Oui je la sens bien au fond de moi.
- Tu vois, tu aimes ça.
- Je n’ai jamais dit que je n’aimais pas, j’avais juste un peu peur.
La tenant fermement par les hanches, je m’enfonce et ressort de son cul, en lents et continus mouvements.
- Aaaah !
- Tu es très étroite et tu me presses bien le sexe, c’est un vrai régal.
- Ouiii, mon dieu, qu’elle est grosse. J’en ai plein le cul.
- Oui, tu sens comme je te remplis bien, maintenant je vais bien te limer le fion, tu vas voir tu vas prendre ton pied, ma petite chérie…
- Oui, vas-y, prends-moi comme une petite enculée, j’ai tellement envie de jouir.
Je continue à aller et venir dans son cul sur toute la longueur de mon sexe, elle hurle et soupire de plaisir en me disant qu’elle adore.
Je redouble d’énergie en l’écoutant et elle hurle dans la douche à s’en rompre les cordes vocales, alors que je lui défonce le cul à grand coup de reins.
Je m’enfonce une dernière fois en elle et je jouis au fond de ses entrailles, pendant qu’elle hurle à la mort lorsque l’orgasme la terrasse.
Je la tiens un moment contre la faïence ma queue raide au plus profond de son cul, puis je finis de me vider en elle, et je finis par ressortir.
Elle est haletante, pantelante, heureuse mais l’anus en compote
Nous reprenons sagement notre douche et sortons-nous sécher, puis nous allons diner avant de continuer la soirée.
A suivre…
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