Leslie SE36
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie SE36
Leslie SE36 – Seule, Claire, la petite coiffeuse et une nuit de plaisir
Sacrée Claire, j’étais tombée sur une insatiable…
Ma petite bombe sexuelle m’emmena chez elle et quand nous sommes entrées dans le salon, les lumières étaient éteintes, seule une veilleuse baignait la pièce d’une pale luminosité.
À peine entré, elle me sauta littéralement dessus, sa bouche dévora mes lèvres, sa langue se fraya un chemin pour venir jouer avec la mienne et très vite nous nous sommes retrouvées dans sa chambre.
Elle me déshabilla avec une frénésie qui fit croître mon désir. Passant la main sous son tee-shirt, je libérais ses seins de leur soutient gorge. Elle dégagea à nouveau mon sexe de sa prison et l’empoigna pour me branler convulsivement.
Je glissais une main dans son pantalon, et je lui rendis la pareille en la caressant intimement.
L’impatiente descendît elle-même son pantalon, emportant sa culotte avec, pour se révéler nue sous la lumière blafarde de la veilleuse. Elle recula jusqu’à la table de nuit et s’y adossa, en disant :
- Viens…
Alors que lentement, je m’approchais, impudique, elle écarta les cuisses pour m’accueillir, mes deux mains sur ses hanches je la pénétrais d’un coup.
Je la pris complètement, m’enfonçant dans son intimité. On s’embrassa longuement pendant que je restais au plus profond de ses chairs, puis je commençais à aller et venir, avec les gestes courts que nous permettait notre position mi debout, mi assis.
Je la baisais lentement, sa fellation du salon de coiffure, me permettant de ne pas me trouver trop sensible et jouir trop rapidement, je la pénétrais de bas en haut, mon sexe glissant dans sa chatte moite, les mains sur ses fesses pour la maintenir contre moi.
Ses seins frottaient ma poitrine, excitant encore davantage ses tétons et les miens, ce traitement nous rapprochais ensemble du plaisir, je continuais à m’enfoncer dans son entre cuisses.
- Oui, continu, continu…
Sans faiblir, je continuais à la pénétrer la faisant gémir et soupirer, en disant :
Continu, vas-y baise moi…
Je la baisais, ses encouragements décuplaient mon plaisir, j’accélérais mes gestes les rendant plus intenses.
Elle m’encourageait en émettant des cris de petite fille et en disant une succession de :
- Oui !
De plus en plus aiguës, je la sentais monter dans son plaisir et je la sentis jouir une première fois, quand ses cris se firent plus rauques alors que je coulissais doucement dans ses chairs.
Son corps se détendit complètement, ses bras se nouèrent autour de mon cou et elle m’embrassa. Le membre raide toujours au plus profond de son sexe, je continuais de la baiser espérant une nouvelle vague de plaisir.
Puis l’emmenant sur le lit, je la retournais et comprenant mon désir, Claire se cambra pour m’offrir sa croupe la tête enfouie dans l’oreiller.
Elle m’offrait sans pudeur ses petites fesses à mon désir.
Je la pénétrais à nouveau, profondément, allant et venant rapidement, la faisant à nouveau hurler et tremper mon sexe de sa jouissance, juste avant de jouir à mon tour, le sexe serré par les contractions de son vagin, tout en lui remplissant la chatte de ma jouissance, je donnais encore quelques coups de reins avant de m’affaler contre elle sur le lit.
Nous avons récupéré de cet instant en buvant, Claire allongée avait sa tête sur mon ventre et je sentais son souffle caresser mon sexe qui ne tarda pas à reprendre de la vigueur, tandis que je caressais ses fesses.
Nous nous rhabillâmes, avant d’aller dîner.
- J’ai une faim de loup. Me dit-elle.
- On va dîner.
- Emmène-moi dans un coin sympa.
Après avoir diné dans un petit restaurant thaï, elle m’a ramené chez elle, et une fois la porte fermée nous nous sommes jetées dans les bras l’une de l’autre, Claire se frottait à moi d’une manière absolument obscène, son pubis allait et venait sur ma hanche, ses seins s’écrasaient sur mon bras tandis qu’elle me soufflait des :
- J’ai envie de toi, baise-moi !
Elle avait déjà retiré son chemisier, sa poitrine libre et arrogante me provoquait, mes vêtements volèrent en même temps que les siens, et elle se plaqua contre moi tandis que nos lèvres se joignirent.
Complètement nue, debout dans sa chambre, elle s’offrait en soupirant, aucun obstacle ne s’opposait à ce que je la prenne, quelques secondes seulement après être entrées dans sa chambre, je la pénétrais debout contre le mur, m’enfonçant dans sa grotte humide.
Elle gigotait et tendait son bassin pour que j’entre toujours plus profondément en elle, au bord de la jouissance elle m’a demandé d’arrêter pour me réserver pour plus tard.
En se posant sur le lit pour boire un verre, j’admirais son corps, jeune, le ventre parfaitement plat, les hanches étroites en harmonie avec le reste du corps. Sa poitrine était superbe, des petits seins fermes en forme de poire, parfaitement dessinés. Sa chatte était complètement lisse, lui donnant encore plus un air de jeune fille.
Mon amante s’était couchée en chien de fusil, s’exhibant sans pudeur à mon inspection, je m’allongeais derrière elle.
Ses fesses cambrées étaient terriblement excitantes. De ce côté-là elle aurait pu être un jeune homme efféminé, ses cheveux courts lui donnaient juste assez de masculinité pour éveiller un fantasme homosexuel.
Je me penchais pour apercevoir le début de sa vulve, encaissée au bas du canyon de ses fesses. Ses lèvres intimes luisaient encore de sa mouille. J’embrassais doucement ses fesses, dardant sa raie, m’égarant innocemment sur sa rosette elle frissonna. Ma langue poursuivis son chemin en remontant en spirale le long de sa colonne vertébrale.
Je bandais à nouveau. Je me plaquais derrière elle, glissant mon membre dans sa raie. Je me masturbais entre ses chairs, visitant ses lèvres, sa raie, caressant son anus du bout de mon gland.
J’embrassais son dos, son cou, lui mordillais les oreilles pendant que mes mains caressaient alternativement ses seins, son ventre et son sexe, Claire ondulait en gémissant, accentuant le frottement de mon gland sur ses parties intimes.
La sensation était délicieuse, nous faisions durer le plaisir. De temps à autre mon gland s’attardait à l’orée de son anus que mes sécrétions rendaient de plus en plus glissant.
Parfois mon sexe retenu par le petit bourrelet de son œillet manquait de s’engouffrer dans cet antre étroit, Claire ne disait rien, juste parfois il ne semblait qu’elle se cambrait un peu plus comme pour me montrer qu’elle ne semblait pas opposée à cette pénétration.
M’insérant un peu plus entre ses jambes je profitais d’une faille pour pénétrer dans sa vulve, soudant nos corps dans cet acte pour mieux profiter de son corps. Rapidement elle se mit à bouger ses fesses d’une manière lancinante tandis que mes mains parcouraient fiévreusement son corps, longtemps elle se laissa ainsi caresser et pénétrer.
Je l’entendais gémir faiblement, elle se cambrait de plus en plus, me signifiant qu’elle était prête à offrir son intimité, alors mes doigts vinrent prendre les mesures de son petit orifice, l’un d’eux s’y insinua doucement, pénétrant l’étroit conduit.
Longtemps je l’ai doigté délicatement pendant que ma bouche dévorait son cou, puis mon doigt libéra la place, alors je pressais mon sexe tendu sur son anneau, caressant doucement l’entrée pour l’habituer à cette présence nouvelle, puis d’une légère impulsion j’investis ce son petit cul serré, mon gland pénétra assez facilement dans l’étroit fourreau et Claire poussa un petit cri.
Sitôt en elle, son anneau se contracta, serrant l’extrémité de mon sexe comme dans un étau, puis se relâcha à nouveau, j’en profitais pour la prendre complètement.
Nous sommes restés un moment sans bouger, mon sexe au plus profond de ses fesses, puis j’ai commencé à aller et venir, en gestes amples et doux.
Une de mes mains a empoigné un sein et elle prit l’autre pour la porter à sa bouche pour insinuer un doigt dans sa bouche, qu’elle se mit à sucer, tandis que nos bassins continuaient leur danse érotique.
Son autre main était sur sa vulve et elle se caressait de plus en plus vite.
Soudain elle mordit l’oreiller et se mit à jouir en secouant son corps envahit de spasmes, j’étais prête à exploser dans son anus.
Elle partait et se mit à dire :
- Ohhh, prend-moi, encule-moi, oui profondément !
Ses cris, étaient ceux de l’orgasme qui la dévorait, je m’enfonçais une dernière fois complètement, enfonçant mon sexe tout entier dans son cul et j’éjaculais en elle dans un moment de plaisir intense et partagé.
Elle perdit connaissance et je restais en elle le plus longtemps possible, profitant des spasmes de son anus qui se contractait autour de mon sexe, puis je la quittais quand elle fit surface et que mon sexe, débandant, glissa lentement de son fourreau.
La nuit fut longue, Claire équipée de son gode-ceinture me sodomisa, puis nous fîmes encore l’amour plusieurs fois, Claire était insatiable et prenait du plaisir à chaque fois.
Dans la nuit nous avons pris ensemble une douche et serrées l’une contre l’autre dans la cabine étroite on fit l’amour sous l’eau qui coulait sur nos corps.
Nous savions en nous quittant le lendemain matin, que nous nous reverrions, ne serais-ce que quand j’irais me faire coiffer et que certainement cet instant serait l’occasion pour que Claire m’entraîne chez elle et que nous fassions l’amour, comme ça sans nous poser de questions.
A suivre…
Sacrée Claire, j’étais tombée sur une insatiable…
Ma petite bombe sexuelle m’emmena chez elle et quand nous sommes entrées dans le salon, les lumières étaient éteintes, seule une veilleuse baignait la pièce d’une pale luminosité.
À peine entré, elle me sauta littéralement dessus, sa bouche dévora mes lèvres, sa langue se fraya un chemin pour venir jouer avec la mienne et très vite nous nous sommes retrouvées dans sa chambre.
Elle me déshabilla avec une frénésie qui fit croître mon désir. Passant la main sous son tee-shirt, je libérais ses seins de leur soutient gorge. Elle dégagea à nouveau mon sexe de sa prison et l’empoigna pour me branler convulsivement.
Je glissais une main dans son pantalon, et je lui rendis la pareille en la caressant intimement.
L’impatiente descendît elle-même son pantalon, emportant sa culotte avec, pour se révéler nue sous la lumière blafarde de la veilleuse. Elle recula jusqu’à la table de nuit et s’y adossa, en disant :
- Viens…
Alors que lentement, je m’approchais, impudique, elle écarta les cuisses pour m’accueillir, mes deux mains sur ses hanches je la pénétrais d’un coup.
Je la pris complètement, m’enfonçant dans son intimité. On s’embrassa longuement pendant que je restais au plus profond de ses chairs, puis je commençais à aller et venir, avec les gestes courts que nous permettait notre position mi debout, mi assis.
Je la baisais lentement, sa fellation du salon de coiffure, me permettant de ne pas me trouver trop sensible et jouir trop rapidement, je la pénétrais de bas en haut, mon sexe glissant dans sa chatte moite, les mains sur ses fesses pour la maintenir contre moi.
Ses seins frottaient ma poitrine, excitant encore davantage ses tétons et les miens, ce traitement nous rapprochais ensemble du plaisir, je continuais à m’enfoncer dans son entre cuisses.
- Oui, continu, continu…
Sans faiblir, je continuais à la pénétrer la faisant gémir et soupirer, en disant :
Continu, vas-y baise moi…
Je la baisais, ses encouragements décuplaient mon plaisir, j’accélérais mes gestes les rendant plus intenses.
Elle m’encourageait en émettant des cris de petite fille et en disant une succession de :
- Oui !
De plus en plus aiguës, je la sentais monter dans son plaisir et je la sentis jouir une première fois, quand ses cris se firent plus rauques alors que je coulissais doucement dans ses chairs.
Son corps se détendit complètement, ses bras se nouèrent autour de mon cou et elle m’embrassa. Le membre raide toujours au plus profond de son sexe, je continuais de la baiser espérant une nouvelle vague de plaisir.
Puis l’emmenant sur le lit, je la retournais et comprenant mon désir, Claire se cambra pour m’offrir sa croupe la tête enfouie dans l’oreiller.
Elle m’offrait sans pudeur ses petites fesses à mon désir.
Je la pénétrais à nouveau, profondément, allant et venant rapidement, la faisant à nouveau hurler et tremper mon sexe de sa jouissance, juste avant de jouir à mon tour, le sexe serré par les contractions de son vagin, tout en lui remplissant la chatte de ma jouissance, je donnais encore quelques coups de reins avant de m’affaler contre elle sur le lit.
Nous avons récupéré de cet instant en buvant, Claire allongée avait sa tête sur mon ventre et je sentais son souffle caresser mon sexe qui ne tarda pas à reprendre de la vigueur, tandis que je caressais ses fesses.
Nous nous rhabillâmes, avant d’aller dîner.
- J’ai une faim de loup. Me dit-elle.
- On va dîner.
- Emmène-moi dans un coin sympa.
Après avoir diné dans un petit restaurant thaï, elle m’a ramené chez elle, et une fois la porte fermée nous nous sommes jetées dans les bras l’une de l’autre, Claire se frottait à moi d’une manière absolument obscène, son pubis allait et venait sur ma hanche, ses seins s’écrasaient sur mon bras tandis qu’elle me soufflait des :
- J’ai envie de toi, baise-moi !
Elle avait déjà retiré son chemisier, sa poitrine libre et arrogante me provoquait, mes vêtements volèrent en même temps que les siens, et elle se plaqua contre moi tandis que nos lèvres se joignirent.
Complètement nue, debout dans sa chambre, elle s’offrait en soupirant, aucun obstacle ne s’opposait à ce que je la prenne, quelques secondes seulement après être entrées dans sa chambre, je la pénétrais debout contre le mur, m’enfonçant dans sa grotte humide.
Elle gigotait et tendait son bassin pour que j’entre toujours plus profondément en elle, au bord de la jouissance elle m’a demandé d’arrêter pour me réserver pour plus tard.
En se posant sur le lit pour boire un verre, j’admirais son corps, jeune, le ventre parfaitement plat, les hanches étroites en harmonie avec le reste du corps. Sa poitrine était superbe, des petits seins fermes en forme de poire, parfaitement dessinés. Sa chatte était complètement lisse, lui donnant encore plus un air de jeune fille.
Mon amante s’était couchée en chien de fusil, s’exhibant sans pudeur à mon inspection, je m’allongeais derrière elle.
Ses fesses cambrées étaient terriblement excitantes. De ce côté-là elle aurait pu être un jeune homme efféminé, ses cheveux courts lui donnaient juste assez de masculinité pour éveiller un fantasme homosexuel.
Je me penchais pour apercevoir le début de sa vulve, encaissée au bas du canyon de ses fesses. Ses lèvres intimes luisaient encore de sa mouille. J’embrassais doucement ses fesses, dardant sa raie, m’égarant innocemment sur sa rosette elle frissonna. Ma langue poursuivis son chemin en remontant en spirale le long de sa colonne vertébrale.
Je bandais à nouveau. Je me plaquais derrière elle, glissant mon membre dans sa raie. Je me masturbais entre ses chairs, visitant ses lèvres, sa raie, caressant son anus du bout de mon gland.
J’embrassais son dos, son cou, lui mordillais les oreilles pendant que mes mains caressaient alternativement ses seins, son ventre et son sexe, Claire ondulait en gémissant, accentuant le frottement de mon gland sur ses parties intimes.
La sensation était délicieuse, nous faisions durer le plaisir. De temps à autre mon gland s’attardait à l’orée de son anus que mes sécrétions rendaient de plus en plus glissant.
Parfois mon sexe retenu par le petit bourrelet de son œillet manquait de s’engouffrer dans cet antre étroit, Claire ne disait rien, juste parfois il ne semblait qu’elle se cambrait un peu plus comme pour me montrer qu’elle ne semblait pas opposée à cette pénétration.
M’insérant un peu plus entre ses jambes je profitais d’une faille pour pénétrer dans sa vulve, soudant nos corps dans cet acte pour mieux profiter de son corps. Rapidement elle se mit à bouger ses fesses d’une manière lancinante tandis que mes mains parcouraient fiévreusement son corps, longtemps elle se laissa ainsi caresser et pénétrer.
Je l’entendais gémir faiblement, elle se cambrait de plus en plus, me signifiant qu’elle était prête à offrir son intimité, alors mes doigts vinrent prendre les mesures de son petit orifice, l’un d’eux s’y insinua doucement, pénétrant l’étroit conduit.
Longtemps je l’ai doigté délicatement pendant que ma bouche dévorait son cou, puis mon doigt libéra la place, alors je pressais mon sexe tendu sur son anneau, caressant doucement l’entrée pour l’habituer à cette présence nouvelle, puis d’une légère impulsion j’investis ce son petit cul serré, mon gland pénétra assez facilement dans l’étroit fourreau et Claire poussa un petit cri.
Sitôt en elle, son anneau se contracta, serrant l’extrémité de mon sexe comme dans un étau, puis se relâcha à nouveau, j’en profitais pour la prendre complètement.
Nous sommes restés un moment sans bouger, mon sexe au plus profond de ses fesses, puis j’ai commencé à aller et venir, en gestes amples et doux.
Une de mes mains a empoigné un sein et elle prit l’autre pour la porter à sa bouche pour insinuer un doigt dans sa bouche, qu’elle se mit à sucer, tandis que nos bassins continuaient leur danse érotique.
Son autre main était sur sa vulve et elle se caressait de plus en plus vite.
Soudain elle mordit l’oreiller et se mit à jouir en secouant son corps envahit de spasmes, j’étais prête à exploser dans son anus.
Elle partait et se mit à dire :
- Ohhh, prend-moi, encule-moi, oui profondément !
Ses cris, étaient ceux de l’orgasme qui la dévorait, je m’enfonçais une dernière fois complètement, enfonçant mon sexe tout entier dans son cul et j’éjaculais en elle dans un moment de plaisir intense et partagé.
Elle perdit connaissance et je restais en elle le plus longtemps possible, profitant des spasmes de son anus qui se contractait autour de mon sexe, puis je la quittais quand elle fit surface et que mon sexe, débandant, glissa lentement de son fourreau.
La nuit fut longue, Claire équipée de son gode-ceinture me sodomisa, puis nous fîmes encore l’amour plusieurs fois, Claire était insatiable et prenait du plaisir à chaque fois.
Dans la nuit nous avons pris ensemble une douche et serrées l’une contre l’autre dans la cabine étroite on fit l’amour sous l’eau qui coulait sur nos corps.
Nous savions en nous quittant le lendemain matin, que nous nous reverrions, ne serais-ce que quand j’irais me faire coiffer et que certainement cet instant serait l’occasion pour que Claire m’entraîne chez elle et que nous fassions l’amour, comme ça sans nous poser de questions.
A suivre…
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