Leslie SE37
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Leslie SE37
Leslie SE37 – Seule, ma coupe à la garçonne et Ernesto, un latino
Deux jours après l’aventure avec Claire, ce soir-là avec ma coupe à la garçonne et en me regardant dans la glace, une envie de nouveauté se fit à mon esprit.
Il me fallait explorer d’autres choses en matière de sexe, je voulais savoir ce que je pouvais émaner en étant habillée pour une fois, comme un homme.
Donc je prends une douche, puis après m’être séchée, je prends soin de me compresser la poitrine avec une bande élastique prévue à cet effet, puis je m’habille.
Un pantalon en cuir noir, extrêmement moulant montrant de façon subjective la bosse que fait mon sexe moulée dans cette peau de cuir, et une chemise noire, l’effet est saisissant, je me découvre en homme avec mes cheveux fraichement coupés à la garçonne.je mettrais juste avant de sortir un perfecto en cuit d’agneau, style motard, et je serais parfaite pour me faire draguer comme un minet dans un endroit spécialisé.
En attendant impatiemment vingt heures, je me sers un whisky, et regarde un film gay pour passer le temps.
Le temps me paraît ralentir et l’attente devient interminable, mais l’heure de partir arrive et me voilà dans la rue en direction des halles où je connais un café qui accueille les mâles en recherche de sensations…
Je suis arrivée quelques temps plus tard au café de mes désirs en espérant trouver un beau mâle en mal de sensations que je pourrais éventuellement intéresser.
Sur le moment, j’avoue ne pas trouver vraiment ce que je recherche, deux ou trois folles et un vieux dragueur, rien de vraiment intéressant, mais je m’installe au fond de la salle face à l’entrée et je prends mon mal en patience devant un mojito.
Puis quelques temps plus tard, le bar est pratiquement plein, mais toujours rien d’intéressant pour moi et pour la suite de ma soirée, lorsque je vois entrer un beau mâle, un cubain, comme il y en a beaucoup dans ce quartier peuplé de latinos.
Il ne faut pas longtemps pour que ce bel éphèbe vienne à ma table pour s’inviter à partager un moment, il faut dire qu’il a certainement remarqué les regards de désirs que je lui lançais depuis son entrée.
- Puis-je t’offrir un verre ? Me demande-t-il.
- Ohhh, oui et même partager un instant avec moi, comment tu t’appelles ?
- Ernesto, et je suis cubain.
- Moi c’est Lilian, dis-je.
Et voilà la conversation qui s’engage, nous conversons librement et bien sûr la conversation arrive sur nos tendances sexuelles…
- Tu sais, me dit Ernesto, si tu es ici ce n’est pas sans raison, tu sais que c’est un bar gay.
- Oui, bien sûr que je le sais et certainement que tu es homosexuel.
- Oui, et je dois dire que tu me plais beaucoup !
- Alors allons dans un endroit plus tranquille pour faire connaissance de façon plus intime, allez suis moi, je connais un petit endroit discret, où nous pourrons faire ce que tu désires.
Nous changeons donc d’établissement et entrons dans un petit bar, style club privé, l’ambiance y est feutré et l’éclairage très diffus, il y fait très sombre et dans le coin où m’entraine Ernesto, nous allons être très tranquille et à l’abri de tous regards indiscrets.
Les commandes servies, Ernesto ne demande si je suis prête à faire vraiment connaissance de façon plus intime et voir comme on le dit souvent si nous avons des affinités pour aller plus loin.
- Je ne sais pas trop, pourquoi pas, mais cela va si vite§
C’est vrai qu’Ernesto est très craquant et l’idée de me laisser aller, alors qu’il me prend pour un minet, m’excite fortement. Il me dit qu’il pouvait faire tout ce que je voulais et comblerais tous mes désirs.
Cette dernière phrase décuple mon excitation, l’idée de me donner entièrement à ce beau cubain, d’être pour une nuit, sa chose, et tout ça sans lendemain, c’en est trop, ma culotte va exploser tellement mon érection est forte.
C’est ce moment que choisit Ernesto pour s’asseoir sur la banquette près de moi et me dire doucement à l’oreille :
- Tu en crève d’envie, ne me dit pas que c’est la première fois ?
- Non, ce n’est pas une première, mais c’est un peu nouveau quand même.
Alors me lâchant sans trop réfléchir, je passe une main sous son tee-shirt et commence à lui caresser le torse. Il est très musclé, je sens la forme parfaite de ses pectoraux, ainsi que celle de ses abdominaux.
Ma deuxième main se dirige alors vers son entrejambe, je lui caresse le sexe à travers son pantalon, il ne semble pas encore être en totale érection, mais la taille de son membre me paraît déjà très conséquente.
Ernesto a l’air heureux de mon initiative et, tout en buvant, il se laisse aller à mes caresses, non sans soupirer en commençant à bander sérieusement.
Ernesto me demande alors de me mettre à genoux entre ses jambes et du regard, m’invite à ouvrir son pantalon. Après avoir ouvert sa ceinture et défait le zip, je saisis les deux pans de l’étoffe du pantalon et l’ouvre de chaque côté de ses hanches.
Aussitôt son membre se redresse et apparait nu à mes yeux, Ernesto ne porte pas de slip et son membre est libre à ma convoitise.
Mes premiers coups de langue ont pour effet de réveiller un peu plus le sexe d’Ernesto, qui progressivement se tend et se durcit encore plus, je la saisis alors de ma main droite et je peux constater qu’elle est effectivement large en diamètre et d’une taille supérieure à la moyenne.
Irrémédiablement, ma bouche est attirée vers ce superbe membre, je commence par poser mes lèvres sur le bout de son gland et j’y dépose un petit baiser. Puis lentement, mes lèvres s’ouvrent et glissent le long de son gland, jusqu’à ce qu’il soit entré entièrement dans ma bouche. J’ai toujours adoré sucer, mes amants en savent quelque chose, aucun ne s’en est plaint à ce jour !
J’enfonce ainsi le sexe d’Ernesto plus profondément dans ma bouche, ma langue tourne autour de son membre et joue avec son frein. Son sexe est tellement imposant que je ne peux pas le mettre en entier dans ma bouche, je le branle donc en même temps que je le suce.
Visiblement, il aime beaucoup ça. Il a les yeux fermés et sa respiration se fait plus pressante, il pose ses mains à l’arrière de ma tête et appuie légèrement, m’obligeant à maintenir sa queue au fond de ma gorge. Il relâche son étreinte et je reprends ma respiration avant de replonger dessus avec gourmandise.
Pendant que ma bouche s’active sur cette somptueuse queue, ma main gauche s’attarde sur ses couilles, que je malaxe et caresse tendrement. Au bout de plusieurs longues minutes, Ernesto me dit :
- Nous serions mieux chez moi, j’habite à deux pas et nous serons plus tranquilles, nous avons bien fait connaissance et je crois qu’il y a affinités entre nous !
Ernesto se lève de la banquette et, en se réajustant, me demande de le suivre…
Dix minutes plus tard, je suis en train d’enlever mon pantalon et ma culotte dans la chambre d’Ernesto et lui apparait cul nu, alors que lui est déjà complètement à poil.
Puis Ernesto vient se placer derrière moi et me fait pencher en avant pour mettre son visage à hauteur de mon cul, j’imagine qu’il regarde mon petit trou, puis il écarte légèrement mes fesses pour en avoir une meilleure vue.
Je sens un doigt qui parcourt ma raie et vient se poser sur mon anus. Il répète ce geste plusieurs fois, puis Ernesto me fait alors placer sur le canapé, le torse sur le dossier et les genoux sur les coussins. Il m’écarte les jambes et appuie légèrement sur mon dos pour me faire cambrer davantage.
Dans cette position, je me sens complètement offert à ses moindres désirs et, de plus, il a une vue imprenable sur ma rosette.
J’entends Ernesto derrière moi qui déchire un emballage de préservatif, je veux tourner la tête pour le regarder, mais Ernesto m’en empêche, je vais être possédée à l’aveugle.
Soudain, je sens le sexe d’Ernesto se poser sur mon anus et Ernesto commence à forcer l’entrée, son gland rentre d’un coup sec. Un léger cri de douleur sort de ma bouche, mais il ne s’en laisse pas conter et il continue sa progression.
Je sens sa grosse queue entrer en moi millimètre par millimètre. Cette sensation est vraiment exquise, la taille du sexe d’Ernesto me remplit entièrement et mes chairs sont distendues.
Ernesto, justement, écarte mes fesses pour faciliter l’accès de son sexe, ce qui a pour effet de m’ouvrir un peu plus, alors Ernesto rentre d’un coup.
Son sexe est presque entièrement au fond de mon cul, ma respiration s’accélère et, me sentant dans un état second
Je suis au septième ciel, ce cubain monté comme un étalon m’encule fermement
La position fait visiblement mal au dos de mon étalon, il se retire alors de mon cul et s’assied sur le canapé. Il m’invite à m’asseoir sur lui. Je me place face à lui et m’empale lentement sur sa tige. Je m’empresse alors de monter et descendre à un rythme assez soutenu sur son mandrin, tout en caressant son torse.
Mais cette fois, c’est moi qui fatigue un peu ! Ernesto le ressent et me demande de m’allonger sur le dos. Il vient se placer entre mes jambes, en place une sur son épaule, relève légèrement mes fesses et me pénètre à nouveau, plus sèchement cette fois.
Il accélère le rythme de ses mouvements. Il ressort presque entièrement son sexe de mon cul pour s’y réintroduire d’un coup sec…
Puis au bout de quelques minutes, Ernesto semble sur le point d’exploser.
Ernesto se retire de mon cul, enlève son préservatif et me donne sa queue à sucer. Voyant ma déception de ne plus avoir un membre dans mes entrailles, Ernesto, tout en se branlant à l’orée de mes lèvres, me dit :
- Nous avons toute la nuit ma chérie !
Quelques secondes avant qu’il jouisse, je prends le sexe d’Ernesto dans ma bouche et il éjacule toute sa semence au fond de ma gorge.
Ce sont de longues giclées de sperme chaud qui viennent s’écraser au fond de ma gorge et sur ma langue, une quantité impressionnante que j’ai du mal à avaler et un peu de jouissance coule à la commissure de mes lèvres.
De grosses gouttes de sueur perlent sur le front d’Ernesto, il m’adresse un petit sourire, la queue toujours à la main, en disant :
- On va remettre ça dans deux minutes !
La nuit fut longue, Ernesto s’occupa de mon cul avec frénésie, m’enculant plusieurs fois avant de nous endormir, mais pas pour longtemps.
Vers quatre heures du matin je fus réveillée par Ernesto qui me reprenait par le cul, après avoir une nouvelle fois jouis, Ernesto n’a pas voulu que je l’encule.
Je me suis rendormie…
A suivre…
Deux jours après l’aventure avec Claire, ce soir-là avec ma coupe à la garçonne et en me regardant dans la glace, une envie de nouveauté se fit à mon esprit.
Il me fallait explorer d’autres choses en matière de sexe, je voulais savoir ce que je pouvais émaner en étant habillée pour une fois, comme un homme.
Donc je prends une douche, puis après m’être séchée, je prends soin de me compresser la poitrine avec une bande élastique prévue à cet effet, puis je m’habille.
Un pantalon en cuir noir, extrêmement moulant montrant de façon subjective la bosse que fait mon sexe moulée dans cette peau de cuir, et une chemise noire, l’effet est saisissant, je me découvre en homme avec mes cheveux fraichement coupés à la garçonne.je mettrais juste avant de sortir un perfecto en cuit d’agneau, style motard, et je serais parfaite pour me faire draguer comme un minet dans un endroit spécialisé.
En attendant impatiemment vingt heures, je me sers un whisky, et regarde un film gay pour passer le temps.
Le temps me paraît ralentir et l’attente devient interminable, mais l’heure de partir arrive et me voilà dans la rue en direction des halles où je connais un café qui accueille les mâles en recherche de sensations…
Je suis arrivée quelques temps plus tard au café de mes désirs en espérant trouver un beau mâle en mal de sensations que je pourrais éventuellement intéresser.
Sur le moment, j’avoue ne pas trouver vraiment ce que je recherche, deux ou trois folles et un vieux dragueur, rien de vraiment intéressant, mais je m’installe au fond de la salle face à l’entrée et je prends mon mal en patience devant un mojito.
Puis quelques temps plus tard, le bar est pratiquement plein, mais toujours rien d’intéressant pour moi et pour la suite de ma soirée, lorsque je vois entrer un beau mâle, un cubain, comme il y en a beaucoup dans ce quartier peuplé de latinos.
Il ne faut pas longtemps pour que ce bel éphèbe vienne à ma table pour s’inviter à partager un moment, il faut dire qu’il a certainement remarqué les regards de désirs que je lui lançais depuis son entrée.
- Puis-je t’offrir un verre ? Me demande-t-il.
- Ohhh, oui et même partager un instant avec moi, comment tu t’appelles ?
- Ernesto, et je suis cubain.
- Moi c’est Lilian, dis-je.
Et voilà la conversation qui s’engage, nous conversons librement et bien sûr la conversation arrive sur nos tendances sexuelles…
- Tu sais, me dit Ernesto, si tu es ici ce n’est pas sans raison, tu sais que c’est un bar gay.
- Oui, bien sûr que je le sais et certainement que tu es homosexuel.
- Oui, et je dois dire que tu me plais beaucoup !
- Alors allons dans un endroit plus tranquille pour faire connaissance de façon plus intime, allez suis moi, je connais un petit endroit discret, où nous pourrons faire ce que tu désires.
Nous changeons donc d’établissement et entrons dans un petit bar, style club privé, l’ambiance y est feutré et l’éclairage très diffus, il y fait très sombre et dans le coin où m’entraine Ernesto, nous allons être très tranquille et à l’abri de tous regards indiscrets.
Les commandes servies, Ernesto ne demande si je suis prête à faire vraiment connaissance de façon plus intime et voir comme on le dit souvent si nous avons des affinités pour aller plus loin.
- Je ne sais pas trop, pourquoi pas, mais cela va si vite§
C’est vrai qu’Ernesto est très craquant et l’idée de me laisser aller, alors qu’il me prend pour un minet, m’excite fortement. Il me dit qu’il pouvait faire tout ce que je voulais et comblerais tous mes désirs.
Cette dernière phrase décuple mon excitation, l’idée de me donner entièrement à ce beau cubain, d’être pour une nuit, sa chose, et tout ça sans lendemain, c’en est trop, ma culotte va exploser tellement mon érection est forte.
C’est ce moment que choisit Ernesto pour s’asseoir sur la banquette près de moi et me dire doucement à l’oreille :
- Tu en crève d’envie, ne me dit pas que c’est la première fois ?
- Non, ce n’est pas une première, mais c’est un peu nouveau quand même.
Alors me lâchant sans trop réfléchir, je passe une main sous son tee-shirt et commence à lui caresser le torse. Il est très musclé, je sens la forme parfaite de ses pectoraux, ainsi que celle de ses abdominaux.
Ma deuxième main se dirige alors vers son entrejambe, je lui caresse le sexe à travers son pantalon, il ne semble pas encore être en totale érection, mais la taille de son membre me paraît déjà très conséquente.
Ernesto a l’air heureux de mon initiative et, tout en buvant, il se laisse aller à mes caresses, non sans soupirer en commençant à bander sérieusement.
Ernesto me demande alors de me mettre à genoux entre ses jambes et du regard, m’invite à ouvrir son pantalon. Après avoir ouvert sa ceinture et défait le zip, je saisis les deux pans de l’étoffe du pantalon et l’ouvre de chaque côté de ses hanches.
Aussitôt son membre se redresse et apparait nu à mes yeux, Ernesto ne porte pas de slip et son membre est libre à ma convoitise.
Mes premiers coups de langue ont pour effet de réveiller un peu plus le sexe d’Ernesto, qui progressivement se tend et se durcit encore plus, je la saisis alors de ma main droite et je peux constater qu’elle est effectivement large en diamètre et d’une taille supérieure à la moyenne.
Irrémédiablement, ma bouche est attirée vers ce superbe membre, je commence par poser mes lèvres sur le bout de son gland et j’y dépose un petit baiser. Puis lentement, mes lèvres s’ouvrent et glissent le long de son gland, jusqu’à ce qu’il soit entré entièrement dans ma bouche. J’ai toujours adoré sucer, mes amants en savent quelque chose, aucun ne s’en est plaint à ce jour !
J’enfonce ainsi le sexe d’Ernesto plus profondément dans ma bouche, ma langue tourne autour de son membre et joue avec son frein. Son sexe est tellement imposant que je ne peux pas le mettre en entier dans ma bouche, je le branle donc en même temps que je le suce.
Visiblement, il aime beaucoup ça. Il a les yeux fermés et sa respiration se fait plus pressante, il pose ses mains à l’arrière de ma tête et appuie légèrement, m’obligeant à maintenir sa queue au fond de ma gorge. Il relâche son étreinte et je reprends ma respiration avant de replonger dessus avec gourmandise.
Pendant que ma bouche s’active sur cette somptueuse queue, ma main gauche s’attarde sur ses couilles, que je malaxe et caresse tendrement. Au bout de plusieurs longues minutes, Ernesto me dit :
- Nous serions mieux chez moi, j’habite à deux pas et nous serons plus tranquilles, nous avons bien fait connaissance et je crois qu’il y a affinités entre nous !
Ernesto se lève de la banquette et, en se réajustant, me demande de le suivre…
Dix minutes plus tard, je suis en train d’enlever mon pantalon et ma culotte dans la chambre d’Ernesto et lui apparait cul nu, alors que lui est déjà complètement à poil.
Puis Ernesto vient se placer derrière moi et me fait pencher en avant pour mettre son visage à hauteur de mon cul, j’imagine qu’il regarde mon petit trou, puis il écarte légèrement mes fesses pour en avoir une meilleure vue.
Je sens un doigt qui parcourt ma raie et vient se poser sur mon anus. Il répète ce geste plusieurs fois, puis Ernesto me fait alors placer sur le canapé, le torse sur le dossier et les genoux sur les coussins. Il m’écarte les jambes et appuie légèrement sur mon dos pour me faire cambrer davantage.
Dans cette position, je me sens complètement offert à ses moindres désirs et, de plus, il a une vue imprenable sur ma rosette.
J’entends Ernesto derrière moi qui déchire un emballage de préservatif, je veux tourner la tête pour le regarder, mais Ernesto m’en empêche, je vais être possédée à l’aveugle.
Soudain, je sens le sexe d’Ernesto se poser sur mon anus et Ernesto commence à forcer l’entrée, son gland rentre d’un coup sec. Un léger cri de douleur sort de ma bouche, mais il ne s’en laisse pas conter et il continue sa progression.
Je sens sa grosse queue entrer en moi millimètre par millimètre. Cette sensation est vraiment exquise, la taille du sexe d’Ernesto me remplit entièrement et mes chairs sont distendues.
Ernesto, justement, écarte mes fesses pour faciliter l’accès de son sexe, ce qui a pour effet de m’ouvrir un peu plus, alors Ernesto rentre d’un coup.
Son sexe est presque entièrement au fond de mon cul, ma respiration s’accélère et, me sentant dans un état second
Je suis au septième ciel, ce cubain monté comme un étalon m’encule fermement
La position fait visiblement mal au dos de mon étalon, il se retire alors de mon cul et s’assied sur le canapé. Il m’invite à m’asseoir sur lui. Je me place face à lui et m’empale lentement sur sa tige. Je m’empresse alors de monter et descendre à un rythme assez soutenu sur son mandrin, tout en caressant son torse.
Mais cette fois, c’est moi qui fatigue un peu ! Ernesto le ressent et me demande de m’allonger sur le dos. Il vient se placer entre mes jambes, en place une sur son épaule, relève légèrement mes fesses et me pénètre à nouveau, plus sèchement cette fois.
Il accélère le rythme de ses mouvements. Il ressort presque entièrement son sexe de mon cul pour s’y réintroduire d’un coup sec…
Puis au bout de quelques minutes, Ernesto semble sur le point d’exploser.
Ernesto se retire de mon cul, enlève son préservatif et me donne sa queue à sucer. Voyant ma déception de ne plus avoir un membre dans mes entrailles, Ernesto, tout en se branlant à l’orée de mes lèvres, me dit :
- Nous avons toute la nuit ma chérie !
Quelques secondes avant qu’il jouisse, je prends le sexe d’Ernesto dans ma bouche et il éjacule toute sa semence au fond de ma gorge.
Ce sont de longues giclées de sperme chaud qui viennent s’écraser au fond de ma gorge et sur ma langue, une quantité impressionnante que j’ai du mal à avaler et un peu de jouissance coule à la commissure de mes lèvres.
De grosses gouttes de sueur perlent sur le front d’Ernesto, il m’adresse un petit sourire, la queue toujours à la main, en disant :
- On va remettre ça dans deux minutes !
La nuit fut longue, Ernesto s’occupa de mon cul avec frénésie, m’enculant plusieurs fois avant de nous endormir, mais pas pour longtemps.
Vers quatre heures du matin je fus réveillée par Ernesto qui me reprenait par le cul, après avoir une nouvelle fois jouis, Ernesto n’a pas voulu que je l’encule.
Je me suis rendormie…
A suivre…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sympa vivement la suite, tu l'envisage pour quand , si tu pouvait un peu plus décrire la personnalité de leslie pas de refus courage
Quel dommage qu'il n'ait pas voulu...