Leslie SO01 - histoire érotique

Leslie SO01 – Souvenirs
Confessions sur l’oreiller de la première fois d’une amante

Durant une relation avec une amante, il arrive qu’après un moment exceptionnel de plaisir, reposant tendrement l’une près de l’autre, celle-ci dans vos bras vous fasses une confession, c’est ce qui est arrivé avec une de mes amantes…

« C’est alors que j’étais encore assez jeune que j’ai connu ma première relation avec un homme, à cette époque j’allais passer mon bac et hormis les caresses furtives en solitaire, je ne connaissais rien au sexe. Ma sœur plus âgée que moi venait de se marier à l’âge de vingt-deux ans, avec un homme vraiment beau que je regardais avec envie.
C’est vrai qu’il était plutôt pas mal physiquement, faisant du sport et il avait un sourire ravageur, je remarquais que depuis qu’ils s’étaient installés dans la maison des parents avec nous, en attendant de trouver un appartement, Chris, mon beau-frère, me regardait parfois, non souvent, avec des yeux brillants...

Un soir alors que ma sœur était en déplacement pour la semaine, nous étions seuls avec mes parents à la maison, le lundi après le diner nous avons regardés une émission à la télé, mais mes parents sont montés se coucher rapidement et nous avons décidés avec Chris, qu’avant d’aller nous coucher nous aussi, nous allions faire la vaisselle.
Pendant que nous faisions la vaisselle, nos mains se frôlaient de temps à autre et nos regards se croisaient.
Après avoir terminé, alors que j’essuyais la table de la cuisine, j’ai senti qu’à ce moment-là mon beau-frère s’approchait de moi, je sentis son souffle dans mon cou et aussi quelque chose de très dur contre mes fesses.
Me retournant, je vis une lueur dans ses yeux et il me dit :
- Tu vois dans quel état tu me mets !
Je regardais en bas et vis une grosse bosse au niveau de son pantalon, je lui dis que j’étais désolée de la chose, mais que c’était en dehors de ma volonté.
Mais mon tee-shirt moulant mon corps, révélait que ce n’était peut-être pas toute la vérité, car le tissu collé à mon corps, laissait voir les pointes dressés de mes petits seins.
Il me regarda et me dit :
- Toi aussi t’es dans un drôle d’état !
Et il commença à caresser la joue, puis descendit lentement jusqu’à mes seins, me caressa la poitrine au-travers du tee-shirt et me dit :
- Laisses-toi aller, j’ai envie de toi !
Alors je pris peur et voulu remonter dans ma chambre, mais il me maintenait contre lui et me demanda pourquoi je voulais partir, alors je lui ai dit :
- Je n'ai encore jamais fait l’amour et en plus tu es mon beau-frère !
- Tu sais, me dit-il, les sentiments ne se commandent pas et puis l’amour c’est naturel, et toi aussi tu as envie, alors personne ne saura…
- Mais…
- Ta sœur n’est pas là, tes parents sont couchés, profitons-en.

Doucement il fit remonter mon tee-shirt pour mettre mes seins à nus et commencer à les caresser, je ne pus résister à ces caresses toutes nouvelles pour moi et soupirais de plaisir, c’était la première fois que j’avais cette sensation et des frissons envahirent tout mon corps, alors que mon corps bouillonnait de plaisir.
Puis il ouvrit et baissa son pantalon, sortit son sexe, en me demandant de m’agenouiller.
J’étais sous le choc, c’était la première fois que j’avais devant mes yeux et au bord des lèvres un vrai sexe d’homme, même si j’avais déjà vu des copines sucer leur chéri du moment, Celui de Chris me parut énorme, alors il me dit ce que je devais faire, même si j’en avais quand même une petite idée…
D’abord, il me dit de le prendre dans mes mains et de le caresser doucement, pour le sentir vivre entre mes doigts, puis il me demanda d’embrasser le gland avec mes lèvres.
Mais sans qu’il me le demande, je fis entrer sa bite dans ma bouche, mais pas complètement, alors il s’empara de mes cheveux et rythma mes va et vient.
Cela avait l’air de lui plaire car il avait fermé les yeux et gémissait.
Puis brusquement, je sentis un liquide chaud arriver dans ma bouche par saccade…
Alors il sortit de ma bouche et son sperme coula de la commissure de mes lèvres le long de mon cou et aussi sur ma poitrine…
Il sourit puis me demanda d’avaler, ce que je fis pour la première fois de ma vie, sachant que ce ne serait certainement pas la dernière…
Il se rajusta et me dit de monter dans ma chambre et qu’il viendrait me rejoindre dans une demi-heure, après s’être assuré que mes parents dormaient.

Je suis montée dans ma chambre et j’ai pris une douche et je me suis allonger nue sur le lit pour m’assoupir deux minutes après.
Dans mon inconscience, je sentis une présence près de moi et aussitôt une main se posa sur ma cuisse et commença à remonter vers mon entrejambe.
J’ouvris les yeux en poussant un petit cri, Chris me rassura et commença à m’embrasser. Mes parents à l’opposé de la maison devaient dormir et ne pourraient nous entendre, ce qui m’excita et me fit ouvrir encore plus grand les cuisses.
Dans la lumière de la nuit il pouvait voir mes seins nus, il approcha sa tête et les embrassa, agaça mes bouts qui durcirent et puis doucement descendit vers mon ventre, il joua au passage avec mon nombril, qu’il titilla, et je ressentis une sensation qui à ma grande surprise était agréable.
Puis il continua de descendre en jouant avec ma chatte de ses doigts pour caresser les lèvres de ma vulve, puis doucement ses lèvres se posèrent sur mon intimité et il embrassa mes lèvres.
Puis il écarta encore plus mes jambes, pour s’installer entre elles et reposant sa tête sur le bas de mon corps il me suça à nouveau la chatte, mais en faisant entrer sa langue dedans.
Je poussais des gémissements, mais quand il se mit à s’amuser avec mon clitoris, avec ses dents qui me mordillaient mon clito et son doigt qui me crochetait la vulve, je me mis à crier mon bonheur, mon corps entier était en feu et je jouis pour la première fois.

Puis il se déshabilla, enfila un préservatif et me rejoignit dans le lit. Il s’allongea près de moi et se remit à m’embrasser, puis après m’avoir embrassé et caressé il me dit :
- Tu mouilles comme une petite vicieuse !
Il se plaça au-dessus de moi et je sentais son pénis dur comme une pierre contre mon sexe, il le prit dans une main et caressa le pourtour de ma chatte, c’était divin.
Il avait un long pénis d’à peu près vingt-deux centimètres et d’un diamètre assez conséquent, sentant que je tremblais, il me chuchota à l’oreille :
- N’aie pas peur, ce sera douloureux au début, amis après ce ne sera que du bonheur, tu vas t’éclater.
Tout doucement, il commença caresser mon clitoris avec le bout de son gland, ce qui me fit frémir encore plus et ouvrir mes cuisses, alors plaçant son sexe sur ma chatte, il a commencé à pénétrer en moi. Quand il déchira mon hymen, j’eus une douleur et je poussais un cri étouffé. Il s’immobilisa en moi quelques instants, me serrant fort dans ses bras, comme pour me consoler et me rassurer, je compris que je n’étais plus vierge et le regardais avec des yeux de reconnaissance, il était mon premier homme.

Puis entreprit des va et viens lents, la douleur fut vite remplacée par le plaisir, alors que je gémissais, il pénétra de plus belle en moi. Puis il accéléra le rythme.
D’un coup, je sentis les parois de mon vagin se refermer, j'étais en train de jouir pour la première fois par la pénétration. Il s’en rendit compte et se retira.
Il recommença à m’embrasser et à jouer avec mon clito et mon excitation doubla. Cette fois c’est moi qui lui demandai de me prendre et nous jouîmes ensemble.
Il resta en moi quelques instants puis se retira.
Il me pénétra deux autres fois durant la nuit, et j’avoue que je prenais de plus en plus de plaisir avec mon beau-frère, il me comblait et me donnait du plaisir, j’aurais été idiote de refuser.
Au petit matin, dans le silence de la maison encore endormie, il sortit de ma chambre pour regagner la sienne, mais avant de me quitter il me demanda si j’avais aimé.
- Oh oui, lui dis-je, tu reviens ce soir ?
- Si tu veux, je te ferais connaitre d’autres plaisirs.
- Comme quoi par exemple ? Osais-je demandé.
- La sodomie…
Restée seule dans ma chambre, en me préparant pour descendre, je réfléchissais que ma sœur rentrant que vendredi soir, il me restait trois nuit pour tout appendre de l’amour et les joies de la sodomie, même si j’appréhendais un peu…

Le lendemain, je n’ai pensé qu’au moment de retrouver Chris, depuis le matin, il faisait très chaud. Après les cours je suis rentrée directement à la maison et dans ma chambre je me suis mise à l’aise pour me retrouver nue sur mon lit et me caresser.
Je commençais à me donner du plaisir, quand j’entendis Chris qui venait d’entrer me dire à voix basse :
- Tu ne veux pas que je t’aide petite sœur ?
En le voyant j’ai commencé à mouiller, car j’ai sentis que ma chatte devenait humide, alors je lui ai répondu :
- Oui ! Prends-moi !
En un rien de temps il était nu sur moi et me pénétrait la chatte, il ne jouit pas mais j’eus un plaisir intense, quand il partit je me suis dit vivement cette nuit…

Après le diner, je prétextais d’être fatiguée pour monter dans ma chambre et dormir, mais dès que je fus dans ma chambre, je m’installais nue sur mon lit et commençais à me caresser pour faire monter le plaisir et chauffer mon corps.
Il me rejoignit vers onze heures alors que je n’en pouvais plus de l’attendre, lorsqu’il me rejoignit dans le lit il bandait déjà, certainement à l’idée de me prendre le petit trou.
Alors je pris son sexe en main, excitée comme une puce et fis d’abord des va et viens avec ma main, il bandait dur, alors avec ma langue j’ai léché son gland, puis j’entrepris de lui sucer tout le sexe.
Je fis des va et viens avec ma bouche d’abord lent puis j’accélérais le rythme. Il m’arrêta, me releva et s’empara de ma bouche. Je me perdis dans un baiser langoureux.
Il s’occupa ensuite de moi, pour m’exciter encore plus jusqu’au point de non-retour et ne pouvoir rien lui refuser, il s’amusa avec sa bouche sur mes seins, pendant que ses mains allaient vers mon entrejambe m’ouvrir la vulve et découvrir mon clitoris et il le titilla jusqu’à me faire hurler, puis fit entrer un puis deux doigts dans ma chatte, il me doigta un long moment me faisant éjecter des jets de cyprine, me découvrant femme fontaine.
Puis il s’arrêta, j’étais humide comme jamais je ne l’avais été, alors il prit son sexe et le présenta à l’entrée de ma chatte et d’un coup de rein ma pénétra, je gémis en ressentant un plaisir inouï, et il commença des va et viens d’abord lents puis de plus en plus rapides, quelques instants après, je me mis à jouir.
Sans se retirer, il me prit les fesses et recommença à m’embrasser, ses mains parcourant mon cul à la recherche de mon anus.
Prenant peur j’ai crié :
- Non !
Alors il me demanda si j’avais déjà été prise par-là, alors je lui ai avoué que non, que c’était la première fois. Il me rassura en me disant :
- Détend toi et tu verras que c’est merveilleux !
Puis il me fit mettre à quatre pattes et après m’avoir enduit le cul de mes jouissances, il introduisit un puis deux doigts, sentant que je ne refusais pas cette pénétration, il les enleva et présenta son pénis sur mon œillet vierge.
J’avais peur car son pénis était large et allait certainement me faire mal, mais je l’ai senti pousser son sexe en moi pour l’introduire doucement dans mon anus.
Une sensation étrange se fit sentir en moi, c’était un mélange de douleur et plaisir, mais la douleur était plus vive. Puis petit à petit, lentement la douleur fit place à un certain plaisir.
Il s’arrêta pour me faire sentir combien il me remplissait le conduit, en donnant de petits coups pour faire vibre son membre en moi, c’était divin, je me sentais prise dans cette offrande suprême et il à commencer à me pilonner.
Quelques minutes plus tard, je sentis les contractions de son membre au fond de moi, puis des jets de liquide chaud se rependre en moi et rien qu’en pensant qu’il était en train de jouir en moi, dans mon cul, je jouis à mon tour.
C’était la première fois que je me faisais prendre par les deux trous à une journée d’intervalle, mon dépucelage et ma première sodomie, et j’avoue que je ne pensais pas jouir aussi intensément en me faisant enculer.
Nous avons dormis ensemble et durant la nuit il me sodomisa plusieurs fois…

Les trois jours suivants, chaque nuit furent remplie de mes gémissement, le vendredi matin j’étais devenue accroc à la sodomie et Chris est resté mon amant pendant deux ans, ma sœur n’en n’a jamais rien su, mais je me suis toujours demandé si Chris la sodomisait comme moi… »

A suivre…