Leslie SO04
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie SO04
Leslie SO04 – Souvenirs
Escorte occasionnelle, rencontre à l’hôtel
Le lendemain matin j’ai reçu un coup de téléphone de Maude :
- Allo, Leslie ?
- Oui.
- C’est Maude, comment vas-tu ?
- Bien, très bien.
- Bon, j’ai eue des compliments à ton sujet pour la soirée d’hier, j’ai quelque chose pour toi ce soir, ça t’intéresse ?
- Oui, dis voir.
- C’est pour la soirée et éventuellement la nuit complète si tu le veux, ce sera à régler sur place, à l’hôtel Hyatt Regency Paris Etoile, l’ex Concorde La Fayette, à la porte Maillot, rendez-vous à dix-neuf heures, c’est un ami de ton contact d’hier, il t’attendra dans le hall un œillet rouge à la boutonnière.
- Il est au courant de mon physique ?
- Bien sûr, c’est d’ailleurs pour cela qu’il t’a choisi, par contre tu y va chic et classe.
- Ok, pas de problème, je prends.
- Alors bonne soirée, je te rappelle dès que j’ai du nouveau.
- Bises.
Etant libre ces jours-là, j’ai eu tout le temps pour me préparer, coiffeur en fin de matinée pour redonner du volume à ma coiffure, un déjeuner léger et un bon bain en début d’après-midi, puis vers dix-sept heures maquillage et parfum sur le corps.
Porte-jarretelles, string assortis, bas résilles, top blanc à bretelles, passé sur mes seins nus, un ensemble blazer jupe crème et des escarpins à hauts talons et me voilà fin prête pour mon rendez-vous.
A dix-huit heures quinze je sautais dans un taxi, c’est à cet instant que je reçu un message de Maude qui me disait que j’étais attendu dans le hall de l’hôtel par un homme qui serait assis dans un fauteuil en train de lire le point, il avait une photo de moi et devrait le reconnaitre, et dix minutes avant dix-neuf heures j’étais au pied de la tour de la porte Maillot, devant l’hôtel où j’avais rendez-vous.
Quand je suis entrée dans le hall, je l’ai tout de suite vu, un homme de cinquante ans, certainement marié, qui voulait certainement réaliser avec moi un fantasme en l’absence de sa femme, un œillet rouge à la boutonnière de sa veste..
Quand il me vit, il se leva et vin à ma rencontre il me serra la main doucement et m’invita à venir boire un verre au bar du trente-quatrième étage, ce afin de faire connaissance devant un panorama magnifique, me disant au passage qu’il me trouvait vraiment mignonne et que je ne devais pas avoir de crainte avec lui.
Effectivement, alors que nous faisions connaissance autour d’un verre, il ne cessa de me complimenter sur ma beauté, il me dit qu’il s’appelait Robert et qu’il était marié, mais cherchait dans notre rencontre ce petit quelque chose qui ferait la différence de sa vie routinière.
Robert était bel homme, grand et un corps musclé bien entretenu, les cheveux grisonnants, des yeux verts et un sourire charmeur.
Après avoir consommé deux cocktails devant la vue de Paris, nous avons été dinés au restaurant de l’hôtel, puis vint l’heure de nous retrouver dans l’intimité de la chambre…
Il me fit entrer dans la chambre qu’il avait réservée, après mettre débarrassée de mon blazer, déposé sur le fauteuil, j’ai aussitôt été dans la salle de bains pour me préparer et me refaire une beauté en lui disant :
- J’en ai pour une minute !
Quand je suis sortie de la salle de bains sur escarpins à hauts talons, en petite tenue avec mon porte-jarretelles tenant mes bas résilles, mon string et le top blanc à bretelles sur mes seins nus, Robert était lui entièrement nu et son sexe à moitié bandé était déjà d’une taille plus que respectable. Surprenant mon regard sur son entrejambe, il me dit en souriant :
- J’espère que mon sexe ne te fait pas peur ?
- Non… Dis-je sans réfléchir, mais vous êtes bien doté !
- Ne t’inquiètes pas, je vais être doux et nous allons prendre notre temps… Tu es pressée ?
- Non, lui dis-je, je suis là pour vous.
- Toute la nuit ?
- Si vous le désirez.
- Super, bon maintenant on se tutoie et on règle les problèmes administratifs…
Ce fut rapidement réglé, Robert, homme d’affaires, fut généreux et ne discuta pas les conditions, d’ailleurs était-il là pour cela ?
C’est pourquoi, juste après et sans préliminaire, il s’approcha de moi et me demanda de le sucer. Sa queue était longue et épaisse, comme moi j’étais justement là pour cela, je m’installais à genoux devant lui et commençais à le sucer. je m’appliquais le plus possible, la glace du salon me renvoyant le reflet de la petite salope que j’étais redevenue à cet instant pour lui.
Puis, il m’arrêta et m’emmena sur son lit et sortant un tube de gel, il me massa longuement l’anus tout en me demandant de lui recouvrir le sexe d’un préservatif. Ce que je fis en véritable professionnelle, ayant déchirée l’enveloppe, je mis le préservatif dans ma bouche et en le reprenant dans ma bouche je glissais le préservatif sur son membre.
Ensuite, il me fit allonger sur le lit et sur le dos, après m’avoir ôté mon string, prenant mes chevilles il me releva les jambes au-dessus de ses épaules et, après avoir posé son gland sur ma rosette, presque sans aucun effort, mais tout doucement, lentement il s’enfonça en moi jusqu’à la garde, acte sans violence mais sans aucune caresse.
Cette première sodomie avec Robert fut un pur moment de plaisir, car me voir ainsi offerte les jambes écartées et relevées afin que mon cul soit offert du mieux possible me mettait déjà en transes. Et me sentir dominée et pilonnée de plus en plus vite et de plus en plus profondément par ce membre long et épais, qui me remplissait entièrement, me procura un orgasme très fort, j’ai d’ailleurs éjaculé abondamment sur mon torse et mon ventre en me touchant à peine le sexe tellement j’étais excitée.
Robert fut un peu surpris, mais heureux de me voir jouir.
Robert s’allongea près de moi et se mit alors à me caresser doucement puis il essaya de m’embrasser, je le repoussais gentiment en lui disant :
- Je n’embrasse pas !
- Toi alors, me dit-il, t’es une petite pute qui veux bien se faire enculer mais n’embrasses pas ?
- C’est un principe, répondis-je.
- Bon, c’est pas grave dit-il en souriant.
Nous restâmes ainsi encore quelques instants, une demi-heure peut-être, tout en nous caressant mutuellement et je constatais que Robert était de nouveau très excité.
Près de moi sur le lit, il me caressait doucement, et je sentais son sexe qui commençait à grossir contre mes fesses, et devenir dur, cette sensation m’excita et je me remis presque instantanément à bander.
Je n’ai pas eue besoin de le sucer, après s’être équipé d’un préservatif, il me prit en cuillère, et sur le côté un bras passé par-dessus mon corps, il me masturba tandis qu’il m’enculait.
Puis il m’enleva mon top blanc à bretelles et découvrit ma poitrine…
- Tu as un très beau corps, me dit-il.
Il me caressait les épaules, les seins et les cuisses en me regardant et en rajoutant :
- Tu es vraiment bien foutue.
Je sortis un préservatif et lui enroulais sur le sexe tout comme la première fois en continuant de le sucer, puis je remontais alors doucement le long de sa poitrine et vins le regarder dans les yeux, j’avais envie de lui faire l’amour comme si j’étais une vraie femme.
J’étais surexcitée, je voulais me donner entièrement, lui appartenir, me sentir complètement possédée, alors le chevauchant, je positionnais mon anus sur le bout de sa queue et je me mis à pousser doucement, j’étais tellement ouverte son gland a pénétré ma rondelle sans difficulté, alors je me suis enfoncé son membre doucement en moi et j’ai fait quelques allers retours.
Puis je me mis à le chevaucher sans plus de retenue, assis sur son ventre, la tête rejetée en arrière. Lui me caressait le ventre et les seins et me répétait sans cesse :
- Ahhh, salope, que c’est bon…
J’étais empalée sur sa grosse queue, mon sexe frottant sur son ventre, ses mains me parcourant le corps, alors qu’il gémissait, il paraissait satisfait sa ma prestation.
Après un temps relativement long, il m’arrêta, et me dit :
- Je vais te la mettre bien profond ?
- Ohhh oui dis-je dans un souffle.
Il me fit mettre à quatre pattes au bord du lit tandis que lui se mettait debout derrière moi, mes fesses se trouvant ainsi juste à la hauteur de son sexe.
Il m’encula d’une seule poussée, et je ne pus retenir un cri de surprise et de plaisir mélangé, il s’enfonça jusqu’à ce que ses couilles viennent toucher les miennes, et se mit à m’enculer à grands coups de reins.
Peu de fois dans ma vie je n’avais été à ce point remplie, écartelée, jamais je ne m’étais senti aussi bien possédée, jamais je n’avais eu autant envie de m’offrir entièrement à mon partenaire. Il se mit à me pilonner à un rythme rapide et régulier, en me donnant de temps en temps de petites claques sur les fesses. Il m’excitait aussi de la voix :
- Petite salope, qu’il est bon ton cul, trop bon !
Il est difficile de décrire mon plaisir à cet instant, mon cul accueillait son gros sexe et j’avais l’impression de mouiller comme une femme, secoué par ses coups de reins, dans un état second je me mis à hurler en me branlant quand j’ai senti son sexe se gonfler et se tendre et son préservatif se remplir dans mon cul,
Il s’écroula sur moi en m’embrassant le cou, et nous restâmes immobiles ainsi un long moment tous les deux, dans un état second, lui au fond de moi et moi ressentant les spasmes de son membre dans mon cul.
Puis il se relava et nous nous séparâmes un instant pour passer tous les deux sous la douche, avant de le quitter en nous disant au revoir, il me dit :
- J’ai beaucoup aimé, je pense que nous nous reverrons…
- Je ne sais pas, lui dis-je, si je vais faire longtemps ce job, on verra…
A suivre…
Escorte occasionnelle, rencontre à l’hôtel
Le lendemain matin j’ai reçu un coup de téléphone de Maude :
- Allo, Leslie ?
- Oui.
- C’est Maude, comment vas-tu ?
- Bien, très bien.
- Bon, j’ai eue des compliments à ton sujet pour la soirée d’hier, j’ai quelque chose pour toi ce soir, ça t’intéresse ?
- Oui, dis voir.
- C’est pour la soirée et éventuellement la nuit complète si tu le veux, ce sera à régler sur place, à l’hôtel Hyatt Regency Paris Etoile, l’ex Concorde La Fayette, à la porte Maillot, rendez-vous à dix-neuf heures, c’est un ami de ton contact d’hier, il t’attendra dans le hall un œillet rouge à la boutonnière.
- Il est au courant de mon physique ?
- Bien sûr, c’est d’ailleurs pour cela qu’il t’a choisi, par contre tu y va chic et classe.
- Ok, pas de problème, je prends.
- Alors bonne soirée, je te rappelle dès que j’ai du nouveau.
- Bises.
Etant libre ces jours-là, j’ai eu tout le temps pour me préparer, coiffeur en fin de matinée pour redonner du volume à ma coiffure, un déjeuner léger et un bon bain en début d’après-midi, puis vers dix-sept heures maquillage et parfum sur le corps.
Porte-jarretelles, string assortis, bas résilles, top blanc à bretelles, passé sur mes seins nus, un ensemble blazer jupe crème et des escarpins à hauts talons et me voilà fin prête pour mon rendez-vous.
A dix-huit heures quinze je sautais dans un taxi, c’est à cet instant que je reçu un message de Maude qui me disait que j’étais attendu dans le hall de l’hôtel par un homme qui serait assis dans un fauteuil en train de lire le point, il avait une photo de moi et devrait le reconnaitre, et dix minutes avant dix-neuf heures j’étais au pied de la tour de la porte Maillot, devant l’hôtel où j’avais rendez-vous.
Quand je suis entrée dans le hall, je l’ai tout de suite vu, un homme de cinquante ans, certainement marié, qui voulait certainement réaliser avec moi un fantasme en l’absence de sa femme, un œillet rouge à la boutonnière de sa veste..
Quand il me vit, il se leva et vin à ma rencontre il me serra la main doucement et m’invita à venir boire un verre au bar du trente-quatrième étage, ce afin de faire connaissance devant un panorama magnifique, me disant au passage qu’il me trouvait vraiment mignonne et que je ne devais pas avoir de crainte avec lui.
Effectivement, alors que nous faisions connaissance autour d’un verre, il ne cessa de me complimenter sur ma beauté, il me dit qu’il s’appelait Robert et qu’il était marié, mais cherchait dans notre rencontre ce petit quelque chose qui ferait la différence de sa vie routinière.
Robert était bel homme, grand et un corps musclé bien entretenu, les cheveux grisonnants, des yeux verts et un sourire charmeur.
Après avoir consommé deux cocktails devant la vue de Paris, nous avons été dinés au restaurant de l’hôtel, puis vint l’heure de nous retrouver dans l’intimité de la chambre…
Il me fit entrer dans la chambre qu’il avait réservée, après mettre débarrassée de mon blazer, déposé sur le fauteuil, j’ai aussitôt été dans la salle de bains pour me préparer et me refaire une beauté en lui disant :
- J’en ai pour une minute !
Quand je suis sortie de la salle de bains sur escarpins à hauts talons, en petite tenue avec mon porte-jarretelles tenant mes bas résilles, mon string et le top blanc à bretelles sur mes seins nus, Robert était lui entièrement nu et son sexe à moitié bandé était déjà d’une taille plus que respectable. Surprenant mon regard sur son entrejambe, il me dit en souriant :
- J’espère que mon sexe ne te fait pas peur ?
- Non… Dis-je sans réfléchir, mais vous êtes bien doté !
- Ne t’inquiètes pas, je vais être doux et nous allons prendre notre temps… Tu es pressée ?
- Non, lui dis-je, je suis là pour vous.
- Toute la nuit ?
- Si vous le désirez.
- Super, bon maintenant on se tutoie et on règle les problèmes administratifs…
Ce fut rapidement réglé, Robert, homme d’affaires, fut généreux et ne discuta pas les conditions, d’ailleurs était-il là pour cela ?
C’est pourquoi, juste après et sans préliminaire, il s’approcha de moi et me demanda de le sucer. Sa queue était longue et épaisse, comme moi j’étais justement là pour cela, je m’installais à genoux devant lui et commençais à le sucer. je m’appliquais le plus possible, la glace du salon me renvoyant le reflet de la petite salope que j’étais redevenue à cet instant pour lui.
Puis, il m’arrêta et m’emmena sur son lit et sortant un tube de gel, il me massa longuement l’anus tout en me demandant de lui recouvrir le sexe d’un préservatif. Ce que je fis en véritable professionnelle, ayant déchirée l’enveloppe, je mis le préservatif dans ma bouche et en le reprenant dans ma bouche je glissais le préservatif sur son membre.
Ensuite, il me fit allonger sur le lit et sur le dos, après m’avoir ôté mon string, prenant mes chevilles il me releva les jambes au-dessus de ses épaules et, après avoir posé son gland sur ma rosette, presque sans aucun effort, mais tout doucement, lentement il s’enfonça en moi jusqu’à la garde, acte sans violence mais sans aucune caresse.
Cette première sodomie avec Robert fut un pur moment de plaisir, car me voir ainsi offerte les jambes écartées et relevées afin que mon cul soit offert du mieux possible me mettait déjà en transes. Et me sentir dominée et pilonnée de plus en plus vite et de plus en plus profondément par ce membre long et épais, qui me remplissait entièrement, me procura un orgasme très fort, j’ai d’ailleurs éjaculé abondamment sur mon torse et mon ventre en me touchant à peine le sexe tellement j’étais excitée.
Robert fut un peu surpris, mais heureux de me voir jouir.
Robert s’allongea près de moi et se mit alors à me caresser doucement puis il essaya de m’embrasser, je le repoussais gentiment en lui disant :
- Je n’embrasse pas !
- Toi alors, me dit-il, t’es une petite pute qui veux bien se faire enculer mais n’embrasses pas ?
- C’est un principe, répondis-je.
- Bon, c’est pas grave dit-il en souriant.
Nous restâmes ainsi encore quelques instants, une demi-heure peut-être, tout en nous caressant mutuellement et je constatais que Robert était de nouveau très excité.
Près de moi sur le lit, il me caressait doucement, et je sentais son sexe qui commençait à grossir contre mes fesses, et devenir dur, cette sensation m’excita et je me remis presque instantanément à bander.
Je n’ai pas eue besoin de le sucer, après s’être équipé d’un préservatif, il me prit en cuillère, et sur le côté un bras passé par-dessus mon corps, il me masturba tandis qu’il m’enculait.
Puis il m’enleva mon top blanc à bretelles et découvrit ma poitrine…
- Tu as un très beau corps, me dit-il.
Il me caressait les épaules, les seins et les cuisses en me regardant et en rajoutant :
- Tu es vraiment bien foutue.
Je sortis un préservatif et lui enroulais sur le sexe tout comme la première fois en continuant de le sucer, puis je remontais alors doucement le long de sa poitrine et vins le regarder dans les yeux, j’avais envie de lui faire l’amour comme si j’étais une vraie femme.
J’étais surexcitée, je voulais me donner entièrement, lui appartenir, me sentir complètement possédée, alors le chevauchant, je positionnais mon anus sur le bout de sa queue et je me mis à pousser doucement, j’étais tellement ouverte son gland a pénétré ma rondelle sans difficulté, alors je me suis enfoncé son membre doucement en moi et j’ai fait quelques allers retours.
Puis je me mis à le chevaucher sans plus de retenue, assis sur son ventre, la tête rejetée en arrière. Lui me caressait le ventre et les seins et me répétait sans cesse :
- Ahhh, salope, que c’est bon…
J’étais empalée sur sa grosse queue, mon sexe frottant sur son ventre, ses mains me parcourant le corps, alors qu’il gémissait, il paraissait satisfait sa ma prestation.
Après un temps relativement long, il m’arrêta, et me dit :
- Je vais te la mettre bien profond ?
- Ohhh oui dis-je dans un souffle.
Il me fit mettre à quatre pattes au bord du lit tandis que lui se mettait debout derrière moi, mes fesses se trouvant ainsi juste à la hauteur de son sexe.
Il m’encula d’une seule poussée, et je ne pus retenir un cri de surprise et de plaisir mélangé, il s’enfonça jusqu’à ce que ses couilles viennent toucher les miennes, et se mit à m’enculer à grands coups de reins.
Peu de fois dans ma vie je n’avais été à ce point remplie, écartelée, jamais je ne m’étais senti aussi bien possédée, jamais je n’avais eu autant envie de m’offrir entièrement à mon partenaire. Il se mit à me pilonner à un rythme rapide et régulier, en me donnant de temps en temps de petites claques sur les fesses. Il m’excitait aussi de la voix :
- Petite salope, qu’il est bon ton cul, trop bon !
Il est difficile de décrire mon plaisir à cet instant, mon cul accueillait son gros sexe et j’avais l’impression de mouiller comme une femme, secoué par ses coups de reins, dans un état second je me mis à hurler en me branlant quand j’ai senti son sexe se gonfler et se tendre et son préservatif se remplir dans mon cul,
Il s’écroula sur moi en m’embrassant le cou, et nous restâmes immobiles ainsi un long moment tous les deux, dans un état second, lui au fond de moi et moi ressentant les spasmes de son membre dans mon cul.
Puis il se relava et nous nous séparâmes un instant pour passer tous les deux sous la douche, avant de le quitter en nous disant au revoir, il me dit :
- J’ai beaucoup aimé, je pense que nous nous reverrons…
- Je ne sais pas, lui dis-je, si je vais faire longtemps ce job, on verra…
A suivre…
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