Leslie SO05
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2014 dans la catégorie Plus on est
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Leslie SO05
Leslie SO05 – Souvenirs
Escorte occasionnelle, à plusieurs
Seize heures, je viens de recevoir un message de Maude :
« Si dispo ce soir, plan à plusieurs ? Appelle-moi pour plus de détails.»
Avant de la rappeler, je lui envoi le message suivant :
« Possible, mais plusieurs, ce serait combien ? »
Elle me répond aussitôt :
« Trois ou quatre, appelles moi pour les détails. »
Bon, dix minutes plus tard je rappelle Maude et je lui pose la première question qui me brûle les lèvres.
- Donnes-moi les détails avant de te dire oui…
- Tu n’es pas intéressée ? Me demande Maude.
- Je vais être franche, j’adore le sexe mais l’idée de me faire prendre par trois ou quatre mâles en rut montés comme des ânes, je ne suis pas partante.
- Non, ils ne seront que trois, deux hommes dans la quarantaine et un jeune passif qui veut pour sa première expérience se faire mettre par une transexuelle, mais a tout te dire j’ai le sentiment que ce sont des bisexuels qui ont envie de pimenter leur partouze.
- Bon dans ce cas, je suis partante.
Elle me donne le rendez-vous pour le soir même dans la villa d’un des plus âgés, en région parisienne, à vingt et une heures chez lui.
Rentrez à la maison, je suis en train de me demander comment m’habiller pour ce soir, salope de partouze ou bourgeoise consentante, je prends d’abord un bon parfumé, puis je me maquille légèrement, juste ce qu’il faut, un peu de parfum et je décide de m’habiller.
Une tenue simple et pratique, une jupe tube très courte qui a l’avantage de se fermer par un simple zip sur toute sa hauteur, et qui pourra d’un seul geste être enlevée pour me laisser en string, un petit top blanc en résille blanche très fine, un peu transparent laissant voir les bouts de mes seins et surtout les moulants de façon indécente, jambes nues et des escarpins à talons mi hauts et mon blouson perfecto, et je suis prête.
Je me regarde dans la glace avant de partir, juste provocante mais pas trop…
Vingt et une heures, je suis devant la villa, je sonne et un homme vient m’ouvrir le portail, il me fait entrer en me tendant la main et en se présentant :
- Bonsoir, je suis René, vous êtes Leslie ?
- Oui, bonsoir René.
- Venez, suivez-moi.
On rentre dans la maison, deux autres hommes sont présents, ils sont en peignoir, à peine le temps de faire les présentations et de régler les problèmes d’usage et nous voilà installés dans le salon une flûte de champagne à la main.
René fait les présentations :
- Voilà Leslie, qui est spécialement venue pour réaliser nos souhaits, Leslie, je te présente Jean et Olivier.
Jean et René sont des hommes dans la quarantaine, plutôt pas mal foutus, ils doivent prendre soin du physique en faisant du sport, René est brun ou yeux vert, certainement très poilu, alors qu’Olivier et châtain clair aux yeux bleus. Quant à Jean, un jeune homme d’une vingtaine d’années, lui est blond aux yeux bleus avec un petit air efféminé.
- Bien, dis René, nous vivons tous les trois ensemble, nous sommes bisexuelle, mais peu de femmes partagent notre vie, juste des femmes de passage pour le sexe. Par contre Jean est toujours vierge et n’accepte de se faire déflorer que par une femme membrée, donc nous avons fait appel à toi pour que dans l’avenir nous profitions du petit cul de Jean.
- Cela me parait clair, dis-je.
- Par contre, Jean accepte les relations avec nous mais sans pénétrations, nous aimerions remédier à ce petit problème.
Comme pour me prouver que René dit vrai, Olivier s’approche de Jean et lui enlève son peignoir et Jean se retrouve en slip et aussitôt commencent à se rouler ses pelles en promenant leurs mains sur leur corps, Olivier est bientôt lui aussi en slip.
A cet instant, René qui s’est rapproché de moi, me prend par la taille pour m’embrasser sur les lèvres, commence à faire courir ses mains partout sur mon corps et après avoir entendu le zip de ma jupe, celle-ci se retrouve à mes pieds, mon top est enlevé et je me retrouve en string devant mes trois complices.
Puis René finit par me faire mettre à genoux à ses pieds pour prendre son membre entre mes lèvres, je m’aperçois qu’il est plutôt gâté par la nature et j’ai beaucoup de peine à engloutir son sexe dans ma bouche, mais je lui prodigue néanmoins une merveilleuse fellation, qui lui arrachent des soupirs de contentement.
Les 2 autres sont justes à côté de nous, toujours debout, mais nus maintenant avec leurs deux queues bien dressées, toujours occupés à se caresser.
Celle de Jean est de taille normale, celle d’Olivier n’a rien à envier à celle de René, simplement elle est plus épaisse.
Comme Olivier voit bien que je mate sa queue, il me la présente à sucer. J’abandonne celle de René pour tenter d’engouffrer la sienne avec délectation, mais plus épaisse sue celle de René je ne peux la prendre entièrement dans ma bouche, alors je lui prodigue au mieux une pipe d’enfer. Il me prend par les cheveux et tente de m’enfiler sa queue tout au fond de la gorge, manquant de m’étouffer plusieurs fois, mais visiblement très excité.
Jean lui s’occupe de sucer René et apparemment il sait y faire, car René gémit tout autant que quand c’était moi.
Après plusieurs minutes de ce manège, les hommes me font relever et m’entraînent vers la chambre et m’allonge sur le lit, leurs mains me caresse tout le corps, insistant sur la courbure de mes fesses.
Olivier s’allonge sur le lit, la queue fièrement dressée et René me pousse à genoux sur le bord du lit, ses mains plaquées sur mes fesses, me retrouvant la tête au-dessus du sexe d’Olivier que je reprends en bouche.
Les mains de Jean caressent mes fesses, mes hanches, l’intérieur de mes cuisses, et remontent le long de mon ventre vers mes tétons, déjà bien durcis par l’excitation de la situation, puis se glisse sous moi pour me sucer…
René s’occupe de ma croupe entièrement offerte à son regard, et l’une de ses mains écarte la ficelle de mon string tandis que sa langue commence à me lécher la rosette, insistant bien sur mon intimité qu’elle finit par pénétrer. Sa langue me fouille l’anus en me faisant pousser de petits gémissements de plaisir.
Après m’avoir soigneusement fouillé du bout de la langue, je sens un doigt enduit de gel tourner autour de mon petit trou avant d’y pénétrer sans difficulté, puis un deuxième et un troisième doigt s’engouffrent dans mon antre, instinctivement je me cambre pour mieux les accueillir et ainsi m’élargir et me préparer à la sodomie qui m’attend.
Je sens les doigts sortir de moi et immédiatement une queue se colle pour les remplacer à l’entrée de mon sphincter, tandis que deux mains agrippent mes hanches et d’une poussée lente, mais déterminée, la queue me pénètre. Ce membre est de belle taille car je me sens complètement remplie, puis après quelques secondes commence un lent va-et-vient en moi, je m’habitue vite à la grosseur de l’engin et je me laisse aller et mon étalon qui augmente la cadence en me tenant fermement mes hanches, si bien que ma bouche finit par lâcher sa proie et que relevant la tête, je me mets à gémir sous les coups de boutoir.
René pousse de grands râles tout en me pilonnant le cul, s’écrasant à chaque mouvement contre mes fesses, puis il dit :
- Ohhh, mon Olivier si tu savais comme est bonne, je t’ouvre la voie et tu vas la prendre avec ta grosse queue !
Il finit par jouir en poussant des cris rauques et en me collant à lui. Puis se retire pour faire place à Olivier…
Olivier se place derrière moi entre mes jambes à la place de René, et son gland se pose sur ma rosette, la grosse queue de René a bien préparé le passage et je sens à peine la pénétration d’Olivier, mais je me sens encore plus pleine que quelques temps auparavant.
Olivier commence un lent mouvement, sortant presque entièrement à chaque fois, c’est bon, alors je ferme les yeux et me laisse aller à ces pénétrations.
Maintenant c’est Jean qui est à genoux au bord du lit, les fesses offertes attendant que je le déflore, je le sens inquiet, mais il ne bouge pas attendant la pénétration.
Son petit trou est fermé et René et Olivier lui imprègne de gel, puis je lui écarte les fesses pour mettre à jour son petit trou et le prend d’un grand coup de reins, décidée à bien me faire sentir dans son cul. Jean se cabre et hurle, de douleur peut-être ou de délivrance, je le pilonne lui arrachant des cris de surprise et de plaisir.
Puis les cris de Jean cessent, je le sens complètement s’abandonner à mes pénétrations cambrant ses reins au maximum pour mieux m’accueillir, il se met à pousser de petits cris au rythme de mes pénétrations.
Encouragée par de telles manifestations de plaisir et de docilité, j’entreprends de longs va-et-vient, sortant presque entièrement de lui pour mieux rentrer en m’écrasant contre mes fesses, ce qui achève de me libérer, et je jouis avec violence dans les entrailles de Jean.
Mes compagnons de jeu ont pris la place que je viens de libérer et sodomisent à tour de rôle leur compagnon en disant :
- Ohhh ! Comme il est bon ton cul, tu nous excite.
Tout le reste de la soirée, Jean s’en ai pris plein le cul, René et Olivier trop heureux de pouvoir dorénavant l’enculer, quand je les ai quitté, je me suis dit que certainement ce trio allait durer un moment et prendre du plaisir ensemble…
A suivre…
Escorte occasionnelle, à plusieurs
Seize heures, je viens de recevoir un message de Maude :
« Si dispo ce soir, plan à plusieurs ? Appelle-moi pour plus de détails.»
Avant de la rappeler, je lui envoi le message suivant :
« Possible, mais plusieurs, ce serait combien ? »
Elle me répond aussitôt :
« Trois ou quatre, appelles moi pour les détails. »
Bon, dix minutes plus tard je rappelle Maude et je lui pose la première question qui me brûle les lèvres.
- Donnes-moi les détails avant de te dire oui…
- Tu n’es pas intéressée ? Me demande Maude.
- Je vais être franche, j’adore le sexe mais l’idée de me faire prendre par trois ou quatre mâles en rut montés comme des ânes, je ne suis pas partante.
- Non, ils ne seront que trois, deux hommes dans la quarantaine et un jeune passif qui veut pour sa première expérience se faire mettre par une transexuelle, mais a tout te dire j’ai le sentiment que ce sont des bisexuels qui ont envie de pimenter leur partouze.
- Bon dans ce cas, je suis partante.
Elle me donne le rendez-vous pour le soir même dans la villa d’un des plus âgés, en région parisienne, à vingt et une heures chez lui.
Rentrez à la maison, je suis en train de me demander comment m’habiller pour ce soir, salope de partouze ou bourgeoise consentante, je prends d’abord un bon parfumé, puis je me maquille légèrement, juste ce qu’il faut, un peu de parfum et je décide de m’habiller.
Une tenue simple et pratique, une jupe tube très courte qui a l’avantage de se fermer par un simple zip sur toute sa hauteur, et qui pourra d’un seul geste être enlevée pour me laisser en string, un petit top blanc en résille blanche très fine, un peu transparent laissant voir les bouts de mes seins et surtout les moulants de façon indécente, jambes nues et des escarpins à talons mi hauts et mon blouson perfecto, et je suis prête.
Je me regarde dans la glace avant de partir, juste provocante mais pas trop…
Vingt et une heures, je suis devant la villa, je sonne et un homme vient m’ouvrir le portail, il me fait entrer en me tendant la main et en se présentant :
- Bonsoir, je suis René, vous êtes Leslie ?
- Oui, bonsoir René.
- Venez, suivez-moi.
On rentre dans la maison, deux autres hommes sont présents, ils sont en peignoir, à peine le temps de faire les présentations et de régler les problèmes d’usage et nous voilà installés dans le salon une flûte de champagne à la main.
René fait les présentations :
- Voilà Leslie, qui est spécialement venue pour réaliser nos souhaits, Leslie, je te présente Jean et Olivier.
Jean et René sont des hommes dans la quarantaine, plutôt pas mal foutus, ils doivent prendre soin du physique en faisant du sport, René est brun ou yeux vert, certainement très poilu, alors qu’Olivier et châtain clair aux yeux bleus. Quant à Jean, un jeune homme d’une vingtaine d’années, lui est blond aux yeux bleus avec un petit air efféminé.
- Bien, dis René, nous vivons tous les trois ensemble, nous sommes bisexuelle, mais peu de femmes partagent notre vie, juste des femmes de passage pour le sexe. Par contre Jean est toujours vierge et n’accepte de se faire déflorer que par une femme membrée, donc nous avons fait appel à toi pour que dans l’avenir nous profitions du petit cul de Jean.
- Cela me parait clair, dis-je.
- Par contre, Jean accepte les relations avec nous mais sans pénétrations, nous aimerions remédier à ce petit problème.
Comme pour me prouver que René dit vrai, Olivier s’approche de Jean et lui enlève son peignoir et Jean se retrouve en slip et aussitôt commencent à se rouler ses pelles en promenant leurs mains sur leur corps, Olivier est bientôt lui aussi en slip.
A cet instant, René qui s’est rapproché de moi, me prend par la taille pour m’embrasser sur les lèvres, commence à faire courir ses mains partout sur mon corps et après avoir entendu le zip de ma jupe, celle-ci se retrouve à mes pieds, mon top est enlevé et je me retrouve en string devant mes trois complices.
Puis René finit par me faire mettre à genoux à ses pieds pour prendre son membre entre mes lèvres, je m’aperçois qu’il est plutôt gâté par la nature et j’ai beaucoup de peine à engloutir son sexe dans ma bouche, mais je lui prodigue néanmoins une merveilleuse fellation, qui lui arrachent des soupirs de contentement.
Les 2 autres sont justes à côté de nous, toujours debout, mais nus maintenant avec leurs deux queues bien dressées, toujours occupés à se caresser.
Celle de Jean est de taille normale, celle d’Olivier n’a rien à envier à celle de René, simplement elle est plus épaisse.
Comme Olivier voit bien que je mate sa queue, il me la présente à sucer. J’abandonne celle de René pour tenter d’engouffrer la sienne avec délectation, mais plus épaisse sue celle de René je ne peux la prendre entièrement dans ma bouche, alors je lui prodigue au mieux une pipe d’enfer. Il me prend par les cheveux et tente de m’enfiler sa queue tout au fond de la gorge, manquant de m’étouffer plusieurs fois, mais visiblement très excité.
Jean lui s’occupe de sucer René et apparemment il sait y faire, car René gémit tout autant que quand c’était moi.
Après plusieurs minutes de ce manège, les hommes me font relever et m’entraînent vers la chambre et m’allonge sur le lit, leurs mains me caresse tout le corps, insistant sur la courbure de mes fesses.
Olivier s’allonge sur le lit, la queue fièrement dressée et René me pousse à genoux sur le bord du lit, ses mains plaquées sur mes fesses, me retrouvant la tête au-dessus du sexe d’Olivier que je reprends en bouche.
Les mains de Jean caressent mes fesses, mes hanches, l’intérieur de mes cuisses, et remontent le long de mon ventre vers mes tétons, déjà bien durcis par l’excitation de la situation, puis se glisse sous moi pour me sucer…
René s’occupe de ma croupe entièrement offerte à son regard, et l’une de ses mains écarte la ficelle de mon string tandis que sa langue commence à me lécher la rosette, insistant bien sur mon intimité qu’elle finit par pénétrer. Sa langue me fouille l’anus en me faisant pousser de petits gémissements de plaisir.
Après m’avoir soigneusement fouillé du bout de la langue, je sens un doigt enduit de gel tourner autour de mon petit trou avant d’y pénétrer sans difficulté, puis un deuxième et un troisième doigt s’engouffrent dans mon antre, instinctivement je me cambre pour mieux les accueillir et ainsi m’élargir et me préparer à la sodomie qui m’attend.
Je sens les doigts sortir de moi et immédiatement une queue se colle pour les remplacer à l’entrée de mon sphincter, tandis que deux mains agrippent mes hanches et d’une poussée lente, mais déterminée, la queue me pénètre. Ce membre est de belle taille car je me sens complètement remplie, puis après quelques secondes commence un lent va-et-vient en moi, je m’habitue vite à la grosseur de l’engin et je me laisse aller et mon étalon qui augmente la cadence en me tenant fermement mes hanches, si bien que ma bouche finit par lâcher sa proie et que relevant la tête, je me mets à gémir sous les coups de boutoir.
René pousse de grands râles tout en me pilonnant le cul, s’écrasant à chaque mouvement contre mes fesses, puis il dit :
- Ohhh, mon Olivier si tu savais comme est bonne, je t’ouvre la voie et tu vas la prendre avec ta grosse queue !
Il finit par jouir en poussant des cris rauques et en me collant à lui. Puis se retire pour faire place à Olivier…
Olivier se place derrière moi entre mes jambes à la place de René, et son gland se pose sur ma rosette, la grosse queue de René a bien préparé le passage et je sens à peine la pénétration d’Olivier, mais je me sens encore plus pleine que quelques temps auparavant.
Olivier commence un lent mouvement, sortant presque entièrement à chaque fois, c’est bon, alors je ferme les yeux et me laisse aller à ces pénétrations.
Maintenant c’est Jean qui est à genoux au bord du lit, les fesses offertes attendant que je le déflore, je le sens inquiet, mais il ne bouge pas attendant la pénétration.
Son petit trou est fermé et René et Olivier lui imprègne de gel, puis je lui écarte les fesses pour mettre à jour son petit trou et le prend d’un grand coup de reins, décidée à bien me faire sentir dans son cul. Jean se cabre et hurle, de douleur peut-être ou de délivrance, je le pilonne lui arrachant des cris de surprise et de plaisir.
Puis les cris de Jean cessent, je le sens complètement s’abandonner à mes pénétrations cambrant ses reins au maximum pour mieux m’accueillir, il se met à pousser de petits cris au rythme de mes pénétrations.
Encouragée par de telles manifestations de plaisir et de docilité, j’entreprends de longs va-et-vient, sortant presque entièrement de lui pour mieux rentrer en m’écrasant contre mes fesses, ce qui achève de me libérer, et je jouis avec violence dans les entrailles de Jean.
Mes compagnons de jeu ont pris la place que je viens de libérer et sodomisent à tour de rôle leur compagnon en disant :
- Ohhh ! Comme il est bon ton cul, tu nous excite.
Tout le reste de la soirée, Jean s’en ai pris plein le cul, René et Olivier trop heureux de pouvoir dorénavant l’enculer, quand je les ai quitté, je me suis dit que certainement ce trio allait durer un moment et prendre du plaisir ensemble…
A suivre…
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