Leslie SO08
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2015 dans la catégorie Plus on est
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Leslie SO08
Leslie SO08 – Souvenirs
Escorte occasionnelle, rencontre avec un couple
Trois jours après le week-end avec Maude, celle-ci m’appela, après s’être remémorées notre week-end, elle me dit :
- Libre ce soir ?
- Pourquoi ? Demandais-je.
- Un trio avec un couple dont la femme rêve de faire l’amour avec une transexuelle, ils te veulent pour la nuit et plus si affinités.
- Le mari est bi ?
- Oui absolument, tendance passif et il n’est pas contre toute évolution éventuelle des rapports.
- Bien et quoi d’autre ?
- Un petit détail, qui a son importance, le mari à un tout petit sexe et comme il ne contente pas sa femme, il accepte de sursoir à ses désirs, organisant des rencontres.
- Bien, je suis libre, alors je prends !
- Tu peux être libre les trois jours du week-end ? Me demande Maude.
- Si ça vaut le coup, sans problème !
- A bientôt ma chérie, rajoute Maude avant de raccrocher.
Le week-end qui arrivait était prolongé du lundi, Pentecôte oblige, Maude m’envoya par SMS les détails de la rencontre du soir et me souhaita une bonne soirée, non sans oublier de me rappeler qu’elle était amoureuse de moi.
Dès que je suis à la maison, je me mets nue et prends un bon parfumé, puis je me maquille en surveillant l’heure, j’ai suffisamment de temps devant moi pour me servir un scotch et le boire tranquillement avant de m’habiller.
Je me prépare un petit sac avec du rechange, au cas où, non sans oublier de glisser dedans un gode-ceinture, un tube de gel et des préservatifs, puis tout en dégustant mon verre je fais mes ongles de pied que je recouvre de nacre blanche, puis les ongles de mes doigts.
Après avoir commandé un taxi pour dix-neuf heures, je passe un string en dentelle banche en veillant à bien caler mon sexe au fond, entre mes cuisses, puis je mets des escarpins blancs à bride aux talons de douze centimètres, et passe enfin ma robe.
Une mini robe blanche en tissu vaporeux, très échancrée sur le devant, elle se porte seins libres afin de laisser entrevoir les courbes de ma poitrine, légèrement drapé devant, elle s’attache par deux lanière nouée dans le cou, avec son dos nu, qui laisse juste entrevoir le début de ma raie des fesses, surjective comme tout et d’un érotisme fou !
Je me regarde dans la glace et je sens que je vais faire de l’effet…
Je sors de l’appartement et vais rejoindre le taxi qui m’attends devant la maison, je saute dedans et en route pour le restaurant.
Maude m’a dit qu’ils habitaient Neuilly sur Seine, et que le rendez-vous se faisait à dix-neuf heures trente, à l’auberge Dab, porte Maillot, à deux pas de chez eux.
A l’heure précise je suis devant cet incontournable établissement parisien, situé face au Palais des Congrès, cet élégant a tout pour séduire.
L’accueil chaleureux met en, confiance, les banquettes de cuir sont confortables et le décor est intimiste.
Le chef de rang qui m’accueille, me conduit directement à la table du couple et en passant entre les tables, je remarque l’intérêt portée à mon apparence.
Le couple est jeune, lui trente ans tout au plus, elle pas plus de vingt-cinq, ils m’accueillent avec chaleur et dès les coupes de champagnes servies, ils tiennent à me mettre à l’aise.
Romain, tout en m’expliquent qu’il est issu de bonne famille et dirigeant d’une grande entreprise et, qu’elle est aussi d’un rang social élevé et dirigeante d’une clinique.
Leur couple est un couple plus d’intérêt et de raison, que d’amour, et est un peu à la dérive compte tenu de la libido de madame.
Lui, est un beau mâle au visage anguleux, brun bien entretenu, il doit faire du sport chaque jour, elle une belle blonde platine au visage doux, mince, elle parait d’une douceur extrême.
Nous avons diné, en parlant, à voix basse, des difficultés de leur couple, du fantasme de Nelly et de ses désirs
Les fraicheurs d'avocat au crabe, vinaigrette de betterave, laissèrent place aux noix de saint jacques poêlées, risotto crémeux à la provençale, arrosés d’un Chablis premier cru.
Il ne restait plus qu’à déguster le carpaccio de fruits de saison parfumé au citron vert, sorbet fraises des bois, avant d’aller chez eux et de passer aux choses sérieuses…
Cinq-cents mètres à faire et nous somme au pied d’un immeuble cossu, Romain ouvre la grande porte d’entrée et nous laisse passer, Nelly, derrière moi me suis, et je ne peux m’empêcher de penser qu’elle regarde mon dos nu provoquant…
Nous prenons, l’ascenseur pour le septième étage-terrasse et nous entrons dans l’unique appartement de l’étage.
Tout en se mettant à l’aise, pendant que Romain nous sert une coupe de champagne, Nelly me dit :
- Comme nous te l’avons expliqué, nous avons fait un mariage de raison et d’intérêt, nous sommes amis d’enfance et nos familles dédiraient ce mariage, la mienne pour des raisons d’argent et une fusion de sociétés, la sienne pour avoir un héritier de l’empire familial.
- Que de l’amour, dis-je.
- Détrompes-toi, Leslie, nous nous entendons bien, il y a de la tendresse, que l’o ne peut appeler amour, mais c’est ainsi, nous sommes bien ensemble, sauf au niveau sexuel. Romain à un tout petit sexe, tu verras, mais en plus il est stérile et nous ne n’aurons jamais d’enfant, alors il accepte que j’ai des relations extra-conjugales, où parfois je suis seule et d’autres où nous sommes ensemble.
- Vous êtes libres !
- Oui, mais de plus nous acceptons l’éventualité que je tombe enceinte lors de ces relations, et comme nous ne voulons pas savoir qui en sera l’auteur, c’est pour cela que depuis quelques temps j’ai des relations régulières voir journalières avec des partenaires…
Tour en parlant, elle a bu son champagne et s’est retrouvée devant moi dans une tenue qui me laisse le loisir de regarder son corps superbe.
Debout devant moi, elle me provoque dans sa tenue qui masque à peine l’intimité de son corps superbe, le soutien-gorge demi-seins laisse les aréoles brunes visible dont les bouts dressés dénotent l’état d’excitation de Nelly. Le string ouvert à peine à dissimuler son sexe glabre aux lèvres brunes, ses jambes habillées de bas auto-fixant en dentelle et ses escarpins à hauts talons lui donnent un côté provocant. Elle est et superbe, d’autant que le blanc de ses sous-vêtements fait ressortir la couleur ambrée de son corps.
Nous trinquons et alors que Romain va s’assoir dans un fauteuil, Nelly s’accroche à mon cou et m’embrasse avec une fougue incroyable.
Puis sans un mot elle se laisse tomber à la renverse dans le canapé en ouvrant largement ses jambes, m’offrant par la même occasion son sexe qui apparait par la fente de son string.
Devant cette offrande impudique, je plonge vers son sexe offert et commence à le lécher d’une langue coquine, les parfums sauvages qui s’en échappe m’enivrent un peu, je m’empare de son clitoris qui se dresse aussitôt, le titille du bout de ma langue et profite de son sexe glabre la faisant feuler de plaisir…
Nelly ouvre ses cuisses encore plus afin de me faciliter la tâche pour que je puisse atteindre le plus profond de son intimité, allant jusqu’à remonter ses jambes m’encourageant par de petits cris entrecoupés de gémissements, en disant :
- Ohhh, oui plus loin encore chérie…
Elle finit par jouir en tenant ma tête de ses deux mains, comme pour m’empêcher de m’échapper, dans un premier temps, ma bouche sur son sexe recueille son plaisir, puis après avoir relâcher son étreinte et m’étant redresser, je vois les jets de son plaisir s’échapper de son sexe par jets saccadés, inondant le canapé en hurlant sa jouissance.
Nelly confuse, me dit d’une voix feutrée :
- C’est la première fois, je ne savais pas et je n’ai pas pu me…
Je ne la laisse pas finir sa phrase et nous nous embrassons à pleine bouche, mêlant nos langues et son odeur.
Puis je repars vers son sexe, trop heureuse de se faire lécher la fente à nouveau, elle se laisse faire et lorsque mes lèvres entrent en contact de ses lèvres intimes elle soupire en me prenant la tête, et me tenant par les cheveux à deux mains elle me dirige vers ses zones sensibles en gémissant de plus belle.
Elle va même jusqu’à m’inviter à explorer de la langue son petit trou et tout en gémissant elle me dit :
- Par là aussi, j’adore !
Puis, elle se dégagera de mon étreinte pour changer de position en disant :
- J’ai envie de sucer ta queue !
Durant le changement de position et pendant que Nelly me déshabille, je me tourne vers Romain, qui nu dans son fauteuil se caresse en nous regardant attentivement, surtout quand mon string glisse sur mes cuisses, libérant mon sexe qui se dresse aussitôt, et je remarque qu’effectivement il a un petit sexe.
Nelly me gratifie d’une fellation digne d’une vraie professionnelle, elle connait toutes les techniques.
- J’adore, lui dis-je.
Alors que sa bouche agace mon gland et que ses ongles longs viennent gratter avec douceur mes testicules.
Puis après un moment, voyant que je suis prête, elle se rallonge dans le canapé et m’attire sur elle pour échanger un baiser torride. Durant cette étreinte, je la pénètre en douceur et nous faisons l’amour…
Nelly est étroite comme une jeune fille, mon sexe est enserré dans ses chairs intimes, ses jambes autour de la taille m’attirent vers elle et me donnent la cadence de mes pénétrations, elle gémit en disant :
- C’est bon, si tu savais chéri comme c’est bon.
Mon plaisir monte rapidement et j’éjacule en elle, lorsqu’elle hurle son deuxième orgasme.
Après un instant de repos et une coupe de champagne, Nelly me dit :
- Demain tu m’enculeras, mais maintenant il est temps de nous occuper de Romain…
A suivre…
Escorte occasionnelle, rencontre avec un couple
Trois jours après le week-end avec Maude, celle-ci m’appela, après s’être remémorées notre week-end, elle me dit :
- Libre ce soir ?
- Pourquoi ? Demandais-je.
- Un trio avec un couple dont la femme rêve de faire l’amour avec une transexuelle, ils te veulent pour la nuit et plus si affinités.
- Le mari est bi ?
- Oui absolument, tendance passif et il n’est pas contre toute évolution éventuelle des rapports.
- Bien et quoi d’autre ?
- Un petit détail, qui a son importance, le mari à un tout petit sexe et comme il ne contente pas sa femme, il accepte de sursoir à ses désirs, organisant des rencontres.
- Bien, je suis libre, alors je prends !
- Tu peux être libre les trois jours du week-end ? Me demande Maude.
- Si ça vaut le coup, sans problème !
- A bientôt ma chérie, rajoute Maude avant de raccrocher.
Le week-end qui arrivait était prolongé du lundi, Pentecôte oblige, Maude m’envoya par SMS les détails de la rencontre du soir et me souhaita une bonne soirée, non sans oublier de me rappeler qu’elle était amoureuse de moi.
Dès que je suis à la maison, je me mets nue et prends un bon parfumé, puis je me maquille en surveillant l’heure, j’ai suffisamment de temps devant moi pour me servir un scotch et le boire tranquillement avant de m’habiller.
Je me prépare un petit sac avec du rechange, au cas où, non sans oublier de glisser dedans un gode-ceinture, un tube de gel et des préservatifs, puis tout en dégustant mon verre je fais mes ongles de pied que je recouvre de nacre blanche, puis les ongles de mes doigts.
Après avoir commandé un taxi pour dix-neuf heures, je passe un string en dentelle banche en veillant à bien caler mon sexe au fond, entre mes cuisses, puis je mets des escarpins blancs à bride aux talons de douze centimètres, et passe enfin ma robe.
Une mini robe blanche en tissu vaporeux, très échancrée sur le devant, elle se porte seins libres afin de laisser entrevoir les courbes de ma poitrine, légèrement drapé devant, elle s’attache par deux lanière nouée dans le cou, avec son dos nu, qui laisse juste entrevoir le début de ma raie des fesses, surjective comme tout et d’un érotisme fou !
Je me regarde dans la glace et je sens que je vais faire de l’effet…
Je sors de l’appartement et vais rejoindre le taxi qui m’attends devant la maison, je saute dedans et en route pour le restaurant.
Maude m’a dit qu’ils habitaient Neuilly sur Seine, et que le rendez-vous se faisait à dix-neuf heures trente, à l’auberge Dab, porte Maillot, à deux pas de chez eux.
A l’heure précise je suis devant cet incontournable établissement parisien, situé face au Palais des Congrès, cet élégant a tout pour séduire.
L’accueil chaleureux met en, confiance, les banquettes de cuir sont confortables et le décor est intimiste.
Le chef de rang qui m’accueille, me conduit directement à la table du couple et en passant entre les tables, je remarque l’intérêt portée à mon apparence.
Le couple est jeune, lui trente ans tout au plus, elle pas plus de vingt-cinq, ils m’accueillent avec chaleur et dès les coupes de champagnes servies, ils tiennent à me mettre à l’aise.
Romain, tout en m’expliquent qu’il est issu de bonne famille et dirigeant d’une grande entreprise et, qu’elle est aussi d’un rang social élevé et dirigeante d’une clinique.
Leur couple est un couple plus d’intérêt et de raison, que d’amour, et est un peu à la dérive compte tenu de la libido de madame.
Lui, est un beau mâle au visage anguleux, brun bien entretenu, il doit faire du sport chaque jour, elle une belle blonde platine au visage doux, mince, elle parait d’une douceur extrême.
Nous avons diné, en parlant, à voix basse, des difficultés de leur couple, du fantasme de Nelly et de ses désirs
Les fraicheurs d'avocat au crabe, vinaigrette de betterave, laissèrent place aux noix de saint jacques poêlées, risotto crémeux à la provençale, arrosés d’un Chablis premier cru.
Il ne restait plus qu’à déguster le carpaccio de fruits de saison parfumé au citron vert, sorbet fraises des bois, avant d’aller chez eux et de passer aux choses sérieuses…
Cinq-cents mètres à faire et nous somme au pied d’un immeuble cossu, Romain ouvre la grande porte d’entrée et nous laisse passer, Nelly, derrière moi me suis, et je ne peux m’empêcher de penser qu’elle regarde mon dos nu provoquant…
Nous prenons, l’ascenseur pour le septième étage-terrasse et nous entrons dans l’unique appartement de l’étage.
Tout en se mettant à l’aise, pendant que Romain nous sert une coupe de champagne, Nelly me dit :
- Comme nous te l’avons expliqué, nous avons fait un mariage de raison et d’intérêt, nous sommes amis d’enfance et nos familles dédiraient ce mariage, la mienne pour des raisons d’argent et une fusion de sociétés, la sienne pour avoir un héritier de l’empire familial.
- Que de l’amour, dis-je.
- Détrompes-toi, Leslie, nous nous entendons bien, il y a de la tendresse, que l’o ne peut appeler amour, mais c’est ainsi, nous sommes bien ensemble, sauf au niveau sexuel. Romain à un tout petit sexe, tu verras, mais en plus il est stérile et nous ne n’aurons jamais d’enfant, alors il accepte que j’ai des relations extra-conjugales, où parfois je suis seule et d’autres où nous sommes ensemble.
- Vous êtes libres !
- Oui, mais de plus nous acceptons l’éventualité que je tombe enceinte lors de ces relations, et comme nous ne voulons pas savoir qui en sera l’auteur, c’est pour cela que depuis quelques temps j’ai des relations régulières voir journalières avec des partenaires…
Tour en parlant, elle a bu son champagne et s’est retrouvée devant moi dans une tenue qui me laisse le loisir de regarder son corps superbe.
Debout devant moi, elle me provoque dans sa tenue qui masque à peine l’intimité de son corps superbe, le soutien-gorge demi-seins laisse les aréoles brunes visible dont les bouts dressés dénotent l’état d’excitation de Nelly. Le string ouvert à peine à dissimuler son sexe glabre aux lèvres brunes, ses jambes habillées de bas auto-fixant en dentelle et ses escarpins à hauts talons lui donnent un côté provocant. Elle est et superbe, d’autant que le blanc de ses sous-vêtements fait ressortir la couleur ambrée de son corps.
Nous trinquons et alors que Romain va s’assoir dans un fauteuil, Nelly s’accroche à mon cou et m’embrasse avec une fougue incroyable.
Puis sans un mot elle se laisse tomber à la renverse dans le canapé en ouvrant largement ses jambes, m’offrant par la même occasion son sexe qui apparait par la fente de son string.
Devant cette offrande impudique, je plonge vers son sexe offert et commence à le lécher d’une langue coquine, les parfums sauvages qui s’en échappe m’enivrent un peu, je m’empare de son clitoris qui se dresse aussitôt, le titille du bout de ma langue et profite de son sexe glabre la faisant feuler de plaisir…
Nelly ouvre ses cuisses encore plus afin de me faciliter la tâche pour que je puisse atteindre le plus profond de son intimité, allant jusqu’à remonter ses jambes m’encourageant par de petits cris entrecoupés de gémissements, en disant :
- Ohhh, oui plus loin encore chérie…
Elle finit par jouir en tenant ma tête de ses deux mains, comme pour m’empêcher de m’échapper, dans un premier temps, ma bouche sur son sexe recueille son plaisir, puis après avoir relâcher son étreinte et m’étant redresser, je vois les jets de son plaisir s’échapper de son sexe par jets saccadés, inondant le canapé en hurlant sa jouissance.
Nelly confuse, me dit d’une voix feutrée :
- C’est la première fois, je ne savais pas et je n’ai pas pu me…
Je ne la laisse pas finir sa phrase et nous nous embrassons à pleine bouche, mêlant nos langues et son odeur.
Puis je repars vers son sexe, trop heureuse de se faire lécher la fente à nouveau, elle se laisse faire et lorsque mes lèvres entrent en contact de ses lèvres intimes elle soupire en me prenant la tête, et me tenant par les cheveux à deux mains elle me dirige vers ses zones sensibles en gémissant de plus belle.
Elle va même jusqu’à m’inviter à explorer de la langue son petit trou et tout en gémissant elle me dit :
- Par là aussi, j’adore !
Puis, elle se dégagera de mon étreinte pour changer de position en disant :
- J’ai envie de sucer ta queue !
Durant le changement de position et pendant que Nelly me déshabille, je me tourne vers Romain, qui nu dans son fauteuil se caresse en nous regardant attentivement, surtout quand mon string glisse sur mes cuisses, libérant mon sexe qui se dresse aussitôt, et je remarque qu’effectivement il a un petit sexe.
Nelly me gratifie d’une fellation digne d’une vraie professionnelle, elle connait toutes les techniques.
- J’adore, lui dis-je.
Alors que sa bouche agace mon gland et que ses ongles longs viennent gratter avec douceur mes testicules.
Puis après un moment, voyant que je suis prête, elle se rallonge dans le canapé et m’attire sur elle pour échanger un baiser torride. Durant cette étreinte, je la pénètre en douceur et nous faisons l’amour…
Nelly est étroite comme une jeune fille, mon sexe est enserré dans ses chairs intimes, ses jambes autour de la taille m’attirent vers elle et me donnent la cadence de mes pénétrations, elle gémit en disant :
- C’est bon, si tu savais chéri comme c’est bon.
Mon plaisir monte rapidement et j’éjacule en elle, lorsqu’elle hurle son deuxième orgasme.
Après un instant de repos et une coupe de champagne, Nelly me dit :
- Demain tu m’enculeras, mais maintenant il est temps de nous occuper de Romain…
A suivre…
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