Leslie SO14
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie SO14
Leslie SO14 – Souvenirs
Une nuit au bois
Sylvia, je l’ai rencontré un jeudi soir en sortant du cinéma place Clichy, dans un bar où j’ai été boire un verre, en fait un repère de transexuelles, qui se retrouvent le soir avant d’aller au bois travailler.
Sylvia m’a abordé tout naturellement comme si je faisais partie de leur communauté…
Nous avons bavardé un moment sur notre état de transexuelle, ses copines venant tout naturellement lui dire bonjour et m’embrasser comme si je faisais partie des leurs.
Vers vingt-trois heures, elle m’a dit qu’elle devait y aller, et tout naturellement je lui ai demandé :
- Tu dois allez où ?
- Au bois, je vais bosser !
- Ah, tu bosses la nuit au bois ?
- Oui, voilà déjà deux ans que je passe mes nuits au bois et je me suis fait une petite clientèle de fidèle que je reçois dans mon studio.
Faut dire que Sylvia est vraiment une belle transexuelle, et qu’elle ne doit pas avoir de difficulté à rencontrer des clients. Assez grande, brune avec de grands yeux verts, un corps mince avec une jolie poitrine, elle faisait vraiment de l’effet.
En m’embrassant pour me dire au revoir, elle me dit :
- Belle comme tu es, pourquoi tu ne ferais pas un essai avec moi, je partage ma place en t’expliquant la façon de faire et tu arrêtes quand tu veux.
- Oui, effectivement je pourrais voir…
- Ecoutes, tu viens ici demain soir et nous voyons ensemble.
- Ok, je vais réfléchir ?
- Allez, il faut que je me sauve, à demain peut-être ?
Et je la vois partir après m’avoir embrassé puis, tranquillement je rentre chez moi, la tête pleine d’idées nouvelles…
Le lendemain vendredi, je n’avais pas complètement la tête à travailler, l’esprit occupé par l’envie, celle d’aller avec Sylvia au bois et vivre une expérience et, la peur d’affronter avec Sylvia les nuits du bois.
Ayant terminé mon travail relativement tôt, je suis rentrée à l’appartement et j’ai pris un bon bain, histoire de me délassée, puis j’ai vaqué nue un moment en me demandant si j’allais oser retrouver Sylvia le soir.
L’envie étant forte de vivre une nouvelle expérience, je me suis préparée pour aller au café retrouver Sylvia. Rien ne m’empêchait de refuser si jamais je ne sentais pas l’opportunité d’aller jusqu’au bout…
Je me suis maquillée, un peu plus que d’ordinaire, parfumée, puis j’ai passé un mini short en jean et un soutien-gorge sein nus, des chaussures à talons et un imper long.
Un petit sac avec des préservatifs, du gel et des kleenex, un petit portefeuille et un flasque de whisky. J’ai pris un parapluie au cas où et, je suis partie...
Pratiquement nue sous mon imper, j’ai sauté dans un taxi et je suis arrivé une demi-heure après au café, où Sylvia était déjà là. Trop heureuse de me voir elle me sauta au cou et m’embrassa sur les deux joues comme une vieille copine de longue date, puis m’entraina dans le fond de la salle où trois copines à elle étaient en train de boires un verre.
Sylvia me présenta à elles et je fis la connaissance de Patricia, une grande et belle brune, Lola, une métisse et Carla, une petite blonde. Sylvia m’explique qu’elles travaillaient toutes dans le même coin et qu’ainsi elles se sentaient plus en sécurité ensembles.
Vers vingt-trois heures nous avons pris toutes les cinq la direction du bois pour prendre nos quartiers pour la nuit, au coin de l’Allée de la reine Marguerite et de la route de Suresnes, près de restaurant « Le Pré Catelan », près d’un petit pont de bois qui enjambe un cours d’eau.
Après s’être débarrassées de mon imper, accrochée à un arbre et les autres s’étant changées pour des tenues plus subjectives, voir accrocheuses, à minuit nous étions installées prêtes à accueillir les passants intéressés…
Je m’aperçus très vite qu’en tant que nouvelle, j’intéressais pas mal de monde, mais ce sont Lola, à demie nue, ses petits seins à l’air et son sexe légèrement dévoilé par sa petite jupe fendue et Carla, complètement nue en cuissardes et bas auto-fixant, exhibant un membre imposant, qui commencèrent rapidement le boulot et disparurent dans le sous-bois accompagnées d’hommes en recherche de sensations…
Sylvia vint vers moi, nue sous son manteau qu’elle n’hésitait pas à entrouvrir pour montrer ses charmes et son membre, dont elle entretenait l’érection en se caressant d’une main, et m’expliqua que tout cela était normal, du fait que ses copines avaient beaucoup d’habitués, comme elle d’ailleurs qui disparue peu de temps après, dans le sous-bois, au bras d’un jeune homme.
Patricia, dans sa tenue plus conventionnelle mais très sexy, fut embarquée dans une voiture pour aller vaquer un peu plus loin, certains clients n’aimant pas se retrouver dans la pénombre du sous-bois…
Me voilà seule à présent, près du bois, légèrement cachée par les arbres, j’attends avec un petit sentiment de malaise, tenant mon parapluie d’une main, bien qu’il ne pleuve pas comme pour me donner une allure, le sexe en semi-érection, sortie de mon short et mon petit sac à main dans l’autre main.
Mais je suis vite sortie de cet état par un jeune homme qui s’approche de moi et m’abordant me demande :
- C’est combien ?
- Trente la pipe, cinquante l’amour.
- La totale, t’encule ?
- Oui, bien-sûr !
- Alors on y va !
Je me retourne et entre dans le sous-bois suivi par mon premier client, tout en m’enfonçant dans le bois, je l’entends me demander :
- T’es nouvelle ?
- Oui je le suis !
- Belle comme tu es tu vas avoir du succès me dit-il.
Arrivant près d’un gros arbre, je me suis appuyée le dos contre le tronc et ouvrant mon short, j’ai exhibé mon sexe aux yeux du jeune-homme en lui disant :
- Tu me suces et je t’encule !
Juste avant de se mettre accroupi devant moi et prendre mon membre entre ses lèvres, il me tendit un billet que je fis aussitôt disparaitre dans mon sac à main, et en profitais pour sortir la petite bouteille de gel, que je coinçais entre mes seins tenu par le soutien-gorge et sortir aussi un préservatif.
Il suçait bien, ce n’était certainement pas la première fois qu’il le faisait, si bien que rapidement je me suis mise à bander, voyant que j’étais prête il se releva, défit son pantalon et prenant appui contre le tronc d’arbre me présenta son cul.
Le préservatif enfilé et le gel passé sur son petit trou, je me plaçais derrière lui et le pénétrais lentement, il soufflait en m’accueillant et g »mit en disant :
- Putain, c’est gros !
Je m’activais en lui pendant qu’il se branlait et il ne fut pas long à jouir, en se rajustant il me dit :
- C’était bon, je reviendrais…
Puis il disparut dans la pénombre du bois.
En retournant à mon emplacement, je me suis dit que ce n’était pas si difficile que cela.
Sylvia vint vers moi lorsqu’elle me vit sortir du bois et me demanda :
- Alors t’as dérouillé ?
- Oui un premier, qui voulait se faire enculer.
- Beaucoup viennent ici pour ça, mais fait attention à ne pas jouir si tu veux tenir toute la nuit !
- Ok, dis-je.
Patricia n’était pas encore revenue, Lola, Carla et Sylvia n’arrêtaient pas et enchainaient les passes les unes après les autres, de mon côté j’ai enculé deux autres types avant qu’un homme ne m’aborde pour m’emmener dans le bois.
Il avait envie de caresser et de se faire sucer avant de m’enculer, nous sommes restés un long moment car il n’arrivait pas à bander, prétextant que le préservatif lui coupait les envies. Alors je lui ai dit que ce n’était pas de ma faute mais qu’il ne me ferait pas l’amour sans, alors se rhabillant il m’a dit :
- Bon ! Une autre fois peut-être…
J’ai fait cinq autres clients avant l’aube, heure du retour chez nous, mais j’ai été enculé trois fois, et j’avoue que, même si cela ne m’a pas vraiment déplut, je n’ai pas vraiment eue de plaisir.
Sur le retour, Sylvia me demanda :
- Tu reviens ce soir ?
- Peut-être qui sait, mais je n’en ferais pas mon quotidien…
Arrivée chez moi, j’ai pris un bain avant de me coucher, et j’ai pensé que comme nous étions samedi, cela ne serait pas improbable que je retourne au bois ce soir…
A suivre…
Une nuit au bois
Sylvia, je l’ai rencontré un jeudi soir en sortant du cinéma place Clichy, dans un bar où j’ai été boire un verre, en fait un repère de transexuelles, qui se retrouvent le soir avant d’aller au bois travailler.
Sylvia m’a abordé tout naturellement comme si je faisais partie de leur communauté…
Nous avons bavardé un moment sur notre état de transexuelle, ses copines venant tout naturellement lui dire bonjour et m’embrasser comme si je faisais partie des leurs.
Vers vingt-trois heures, elle m’a dit qu’elle devait y aller, et tout naturellement je lui ai demandé :
- Tu dois allez où ?
- Au bois, je vais bosser !
- Ah, tu bosses la nuit au bois ?
- Oui, voilà déjà deux ans que je passe mes nuits au bois et je me suis fait une petite clientèle de fidèle que je reçois dans mon studio.
Faut dire que Sylvia est vraiment une belle transexuelle, et qu’elle ne doit pas avoir de difficulté à rencontrer des clients. Assez grande, brune avec de grands yeux verts, un corps mince avec une jolie poitrine, elle faisait vraiment de l’effet.
En m’embrassant pour me dire au revoir, elle me dit :
- Belle comme tu es, pourquoi tu ne ferais pas un essai avec moi, je partage ma place en t’expliquant la façon de faire et tu arrêtes quand tu veux.
- Oui, effectivement je pourrais voir…
- Ecoutes, tu viens ici demain soir et nous voyons ensemble.
- Ok, je vais réfléchir ?
- Allez, il faut que je me sauve, à demain peut-être ?
Et je la vois partir après m’avoir embrassé puis, tranquillement je rentre chez moi, la tête pleine d’idées nouvelles…
Le lendemain vendredi, je n’avais pas complètement la tête à travailler, l’esprit occupé par l’envie, celle d’aller avec Sylvia au bois et vivre une expérience et, la peur d’affronter avec Sylvia les nuits du bois.
Ayant terminé mon travail relativement tôt, je suis rentrée à l’appartement et j’ai pris un bon bain, histoire de me délassée, puis j’ai vaqué nue un moment en me demandant si j’allais oser retrouver Sylvia le soir.
L’envie étant forte de vivre une nouvelle expérience, je me suis préparée pour aller au café retrouver Sylvia. Rien ne m’empêchait de refuser si jamais je ne sentais pas l’opportunité d’aller jusqu’au bout…
Je me suis maquillée, un peu plus que d’ordinaire, parfumée, puis j’ai passé un mini short en jean et un soutien-gorge sein nus, des chaussures à talons et un imper long.
Un petit sac avec des préservatifs, du gel et des kleenex, un petit portefeuille et un flasque de whisky. J’ai pris un parapluie au cas où et, je suis partie...
Pratiquement nue sous mon imper, j’ai sauté dans un taxi et je suis arrivé une demi-heure après au café, où Sylvia était déjà là. Trop heureuse de me voir elle me sauta au cou et m’embrassa sur les deux joues comme une vieille copine de longue date, puis m’entraina dans le fond de la salle où trois copines à elle étaient en train de boires un verre.
Sylvia me présenta à elles et je fis la connaissance de Patricia, une grande et belle brune, Lola, une métisse et Carla, une petite blonde. Sylvia m’explique qu’elles travaillaient toutes dans le même coin et qu’ainsi elles se sentaient plus en sécurité ensembles.
Vers vingt-trois heures nous avons pris toutes les cinq la direction du bois pour prendre nos quartiers pour la nuit, au coin de l’Allée de la reine Marguerite et de la route de Suresnes, près de restaurant « Le Pré Catelan », près d’un petit pont de bois qui enjambe un cours d’eau.
Après s’être débarrassées de mon imper, accrochée à un arbre et les autres s’étant changées pour des tenues plus subjectives, voir accrocheuses, à minuit nous étions installées prêtes à accueillir les passants intéressés…
Je m’aperçus très vite qu’en tant que nouvelle, j’intéressais pas mal de monde, mais ce sont Lola, à demie nue, ses petits seins à l’air et son sexe légèrement dévoilé par sa petite jupe fendue et Carla, complètement nue en cuissardes et bas auto-fixant, exhibant un membre imposant, qui commencèrent rapidement le boulot et disparurent dans le sous-bois accompagnées d’hommes en recherche de sensations…
Sylvia vint vers moi, nue sous son manteau qu’elle n’hésitait pas à entrouvrir pour montrer ses charmes et son membre, dont elle entretenait l’érection en se caressant d’une main, et m’expliqua que tout cela était normal, du fait que ses copines avaient beaucoup d’habitués, comme elle d’ailleurs qui disparue peu de temps après, dans le sous-bois, au bras d’un jeune homme.
Patricia, dans sa tenue plus conventionnelle mais très sexy, fut embarquée dans une voiture pour aller vaquer un peu plus loin, certains clients n’aimant pas se retrouver dans la pénombre du sous-bois…
Me voilà seule à présent, près du bois, légèrement cachée par les arbres, j’attends avec un petit sentiment de malaise, tenant mon parapluie d’une main, bien qu’il ne pleuve pas comme pour me donner une allure, le sexe en semi-érection, sortie de mon short et mon petit sac à main dans l’autre main.
Mais je suis vite sortie de cet état par un jeune homme qui s’approche de moi et m’abordant me demande :
- C’est combien ?
- Trente la pipe, cinquante l’amour.
- La totale, t’encule ?
- Oui, bien-sûr !
- Alors on y va !
Je me retourne et entre dans le sous-bois suivi par mon premier client, tout en m’enfonçant dans le bois, je l’entends me demander :
- T’es nouvelle ?
- Oui je le suis !
- Belle comme tu es tu vas avoir du succès me dit-il.
Arrivant près d’un gros arbre, je me suis appuyée le dos contre le tronc et ouvrant mon short, j’ai exhibé mon sexe aux yeux du jeune-homme en lui disant :
- Tu me suces et je t’encule !
Juste avant de se mettre accroupi devant moi et prendre mon membre entre ses lèvres, il me tendit un billet que je fis aussitôt disparaitre dans mon sac à main, et en profitais pour sortir la petite bouteille de gel, que je coinçais entre mes seins tenu par le soutien-gorge et sortir aussi un préservatif.
Il suçait bien, ce n’était certainement pas la première fois qu’il le faisait, si bien que rapidement je me suis mise à bander, voyant que j’étais prête il se releva, défit son pantalon et prenant appui contre le tronc d’arbre me présenta son cul.
Le préservatif enfilé et le gel passé sur son petit trou, je me plaçais derrière lui et le pénétrais lentement, il soufflait en m’accueillant et g »mit en disant :
- Putain, c’est gros !
Je m’activais en lui pendant qu’il se branlait et il ne fut pas long à jouir, en se rajustant il me dit :
- C’était bon, je reviendrais…
Puis il disparut dans la pénombre du bois.
En retournant à mon emplacement, je me suis dit que ce n’était pas si difficile que cela.
Sylvia vint vers moi lorsqu’elle me vit sortir du bois et me demanda :
- Alors t’as dérouillé ?
- Oui un premier, qui voulait se faire enculer.
- Beaucoup viennent ici pour ça, mais fait attention à ne pas jouir si tu veux tenir toute la nuit !
- Ok, dis-je.
Patricia n’était pas encore revenue, Lola, Carla et Sylvia n’arrêtaient pas et enchainaient les passes les unes après les autres, de mon côté j’ai enculé deux autres types avant qu’un homme ne m’aborde pour m’emmener dans le bois.
Il avait envie de caresser et de se faire sucer avant de m’enculer, nous sommes restés un long moment car il n’arrivait pas à bander, prétextant que le préservatif lui coupait les envies. Alors je lui ai dit que ce n’était pas de ma faute mais qu’il ne me ferait pas l’amour sans, alors se rhabillant il m’a dit :
- Bon ! Une autre fois peut-être…
J’ai fait cinq autres clients avant l’aube, heure du retour chez nous, mais j’ai été enculé trois fois, et j’avoue que, même si cela ne m’a pas vraiment déplut, je n’ai pas vraiment eue de plaisir.
Sur le retour, Sylvia me demanda :
- Tu reviens ce soir ?
- Peut-être qui sait, mais je n’en ferais pas mon quotidien…
Arrivée chez moi, j’ai pris un bain avant de me coucher, et j’ai pensé que comme nous étions samedi, cela ne serait pas improbable que je retourne au bois ce soir…
A suivre…
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