Leslie TR21
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie TR21
Leslie NR21 – Nouveaux récits
Souvenirs de voyage – Venise Paris avec l’Orient-Express, suite et fin
Juste le temps de me faire un brin de toilette et de me changer, qu’Eva toquait à ma porte, en ouvrant j’ai vu une créature splendide qui rayonnait.
- Allez, ne perdons pas de temps, la nuit risque d’être courte ! Me dit-elle.
En une phrase, Eva avait résumé ses intentions pour les prochaines heures, cela risquait d’être chaud, très chaud.
Avant de nous rendre dans une des voitures restaurants, nous avons fait escale dans la voiture piano-bar pour déguster un apéritif, un américano maison en l’occurrence, puis nous avons été diner.
Un bon moment de complicité et d’échange en mangeant des mets fabuleux, puis nous sommes retournés boire un digestif dans la voiture piano-bar.
En rejoignant ma cabine, après deux cognacs, j’ai senti Eva furieusement excitée, en rentrant dans la cabine, mon regard a croisé celui du steward qui passait par là…
Sitôt la porte de la cabine fermée, Eva se mis nue et me déshabilla, puis elle entreprit de me sucer afin que mon sexe soit dur, puis se mettant en levrette sur la couchette et me présentant son cul, elle prit de ses deux mains ses fesses afin d’en écarter les lobes et de me faire découvrir son petit trou en me disant :
- Encule-moi ! Prends mon cul !
Je n’en croyais pas mes oreilles, la petite femme mariée qui pleurait de ses mésaventures passées, se comportait comme une magnifique salope en chaleur, le corps brûlant réclamant du sexe.
J’ai glissé deux doigts dans sa chatte inondée, la faisant gémir, avant de les poser gluants de liqueur, sur sa petite rondelle sombre, puis la doigtant doucement afin de bien la préparer, je lui ai ouvert lentement l’œillet.
Je l’ai entendu me dire :
- Viens, j’ai l’habitude, ce n’est pas le premier sexe qui me rentre dans le cul !
Trente secondes plus tard, c’est mon membre qui disparaissait dans l’étroit fourreau de mon amante de voyage, accompagnée par les gémissements langoureux de ma partenaire, Des spasmes de plus en plus intenses lui traversaient le corps, contractant ses muscles autour de ma queue et l’enserrant comme pour ne pas la laisser échapper.
À un moment, elle a descendu la vitre de la cabine pour passer la tête par la fenêtre grande ouverte et crier dans la nuit sa jouissance, tandis que je m’enfonçais au plus profond de ses entrailles en faisant claquer mon bassin contre ses admirables fesses.
J’ai résisté pour ne pas jouir, mais malgré tous mes efforts, j’ai fini par exploser dans le boyau soyeux de son cul.
C’était fini. Eva s’est laissée glisser sur la couchette, elle m’a fait jouir dans sa bouche et allongée contre moi, elle s’est endormie presqu’aussitôt. J’ai posé une couverture sur son corps brûlant et je me suis couché sur la couchette supérieure avant de m’endormir à mon tour, l’esprit enivré des images de ma belle.
Le lendemain, après m’être réveillée avec le lever du soleil, j’ai regardé Eva encore endormie près de moi, elle avait l’air radieux et reposé, puis elle a ouvert les yeux et m’a regardé en disant :
- Merci ma chérie !
Eva est partie après que le steward nous au servi le petit déjeuner en cabine, avec un sourire et un regard lubrique, à cet instant je me suis dit qu’il ne serait pas contre de passer un moment dans l’intimité de ma cabine avec moi…
En partant en m’embrassant, Eva m’a glissé sa carte de visite dans la main en me disant :
- Au cas où tu désirerais me revoir…
Puis elle a disparue, laissant derrière elle son parfum mélanger aux senteurs et aux effluves de notre folle nuit.
J’ai préparé mes bagages, et j’ai contemplé le paysage qui défilait en pensant à ce voyage plein d’imprévus, mon corps encore tout en émoi de caresses d’Eva et de notre nuit.
Plongée dans mes rêveries, j’ai entendu que l’on frappait à la porte de la cabine, le temps de me lever et d’ouvrir et le steward était là planté devant moi.
- Mademoiselle, permettez-moi de refaire votre cabine, vous êtes la dernière et je dois la remettre en état avant notre arrivée à Paris.
- Sans problème, dis-je.
En m’effaçant comme pour sortir de la cabine et lui laissez la place de faire son travail, mais en me regardant avec des yeux brillants, il me dit :
- Cela ne me gêne pas que vous restiez, cela va prendre juste quelques minutes.
Il ne lui a pas fallu plus de deux minutes pour replier la couchette et que la cabine soit en état, en faisant mine de se retirer, il me demanda :
- Puis-je vous proposer de prendre un café, mon service est terminé et…
Je ne l’ai pas laissé terminer sa phrase, pourquoi ne pas profiter des derniers instants de ce voyage en compagnie d’un beau jeune homme, alors je lui ai dit :
- Cela me tente, alors pourquoi pas !
Il s’est éclipsé et deux minutes plus tard, nous étions installés dans ma cabine, savourant un café préparé par les soins de mon beau steward.
En le regardant, je l’ai provoqué en lui demandant :
- Vous devez avoir de nombreuses occasions de passer de bons moments avec des voyageuses en mal d’amour ?
- Cela ne manque pas en effet, me dit-il, mais des aussi jeunes et jolies que vous, c’est plutôt rare, ce ne sont souvent que des femmes mûres.
- Et là, maintenant ? Dis-je en le regardant dans les yeux et en déboutonnant le haut de mon corsage.
En découvrant mes seins nus que le tissu ne voilait plus, il s’est levé et déboutant son pantalon, il me dit :
Vous pourriez commencer par me sucer un peu…
Son pantalon était ouvert et en descendant son boxer il me présenta un membre épais et long, raide qui n’attendait que la douceur de mes lèvres, alors avançant la tête vers l’engin, je l’ai absorbé dans ma bouche en le faisant gémir.
- Ohhh, oui, c’est bon. Dit-il entre deux râles.
Il ne fallut pas longtemps pour que nous nous retrouvions nus, moi allongés sur le dos sur la banquette et lui entre mes cuisses grandes ouvertes le membre pointé à l’entrée de mon œillet frémissant de désir.
Il ne parut pas surpris de découvrir mon sexe masculin bandé sur mon pubis à la place d’une petite chatte dégoulinante, j’ai supposé qu’il dût être bisexuel pour ne pas s’offusquer de sa découverte.
Lentement il est entré en moi, écartant les chairs de mon petit trou, en s’enfonçant en moi je soufflais en gémissant tant son membre était épais, mais bientôt il fut profondément en moi et commença des allers et retours qui me faisaient montés en moi des frissons de jouissance.
Il me sodomisa ainsi pendant de longues minutes, ses assauts ponctués pas le bruit des roues sur les rails, puis nous avons changés de position, lui maintenant allongé sur la banquette et moi le chevauchant embrochée par le cul par son gros membre bien dur.
Je lui tournais le dos et voyais, ainsi dans la glace fixée sur la cloison d’en face, son gros membre pourfendre mon cul alors que je montais et descendais sur lui.
Je me sentais et je voyais mon cul distendu par son membre, vision incroyable de ce sexe qui entrait et ressortait complètement de moi, me faisant hurler de plaisir.
Puis ce fut en levrette qu’il me posséda et jouit en moi me remplissant de sa jouissance.
Le temps de se rhabiller et de se faire une beauté, nous étions arrivés à Paris, Gare de l’Est.
A suivre…
Souvenirs de voyage – Venise Paris avec l’Orient-Express, suite et fin
Juste le temps de me faire un brin de toilette et de me changer, qu’Eva toquait à ma porte, en ouvrant j’ai vu une créature splendide qui rayonnait.
- Allez, ne perdons pas de temps, la nuit risque d’être courte ! Me dit-elle.
En une phrase, Eva avait résumé ses intentions pour les prochaines heures, cela risquait d’être chaud, très chaud.
Avant de nous rendre dans une des voitures restaurants, nous avons fait escale dans la voiture piano-bar pour déguster un apéritif, un américano maison en l’occurrence, puis nous avons été diner.
Un bon moment de complicité et d’échange en mangeant des mets fabuleux, puis nous sommes retournés boire un digestif dans la voiture piano-bar.
En rejoignant ma cabine, après deux cognacs, j’ai senti Eva furieusement excitée, en rentrant dans la cabine, mon regard a croisé celui du steward qui passait par là…
Sitôt la porte de la cabine fermée, Eva se mis nue et me déshabilla, puis elle entreprit de me sucer afin que mon sexe soit dur, puis se mettant en levrette sur la couchette et me présentant son cul, elle prit de ses deux mains ses fesses afin d’en écarter les lobes et de me faire découvrir son petit trou en me disant :
- Encule-moi ! Prends mon cul !
Je n’en croyais pas mes oreilles, la petite femme mariée qui pleurait de ses mésaventures passées, se comportait comme une magnifique salope en chaleur, le corps brûlant réclamant du sexe.
J’ai glissé deux doigts dans sa chatte inondée, la faisant gémir, avant de les poser gluants de liqueur, sur sa petite rondelle sombre, puis la doigtant doucement afin de bien la préparer, je lui ai ouvert lentement l’œillet.
Je l’ai entendu me dire :
- Viens, j’ai l’habitude, ce n’est pas le premier sexe qui me rentre dans le cul !
Trente secondes plus tard, c’est mon membre qui disparaissait dans l’étroit fourreau de mon amante de voyage, accompagnée par les gémissements langoureux de ma partenaire, Des spasmes de plus en plus intenses lui traversaient le corps, contractant ses muscles autour de ma queue et l’enserrant comme pour ne pas la laisser échapper.
À un moment, elle a descendu la vitre de la cabine pour passer la tête par la fenêtre grande ouverte et crier dans la nuit sa jouissance, tandis que je m’enfonçais au plus profond de ses entrailles en faisant claquer mon bassin contre ses admirables fesses.
J’ai résisté pour ne pas jouir, mais malgré tous mes efforts, j’ai fini par exploser dans le boyau soyeux de son cul.
C’était fini. Eva s’est laissée glisser sur la couchette, elle m’a fait jouir dans sa bouche et allongée contre moi, elle s’est endormie presqu’aussitôt. J’ai posé une couverture sur son corps brûlant et je me suis couché sur la couchette supérieure avant de m’endormir à mon tour, l’esprit enivré des images de ma belle.
Le lendemain, après m’être réveillée avec le lever du soleil, j’ai regardé Eva encore endormie près de moi, elle avait l’air radieux et reposé, puis elle a ouvert les yeux et m’a regardé en disant :
- Merci ma chérie !
Eva est partie après que le steward nous au servi le petit déjeuner en cabine, avec un sourire et un regard lubrique, à cet instant je me suis dit qu’il ne serait pas contre de passer un moment dans l’intimité de ma cabine avec moi…
En partant en m’embrassant, Eva m’a glissé sa carte de visite dans la main en me disant :
- Au cas où tu désirerais me revoir…
Puis elle a disparue, laissant derrière elle son parfum mélanger aux senteurs et aux effluves de notre folle nuit.
J’ai préparé mes bagages, et j’ai contemplé le paysage qui défilait en pensant à ce voyage plein d’imprévus, mon corps encore tout en émoi de caresses d’Eva et de notre nuit.
Plongée dans mes rêveries, j’ai entendu que l’on frappait à la porte de la cabine, le temps de me lever et d’ouvrir et le steward était là planté devant moi.
- Mademoiselle, permettez-moi de refaire votre cabine, vous êtes la dernière et je dois la remettre en état avant notre arrivée à Paris.
- Sans problème, dis-je.
En m’effaçant comme pour sortir de la cabine et lui laissez la place de faire son travail, mais en me regardant avec des yeux brillants, il me dit :
- Cela ne me gêne pas que vous restiez, cela va prendre juste quelques minutes.
Il ne lui a pas fallu plus de deux minutes pour replier la couchette et que la cabine soit en état, en faisant mine de se retirer, il me demanda :
- Puis-je vous proposer de prendre un café, mon service est terminé et…
Je ne l’ai pas laissé terminer sa phrase, pourquoi ne pas profiter des derniers instants de ce voyage en compagnie d’un beau jeune homme, alors je lui ai dit :
- Cela me tente, alors pourquoi pas !
Il s’est éclipsé et deux minutes plus tard, nous étions installés dans ma cabine, savourant un café préparé par les soins de mon beau steward.
En le regardant, je l’ai provoqué en lui demandant :
- Vous devez avoir de nombreuses occasions de passer de bons moments avec des voyageuses en mal d’amour ?
- Cela ne manque pas en effet, me dit-il, mais des aussi jeunes et jolies que vous, c’est plutôt rare, ce ne sont souvent que des femmes mûres.
- Et là, maintenant ? Dis-je en le regardant dans les yeux et en déboutonnant le haut de mon corsage.
En découvrant mes seins nus que le tissu ne voilait plus, il s’est levé et déboutant son pantalon, il me dit :
Vous pourriez commencer par me sucer un peu…
Son pantalon était ouvert et en descendant son boxer il me présenta un membre épais et long, raide qui n’attendait que la douceur de mes lèvres, alors avançant la tête vers l’engin, je l’ai absorbé dans ma bouche en le faisant gémir.
- Ohhh, oui, c’est bon. Dit-il entre deux râles.
Il ne fallut pas longtemps pour que nous nous retrouvions nus, moi allongés sur le dos sur la banquette et lui entre mes cuisses grandes ouvertes le membre pointé à l’entrée de mon œillet frémissant de désir.
Il ne parut pas surpris de découvrir mon sexe masculin bandé sur mon pubis à la place d’une petite chatte dégoulinante, j’ai supposé qu’il dût être bisexuel pour ne pas s’offusquer de sa découverte.
Lentement il est entré en moi, écartant les chairs de mon petit trou, en s’enfonçant en moi je soufflais en gémissant tant son membre était épais, mais bientôt il fut profondément en moi et commença des allers et retours qui me faisaient montés en moi des frissons de jouissance.
Il me sodomisa ainsi pendant de longues minutes, ses assauts ponctués pas le bruit des roues sur les rails, puis nous avons changés de position, lui maintenant allongé sur la banquette et moi le chevauchant embrochée par le cul par son gros membre bien dur.
Je lui tournais le dos et voyais, ainsi dans la glace fixée sur la cloison d’en face, son gros membre pourfendre mon cul alors que je montais et descendais sur lui.
Je me sentais et je voyais mon cul distendu par son membre, vision incroyable de ce sexe qui entrait et ressortait complètement de moi, me faisant hurler de plaisir.
Puis ce fut en levrette qu’il me posséda et jouit en moi me remplissant de sa jouissance.
Le temps de se rhabiller et de se faire une beauté, nous étions arrivés à Paris, Gare de l’Est.
A suivre…
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Vite la suite ma chérie. Jtm. Fidèle Benoît