Leslie, transexuelle chapitre 12
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2008 dans la catégorie Fétichisme
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Leslie, transexuelle chapitre 12
CHAPITRE 12 – Rencontre sur internet, Claude.
Le contact.
Jacques et Chris sont absents pour quelques jours, ils sont montés à Paris rendre un projet, et me voila seule dans cette grande maison, en cette fin d’après midi après mettre baignée je déambule nue dans la maison, il fait bon en cette fin du mois de mai. Je décide de me connecter sur internet et passer une petite annonce et faire un dialogue avec les connectés du moment.
Installée confortablement devant l’écran, je me connecte directement à mon site favori et je passe l’annonce suivante :
« Jeune et belle trans, cherche homme doux et courtois pour combler un vide ».
Les réponses ne se firent pas attendre, nombreux messages me firent part de l’intérêt portée sur mon annonce, mais rien ne me branche vraiment, une tristesse s’installe et je pense me déconnecter, quand apparaît un message rédigé ainsi :
« Pour le vide j’ai ce qu’il faut, à condition d’une réponse de ta part ».
Cette petite phrase me branche, et je réponds illico pour entamer un dialogue.
- Présentes toi, en détails pour démarrer.
- Claude, brun aux cheveux courts, sportif, 28 ans, à toi et je continue après, sinon je me déconnecte.
- Leslie, brune aux cheveux courts, style garçonne, 20 ans.
- Trans ?
- Oui comme le précise mon annonce.
- Et physiquement dis moi Leslie, t’es comment ?
- Mince, cambrée, 1,72 m, 55kg, intégralement épilée, petite poitrine, petit cul serré.
- Intéressant comme description, tu dois être très belle.
- On me le dit, souvent même, et toi ?
- Musclé, poilu, enfin très poilu, 1,80 m, 72kg, et un bel engin pour combler ton vide.
- Quand tu dis bel engin, ça veut dire quoi ? Lui demandais-je.
- Comme tu n’en as jamais vue !
Il commence à m’exciter ce Claude, nue devant mon clavier, il me faut en savoir plus.
- Et à ton avis, ça fait combien « un » comme je n’ai jamais vue ?
- Tu viens et tu verras.
Il me met au défi, comme si j’allais me dégonflée.
- Ok, j’arrive !
Il me donne son adresse, et hop je me déconnecte.
La rencontre.
Juste le temps de me préparée pour aller retrouver Claude qui m’attend ne voulant pas perdre de temps et désirant être provocatrice, j’enfile des cuissardes noires qui montent à mi cuisses et restant dans ma nudité totale je mis un imper long en cuir noir, il suffit de l’ouvrir pour découvrir ma nudité, je pense que je vais faire un certain effet, pourvu que ce ne soit pas un rigolo qui se la joue et me conduit vers un lapin.
Enfin, me voila partie vers ce rendez vous insolite, ne sachant pas très bien si je ne vais pas être déçue, voir même si les informations données étaient exactes, mais qui ne tente rien, n’a rien. Une heure plus tard, je me trouve devant la porte de l’appartement de Claude, je tremble de peur et d’impatience, un bref coup de sonnette, et voila la porte qui s’ouvre sur un très bel homme. Il se tient dans l’encadrement de la porte avec juste une serviette autour de la taille.
- Pardonnes la tenue, me dit-il, je sors de la douche.
Mon œil, je me dis, car il avait largement le temps de la prendre avant mon arrivée, mais peu importe il sera fin prêt en un tour de main, il me fait entrée dans son appartement propre et bien rangé, feutré où il doit faire bon vivre, direction le salon.
Je le détaille d’un bref coup d’œil, la trentaine, brun, cheveux courts, un corps musclé qu’il doit entretenir, mais très poilu, les poils lui recouvrent le torse, les abdominaux et les épaules, ses bras et ses jambes sont noirs de poils, un vrai gorille, j’en ai des frissons mais ce n’est pas pour me déplaire, cela promet si le reste suit…..
- Mets toi à l’aise, me lance t’il.
- Heu, je…
- Eh bien tu fais la timide, me dis-il s’approchant de moi.
- Non, mais c'est-à-dire que…
- Bon je vais t’aider.
Il me déboutonne mon imper et l’ouvre comme pour m’en débarrasser, et je me retrouve nue en cuissardes devant lui.
Waouh, superbe, qu’elle surprise, tu es magnifique Leslie, ça c’est un beau cadeau, tu es prêtes à te faire câliner, mais avant prenons un verre en regardant nos corps nus, et joignant le geste à la parole il me tend une coupe de champagne et laisse tomber sa serviette au sol, dévoilant son intimité dans son intégralité. Nous sommes là debout, nus, au milieu du salon à boire une coupe de champagne et nous détaillant de la tête aux pieds, apparemment j’ai l’air de lui plaire car il me fait des compliments sur mon corps, il me regarde avec une lueur d’envie au fond des yeux. Je regarde son corps, musclé sous une épaisse toison de poils très noirs et descendant mon regard je découvre un sexe dans une immense toison brune, mais un sexe, qui mon dieu au repos, est énorme, je n’en ai jamais vue un avec de telles dimensions, très épais et veiné, circoncis avec un gros gland et d’une longueur hors normes, ce salaud n’avais pas mentit, je vais déguster…
Un petit sourire se lit sur son visage et il me dit, tout en dégustant sa coupe :
- Alors, belle Leslie, suis-je un menteur, en as tu déjà vu un pareil ?
- Oh, que non Claude, mais je ne m’attendais pas à voir un engin pareil.
- Tu sais, me dit-il, j’ai l’habitude et si tu as peur, tu peux partir, je ne t’en voudrais pas, il est encore temps.
- Oh Claude c’est sympa, mais maintenant que je suis là, à quoi bon fuir.
- C’est très honnête de ta part, de plus je te trouve très sexy, tu es complètement imberbe, tes cheveux à la garçonne et ta jolie queue te donne un côté ambigu, j’aime les êtres comme toi, de plus les tatouages que tu portes rajoute de l’érotisme à ton physique adorable.
En plus il est charmant et flatteur, je lui plais c’est le principal.
Il me prend par la main et me conduit dans sa chambre, feutrée, juste éclairée par des bougies aux quatre coins de la pièce, l’ambiance est sympa, un appel à l’amour….
Je m’assoies sur le bord du lit, Claude est debout devant moi, doucement il se penche et pose ses lèvres sur les miennes, elles sont douces et viriles, j’entrouvre mes lèvres et sa langue passe, il embrasse comme un dieu, je frémis, il prend ma main dans la sienne et la dirige vers son sexe, je le prends dans ma main, il est plus gros que je ne pensais car je n’arrive pas à en faire le tour, et Claude présente juste un début d’érection, il imprime à ma main un mouvement, me faisant comprendre qu’il veut que je le branle pour le faire durcir, je m’exécute et le branle doucement faisant redresser son membre qui n’en finit pas de grossir. Son pieu est devant mes yeux, il est énorme, mes deux mains suffisent à peine à le contenir, il pose ses mains sur ma tête et l’approche de son ventre,
- Suces moi, me dit-il dans un souffle à peine audible, comme pour ne pas m’effrayer.
Je sors la langue et la passe sur son gland gonflé de désir, il soupire, je lèche le frein, il délire, je repousse le moment ou il me faudra le prendre en bouche, je ne sais si je pourrais tellement il est épais, mais je continue avec ma langue.
Je sens ses mains imprimer une poussée sur ma tête, me rapprochant de l’instant ou il ne me restera plus qu’à ouvrir les lèvres pour l’engloutir dans ma bouche.
- Suces moi, implore t’il.
Je fais encore durer le plaisir, je veux le rendre fou de moi, je veux lui laisser un souvenir mémorable et qu’il se souvienne de moi comme la meilleure de ses amantes, il gémit, il est au bord de la crise, je sens son corps vibrer sous mes coups de langues. Ma langue lèche toute sa colonne de chair, qui maintenant est dressée fièrement dans toute sa splendeur, elle est bandée au maximum, immense fière, je me surprends à me demander les dimensions que peux avoir ce pieu de chair, le mien faisant 20 cm je me dis que celui que je tiens dans la main fait au moins 24 peut être plus, mais il est très épais 6 cm, plus peu être. Ses mains continuent de pressées ma tête vers son membre, je ne peux plus lui échapper.
- Suces moi, réclame t’il dans un dernier souffle.
J’ouvre la bouche et tente de faire rentrer son gland pou commencer, mes lèvres s’ouvrent en grand et avec difficultés je le rentre dans ma bouche déformée, il gémit, je descends vers la base de son membre doucement, doucement, j’ai la moitié de sa queue en bouche et il est presque au fond de ma gorge, il imprime une poussée sur ma tête et son gland vient buté au fond de ma gorge, j’ai un haut le cœur, je ne pourrais jamais le prendre en entier, il est bien trop volumineux, je ressort l’engin en faisant glisser mes lèvres sur toute la colonne de chair, il m’impose la cadence, il me viole la bouche de son énorme membre, il me fait l’amour dans la bouche, je ne peux pas lui en vouloir, j’ai cherchée et j’ai trouvée. La cadence s’accélère et il va de plus en plus profond au fond de ma gorge, les mâchoires me font un peu mal, la bouche distendue par cette fellation hors normes. Je me laisse aller en arrière et me voila allonger sur le dos au bord du lit, les jambes posées sur la moquette, il à suivit le mouvement gardant sa queue dans l’antre chaud de ma bouche, et maintenant dressé au dessus de moi il m’inflige ses va et vient, même mes mains posées sur ses flancs ne peuvent arrêter les mouvements de bassin qui m’enfonce toujours plus loin son sexe dans la bouche.
Enfin il sort de mes lèvres, j’en profites pour reprendre mon souffle et laisser le maximum d’air au fond de mes poumons, j’ai pensée mourir étouffée, il me prend par les hanches et me fait comprendre que je dois m’installer sur le lit à quatre pattes, la tête dans l’oreiller et le cul relevé, indécente, il me tire par les hanches pour me cambrer encore plus, ce qui fait que je suis offerte à son regard dans cette position, j’ai peur et je lui dit :
- Claude, prépare moi bien, je suis fragile et serrée, ton sexe est monstrueux, il va me casser en deux, prépare moi.
- Oui Leslie, tu es merveilleuse, je vais prendre soin de toi, comme tu viens de le faire, tu vas te sentir femme dans un instant sous mes coups de reins, je veux te remplir en douceur.
Je sens qu’il enduit ma rondelle avec du gel, et en passe une bonne quantité sur son sexe, je sens qu’il ne va pas me préparer avec ses doigts, mais me prendre comme ca directement, il masse mon anneau comme pour me l’assouplir en vue de l’assaut qu’il prépare, je le sens fébrile, pourvu qu’il fasse cela bien et douceur, je voudrais conserver un bon souvenir.
Il s’installe derrière moi, entre mas jambes grandes ouvertes, je sens ses cuisses frôler l’intérieur de mes cuisses, il est en position, il regarde mon cul offert.
- Tu as un joli cul, dit-il, ton petit anneau foncé est tout plissé, il me parait bien serré.
Il profite de mon indécence, ses propos m’humilient mais me font monter des désirs, il le sent, il me met son pouce sur la rondelle et pousse pour le rentrer à l’intérieur, ma rondelle s’ouvre.
- Tu vois ton cul s’ouvre, je n’ai pas souvent l’occasion de sodomiser un joli petit cul comme le tien.
- J’n’ai pas peur, Claude, et j’ai envie de toi, ne me fait plus attendre avant que je change d’avis.
Il approche son gland de ma rondelle et je le sens frôler mon intimité, il pose son gland sur mon œillet, je frémis, il pousse doucement, écartant mes chairs intimes, il est énorme, jamais je ne pourrais l’accepter sans qu’il me déchire, il pousse toujours inexorablement pour faire rentrer son gland dans mon cul, j’ai mal, la douleur me vrille les reins, il me pend par les hanches et donne un grand coup de reins afin de forcer le passage de ma rondelle réticente.
- Oh, Ah, tu me déchires, arrêtes c’est trop gros, oh, oh, dis-je implorante la clémence de mon amant.
- J’y suis, dit-il triomphant, le gland est passé.
- Oh, comme c’est douloureux, arrêtes, arrêtes, ne va pas plus loin, j’en peux plus.
J’ai envie de m’échapper et sortir ce mandrin de mon cul pour ne plus souffrir, je sens mes chairs distendues sous l’assaut de cette colonne de chair, je suis cassée en deux, possédée par un pieu de chair qui m’élargit le trou à son maximum, j’ai peur d’être déchirée, je reste immobile…..
Claude, respecte la pause, il reste dur en moi et je m’habitue à cette monstrueuse intrusion dans mes chairs intimes, la douleur se calme, mon cul distendu enserre le sexe de mon amant, je joue avec mes muscles anneaux pour lui imprimer une pression sur la base de son gland, il le sens.
Oh, que c’est bon, tu me branles le sexe de ton anneau intime, tu es une amante extraordinaire.
Il me sens prête à l’accueillir et se met à pousser son sexe en moi, la douleur reprend, il pousse et s’incruste dans mes chairs dilatées, il pousse et coulisse en moi, le feu est dans mon cul, il pousse encore et encore, agrippé à mes hanches il amène mon corps à lui, comme pour mieux me posséder, il me tire à lui et pousse encore, et je le sens buter au fond de mon cul, ses couilles battent contre les miennes signe qu’il est entièrement en moi, une vague de chaleur envahit mon corps.
- Je suis au fond, tu as toute ma queue en toi, c’est prodigieux.
- Tu me possèdes entièrement, je suis à toi, ta petite enculée d’amour.
- Oui, tu es ma petite enculée d’amour, et je vais te faire crier de plaisir.
- Oui, mon Claude, rends moi folle, folle de désirs, folle de plaisir, fait moi jouir du cul.
- T’as envie, dis le que tu as envie.
- Oui j’ai envie, encules moi, possèdes moi, défonces moi, maintenant, j’en peux plus d’attendre.
Il se mit à coulisser dans mon étroit boyau, me rendant folle de plaisir, il me limait le cul sans s’arrêter faisant monter en moi des ondes de jouissance, je me cambrais encore plus comme pour lui faire sentir mon acceptation de cette sodomie, pour lui dire avec mon corps qu’il était un amant remarquable, il rentrait et sortait de toute la longueur de son membre, il me défonçait comme je lui avais demandée avec application et volupté, le plaisir monta plus fort encore faisant serrer mon fourreau autour de son membre, et dans un grand cri, il me remplit les entrailles de son liquide chaud, il se déversa longtemps en grandes giclées qui arrosèrent le fond de mon corps, il me lima encore bien après avoir déchargé tout son foutre faisant renaitre en moi le plaisir infini, il resta ainsi en moi, puis sortit son sexe me laissant béante du cul.
Affalée à plat ventre je reprenais mes esprit, encore secouée des spasmes de jouissance, j’étais cassée, fourbue, anéantie par tant de plaisir, Claude m’avait cassé le cul.
- Alors, dit-il rompant le silence, cela t’as plut.
- Grandiose, tu es un amant exceptionnel.
- Merci, je te renvoie le compliment, tu es géniale.
Nous nous caressions, lui allongé sur le dos, moi sur son ventre, il me branlait doucement le sexe qui n’avait pas débander, je savais qu’il ne m’offrirait ni sa bouche, ni son cul pour me soulager, mais il voulait me donner du plaisir, il m’a branler jusqu’à ma faire éjaculer sur mon ventre, mes caresses et ma jouissance eurent pour effet de lui redonner vigueur et son sexe tout naturellement se retrouva dans me bouche, je l’ai sucé divinement et j’ai recueillis sa semence sans perdre une goutte.
Heureuse de me sentir femme avec lui, je me suis endormie dans ses bras.
Un rayon de soleil me tira de mon sommeil, Claude était là près de moi endormit, son sexe majestueux tout près de mes lèvres, il me fallait partir, le désir était présent dans mon corps et l’envie d’un dernier plaisir pour marquer de façon inoubliable cette rencontre me taraudait le corps et l’esprit. J’ai approchée mes lèvres et je me suis mise à lui sucer la queue, qui se dressa sans tarder, il était sur le dos et son sexe se dressait vers le plafond, mon cul encore humide de l’étreinte de la veille, je l’enfourchais et plaçant ma rondelle sur son pieux dressé je m’empalais d’un coup.
- Oh, c’est encore gros !dis-je, le réveillant dans le même temps.
- Oh, ma salope tu t’encules toute seule maintenant.
- Oui chéri, une petite envie matinale, juste pour ne pas oublier.
Je suis restée un moment fichée sur son sexe entièrement en moi, mes fesses posées sur ses hanches, puis j’ai commencée mon mouvement, je montais et descendais sur son membre, m’empalant frénétiquement afin de le faire jouir dans mon cul, allant de plus en plus vite et me tirant moi-même des cris de douleur et de plaisir, il ne fut pas long à venir, me remplissant une nouvelle fois les entrailles de sa liqueur. Je l’embrassais heureuse de sa jouissance, encore en cuissardes, j’enfilais mon imper seul vêtement pour cacher ma nudité, et le quittais, je sentais son plaisir sortir de mon cul et couler sur mes cuisses, heureuse.
Epilogue.
A la maison, je me fis couler un bain, et m’endormis dans l’eau avec le cul douloureux, souvenir des assauts de mon viril amant, le souvenir de cet instant était ancré dans mon corps, souvent je pensais à Claude, au début il voulait me revoir pour revivre ce moment, je n’y tenais pas trop de peur de m’attacher à lui, mais son sexe monstrueux hantait mes pensées, bien que je tentais de l’oublier, le revoir ne m’aurait pas déplut.
A suivre……
Le contact.
Jacques et Chris sont absents pour quelques jours, ils sont montés à Paris rendre un projet, et me voila seule dans cette grande maison, en cette fin d’après midi après mettre baignée je déambule nue dans la maison, il fait bon en cette fin du mois de mai. Je décide de me connecter sur internet et passer une petite annonce et faire un dialogue avec les connectés du moment.
Installée confortablement devant l’écran, je me connecte directement à mon site favori et je passe l’annonce suivante :
« Jeune et belle trans, cherche homme doux et courtois pour combler un vide ».
Les réponses ne se firent pas attendre, nombreux messages me firent part de l’intérêt portée sur mon annonce, mais rien ne me branche vraiment, une tristesse s’installe et je pense me déconnecter, quand apparaît un message rédigé ainsi :
« Pour le vide j’ai ce qu’il faut, à condition d’une réponse de ta part ».
Cette petite phrase me branche, et je réponds illico pour entamer un dialogue.
- Présentes toi, en détails pour démarrer.
- Claude, brun aux cheveux courts, sportif, 28 ans, à toi et je continue après, sinon je me déconnecte.
- Leslie, brune aux cheveux courts, style garçonne, 20 ans.
- Trans ?
- Oui comme le précise mon annonce.
- Et physiquement dis moi Leslie, t’es comment ?
- Mince, cambrée, 1,72 m, 55kg, intégralement épilée, petite poitrine, petit cul serré.
- Intéressant comme description, tu dois être très belle.
- On me le dit, souvent même, et toi ?
- Musclé, poilu, enfin très poilu, 1,80 m, 72kg, et un bel engin pour combler ton vide.
- Quand tu dis bel engin, ça veut dire quoi ? Lui demandais-je.
- Comme tu n’en as jamais vue !
Il commence à m’exciter ce Claude, nue devant mon clavier, il me faut en savoir plus.
- Et à ton avis, ça fait combien « un » comme je n’ai jamais vue ?
- Tu viens et tu verras.
Il me met au défi, comme si j’allais me dégonflée.
- Ok, j’arrive !
Il me donne son adresse, et hop je me déconnecte.
La rencontre.
Juste le temps de me préparée pour aller retrouver Claude qui m’attend ne voulant pas perdre de temps et désirant être provocatrice, j’enfile des cuissardes noires qui montent à mi cuisses et restant dans ma nudité totale je mis un imper long en cuir noir, il suffit de l’ouvrir pour découvrir ma nudité, je pense que je vais faire un certain effet, pourvu que ce ne soit pas un rigolo qui se la joue et me conduit vers un lapin.
Enfin, me voila partie vers ce rendez vous insolite, ne sachant pas très bien si je ne vais pas être déçue, voir même si les informations données étaient exactes, mais qui ne tente rien, n’a rien. Une heure plus tard, je me trouve devant la porte de l’appartement de Claude, je tremble de peur et d’impatience, un bref coup de sonnette, et voila la porte qui s’ouvre sur un très bel homme. Il se tient dans l’encadrement de la porte avec juste une serviette autour de la taille.
- Pardonnes la tenue, me dit-il, je sors de la douche.
Mon œil, je me dis, car il avait largement le temps de la prendre avant mon arrivée, mais peu importe il sera fin prêt en un tour de main, il me fait entrée dans son appartement propre et bien rangé, feutré où il doit faire bon vivre, direction le salon.
Je le détaille d’un bref coup d’œil, la trentaine, brun, cheveux courts, un corps musclé qu’il doit entretenir, mais très poilu, les poils lui recouvrent le torse, les abdominaux et les épaules, ses bras et ses jambes sont noirs de poils, un vrai gorille, j’en ai des frissons mais ce n’est pas pour me déplaire, cela promet si le reste suit…..
- Mets toi à l’aise, me lance t’il.
- Heu, je…
- Eh bien tu fais la timide, me dis-il s’approchant de moi.
- Non, mais c'est-à-dire que…
- Bon je vais t’aider.
Il me déboutonne mon imper et l’ouvre comme pour m’en débarrasser, et je me retrouve nue en cuissardes devant lui.
Waouh, superbe, qu’elle surprise, tu es magnifique Leslie, ça c’est un beau cadeau, tu es prêtes à te faire câliner, mais avant prenons un verre en regardant nos corps nus, et joignant le geste à la parole il me tend une coupe de champagne et laisse tomber sa serviette au sol, dévoilant son intimité dans son intégralité. Nous sommes là debout, nus, au milieu du salon à boire une coupe de champagne et nous détaillant de la tête aux pieds, apparemment j’ai l’air de lui plaire car il me fait des compliments sur mon corps, il me regarde avec une lueur d’envie au fond des yeux. Je regarde son corps, musclé sous une épaisse toison de poils très noirs et descendant mon regard je découvre un sexe dans une immense toison brune, mais un sexe, qui mon dieu au repos, est énorme, je n’en ai jamais vue un avec de telles dimensions, très épais et veiné, circoncis avec un gros gland et d’une longueur hors normes, ce salaud n’avais pas mentit, je vais déguster…
Un petit sourire se lit sur son visage et il me dit, tout en dégustant sa coupe :
- Alors, belle Leslie, suis-je un menteur, en as tu déjà vu un pareil ?
- Oh, que non Claude, mais je ne m’attendais pas à voir un engin pareil.
- Tu sais, me dit-il, j’ai l’habitude et si tu as peur, tu peux partir, je ne t’en voudrais pas, il est encore temps.
- Oh Claude c’est sympa, mais maintenant que je suis là, à quoi bon fuir.
- C’est très honnête de ta part, de plus je te trouve très sexy, tu es complètement imberbe, tes cheveux à la garçonne et ta jolie queue te donne un côté ambigu, j’aime les êtres comme toi, de plus les tatouages que tu portes rajoute de l’érotisme à ton physique adorable.
En plus il est charmant et flatteur, je lui plais c’est le principal.
Il me prend par la main et me conduit dans sa chambre, feutrée, juste éclairée par des bougies aux quatre coins de la pièce, l’ambiance est sympa, un appel à l’amour….
Je m’assoies sur le bord du lit, Claude est debout devant moi, doucement il se penche et pose ses lèvres sur les miennes, elles sont douces et viriles, j’entrouvre mes lèvres et sa langue passe, il embrasse comme un dieu, je frémis, il prend ma main dans la sienne et la dirige vers son sexe, je le prends dans ma main, il est plus gros que je ne pensais car je n’arrive pas à en faire le tour, et Claude présente juste un début d’érection, il imprime à ma main un mouvement, me faisant comprendre qu’il veut que je le branle pour le faire durcir, je m’exécute et le branle doucement faisant redresser son membre qui n’en finit pas de grossir. Son pieu est devant mes yeux, il est énorme, mes deux mains suffisent à peine à le contenir, il pose ses mains sur ma tête et l’approche de son ventre,
- Suces moi, me dit-il dans un souffle à peine audible, comme pour ne pas m’effrayer.
Je sors la langue et la passe sur son gland gonflé de désir, il soupire, je lèche le frein, il délire, je repousse le moment ou il me faudra le prendre en bouche, je ne sais si je pourrais tellement il est épais, mais je continue avec ma langue.
Je sens ses mains imprimer une poussée sur ma tête, me rapprochant de l’instant ou il ne me restera plus qu’à ouvrir les lèvres pour l’engloutir dans ma bouche.
- Suces moi, implore t’il.
Je fais encore durer le plaisir, je veux le rendre fou de moi, je veux lui laisser un souvenir mémorable et qu’il se souvienne de moi comme la meilleure de ses amantes, il gémit, il est au bord de la crise, je sens son corps vibrer sous mes coups de langues. Ma langue lèche toute sa colonne de chair, qui maintenant est dressée fièrement dans toute sa splendeur, elle est bandée au maximum, immense fière, je me surprends à me demander les dimensions que peux avoir ce pieu de chair, le mien faisant 20 cm je me dis que celui que je tiens dans la main fait au moins 24 peut être plus, mais il est très épais 6 cm, plus peu être. Ses mains continuent de pressées ma tête vers son membre, je ne peux plus lui échapper.
- Suces moi, réclame t’il dans un dernier souffle.
J’ouvre la bouche et tente de faire rentrer son gland pou commencer, mes lèvres s’ouvrent en grand et avec difficultés je le rentre dans ma bouche déformée, il gémit, je descends vers la base de son membre doucement, doucement, j’ai la moitié de sa queue en bouche et il est presque au fond de ma gorge, il imprime une poussée sur ma tête et son gland vient buté au fond de ma gorge, j’ai un haut le cœur, je ne pourrais jamais le prendre en entier, il est bien trop volumineux, je ressort l’engin en faisant glisser mes lèvres sur toute la colonne de chair, il m’impose la cadence, il me viole la bouche de son énorme membre, il me fait l’amour dans la bouche, je ne peux pas lui en vouloir, j’ai cherchée et j’ai trouvée. La cadence s’accélère et il va de plus en plus profond au fond de ma gorge, les mâchoires me font un peu mal, la bouche distendue par cette fellation hors normes. Je me laisse aller en arrière et me voila allonger sur le dos au bord du lit, les jambes posées sur la moquette, il à suivit le mouvement gardant sa queue dans l’antre chaud de ma bouche, et maintenant dressé au dessus de moi il m’inflige ses va et vient, même mes mains posées sur ses flancs ne peuvent arrêter les mouvements de bassin qui m’enfonce toujours plus loin son sexe dans la bouche.
Enfin il sort de mes lèvres, j’en profites pour reprendre mon souffle et laisser le maximum d’air au fond de mes poumons, j’ai pensée mourir étouffée, il me prend par les hanches et me fait comprendre que je dois m’installer sur le lit à quatre pattes, la tête dans l’oreiller et le cul relevé, indécente, il me tire par les hanches pour me cambrer encore plus, ce qui fait que je suis offerte à son regard dans cette position, j’ai peur et je lui dit :
- Claude, prépare moi bien, je suis fragile et serrée, ton sexe est monstrueux, il va me casser en deux, prépare moi.
- Oui Leslie, tu es merveilleuse, je vais prendre soin de toi, comme tu viens de le faire, tu vas te sentir femme dans un instant sous mes coups de reins, je veux te remplir en douceur.
Je sens qu’il enduit ma rondelle avec du gel, et en passe une bonne quantité sur son sexe, je sens qu’il ne va pas me préparer avec ses doigts, mais me prendre comme ca directement, il masse mon anneau comme pour me l’assouplir en vue de l’assaut qu’il prépare, je le sens fébrile, pourvu qu’il fasse cela bien et douceur, je voudrais conserver un bon souvenir.
Il s’installe derrière moi, entre mas jambes grandes ouvertes, je sens ses cuisses frôler l’intérieur de mes cuisses, il est en position, il regarde mon cul offert.
- Tu as un joli cul, dit-il, ton petit anneau foncé est tout plissé, il me parait bien serré.
Il profite de mon indécence, ses propos m’humilient mais me font monter des désirs, il le sent, il me met son pouce sur la rondelle et pousse pour le rentrer à l’intérieur, ma rondelle s’ouvre.
- Tu vois ton cul s’ouvre, je n’ai pas souvent l’occasion de sodomiser un joli petit cul comme le tien.
- J’n’ai pas peur, Claude, et j’ai envie de toi, ne me fait plus attendre avant que je change d’avis.
Il approche son gland de ma rondelle et je le sens frôler mon intimité, il pose son gland sur mon œillet, je frémis, il pousse doucement, écartant mes chairs intimes, il est énorme, jamais je ne pourrais l’accepter sans qu’il me déchire, il pousse toujours inexorablement pour faire rentrer son gland dans mon cul, j’ai mal, la douleur me vrille les reins, il me pend par les hanches et donne un grand coup de reins afin de forcer le passage de ma rondelle réticente.
- Oh, Ah, tu me déchires, arrêtes c’est trop gros, oh, oh, dis-je implorante la clémence de mon amant.
- J’y suis, dit-il triomphant, le gland est passé.
- Oh, comme c’est douloureux, arrêtes, arrêtes, ne va pas plus loin, j’en peux plus.
J’ai envie de m’échapper et sortir ce mandrin de mon cul pour ne plus souffrir, je sens mes chairs distendues sous l’assaut de cette colonne de chair, je suis cassée en deux, possédée par un pieu de chair qui m’élargit le trou à son maximum, j’ai peur d’être déchirée, je reste immobile…..
Claude, respecte la pause, il reste dur en moi et je m’habitue à cette monstrueuse intrusion dans mes chairs intimes, la douleur se calme, mon cul distendu enserre le sexe de mon amant, je joue avec mes muscles anneaux pour lui imprimer une pression sur la base de son gland, il le sens.
Oh, que c’est bon, tu me branles le sexe de ton anneau intime, tu es une amante extraordinaire.
Il me sens prête à l’accueillir et se met à pousser son sexe en moi, la douleur reprend, il pousse et s’incruste dans mes chairs dilatées, il pousse et coulisse en moi, le feu est dans mon cul, il pousse encore et encore, agrippé à mes hanches il amène mon corps à lui, comme pour mieux me posséder, il me tire à lui et pousse encore, et je le sens buter au fond de mon cul, ses couilles battent contre les miennes signe qu’il est entièrement en moi, une vague de chaleur envahit mon corps.
- Je suis au fond, tu as toute ma queue en toi, c’est prodigieux.
- Tu me possèdes entièrement, je suis à toi, ta petite enculée d’amour.
- Oui, tu es ma petite enculée d’amour, et je vais te faire crier de plaisir.
- Oui, mon Claude, rends moi folle, folle de désirs, folle de plaisir, fait moi jouir du cul.
- T’as envie, dis le que tu as envie.
- Oui j’ai envie, encules moi, possèdes moi, défonces moi, maintenant, j’en peux plus d’attendre.
Il se mit à coulisser dans mon étroit boyau, me rendant folle de plaisir, il me limait le cul sans s’arrêter faisant monter en moi des ondes de jouissance, je me cambrais encore plus comme pour lui faire sentir mon acceptation de cette sodomie, pour lui dire avec mon corps qu’il était un amant remarquable, il rentrait et sortait de toute la longueur de son membre, il me défonçait comme je lui avais demandée avec application et volupté, le plaisir monta plus fort encore faisant serrer mon fourreau autour de son membre, et dans un grand cri, il me remplit les entrailles de son liquide chaud, il se déversa longtemps en grandes giclées qui arrosèrent le fond de mon corps, il me lima encore bien après avoir déchargé tout son foutre faisant renaitre en moi le plaisir infini, il resta ainsi en moi, puis sortit son sexe me laissant béante du cul.
Affalée à plat ventre je reprenais mes esprit, encore secouée des spasmes de jouissance, j’étais cassée, fourbue, anéantie par tant de plaisir, Claude m’avait cassé le cul.
- Alors, dit-il rompant le silence, cela t’as plut.
- Grandiose, tu es un amant exceptionnel.
- Merci, je te renvoie le compliment, tu es géniale.
Nous nous caressions, lui allongé sur le dos, moi sur son ventre, il me branlait doucement le sexe qui n’avait pas débander, je savais qu’il ne m’offrirait ni sa bouche, ni son cul pour me soulager, mais il voulait me donner du plaisir, il m’a branler jusqu’à ma faire éjaculer sur mon ventre, mes caresses et ma jouissance eurent pour effet de lui redonner vigueur et son sexe tout naturellement se retrouva dans me bouche, je l’ai sucé divinement et j’ai recueillis sa semence sans perdre une goutte.
Heureuse de me sentir femme avec lui, je me suis endormie dans ses bras.
Un rayon de soleil me tira de mon sommeil, Claude était là près de moi endormit, son sexe majestueux tout près de mes lèvres, il me fallait partir, le désir était présent dans mon corps et l’envie d’un dernier plaisir pour marquer de façon inoubliable cette rencontre me taraudait le corps et l’esprit. J’ai approchée mes lèvres et je me suis mise à lui sucer la queue, qui se dressa sans tarder, il était sur le dos et son sexe se dressait vers le plafond, mon cul encore humide de l’étreinte de la veille, je l’enfourchais et plaçant ma rondelle sur son pieux dressé je m’empalais d’un coup.
- Oh, c’est encore gros !dis-je, le réveillant dans le même temps.
- Oh, ma salope tu t’encules toute seule maintenant.
- Oui chéri, une petite envie matinale, juste pour ne pas oublier.
Je suis restée un moment fichée sur son sexe entièrement en moi, mes fesses posées sur ses hanches, puis j’ai commencée mon mouvement, je montais et descendais sur son membre, m’empalant frénétiquement afin de le faire jouir dans mon cul, allant de plus en plus vite et me tirant moi-même des cris de douleur et de plaisir, il ne fut pas long à venir, me remplissant une nouvelle fois les entrailles de sa liqueur. Je l’embrassais heureuse de sa jouissance, encore en cuissardes, j’enfilais mon imper seul vêtement pour cacher ma nudité, et le quittais, je sentais son plaisir sortir de mon cul et couler sur mes cuisses, heureuse.
Epilogue.
A la maison, je me fis couler un bain, et m’endormis dans l’eau avec le cul douloureux, souvenir des assauts de mon viril amant, le souvenir de cet instant était ancré dans mon corps, souvent je pensais à Claude, au début il voulait me revoir pour revivre ce moment, je n’y tenais pas trop de peur de m’attacher à lui, mais son sexe monstrueux hantait mes pensées, bien que je tentais de l’oublier, le revoir ne m’aurait pas déplut.
A suivre……
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