Leslie, transexuelle chapitre 19

- Par l'auteur HDS Leslie -
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Leslie, transexuelle chapitre 19 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Leslie, transexuelle chapitre 19
CHAPITRE 19 – Les femmes qui aiment les femmes.

En club lesbien, rencontre avec Roxanne.
Ce soir la, pour m’amuser, confiante de l’effet que je faisais à mon entourage, je décidais de me rendre dans un club lesbien, l’endroit où les filles se rendre lorsqu’elles veulent faire des rencontres avec d’autres fille et les emmener finir la soirée dans leur lit. M’ayant faites belle, comme chaque fois, je me suis rendue dans cet endroit feutré ou les conversations se faisaient à mi voix, de peur de déranger les voisins ou d’être surprise en grande confidence de désirs lesbiens.
Enfin me voila seule assise à une table, enfoncée dans un canapé, attendant, comme une proie attend son prédateur.
Une femme s’approcha de ma table, une belle grande blonde avec un corps de rêve, une très belle lesbienne que je me ferais bien me dis-je, mais pour l’instant c’est elle qui me demandait :
- Puis je m’installer avec vous à cette table et vous payer un verre.
- Volontiers, je n’attends personne et je m’ennuyais un peu, lui répondis-je.
- Cela m’étonne pour l’attente, mais pour l’ennui je vous crois, mais maintenant je suis là.
- Oui et cela m’enchante de faire la conversation à une jolie femme.
- Flatteuse, je m’appelle Roxanne et vous ?
- Leslie.
- J’adore, me dit-elle.
Et me voila brancher, elle est belle et elle me branche bien, cela va mal se finir, enfin ou bien dans son lit.
Nous sirotons nos boissons dans cette ambiance feutrée et nous parlons de nous, et petit à petit je sens qu’elle se rapproche de moi, la conversation se fait plus précise sur les goûts de chacune et bientôt ce sont de nos goûts sexuels dont nous parlons, elle si près de moi que je sens son parfum, et son souffle caressé ma joue, elle pose une main sur ma cuisse et me dis :
- Leslie, j’ai envie de toi, maintenant.
- Waouh, c’est direct mais ça a la chance d’être clair.
- En te rendant ici, tu savais ce que tu venais chercher, alors ne fait pas la mijaurée et suis moi.
Nous voila partie vers son appartement tout près de la, dans l’ascenseur elle me caresse et m’embrasse à pleine bouche, c’est une gourmande à coup sûr, mais je fais bien attention que ses mains ne s’aventurent pas sur mon pubis, du moins pas maintenant, pas de suite. A peine la porte de son appartement s’est elle fermée derrière nous qu’elle me reprend dans ses bras et m’effeuille de mes vêtements, ne me laissant que ma culotte, elle me fait des compliments sur mes tatouages et le piercing, je suis flattée, puis elle se dévêtit elle-même, me complimente sur ma petite poitrine qu’elle dévore à pleine bouche me tirant de petits cris, et nous voila nues, poitrine contre poitrine, la sienne est plus volumineuse que la mienne, mais ferme aux bouts arrogants qui se dressent fièrement, sont sexe a une joli toison taillée, nos mains caressent nos culs, nous nous pelotons comme des avides de sexe, nos pubis se touchent et la, elle sent contre sa motte mon sexe dur que je ne peux plus contenir.
Elle baisse ma culotte et mon sexe se dresse fièrement devant elle.
- Tu es une petite cachotière, mais ce n’est pas grave, je te désire, me dit elle tout en enlevant sa culotte.
Nous sommes l’une contre l’autre, je l’entends respirer, son cœur cogne contre ma poitrine. Mon sexe est enfin en contact avec son bas-ventre. Elle m’offre sa bouche, je l’embrasse. J’étreins ses fesses, les malaxe.
- Allons dans la chambre, dit-elle, toujours chaussée elle me précède d’un pas décidé dans la pièce sombre.
En entrant à mon tour et je la vois au pied du lit plier les genoux, s’agenouiller, cambrer les reins en me regardant par-dessus son épaule avec un regard remplit de désirs.
- Viens, me dit-elle.
Je m’approche et lui baise le cul, elle se cambre et le tend vers mes lèvres.
- Viens chérie, je suis toute à toi. Viens ...Viens, dit-elle d’une voix sourde, suces moi chérie, suces moi et prends moi.
Je passe ma langue sur tout son périnée. Je me redresse et presse ma verge sur ses grandes lèvres et pénètre sa chatte souple. Elle feule telle une chatte, elle me serre bien et c’est doux, ma main droite vient devant et trouve son ventre, sa toison, son clitoris, je le caresse tendrement, elle insiste :
- Oh, oh oui encore, Leslie, Leslie, je t’en prie ...prends moi maintenant par derrière.
Je fais comme si je n’avais rien entendue, je continue d’aller et venir dans son sexe trempée de son plaisir.
- Oh Chérie, je t’en prie, viens derrière moi... encules-moi !
Je continue et pilonne sa chatte, je veux encore l’entendre me demander.
- Leslie, j’en peux plus, encules moi, encules moi j’en ai tellement envie, prends mon cul.
Je m’extrais de sa vulve, j’approche ma queue tendue de cette cible désignée et la met sur son œillet plissé. Mes gestes sont lents, je pousse doucement. Je sens distinctement la chair anale palpiter contre mon gland. Roxanne contracte et décontracte volontairement son anneau rose, je la tiens aux hanches et exerce une poussée continue. Je vois ma colonne de chair progresser entre les deux globes fessiers et rentrée dans son trou du cul, le gland passe non sans difficultés, mais il reste toute la longueur de mon sexe à rentré.
- Ohhh, chérie, c’est gros.
L’anneau me serre délicieusement le gland.
- Oui, je suis ton enculée chérie.
Roxanne s’habitue à mon gland dans son œillet, ce n’est certainement pas la première fois qu’elle se prend un objet dans la rondelle, je reste immobile en elle.
- Oh comme c’est bon, mais ne bouge pas de suite, il est épais, je me sens toute étirée, tu risque de me déchirer, Ohhh lala, qu’est ce que je me prends dans le cul.
Je suis terriblement serré par son anneau, je reste immobile incrustée en elle.
- Comme c’est gros, j’aime, oui j’aime ça chérie, les godes de mes amantes n’avaient pas de telles dimensions. Tu peux bouger maintenant, mais va doucement, s’il te plait, ton sexe est tellement gros, je n’ai pas l’habitude de telles dimensions.
Je fais de tous petits allers et retours, doucement pour la dilater au maximum. Je retire doucement mon gland et revient au milieu du sphincter, faisant soupirer Roxanne, à chaque poussée je gagne un peu de terrain, elle se cambre encore plus, abaisse ses épaules, m’offrant davantage ses fesses, sa chatte est chaude et humide contre mes couilles.
Je reprends ma progression, et commence à faire des allées et venues sous les soupirs de Roxanne
- Ohhh, Ohhh, oui, Ohhh j’aime.
Nous changeons de position, je m’allonge sur le dos, Roxanne passe sa cuisse sur moi et la voici à cheval sur mon sexe, elle va s’empaler elle-même, je la contemple dans son plaisir, elle passe sa main dans son dose et prend mon sexe en main, elle le positionne sur son anus, puis elle s’empale entièrement puis commence à monter et descendre sur mon membre, ses seins ballottent aux rythme de ses mouvements, elle s’encule sur mon sexe et crie sa jouissance.
Je la retourne sur le dos, je pose ses jambes sur mes épaules, je saisis mon sexe d’une main et le guide vers son anus encore ouvert et m’introduit jusqu’au bout sur toute la longueur. Roxanne gémit :
- Ohhh, qu’est ce que je prends, mon petit trou est en feu.
Je la sodomise sur toute ma longueur de mon sexe, j’entre au fond et ressors presque tout, recommence ainsi une fois et une autre fois, encore et encore, jusqu’à jouir aux tréfonds du cul de Roxanne.
Les cris de Roxanne qui remplissent la pièce me confirment qu’elle à jouit avec moi.

Nous avons fait l’amour avec Roxanne, bien qu’étant une pure lesbienne, le fait que je sois transexuelle ne la pas dérangée, nous nos quittons sans espoir de se revoir, mais très heureuses d’avoir passées ensemble un agréable moment.

Les deux lesbiennes et les maris.
Je venais de finir ma tournée de shopping, sous vêtements, chaussures et robes sexy, dans mes magasins préférés et avant de rentrer, en cette fin d’après midi, je décidais d’aller boire un coup dans un grand café de centre ville. Habillée tout de cuir noir, pantalon, spencer et corsage noir transparent laissant deviner ma poitrine, des chaussures à talons aiguilles, je ne portais, comme souvent, rien sous mon pantalon car j’adore le contact du cuir sur mon sexe.
Installée à la terrasse et sirotant ma boisson, je fus abordée par deux femmes assises à la table près de la mienne, belles soit dit en passant, à première vue elles ne paraissaient pas être dans le besoin, l’une d’elle me dit :
- Excusez, mon impertinence, mais nous vous avons vues arriver et ne sommes pas insensibles à votre beauté,
- Ah, dis-je, merci du compliment mais que puis-je pour vous.
- Voyez vous, dit l’autre, vous avez remarqué certainement que nous sommes lesbiennes, nos maris respectifs, deux frères, ont une bonne situation, mais soit dit en passant, ils nous délaissent un peu, vivant sous le même toit nous nous donnons mutuellement du plaisir et parfois ils nous arrivent d’invité une comparse pour pimentée nos ébats.
Elles étaient claires et directes dans l’approche, n’ayant certainement pas trop de temps à perdre.
- Comme nous vous trouvons très belle et seule, nous nous sommes dit qu’il se pourrait que vous avez un moment à nous consacrer, nous habitons juste à côté et si cela vous chante nous emmenons de suite.
- Euh, oui, dis-je essayant de rester calme.
- Prenez un peu de temps, juste quelques minutes de réflexion, regardées nous, et dites nous votre point de vue.
En premier lieu, elles me branchaient bien, une blonde et une brune, la quarantaine toutes les deux, avec de jolis visages et des poitrines superbes, élancées, l’ennui entre ces deux créatures ne devait pas être courant, comment des hommes pouvaient-ils délaissées deux bombes comme celles-ci, respirant le désir et l’amour.
- Eh bien, dis-je, malgré votre côté direct, je pense me laisser embarquée par de belles créatures.
- Super, dirent-elle en même temps, mais ne perdons pas de temps, et elles se levèrent.
Tout en marchant, elles me dirent :
- Moi c’est Brigitte, dit la blonde.
- Et moi Monique, dit la brune.
- Moi c’est Leslie, répondis-je.
Très rapidement nous arrivons à destination, petite maison cossue et bourgeoise, direction le salon, Brigitte et Monique s’embrassent d’emblée afin de bien montrées qu’elles ne sont pas là pour enfiler les perles, les habits tombent et les voila complètement nues devant moi, elles se retournent, Monique la Brune à un corps de rêve un peu potelé, une poitrine lourde et possède une jolie toison brune, Brigitte la blonde est fine, une poitrine pas très grosse et est épilée, et elles s’approchent de moi, j’en ai une de part et d’autre, elle commence à caresser mes seins et mes fesses par-dessus le cuir, c’est très bon, elles savent y faire. Brigitte s’attaque à mon pantalon, pendant que Monique m’enlève le spencer et déboutonne mon corsage mettant à nue ma poitrine, je sens mon pantalon s’ouvrir laissant mon sexe se dresser, la réaction est immédiate de la part de Brigitte :
- Monique, regarde, c’est une transexuelle que nous avons ramenée, c’est encore mieux que ce nous pouvions imaginées, en plus regardes l’engin comme il est beau et gros, Leslie va nous conduire au septième ciel avec cet outil la.
- Oh oui, Brigitte, dis Monique, nos hommes pourraient prendre exemple.
- On la suce, chacune notre tour, ok.
Elles s’agenouillent et démarre une fellation à deux bouches, je les sens gourmandes et avides de sexe, elles me pompent comme des reines et je suis aux anges, qu’elle bonne idée j’ai eue ce soir en allant au café. Brigitte se met dans le fauteuil et pose ses jambes sur les accoudoirs, m’ouvrant ainsi son intimité.
- Lèches moi Leslie, me dit-elle.
Dans les rapports elle doit plutôt dominée, mais je m’exécute en me mettant à genou face à elle, et plonge dans son intimité fournie de polis bruns, elle à un gout délicieusement sucré, je sors la langue et lape sur toute la longueur de sa fente, elle gémit, avec mes deus doigts j’écarte les grandes lèvres pour faire apparaitre son clitoris, de bonne taille en passant, je l’aspire entre mes lèvres, elle glousse, entretemps, Brigitte et passée sous moi et me pompe frénétiquement, sa bouche est chaude et douce, impriment de légers coups de reins je lui baise le bouche, elle soupire, elle aime.
L’ambiance est des plus chaude et la pression monte, Brigitte s’absente pendant que je continue à m’occuper de la vulve de Monique, elle revient harnachée d’un gode ceinture de belle facture et m’annonce :
- Leslie, je vais te sodomiser, pendant que tu prendras le cul de Monique, puis nous inverserons les positions.
Elle m’enduit le cul et son gode de gel puis me passe le pot pour que j’en fasse autant à Monique, je positionne mon gland sur l’anneau de Monique et je pousse dans son fion mon sexe, je rentre d’un seul coup sans forcée, le chemin est déjà prêt et je ne suis pas le premier à investir son fourreau, Brigitte pousse mes épaules en avant pour me faire cambrée el cul, et m’enfile sans ménagement en une fois, j’imprime le rythme, me sodomisant moi-même sur le gode quand je sort du cul de Monique et sortant du cul je m’embroche sur le gode de Brigitte, les soupirs et le gloussements sont de la partie, puis elles échangent les positions et nous recommençons, puis j’alterne entre la chatte et le cul pour chacune d’elle, elles sont aux anges.
Maintenant elles décident de se gouiner, et à tour de rôle elles s’enfilent mutuellement par les deux côtés pendant que moi-même je prends celle équipée du gode par ses deux trous, la pièce sent la sueur et le sexe, c’est torride.
Le temps à passé sans que nous y prenions garde, trop affairées à nos occupations sexuelles, et là sur le pas de la porte se tiennent deux hommes en costumes découvrant leurs femmes s’enfilant et étant en même temps enfilées par la drôle de créature que je suis, ils s’exclament :
- Ah les putains de femmes, vous ne perdez pas votre temps, nous allons nous occuper de vous et de votre compagne.
Ils se mettent à poils et tendent leurs bites aux bouches avides de leur compagnes, qui n’en demandaient pas tant et s’exécutes sur le champ, je continue mes pénétrations dans les trous conjugaux ouverts par mes assauts. Les bites des maris durcissent et se bandent, ils sont près à l’action.
- Je vais t’enculer salope, éructe le mari de Monique à sa femme.
- Non chéri, pas par là, je ne veux pas, ce n’est pas correct.
- Pas correct, salope, alors que tu offres ton cul aux autre, tu me le refuses.
Bien que moins membré que moi, il saisit sa femme par les hanche et lui plante son mandrin de le cul
- Non, non, non dit-elle en se mettant à sangloter.
Il redouble de violence et lui défonce l’anus, l’autre mari fait de même avec Brigitte, toute ravie de prendre son homme dans le cul en lui demandant de la pilonner au plus profond d’elle, je suis tombée sur des obsédés du trou du cul, cela me va bien. Entre deux sanglots Monique me dit :
- Leslie, encules se salopard qui me prend le cul, pour lui montrer comment ca fait.
Je me fais pas prier, je me place derrière le mari de Monique et lui enfile mon sexe dans le cul, il gueule.
- Oh, mon dieu elle me défonce, salopes vous vous êtes faites enfiler par cet engin.
Je le pistonne, et Brigitte me demande de faire de même avec le cul de son chéri, ainsi la soirée se passa en orgie, les hommes jouirent dans la bouche de la femme de l’autre les obligeant à tout avaler, et je me répands dans le cul de Monique comme pour marquer mon territoire dans son cul.
Avant de se quitter, ils me remercièrent, comme si j’avais changée et bouleversée leur vie sexuelle, ils firent promettre à leurs femmes de continuer les parties à quatre entre eux et d’accepter la sodomie régulière, moyennant quoi leurs bissexualités ne les dérangeaient pas et qu’elles pouvaient continuer à ramener des copines à la maison, puis ils me demandèrent de revenir bientôt avec une amie de même nature que la mienne, de suite je pensais à Caro qui serait d’accord, je répondis par l’affirmatif et nous prîmes rendez-vous pour le samedi soir.

A suivre……

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