Leslie transexuelle chapitre 36
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Leslie transexuelle chapitre 36
CHAPITRE 36 – Au travail, Claire l’assistante.
Dans le cabinet d’architectes dans lequel je travaille, celui de Jacques, nous sommes cinq personne en plus de Jacques et de Chris, personne n’a jamais douté de ma féminité croyant que je suis la cousine de Chris, c’est ce que Jacques répond à chaque fois qu’une question, sur ma personne, vient perturber notre tranquillité.
Claire est la collaboratrice directe de Jacques, sa confidente et son ancienne maîtresse, une belle brune, à l’aube de la quarantaine elle arbore un physique plein de sensualité, lesbienne affirmée que je ne laisse pas indifférente.
Plusieurs fois elle me fit des avances en m’invitant à aller boire un verre ensemble, je refusais pudiquement pour ne pas mettre le cabinet et Jacques dans l’embarras d’une aventure inter professionnelle. Mais en cette fin d'après midi je sentais Claire tourner autour de moi, alors que j’étais à mon bureau travaillant sur un dossier, elle vint s’installer en face de moi pour feuilleter une revue, elle s’assit dans le fauteuil d’attente et, croisant les jambes je vis sa jupe de tailleur se relever sur ses cuisses à la limite de la fin des bas et de sa peau nue, elle en profita largement de sa position pour décroiser et recroiser ses jambes, me découvrant sans pudeur le haut de ses cuisses et sa petite culotte noire.
- Tout en feuilletant le magazine je l’entendis me dire :
- Le spectacle te plait, Leslie.
- Claire, il faut dire que je profite de ce qui m’est offert, je réponds.
- Alors je m’offre, me dit-elle.
Elle décroise très lentement la jambe, de façon à s’offrir à mon regard, puis ouvre ses cuisses dévoilant la lisière des bas sur ses cuisses et de son string masquant à peine son intimité, puis sa main se pose sur son pubis, elle s’offre indécente à mes yeux.
- Tu sais, me dit elle, tu me plais et tu le sais, j’ai envie de toi depuis que je t’ai vue rentrée dans l’agence et ce soir je n’en peu plus d’attendre un geste de toi, je te désire et je me lance, oh Leslie, laisses moi un espoir, viens prendre un verre avec moi.
Claire m’avait allumée et je la sentais pleine de désire cette lesbienne, elle n’allait pas être déçue et j’acceptais l’invitation à la grande joie de Claire, j’étais justement habillée pour sortir, corsage blanc transparent sur ma poitrine nue avec un pantalon à pince et une veste de tailleur assorti.
Nous nous levons et partons aussitôt vers un pub pas loin.
Installées dans un coin discret du pub, nous dégustons notre boisson en parlant, Claire n’arête pas de me confier ses désirs et son attente intenable, elle est joyeuse près de moi, elle se rapproche de moi sur la banquette sa cuisse touche la mienne, mais Claire n’ose pas aller plus loin, elle attend que j’accepte le contact physique et que j’aille plus loin dans le contact lui donnant mon accord sur la suite de cette relation naissante.
Elle est collée à moi dans l’ambiance feutrée de ce pub, alors je pose ma main sur son genou et lui caresse doucement la cuisse, je sens Claire qui me désire, elle se laisse aller les yeux mi-clos appréciant la caresse tant attendue, ma main remonte le long de sa cuisse, Claire soupire lorsque j’atteins son pubis, je sens ses grandes lèvres au travers de la fine étoffe de sa culotte, elle se trémousse sous ma caresse, mon geste lui fait savoir que maintenant que je suis d’accord pour aller plus loin dans cette relation, mais rien ne presse et elle veut profiter de tous les instants avec moi, se relevant le souffle court, elle me dit :
- Bon Leslie, maintenant si nous allions dîner.
- D’accord Claire, allons-y.
- En se levant, elle dépose un baiser sur mes lèvres et nous partons diner dans un petit restaurant pas très loin, et dans un endroit isolé nous dinons comme deux lesbiennes amoureuses. Après un diner simple, nous sortons pour échanger sur le trottoir de longs baisers profonds, sans même nous occuper des passants qui nous regardent en nous croisant. Je décide alors que ce soir je n’irais pas chez Claire pour prendre un dernier verre et finir la nuit dans ses bras et faire l’amour, j’ai simplement envie de la laisser me désirer et de la laisser pleine de désirs cette nuit.
Je la raccompagne en lui tenant la taille, comme si nous étions des amantes de longue date, arrivées au pied de chez elle je lui souhaite bonne nuit, dans un dernier soupir de déception elle me dit :
- J’ai une envie folle envie de me faire baiser et même enculer, j’adore çà et si tu le veux je m’offre à toi.
- Non Claire pas ce soir, je lui réponds, je préfère rentrer seule.
- Bien, me dit elle, il ne me reste plus qu’à me donner du plaisir, seule, avec les doigts, à demain ma chérie.
Après m’avoir donnée un dernier baiser, elle disparaît dans le hall de son immeuble.
Nous sommes allées, le lendemain, à un rendez vous avec Claire dans le cadre du travail, heureuses d’avoir décrochées un contrat nous rentrons à l’agence. Je conduis la voiture et Claire est installée à mes côtés, je me dis que l’occasion est trop belle pour ne pas profiter de cet instant et savoir ce que Claire est prête à accepter, suite à notre diner d’hier soir.
Je pose ma main sur la cuisse de Claire et remonte la jupe de son tailleur découvrant ses bas retenus par un porte-jarretelles, elle ne dit rien et me regarde avec un sourire coquin.
Ma main caressait sa cuisse, et monte, mes doigts sont à la lisière du bas, ils frôlent sa peau nue, elle ne dit rien mais écarte légèrement ses jambes, ma main remonte vers son pubis et mes doigts caressent le string en dentelle, alors elle écarte franchement ses cuisses avec un petit gémissement.
Claire à l’air d’apprécier le passage de mes deux doigts sur sa fente, puis je passe les doigts sous l'élastique et trouve la peau épilée et lisse de ses lèvres intimes.
- Ohhh, Leslie, que fais-tu, me demande t’elle.
- Remontes ta jupe, lui dis-je, que je vois si l’autre soir tu ne me mentais pas.
Claire s'exécute remonte sa jupe et avance son bassin au devant de ma main, après quelques caresses Claire retire son string et m’offre sa chatte ouverte de désirs, mes doigts caressent son clitoris, et je le fais rouler sous mes doigts lui arrachant de longs soupirs. Je la branle et elle me dit :
- Je vais jouir, comme c'est bon, tu me branles bien.
Je continue à la branler et soudain, je la sens se tendre et elle laisse échapper un long feulement puis un cri, jouissant sur mes doigts.
Elle ne me donna pas la réplique car me refusant à elle dans cet instant, sous prétexte d’être presque arrivée à l’agence, de plus je voulais prolonger cet instant qui la laissais me désirer comme une femme, mais sachant bien que ce ne serait que partie remise, Claire n’est pas de ces femmes à laisser tomber au premier refus.
La journée c’est terminée laissant Claire sur ses désirs et j’ai sentie beaucoup de déception lorsque je lui ai souhaitée une bonne soirée avant de m’éclipsée, j’allais ce soir là avec Chris au théâtre, une soirée prévue de longue date.
Le lendemain Claire n’arrête pas de tournée autour de moi, et à la fin de la journée elle vient vers moi et me dit :
- Viens, Leslie, maintenant que tu m’as bien allumée j’ai trop envie de toi.
Je la suis et nous sortons de l’agence, puis comme si c’était prévu elle m’entraîne chez elle, frémissante, les yeux brillants de désir.
En chemin je sens que Claire est excitée, elle me serre le bras comme si elle avait peur que je la quitte, elle me fait par de ses désirs et de son attente envers moi, je la sens amoureuse et prête à se donner.
Arrivées chez elle, Claire s’installe dans le fauteuil, elle est déchainée, elle remonte sa jupe et écarte ses cuisses pour se caresser, je la vois passer la main sur son pubis au travers de l’étoffe de son string, elle me regarde droit dans les yeux et me dis :
- Viens, Leslie, ne me fait plus attendre.
Je m’avance vers elle et je m’agenouille entre ses cuisses et pose mes lèvres sur sa cuisse à la limite du bas, elle me laisse faire émettant un soupir, je continue à remonter vers son pubis et elle avance son bassin vers moi, ma bouche est sur son mont de Vénus, elle frémit, puis impudique écarte d’un doigt son string pour m’offris son sexe aux lèvres épilées et humides.
Je plaque ma bouche à son sexe et cherche son clitoris avec ma langue, mes lèvres le trouvent dur et excité émergeant de sa gangue, je suce son clitoris et avale sa jouissance déjà présente.
- Oui, lèches- moi Leslie, c'est bon j’adore ça.
- Oui Claire je t’adore aussi.
- Leslie tu me fais mouiller comme une dingue, depuis le temps, c'est divin, continues.
Elle gémit, écarte ses cuisses encore plus et encore plus écartée elle m’offre sa chatte trempée de désir.
D'un coup d'œil, je la vis dégrafer son chemisier et son soutien gorge, se toucher les seins d'une main, l'autre se posant sur ma tête et pressant ma tête sur son intimité.
- Waouh, Leslie, continues tu vas me faire jouir.
Tout en continuant à la sucer je lui enfonce mon majeur dans sa fente et commence à le faire coulisser, j’aspire son clitoris bandé, de l’autre main avec mon index je lui caresse la raie, excitant son anus frémissant, ma bouche plaquée sur sa vulve.
Soudain, je la sens se tendre, un long feulement s’échappant de ses lèvres entrouvertes, Claire jouit sous ma langue et crie son plaisir, puis elle reprend doucement ses esprits après cette jouissance, je me redresse et la regarde indécente et impudiquement offerte, cuisses écartées exhibant sa vulve humide de son plaisir.
Claire se redresse et m’enlève mon corsage, à mon habitude je n’ai pas de soutien gorge et ma poitrine apparaît nue à Claire, elle me caresse les seins, puis sa main descends vers mon ventre et arrive sur mon pubis. La main sur mon sexe, Claire montre sa surprise et son étonnement.
- T’es une cachotière, Leslie, tu es une transexuelle et moi qui me demandais pourquoi tu repoussais mes avances.
- Oui, Claire, mais il te faudra garder ce secret.
- Pas de souci ma chérie, mais en attendant cela fait si longtemps que je n’ai vu un sexe d’homme, laisses moi faire.
Elle me fait mettre debout et dégrafe la ceinture, puis baisse la fermeture éclair de côté de mon pantalon et m’aide à l’ôter, mon sexe tendu a peine contenu par mon string à la hauteur de son visage.
- Il gros ton sexe Leslie, dit Claire.
- Il est à toi, Claire si tu le veux.
Elle le sort du string, se penche dessus et de sa langue commence à me lécher le gland, prenant bien la hampe dans sa main, pour une lesbienne elle n’a rien oubliée des aventures passées dans les bras de ses amants.
- Hooo, ce membre, Leslie, tu me ramènes des années en arrière, je crois que je vais devenir bisexuelle en ta compagnie, avec un membre pareil tu dois faire des heureuses.
Sur ce, elle avale mon sexe jusqu'à la gorge et commença à bien me sucer tout en me branlant avec sa main, ressortant mon sexe tout luisant de salive et l’enfonçant à nouveau au fond dans sa gorge.
- Tu suces bien, Claire, pour une lesbienne tu me surprends; tu n’as rien oubliée de tes relations hétérosexuelles.
Ce compliment lui fait de l’effet et elle accélère sa fellation experte, je sens qu’à ce rythme elle va avoir raison de moi en peu de temps.
Elle se relève pour se mettre nue, puis elle se rassoie dans le fauteuil, cuisses écartées devant moi, je lui caresse les seins aux pointes dures de plaisir, elle s’enfonce dans le fauteuil et écarte encore plus les jambes en les posant sur les accoudoirs dans une position des plus indécente.
- Suces moi encore, me dit-elle dans un souffle.
J'ai avancé à nouveau ma tête vers son intimité ouverte et offerte, qui n'attend que ma bouche et ma langue pour s'ouvrir encore un peu plus, j’insère une nouvelle fois ma langue dans les replis de ses lèvres, et cherche son clitoris qui bande et se tend, sous la caresse de ma langue, la respiration de Claire s’interrompt pour laisser place à des soupirs de bonheur. Elle me presse alors la tête contre son pubis pour m’obligée à ne pas quitté son sexe qui s’ouvrait à mes lèvres et à ma langue, son souffle s'est fait court et son excitation est encore montée, elle m’allonge alors sur le canapé et se met en 69 sur moi, puis elle a pris mon sexe dans sa bouche gourmande, j'ai poussée un léger cri de plaisir et mon sexe est venu buter au fond de sa gorge. Elle à commencer à me sucer avec douceur pendant que je lui léchais la vulve et le clitoris, nous sommes restées ainsi un long moment à nous donner un plaisir mutuel qui nous faisait gémir.
Enfin elle s’est redressée et elle se positionne au dessus de mon sexe dressé, le sexe de Claire est trempé de désir, elle le prend en main et le dirige vers le sien et s’empale dessus, puis ruisselante de transpiration et le souffle court, son sexe emprisonnant le mien elle à commencer à monter et descendre tout accaparée à sa propre jouissance qui lui tirait des râles du fond de sa gorge.
Puis après s’être libérée de mon membre, elle s'est retournée et m'a tendu sa croupe, ouverte et prête à m'accueillir.
Sans me poser de question d'une main j’ai positionnée mon sexe à l’entrée de son petit trou, à l’orée de son anneau fripé et légèrement ouvert et d'une simple poussée je lui ai pénétrée l’anus. Son anneau me serrait le gland au passage étroit, j’ai continuée ma poussée jusqu’à buter au fond de ses entrailles, le souffle court elle m’accueille au fond de ses entrailles et me demande d'aller le plus loin possible au fond d’elle, je la sodomise toujours plus vite avec frénésie. Avec son dernier cri de plaisir je me suis répandue en elle, lui remplissant les entrailles de ma jouissance.
Après m’avoir entrainée dans sa chambre elle à réclamée que je lui fasse une nouvelle fois l’amour, puis lovée l’une contre l’autre nous nous sommes endormies dans son lit.
Tout le restant de la semaine nous sommes restées ensemble et nous avons passées nos nuits à faire l’amour dans toutes les positions et dans tous nos trous respectifs, car Claire en lesbienne respectable avait tous les accessoires pour donner du plaisir à une autre femme, et c’est avec son gode-ceinture qu’elle me sodomisait avec joie.
A suivre……
Dans le cabinet d’architectes dans lequel je travaille, celui de Jacques, nous sommes cinq personne en plus de Jacques et de Chris, personne n’a jamais douté de ma féminité croyant que je suis la cousine de Chris, c’est ce que Jacques répond à chaque fois qu’une question, sur ma personne, vient perturber notre tranquillité.
Claire est la collaboratrice directe de Jacques, sa confidente et son ancienne maîtresse, une belle brune, à l’aube de la quarantaine elle arbore un physique plein de sensualité, lesbienne affirmée que je ne laisse pas indifférente.
Plusieurs fois elle me fit des avances en m’invitant à aller boire un verre ensemble, je refusais pudiquement pour ne pas mettre le cabinet et Jacques dans l’embarras d’une aventure inter professionnelle. Mais en cette fin d'après midi je sentais Claire tourner autour de moi, alors que j’étais à mon bureau travaillant sur un dossier, elle vint s’installer en face de moi pour feuilleter une revue, elle s’assit dans le fauteuil d’attente et, croisant les jambes je vis sa jupe de tailleur se relever sur ses cuisses à la limite de la fin des bas et de sa peau nue, elle en profita largement de sa position pour décroiser et recroiser ses jambes, me découvrant sans pudeur le haut de ses cuisses et sa petite culotte noire.
- Tout en feuilletant le magazine je l’entendis me dire :
- Le spectacle te plait, Leslie.
- Claire, il faut dire que je profite de ce qui m’est offert, je réponds.
- Alors je m’offre, me dit-elle.
Elle décroise très lentement la jambe, de façon à s’offrir à mon regard, puis ouvre ses cuisses dévoilant la lisière des bas sur ses cuisses et de son string masquant à peine son intimité, puis sa main se pose sur son pubis, elle s’offre indécente à mes yeux.
- Tu sais, me dit elle, tu me plais et tu le sais, j’ai envie de toi depuis que je t’ai vue rentrée dans l’agence et ce soir je n’en peu plus d’attendre un geste de toi, je te désire et je me lance, oh Leslie, laisses moi un espoir, viens prendre un verre avec moi.
Claire m’avait allumée et je la sentais pleine de désire cette lesbienne, elle n’allait pas être déçue et j’acceptais l’invitation à la grande joie de Claire, j’étais justement habillée pour sortir, corsage blanc transparent sur ma poitrine nue avec un pantalon à pince et une veste de tailleur assorti.
Nous nous levons et partons aussitôt vers un pub pas loin.
Installées dans un coin discret du pub, nous dégustons notre boisson en parlant, Claire n’arête pas de me confier ses désirs et son attente intenable, elle est joyeuse près de moi, elle se rapproche de moi sur la banquette sa cuisse touche la mienne, mais Claire n’ose pas aller plus loin, elle attend que j’accepte le contact physique et que j’aille plus loin dans le contact lui donnant mon accord sur la suite de cette relation naissante.
Elle est collée à moi dans l’ambiance feutrée de ce pub, alors je pose ma main sur son genou et lui caresse doucement la cuisse, je sens Claire qui me désire, elle se laisse aller les yeux mi-clos appréciant la caresse tant attendue, ma main remonte le long de sa cuisse, Claire soupire lorsque j’atteins son pubis, je sens ses grandes lèvres au travers de la fine étoffe de sa culotte, elle se trémousse sous ma caresse, mon geste lui fait savoir que maintenant que je suis d’accord pour aller plus loin dans cette relation, mais rien ne presse et elle veut profiter de tous les instants avec moi, se relevant le souffle court, elle me dit :
- Bon Leslie, maintenant si nous allions dîner.
- D’accord Claire, allons-y.
- En se levant, elle dépose un baiser sur mes lèvres et nous partons diner dans un petit restaurant pas très loin, et dans un endroit isolé nous dinons comme deux lesbiennes amoureuses. Après un diner simple, nous sortons pour échanger sur le trottoir de longs baisers profonds, sans même nous occuper des passants qui nous regardent en nous croisant. Je décide alors que ce soir je n’irais pas chez Claire pour prendre un dernier verre et finir la nuit dans ses bras et faire l’amour, j’ai simplement envie de la laisser me désirer et de la laisser pleine de désirs cette nuit.
Je la raccompagne en lui tenant la taille, comme si nous étions des amantes de longue date, arrivées au pied de chez elle je lui souhaite bonne nuit, dans un dernier soupir de déception elle me dit :
- J’ai une envie folle envie de me faire baiser et même enculer, j’adore çà et si tu le veux je m’offre à toi.
- Non Claire pas ce soir, je lui réponds, je préfère rentrer seule.
- Bien, me dit elle, il ne me reste plus qu’à me donner du plaisir, seule, avec les doigts, à demain ma chérie.
Après m’avoir donnée un dernier baiser, elle disparaît dans le hall de son immeuble.
Nous sommes allées, le lendemain, à un rendez vous avec Claire dans le cadre du travail, heureuses d’avoir décrochées un contrat nous rentrons à l’agence. Je conduis la voiture et Claire est installée à mes côtés, je me dis que l’occasion est trop belle pour ne pas profiter de cet instant et savoir ce que Claire est prête à accepter, suite à notre diner d’hier soir.
Je pose ma main sur la cuisse de Claire et remonte la jupe de son tailleur découvrant ses bas retenus par un porte-jarretelles, elle ne dit rien et me regarde avec un sourire coquin.
Ma main caressait sa cuisse, et monte, mes doigts sont à la lisière du bas, ils frôlent sa peau nue, elle ne dit rien mais écarte légèrement ses jambes, ma main remonte vers son pubis et mes doigts caressent le string en dentelle, alors elle écarte franchement ses cuisses avec un petit gémissement.
Claire à l’air d’apprécier le passage de mes deux doigts sur sa fente, puis je passe les doigts sous l'élastique et trouve la peau épilée et lisse de ses lèvres intimes.
- Ohhh, Leslie, que fais-tu, me demande t’elle.
- Remontes ta jupe, lui dis-je, que je vois si l’autre soir tu ne me mentais pas.
Claire s'exécute remonte sa jupe et avance son bassin au devant de ma main, après quelques caresses Claire retire son string et m’offre sa chatte ouverte de désirs, mes doigts caressent son clitoris, et je le fais rouler sous mes doigts lui arrachant de longs soupirs. Je la branle et elle me dit :
- Je vais jouir, comme c'est bon, tu me branles bien.
Je continue à la branler et soudain, je la sens se tendre et elle laisse échapper un long feulement puis un cri, jouissant sur mes doigts.
Elle ne me donna pas la réplique car me refusant à elle dans cet instant, sous prétexte d’être presque arrivée à l’agence, de plus je voulais prolonger cet instant qui la laissais me désirer comme une femme, mais sachant bien que ce ne serait que partie remise, Claire n’est pas de ces femmes à laisser tomber au premier refus.
La journée c’est terminée laissant Claire sur ses désirs et j’ai sentie beaucoup de déception lorsque je lui ai souhaitée une bonne soirée avant de m’éclipsée, j’allais ce soir là avec Chris au théâtre, une soirée prévue de longue date.
Le lendemain Claire n’arrête pas de tournée autour de moi, et à la fin de la journée elle vient vers moi et me dit :
- Viens, Leslie, maintenant que tu m’as bien allumée j’ai trop envie de toi.
Je la suis et nous sortons de l’agence, puis comme si c’était prévu elle m’entraîne chez elle, frémissante, les yeux brillants de désir.
En chemin je sens que Claire est excitée, elle me serre le bras comme si elle avait peur que je la quitte, elle me fait par de ses désirs et de son attente envers moi, je la sens amoureuse et prête à se donner.
Arrivées chez elle, Claire s’installe dans le fauteuil, elle est déchainée, elle remonte sa jupe et écarte ses cuisses pour se caresser, je la vois passer la main sur son pubis au travers de l’étoffe de son string, elle me regarde droit dans les yeux et me dis :
- Viens, Leslie, ne me fait plus attendre.
Je m’avance vers elle et je m’agenouille entre ses cuisses et pose mes lèvres sur sa cuisse à la limite du bas, elle me laisse faire émettant un soupir, je continue à remonter vers son pubis et elle avance son bassin vers moi, ma bouche est sur son mont de Vénus, elle frémit, puis impudique écarte d’un doigt son string pour m’offris son sexe aux lèvres épilées et humides.
Je plaque ma bouche à son sexe et cherche son clitoris avec ma langue, mes lèvres le trouvent dur et excité émergeant de sa gangue, je suce son clitoris et avale sa jouissance déjà présente.
- Oui, lèches- moi Leslie, c'est bon j’adore ça.
- Oui Claire je t’adore aussi.
- Leslie tu me fais mouiller comme une dingue, depuis le temps, c'est divin, continues.
Elle gémit, écarte ses cuisses encore plus et encore plus écartée elle m’offre sa chatte trempée de désir.
D'un coup d'œil, je la vis dégrafer son chemisier et son soutien gorge, se toucher les seins d'une main, l'autre se posant sur ma tête et pressant ma tête sur son intimité.
- Waouh, Leslie, continues tu vas me faire jouir.
Tout en continuant à la sucer je lui enfonce mon majeur dans sa fente et commence à le faire coulisser, j’aspire son clitoris bandé, de l’autre main avec mon index je lui caresse la raie, excitant son anus frémissant, ma bouche plaquée sur sa vulve.
Soudain, je la sens se tendre, un long feulement s’échappant de ses lèvres entrouvertes, Claire jouit sous ma langue et crie son plaisir, puis elle reprend doucement ses esprits après cette jouissance, je me redresse et la regarde indécente et impudiquement offerte, cuisses écartées exhibant sa vulve humide de son plaisir.
Claire se redresse et m’enlève mon corsage, à mon habitude je n’ai pas de soutien gorge et ma poitrine apparaît nue à Claire, elle me caresse les seins, puis sa main descends vers mon ventre et arrive sur mon pubis. La main sur mon sexe, Claire montre sa surprise et son étonnement.
- T’es une cachotière, Leslie, tu es une transexuelle et moi qui me demandais pourquoi tu repoussais mes avances.
- Oui, Claire, mais il te faudra garder ce secret.
- Pas de souci ma chérie, mais en attendant cela fait si longtemps que je n’ai vu un sexe d’homme, laisses moi faire.
Elle me fait mettre debout et dégrafe la ceinture, puis baisse la fermeture éclair de côté de mon pantalon et m’aide à l’ôter, mon sexe tendu a peine contenu par mon string à la hauteur de son visage.
- Il gros ton sexe Leslie, dit Claire.
- Il est à toi, Claire si tu le veux.
Elle le sort du string, se penche dessus et de sa langue commence à me lécher le gland, prenant bien la hampe dans sa main, pour une lesbienne elle n’a rien oubliée des aventures passées dans les bras de ses amants.
- Hooo, ce membre, Leslie, tu me ramènes des années en arrière, je crois que je vais devenir bisexuelle en ta compagnie, avec un membre pareil tu dois faire des heureuses.
Sur ce, elle avale mon sexe jusqu'à la gorge et commença à bien me sucer tout en me branlant avec sa main, ressortant mon sexe tout luisant de salive et l’enfonçant à nouveau au fond dans sa gorge.
- Tu suces bien, Claire, pour une lesbienne tu me surprends; tu n’as rien oubliée de tes relations hétérosexuelles.
Ce compliment lui fait de l’effet et elle accélère sa fellation experte, je sens qu’à ce rythme elle va avoir raison de moi en peu de temps.
Elle se relève pour se mettre nue, puis elle se rassoie dans le fauteuil, cuisses écartées devant moi, je lui caresse les seins aux pointes dures de plaisir, elle s’enfonce dans le fauteuil et écarte encore plus les jambes en les posant sur les accoudoirs dans une position des plus indécente.
- Suces moi encore, me dit-elle dans un souffle.
J'ai avancé à nouveau ma tête vers son intimité ouverte et offerte, qui n'attend que ma bouche et ma langue pour s'ouvrir encore un peu plus, j’insère une nouvelle fois ma langue dans les replis de ses lèvres, et cherche son clitoris qui bande et se tend, sous la caresse de ma langue, la respiration de Claire s’interrompt pour laisser place à des soupirs de bonheur. Elle me presse alors la tête contre son pubis pour m’obligée à ne pas quitté son sexe qui s’ouvrait à mes lèvres et à ma langue, son souffle s'est fait court et son excitation est encore montée, elle m’allonge alors sur le canapé et se met en 69 sur moi, puis elle a pris mon sexe dans sa bouche gourmande, j'ai poussée un léger cri de plaisir et mon sexe est venu buter au fond de sa gorge. Elle à commencer à me sucer avec douceur pendant que je lui léchais la vulve et le clitoris, nous sommes restées ainsi un long moment à nous donner un plaisir mutuel qui nous faisait gémir.
Enfin elle s’est redressée et elle se positionne au dessus de mon sexe dressé, le sexe de Claire est trempé de désir, elle le prend en main et le dirige vers le sien et s’empale dessus, puis ruisselante de transpiration et le souffle court, son sexe emprisonnant le mien elle à commencer à monter et descendre tout accaparée à sa propre jouissance qui lui tirait des râles du fond de sa gorge.
Puis après s’être libérée de mon membre, elle s'est retournée et m'a tendu sa croupe, ouverte et prête à m'accueillir.
Sans me poser de question d'une main j’ai positionnée mon sexe à l’entrée de son petit trou, à l’orée de son anneau fripé et légèrement ouvert et d'une simple poussée je lui ai pénétrée l’anus. Son anneau me serrait le gland au passage étroit, j’ai continuée ma poussée jusqu’à buter au fond de ses entrailles, le souffle court elle m’accueille au fond de ses entrailles et me demande d'aller le plus loin possible au fond d’elle, je la sodomise toujours plus vite avec frénésie. Avec son dernier cri de plaisir je me suis répandue en elle, lui remplissant les entrailles de ma jouissance.
Après m’avoir entrainée dans sa chambre elle à réclamée que je lui fasse une nouvelle fois l’amour, puis lovée l’une contre l’autre nous nous sommes endormies dans son lit.
Tout le restant de la semaine nous sommes restées ensemble et nous avons passées nos nuits à faire l’amour dans toutes les positions et dans tous nos trous respectifs, car Claire en lesbienne respectable avait tous les accessoires pour donner du plaisir à une autre femme, et c’est avec son gode-ceinture qu’elle me sodomisait avec joie.
A suivre……
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