Leslie transexuelle chapitre 40 - histoire érotique

CHAPITRE 40 – Aicha, l’aventure suite et fin.

Aicha est revenue, à ma plus grande joie, sans prévenir elle vient d’arriver à la maison, et les souvenirs du passé reviennent en moi, elle est là devant moi, désirable comme je l’ai gardée dans ma mémoire, je suis nue comme à mon habitude, offerte aux regards de mon ancienne amante.
- J'avais tellement envie de te revoir, me dis Aicha.
- C’est réciproque, je ne t’ai pas oubliée, lui dis-je.
- Comme tu es belle Leslie, me dit-elle, avec un regard brillant.
- Tu es pas mal non plus Aicha, encore plus belle peut-être.
- Le désir, qui sait, me réponds t’elle.
Sur ces mots, Aicha se rue sur moi et m'embrasse à pleine bouche, nos corps n’ont rien oubliés et nous nous retrouvons comme si notre dernière étreinte venait de finir, je suis excitée de la revoir et de la tenir à nouveau dans mes bras, mes mains caressent tout son corps et je m’empare de ses fesses à pleines mains, elles sont toujours fermes et cambrées.
Je passe mes mains sous le tissu de sa robe et trouve sa peau nue, elle ne porte rien sous cette robe très légère, elle me regarde droit dans les yeux et me dit :
- Je t’aime, Leslie, je t’aimerais toute ma vie.
- Tu es nue sous ta robe.
- Oui je voulais te faire cette surprise afin que je sois toute à toi, pleine de désirs.
- C’est une belle surprise, que je lui réponds.
- Oui, tu sais Leslie, je suis lesbienne, mais depuis que je t’ai rencontrée, je ne cesse de penser à toi, mes amantes ne me donne pas le plaisir que tu as éveillé en moi, et mon corps te réclame, je suis à toi, prends moi Leslie.
Sur ces mots, je pose ma main sur son pubis épilé et approche deux doigts de sa fente, et les insèrent profondément en elle, elle gémit de plaisir et de surprise en se cambrant encore plus.
- Oh oui Leslie, prend moi avec tes doigts, enfonce les en moi.
Pendant que j’enfonce mes doigts, elle halète. Ma belle Aicha prend déjà son pied, je déboutonne son chemisier afin de dégager sa poitrine nue sous le fin tissu, sous mes caresses, Aicha se trémousse de bonheur et crie son plaisir, elle est déchainée de tant de privations, et du plaisir que ses amantes féminines ne lui ont pas donné, ce plaisir qu’elle attendait.
- Oh oui, doigtes moi bien profond, Waouh, c’est bon, je vais jouir !
Et dans un long gémissement, elle rajoute :
- Oh, oh, je jouis.
Ma main est alors inondée de sa jouissance, Aicha m'embrasse et me dit avec un regard langoureux :
- Tu m'as bien fait jouir, à mon tour maintenant,
Et elle s’empare de ma queue à pleine main, et s'agenouille ma queue toujours dans sa main et commence à me branler doucement. Puis sa bouche grande ouverte elle avale mon gland, puis après avoir passée sa langue sur le pourtour de mon gland, elle s’enfonce mon membre au plus profond de sa gorge, elle accélère le rythme et je pose mes mains sur sa tête pour enfoncer mon membre et lui donner le rythme. Elle me pousse pour me faire asseoir dans le canapé et me reprend aussitôt dans sa bouche, elle set à quatre pattes entre mes jambes, me penchant en avant je lui caresse les fesses, et rapproche mes doigts de son anneau secret, Aicha glousse de bonheur et se cambre à la caresse, son anus s’ouvre sous mon doigt, qui rentre facilement dans sa rondelle.
Aicha me suce comme une dingue prise de frénésie, elle st déchaînée, puis, se redressant et me regardant droit dans les yeux elle me dit :
- Défonce-moi, ma chérie.
Elle s’allonge sur le tapis, les jambes grandes ouvertes, sa chatte grande ouverte, je m’enfonce en elle jusqu'à la garde, ses jambes posées sur mes épaules, et la pistonne à grands coups de rein, elle crie :
Oui, oui, oui, encore, vas-y baise-moi Leslie d’amour, oh oui, comme c’est bon, je vais jouir.
Je sens qu’elle désire changer de position et me retire d’elle, elle s'agenouille sur le tapis, le ventre contre le canapé, la tête dans les coussins, cambrée elle me présente ses fesses.
- Prends-moi comme ça.
Je pénètre à nouveau sa chatte, elle émet un feulement de plaisir, et je la prends ainsi vigoureuse mes mains sur ses hanches, je l’attire à moi afin qu’elle s’empale sur mon sexe, et elle jouit. Je vais lui remplir les deux trous, et j’accélère mes coups de reins et j’éjacule lui tirant des cris de jouissance.
Elle reste ainsi offerte, je sors de sa chatte et présente mon gland luisant sur son œillet, elle est parcourue d’un frisson et sa rosace frémit au bout de mon gland,
Elle prend mon sexe dans sa main et le tient fermement à l’entrée de son étroit boyau, comme pour mieux le guider, puis, doucement elle se pénètre le cul de mon sexe jusqu'à la garde, je laisse faire. Elle reste un instant immobile, haletante, mon membre est enserré dans son étroit boyau, elle commence de petits mouvements de va et vient, mes mains plaquées sur ses fesses l'accompagne, elle accélère le rythme, les muscles de son cul se resserrent sur de la base de mon sexe, ils me serrent et me relâchent, Aicha prend un malin plaisir à ce jeu, elle se sodomise sur mon membre et je jouis au fond de son cul, tandis qu’d'Aicha pousse un long gémissement de plaisir.
Ma queue encore dure enfoncer dans son cul, elle me dit :
- Je t’aime.
C’est ainsi que le sommeil nous à emporté, incrustée dans les reins d’Aicha desquels je ne pouvais me retirer.
Le lendemain nous sommes parties pour deux semaines, toutes les deux, nous promenées dans la nature et découvrirent ensemble cette merveilleuse Provence, caressant nos corps et multipliant les plaisirs sous nos caresses mutuelles à chaque occasion, ivres des jouissances de nos corps enlacés et des plaisirs partagés dans ces instants.
Ces deux semaines passées ensemble furent merveilleuses et remplies d’un bonheur que nous désirions éternel, comme si nous savions que le temps nous était impartit, et que nous devrions nous quittées le lendemain, nous n’avons pas manquées une occasion de faire l’amour.
Rentrées à la maison, Aicha resta encore quelques temps, partageant ses jours et ses nuits entre Chris et moi comme auparavant lors de ma première rencontre avec elle, j’étais heureuse entre mes deux amantes, puis un jour, elle est partie laissant un grand vide dans ma vie, juste avant que je lui dise que je l’aimais moi aussi.

Cet après-midi j’ai reçu un appel téléphonique de mon amie Aicha, qui me disait-elle, désirait me voir étant pour quelques jours à Marseille, elle me donna les coordonnées de son hôtel et me demanda de la rejoindre le soir même, cette nouvelle me rendis très heureuse et c’est avec beaucoup d’allant que je me prépare pour aller retrouver Aicha. C’est avec rapidité que je me suis faite belle et que je suis partie retrouver mon amante, que certainement au fond de moi j’aimais sans vraiment me l’avouer.

Arrivée à l’hôtel, je suis montée directement dans la chambre d’Aicha qui m'ouvrit en peignoir court et léger, elle me fit renter et nous nous retrouvons debout dans la chambre d’hôtel.
Sans préambule, comme si nous nous étions quittée la veille, elle m'embrasse violemment, et masse mon sexe, elle est super excitée, elle laisse tomber son peignoir et se retrouve nue contre moi.
Elle sourit de ma surprise, et me déshabille rapidement.
Elle me caresse tout le corps prise de frénésie et s’agenouillant, elle me prend dans sa bouche, alternant une prise en sa gorge et le léchage de ma hampe, puis me léchait le gland, avant de me reprendre entièrement dans sa bouche, tout en se caressant sa chatte complètement imberbe.
Je la relevai, et l'entraînai sur le lit de sa chambre, où elle se coucha sur le dos.
Je vins me poster à genoux entre ses jambes, et tout en caressant ses seins d'une main, j'utilisais l'autre pour frotter ma queue contre sa vulve, ce qui la fit réagir par des feulements de plaisir, je fis passer ses jambes sur mes épaules, pour la pénétrer d'une traite dans son vagin serré, je me mis à pilonner pour la faire jouir une première fois sous ses cris puis elle se mit à quatre pattes pour une levrette, je lui fit une nouvelle fois l’amour dans cette position, elle se laissait prendre, hurlant son plaisir.

Je ralentis mon rythme pouvoir caresser sa rosette offerte, la réaction est immédiate, l'anneau plissé se contracte et s'écarte sous ma caresse, je la pénètre d’un doigt sans difficulté, je sais qu’Aicha aime ça et se met à pousser son cul sur mon doigt.
Toujours à quatre pattes sur le lit, Aicha me dis alors qu'elle souhaite venir sur moi, je sur le dos elle s’empale sur mon membre, je vois mon sexe entrer et sortir de sa chatte rasée, tandis qu’elle monte et descend. Aicha après quelques allers-retours sur ma hampe, se relève pour faire jaillir mon sexe de son vagin, et le poster à l'entrée de ses fesses, elle me regarde dans les yeux et tout en maintenant fermement ma queue, la laisse glisser dans ses entrailles, elle gémit un peu, puis mon sexe enfoncé jusqu'à la garde elle s'arrête de bouger pour me sentir entier au fond d’elle, mon sexe est pris dans l’étau de son cul, les parois resserrées de son anus pressent ma queue, et dans un même élan de désir nous nous déchainons dans une sodomie sauvage en hurlant notre plaisir. Puis je me déverse dans ses entrailles pendant qu'elle me dit qu'elle adorer sentir se faire remplir le cul.
On se coucha peu de temps après pour nous endormirent dans les bras l’une de l’autre, nos corps toujours frémissants de plaisir après cette soirée merveilleuse.
Nous sommes restées dans le lit toute la matinée, couchées à lire et de temps à autre nous à échanger un baiser ou une caresse, l’ambiance est douce et nous profitons de cet instant comme si ce devait être le dernier.

Je me suis réveillée et j’ai doucement préparée le petit déjeuner, puis j’ai pris une douche en prenant soin de laisser dormir Aicha. Alors que sort de la salle de bains une serviette autour de la taille, Aicha réveillée se tient assise sur le lit, nue et impudique, réveillant en un instant les désirs enfouis au fond de moi.
Je m’assoie au bord du lit près de mon amante.
Bonjour ma belle, lui dis-je.
- Oh, Leslie tu es déjà debout.
- Oui, le café est prêt, mais sais tu que je te trouve tellement attirante Aicha, lui dis-je doucement, et de plus j’aime ton coté sauvage.
- Oh chérie, c'est vrai que j'aime me faire prendre sauvagement, et je pense être amoureuse de toi, j'ai envie d’être avec toi et que nous fassions l’amour longtemps et souvent.
Sur ces mots, Aicha approche son visage du mien et m'embrasse, ce baiser est léger, puis devient endiablé ou nos langues se mélangent, je suis terriblement excitée et caresse de mes mains tout son corps.
Elle me caresse tout le corps et frôle mon sexe pour vérifier l’état de mes désirs, de mon côté je rapproche deux doigts de sa fente et les enfonce profondément, elle crie de plaisir sous la surprise et se cambre encore plus.
- J'aime qu'on me prenne par surprise comme ça, me dit-elle haletante.
J’enfonce profondément et violemment mes doigts dans sa chatte pendant qu'elle halète, aicha commence à prendre son pied, Aicha est en transe et elle crie son bonheur, mes doigts fichés dans sa chatte.
- Oh oui, doigtes moi bien profond, j'adore ça, Aicha m'embrasse langoureusement et me dit :
- Oh ma chérie, tu m'as bien excitée, mets-toi debout que je te suce !

Je me lève et mets debout devant elle, mon sexe à hauteur de ses lèvres.
Elle se met sur le bord du lit face à moi, et prend ma queue dans sa main et commence à me branler doucement, tout en continuant sa masturbation, elle me lèche sur toute ma longueur avant d'arriver à mon gland, puis la bouche grande ouverte elle vient gober mon gland, elle me suce en me regardant dans les yeux, tout en essayant de m'enfoncer plus loin et plus profondément en elle.
Elle accélère le rythme et je pose mes mains sur sa tête pour enfoncer mon membre dans sa bouche et lui imposer la cadence, je vais jouir et je me retire, mais elle me reprend en bouche pour me sucer de plus belle, j’explose et je jouis au fond de sa gorge, Aicha avale ma semence.
- J’en veux encore, me dit-elle le regard planté dans le mien.
Ses yeux brillent de désir, je m’assoie sur le lit et Aicha vient se mettre à quatre pattes entre mes jambes pour sucer à nouveau et me faire rebander, installée comme elle est je me penche pour lui caresser les fesses, je reprends doucement vigueur sous la bouche de mon amante et j’en profite pour rapprocher mes doigts de son anneau secret.
Lorsque je l'atteins, Aicha commence à feuler comme un petit animal, mon index est maintenant posé sur son trou et je le fais doucement pénétrer dans son boyau intime, mon doigt rentre facilement dans son anus, je sais qu’Aicha apprécie cette pénétration anale qui lui fait perdre la tête.
- Je te veux en moi, me dit-elle.
Elle se couche alors sur le dos les jambes grandes ouvertes, sa chatte offerte et je la pénètre d'un seul coup de rein jusqu'à la garde, ses jambes posées sur mes épaules, elle hurle son cri de bonheur, et mes va et vient la font hurler de plaisir.
Aicha, t'aime ça faire l’amour avec moi ?
- Oui, baises-moi Leslie, vas-y je vais jouir.
Elle jouit, son corps parcouru par les spasmes du plaisir, puis elle s’agenouille sur le lit à quatre pattes, cambrée au maximum, me présentant ses fesses.
- Prends-moi encore, me dit-elle.
Debout derrière elle, je pénètre sa chatte d'un coup, lui arrachant à nouveau un feulement de plaisir, et je recommence à la pistonner les mains sur ses hanches pour la faire venir à moi, elle accélère le rythme en lançant violemment son corps contre le mien.
Je désire que tu te vides en moi, ce soir je veux que te recevoir dans tous mes trous, comme si nous devions ne plus nous revoir.
Elle sort mon sexe de sa chatte et le prend en main pour le diriger vers l'entrée de sa grotte étroite, et doucement je pénètre son cul jusqu'à la garde, elle reste un instant immobile, haletant doucement, ma queue est prise dans son fourreau étroit, elle commence alors de petits mouvements de va et vient, mes mains plaquées sur ses fesses pour l'accompagner, elle accélère le rythme, ses sphincters me serrent le membre et me relâchent pour que je ressorte d’elle et je jouis je me déverse au fond de son cul, pendant qu’Aicha émet des cris de plaisir.

Plus tard pleine de pensées je dois quitter Aicha, elle restera dans ma mémoire pour tous ces instants passés ensemble, mais je dois avouer que je désire la revoir et revivre ces instants de complicité avec elle, c’est cela que je me dis au petit matin quand je me sépare de mon amante.

A suivre……