Leslie, transexuelle chapitre 5
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2008 dans la catégorie Fétichisme
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Leslie, transexuelle chapitre 5
CHAPITRE 05 – Jacques.
Mon premier homme, Jacques.
Dès le lundi, Jacques et Chris partirent en en ville ensemble et ils revinrent le soir avec un cadeau pour moi, et surprise je découvris le plug qu’ils avaient achetés.
- C’est pour mieux préparer ton petit trou, me dit il, tous les godes de Chris et celui de samedi que t’a enfilé Chris sont vraiment trop fins pour que tu sois prête à faire l’amour avec d’autres amants qui seront bien membrés et si tu n’es pas préparée ils pourraient te déchirer les sphincters, mais en le portant jusqu’à la fin de semaine tu seras ouverte juste ce qu’il faut pour samedi.
- Dis moi Jacques, dis je, tu n’aurais pas une idée derrière la tête par hasard.
- Non pas par hasard, Leslie chérie, cela fait un moment que je rêve de te prendre le cul, et si tu t’offrais à moi et que je sois ton premier homme alors…
- Alors quand tu veux, Jacques, je t’offre ma rondelle jamais visité par un pieu de chair elle est à toi et tu en disposeras quand tu veux, mais il est vrai que tu es super monté et que je risque de déguster.
- Alors ne perdons pas de temps fais voir ton cul, je vais te préparer.
Ecoutant Jacques je lui présente mon cul et aussitôt Chris enduit ma rondelle de gel, ce plug ils me l’enfoncèrent ensemble, non sans mal je dois le confesser, car il est vrai que je suis particulièrement serrée du cul, je suis étroite, et si au début tout allait pour le mieux, il a fallut qu’ils poussent pour le rentrer en entier en moi, la partie la plus évasée ayant du mal à être acceptée, mais quel délice quand il fut en entier en moi, mon anneau se refermant sur la tige plus étroite, l’emprisonnant pour qu’il ne sorte plus. Et je l’ai conservé en moi nuit et jour comme me l’avait conseillé Jacques, jusqu’au samedi, ne le retirant que pour les occasions particulières.
Nous sommes ressortis le samedi, et comme la première fois tout le monde nous regardaient, rien n’était différent si ce n’est que j’étais habitée, par le fondement, du cadeau de mes complices, le plug. La soirée fut délicieuse, mais j’étais de plus en plus impatiente de terminer cette soirée et de renter pour vivre une nouvelle expérience.
Arrivés à la maison, mon impatience était à son comble, j’étais littéralement hors de moi, enfin Chris me prenant par la main m’emmena directement dans la chambre de Jacques, ou elle entreprit de mettre nue. En un rien de temps je me suis retrouvée nue debout au milieu de la pièce et Chris fit de même pour elle se déshabillant en un rien de temps, nous étions nues toutes les deux au milieu de la chambre, près du lit de Jacques.
Chris s’est assise sur le bord du lit et ma prise dans sa bouche, pendant qu’elle me suçait elle passa ses mains sur mes fesses et les écartant légèrement elle me retira le plug du cul, me laissant vide du derrière.
C’est à ce moment que deux mains se sont posées sur ma poitrine par derrière, me prenant mes deux globes, Jacques venait de faire son apparition, J’ai vite senti qu’il était entièrement nu, car sa virilité frottait sur mes fesses nues. Retournant la tête vers lui il me posa ses lèvres sur les miennes et força ma bouche de sa langue afin de m’embrasser à pleine bouche. Chris me suçait de plus belle, jacques passa une main dans la raie de mon cul et de son doigt vérifia si le plug avait fait l’effet escompté, je sentais son majeur m’investir, c’était délicieux.
- Notre petite Leslie est fin prête Chris, dis Jacques.
- Chris se plaça sur le dos au milieu du lit, et je me plaçais à l’envers, mes genoux de part et d’autre de la tête de Chris, cela fit que ma queue pendait au dessus de sa tête, elle en profita pour reprendre sa fellation. Je sentis à nouveau la présence de Jacques dans mon dos et pendant qu’il embrassait ma nuque je sentis un de ses doigt investir mon trou du cul, il me vrillait l’anus de son doigt inquisiteur, puis deux et après trois…..Jugeant certainement que j’étais prête, il demanda à Chris de bien m’ouvrir les fesses des deux mains, ce qu’elle fit tout en continuant sa fellation,
- Comme il est magnifique ton petit trou plissé Leslie, dis Jacques, il ne demande qu’à être investit, et puis tu es indécente ainsi le cul entrouvert, un véritable appel à la fornication,
- Oh, Jacques ne me fait plus attendre ainsi, dis-je dans un souffle.
Il plaça alors son gland à l’entrée de mon cul qui frémissait ou d’envie, ou d’appréhension.
-Leslie, me dit il, laisse toi faire je vais être le plus doux possible.
Et joignant la parole au geste, me tenant fermement par les hanches, les fesses toujours ouvertes par Chris, il se mit à pousser, je sentais mes chairs comprimées sous la poussée du mandrin de Jacques et je m’ouvrir doucement, j’avais un peu mal mais très supportable pour le moment.
- Mon gland est presque passé, me dit il, cela va être plus facile après, tu vas voir…..
- Ohhh, Jacques prend moi comme une femme, lui dis-je.
- J’en ai bien l’intention Leslie d’amour, ma petite salope que j’aime.
- Oui, je suis ta petite femme chérie, prend moi je t’appartiens pour la nuit.
- Et moi, dis Chris.
- T’inquiètes pas tu auras aussi ton moment, dit Jacques, mais chaque chose en son temps, pour l’instant suces et toi Leslie caresse lui la chatte et son bouton, tu peux même lui mettre un doigt dans le cul, ainsi elle sera préparée pour plus tard.
Pendant tout ce temps la, Jacques continuait à pousser son gland dans mon cul, qui continuait de s’ouvrir sous la pression.
- Waouh, Jacques tu es trop large, tu vas me déchirer, arrêtes, dis je en soufflant, la sueur perlait déjà de mon front.
- Attention j’y suis presque, dit Jacques.
Tout en disant cela il me mit un petit coup de rein ferme, qui irradia une douleur dans mon cul et me fit savoir que son gland avait passé mon étroit anneau, je demandais une pose, qu’il fit volontiers. je souffle avec une drôle de sensation dans le cul, encore un instant, puis je sens que Jacques reprend la progression de son membre dans mon cul, je sens les centimètres qui rentrent, il ne m’a rentré que la moitié et je ne sais si je pourrais accepter et endurer l’autre moitié, mon cul commence à me brûler et il me faut une nouvelle pose.
Je me sens cassée en deux et je n’ai pas encore Jacques en entier en moi, mais la pause est finie et Jacques d’un seul coup me rentre le reste dans ma rondelle distendue, je suffoque mais il est en entier en moi et me le fait savoir triomphant.
Nous restons un long moment ainsi sans bouger, m’habituant au corps étranger qui me vrille le cul, même Chris s’est arrêter gardant mon sexe dans sa bouche, regardant la queue de Jacques entièrement fichée en moi dans ma rondelle écartée, et ne remuant que la langue dans sa bouche autour de mon gland, je ne sais plus ou j’en suis et la tête me tourne.
Je sens Jacques bougé, il se retire doucement, puis revient au fond de moi, et recommence, encore et encore, il me lime le cul de son gros dard épais, la douleur s’estompe, laissant place au plaisir qui monte, je suis heureuse et enculée.
- Waouh, ton sexe me bourre bien Jacques, je me sens complètement écartelée.
- Oui ton petit cul est très serré, il faudra faire attention à le garder ainsi, les hommes adorent.
- Oui, Jacques j’écouterais tes conseils, mais en attendant défonces ma rondelle, toi mon premier enculeur.
- Tu as un cul super il me fait bander, et je vais devenir obsédé de ton cul.
- Il sera à toi aussi souvent que tu le désireras, Ohhh, la, oui comme ça, continue ainsi.
- Tiens prend et prend.
Encore et encore Jacques rentre et sort de mon cul, son sexe vibre et je sens mon cul se remplir d’un chaud liquide, Jacques vient de jouir en moi, il vient de se vider au fond de moi et je jouis dans la bouche de Chris qui avale tout, je suis cassée, mais heureuse, Jacques se retire me laissant béante et il offrit sa queue à Chris pour lui redonner de la vigueur, ce qui arriva au bout de quelques instants, et là, Chris voulut que Jacques lui fasse l’amour, ce qu’il fit sans se faire prier deux fois, puis qu’il la sodomise pour voir si elle préférait sa queue, plus tôt que la mienne, mais le cul possédé par le membre de Jacques, elle ne se prononça pas sur le sujet, mais nous demanda de la finir en sandwich, encore une fois n’ayant pas vraiment le choix nous réalisâmes sa demande, si Jacques m’avait demandé de lui faire le cul, la soirée aurait été complète, mais ce ne fut pas le cas, enfin pas cette fois.
Heureuse d’avoir reçue les faveurs d’un homme en moi je me suis endormie avec le sentiment que désormais ma vie serait maintenant différente.
Je suis l’amante de Jacques.
Le lendemain soir, Jacques m’invita à passer la nuit avec lui dans sa chambre, Chris était sortie et rentrerait tard.
Dès que nous sommes dans sa chambre, il sortit une nuisette noire, et me dit de ma passer.
Je me retrouvais en petite culotte et nuisette, qui ne cachaient strictement rien de mon intimité et de mes attributs, mais les mettaient plutôt en valeur sous le voile transparent. J’avais maintenant l’air d’une pute de maison close.
Jacques me prit par la main et m’entraîna sur le lit où nous nous allongeâmes, on se regarda en caressant tendrement nos corps, je dégageais le sexe de jacques et je pris l’initiative en m’approchant de sa bite, puis, la prenant en main je la caressais doucement, enfin la bite de Jacques se redressa.
Je pris sa tige en main et la flattais doucement en approchant ma bouche du beau gland rose. Je commençais en léchant le gland avec amour, puis refermais ma bouche dessus en glissant ma langue pour taquiner le méat. Ensuite, j’enfonçais ma bouche pour prendre entièrement sa tige. Jacques gémit sous ma caresse buccale. Je m’activais maintenant sur son chibre en caressant ses testicules Jacques, qui tenait ma tête pour que je le pipe à son rythme, me repoussa soudain :
- Arrête, ma chérie, tu vas me faire partir.
Je cessais ma fellation et lui demandais :
- Que veux-tu que l’on fasse alors ?
- Mets-toi à quatre pattes, ma puce…
Je le sentis baisser et enlever ma petite culotte, il s’enduit la queue avec une crème blanche, et me graissa la rondelle, son doigt étala la crème puis pénétra mon intimité en douceur, il en profita pour branler un peu ma queue raide. C’était troublant de sentir ce doigt me violer à nouveau les fesses, le lendemain de mon vrai dépucelage du cul, mais je commençais à aimer cela et allais au-devant de cette caresse en faisant ondoyer langoureusement mon cul. Jacques continuait, doucement pour m’habituer à la pénétration en enfonçant deux puis trois doigts pour bien m’élargir. Au bout de quelques minutes, je le priai de venir vite en moi.
- Viens me prendre, Jacques chéri; viens me baiser le cul avec ton beau sexe; je suis ta petite pute.
Jacques enlève alors ses doigts puis se place derrière moi et bientôt son gland fut contre ma petite rondelle qui frémit, je sentais le gland entrer doucement mais sûrement et violer le passage du sphincter, comme la veille. Jacques s’arrêta, une fois ma rondelle passée, pour m’habituer, puis s’enfonça lentement jusqu’à ce que je sente toute sa bite en moi et son pubis plaqué contre mes fesses. Puis il se mit à sortir et rentrer sa bite en venant chaque fois tout contre mes fesses. Je ne savais plus où j’en étais tellement cette sensation, encore légèrement douloureuse comme la veille, puis envoûtante, cela me mettait dans un état proche de l’évanouissement, Jacques continuait à bien me baiser en me caressant partout, mes fesses, mes hanches. Parfois, Jacques se penchait et frottait son buste dans mon dos tout en me caressant les seins ou en prenant mon sexe pour le branler quelques instants.
- Oh, que tu es bonne, ma chérie. Que ton cul est chaud et accueillant. Oh, ma Leslie, je sens que je vais jouir dans tes fesses. Tu m’excites tellement.
En effet, j’ai senti Jacques accélérer, puis il se figea au fond de mon intestin et râla en jouissant longuement dans mon cul.
Je le sentis ensuite sortir lentement son long sexe de mon trou. Puis, tendrement enlacées, nous nous allongeâmes sur le lit en nous embrassant longuement.
Jacques rompit le silence et me demanda :
- Veux-tu me la mettre aussi ?
- Jacques tu es bi ?
- Oui depuis longtemps, et si tu veux je suis d’accord.
- Bien, lui répondis-je, je vais bien t’enfiler, comme tu m’as bien baisée,
Comme je bandais, je me levai, puis, je me lubrifiai avec une noix de crème et m’approchai de Jacques. Il était allongé sur le dos au bord du lit, les jambes ouvertes. Je pris une autre noix de crème puis lui demandai de lever ses jambes pour que je puisse l’appliquer sur sa petite rondelle brune. Je le lubrifiai bien. Je rentrai un doigt, puis deux, enfin trois pour bien le préparer à mon clitoris plus épais que le sien et plus long. Une fois ces préparatifs doucement achevés, je pris ses jambes et les lui fis les poser sur mes épaules.
- Humm, à ton tour, de sentir les plaisirs de la pénétration. Je vais bien te faire jouir, tu vas voir.
Je pris ma bite et pressai mon gland contre son anus. Je cherchais à m’enfoncer doucement, mais je sentis très facilement ma queue entrer sans presque aucun effort dans son intestin. Bientôt, j’étais à fond dans ses fesses.
- Et bien, Jacques, ça rentre comme dans du beurre là-dedans.
- Oui, c’est vrai, encules-moi bien avec ton beau clitoris.
En caressant ses jambes, je me mis à lui pistonner langoureusement les fesses. Je le vis prendre sa bite en main et se masturber doucement. Elle avait repris sa belle taille de pine raide. Je baisai Jacques en gémissant de plaisir.
- Oh mon Jacques, je sens que ça vient. Je vais te jouir dans les fesses !
- Oui Leslie, tu vas me faire jouir avec ton clitoris. Comme c’est bon de se sentir une vraie femelle !
Je le baisais de plus en plus fort, sentant que j’allais jouir en lui. Puis je sentis mon foutre éclater en saccades dans son cul et je vis, en même temps, gicler de sa queue de longs traits de sperme qui atterrirent sur la nuisette noire.
Nous nous embrassâmes tendrement, puis nous endormîmes enlacés.
Les merveilleuses vacances de mes 18 ans prirent fin, et je retournais chez mes parents, Val m’attendait et me demanda de lui raconter mes expériences, puis le temps de faire mon sac, je la quittais pour la perdre pour une année, mais ce devait être ainsi, et il y avait Chris qui elle aussi partait faire un voyage d’études à Londres.
Mes parents ne se doutèrent de rien lorsque je rentrais après les congés, ils me trouvèrent transformée et en pleine forme, me voyant si heureuse de partir vivre chez Jacques et de rentrer dans son cabinet afin de m’apprendre le métier. Ils savaient aussi que Val viendrait me rejoindre l’année suivante, en tant qu’assistante de Jacques.
Il me tardait de retourner dans la maison de Jacques pour pouvoir vivre enfin en femme et me féminiser un peu plus.
Mon installation chez Jacques.
De retour à la maison de Jacques je m’installais et décorais ma chambre de nus érotiques montrant des femmes androgynes aux petits seins et petites fesses, dans des positions les plus équivoques possibles, dans cette chambre je me sentais bien, je savais que j’allais me plaire et que désormais ma vie allait être différente.
Pendant cette année, seule auprès de Jacques je réalisais tous les phantasmes que j’avais dans la tête.
Je vivais désormais entièrement nue dans la maison donnant à Jacques à l’occasion de nos brèves rencontres dans la maison, soit de me taper les fesses, soit de m’enlacer l’espace d’un baiser ou parfois de passer une main dans ma raie et de rentrer un doigt dans mon trou du cul. Jacques ne pouvant s’empêcher de me toucher sous prétexte qu’il me trouvait fort à son gout, et souvent comme des amants nous sortions le soir, moi en femme pour la plus grande satisfaction de Jacques.
Chaque nuit, ou presque, j’allais le retrouver dans sa chambre, ou rentrant tard il venait se glisser dans mon lit et heureuse après de longs préliminaires et de longs 69, je subissais les assauts de son large mandrin, j’ouvrais mes fesses pour lui sans jamais me lasser et en redemandant sans cesse jusqu’à l’épuisement, tombant souvent dans un sommeil réparateur, après avoir éjaculé sous ses masturbations d’enfer. Offerte il me possédait et naturellement lorsqu’il me présentait son cul je le possédais sans me faire prier et le plus souvent possible, ces instants près de Jacques me faisant découvrir mon côté tant passive, qu’active et comme disait Jacques, il serait tellement dommage de laisser un tel engin inactif.
A suivre……
Mon premier homme, Jacques.
Dès le lundi, Jacques et Chris partirent en en ville ensemble et ils revinrent le soir avec un cadeau pour moi, et surprise je découvris le plug qu’ils avaient achetés.
- C’est pour mieux préparer ton petit trou, me dit il, tous les godes de Chris et celui de samedi que t’a enfilé Chris sont vraiment trop fins pour que tu sois prête à faire l’amour avec d’autres amants qui seront bien membrés et si tu n’es pas préparée ils pourraient te déchirer les sphincters, mais en le portant jusqu’à la fin de semaine tu seras ouverte juste ce qu’il faut pour samedi.
- Dis moi Jacques, dis je, tu n’aurais pas une idée derrière la tête par hasard.
- Non pas par hasard, Leslie chérie, cela fait un moment que je rêve de te prendre le cul, et si tu t’offrais à moi et que je sois ton premier homme alors…
- Alors quand tu veux, Jacques, je t’offre ma rondelle jamais visité par un pieu de chair elle est à toi et tu en disposeras quand tu veux, mais il est vrai que tu es super monté et que je risque de déguster.
- Alors ne perdons pas de temps fais voir ton cul, je vais te préparer.
Ecoutant Jacques je lui présente mon cul et aussitôt Chris enduit ma rondelle de gel, ce plug ils me l’enfoncèrent ensemble, non sans mal je dois le confesser, car il est vrai que je suis particulièrement serrée du cul, je suis étroite, et si au début tout allait pour le mieux, il a fallut qu’ils poussent pour le rentrer en entier en moi, la partie la plus évasée ayant du mal à être acceptée, mais quel délice quand il fut en entier en moi, mon anneau se refermant sur la tige plus étroite, l’emprisonnant pour qu’il ne sorte plus. Et je l’ai conservé en moi nuit et jour comme me l’avait conseillé Jacques, jusqu’au samedi, ne le retirant que pour les occasions particulières.
Nous sommes ressortis le samedi, et comme la première fois tout le monde nous regardaient, rien n’était différent si ce n’est que j’étais habitée, par le fondement, du cadeau de mes complices, le plug. La soirée fut délicieuse, mais j’étais de plus en plus impatiente de terminer cette soirée et de renter pour vivre une nouvelle expérience.
Arrivés à la maison, mon impatience était à son comble, j’étais littéralement hors de moi, enfin Chris me prenant par la main m’emmena directement dans la chambre de Jacques, ou elle entreprit de mettre nue. En un rien de temps je me suis retrouvée nue debout au milieu de la pièce et Chris fit de même pour elle se déshabillant en un rien de temps, nous étions nues toutes les deux au milieu de la chambre, près du lit de Jacques.
Chris s’est assise sur le bord du lit et ma prise dans sa bouche, pendant qu’elle me suçait elle passa ses mains sur mes fesses et les écartant légèrement elle me retira le plug du cul, me laissant vide du derrière.
C’est à ce moment que deux mains se sont posées sur ma poitrine par derrière, me prenant mes deux globes, Jacques venait de faire son apparition, J’ai vite senti qu’il était entièrement nu, car sa virilité frottait sur mes fesses nues. Retournant la tête vers lui il me posa ses lèvres sur les miennes et força ma bouche de sa langue afin de m’embrasser à pleine bouche. Chris me suçait de plus belle, jacques passa une main dans la raie de mon cul et de son doigt vérifia si le plug avait fait l’effet escompté, je sentais son majeur m’investir, c’était délicieux.
- Notre petite Leslie est fin prête Chris, dis Jacques.
- Chris se plaça sur le dos au milieu du lit, et je me plaçais à l’envers, mes genoux de part et d’autre de la tête de Chris, cela fit que ma queue pendait au dessus de sa tête, elle en profita pour reprendre sa fellation. Je sentis à nouveau la présence de Jacques dans mon dos et pendant qu’il embrassait ma nuque je sentis un de ses doigt investir mon trou du cul, il me vrillait l’anus de son doigt inquisiteur, puis deux et après trois…..Jugeant certainement que j’étais prête, il demanda à Chris de bien m’ouvrir les fesses des deux mains, ce qu’elle fit tout en continuant sa fellation,
- Comme il est magnifique ton petit trou plissé Leslie, dis Jacques, il ne demande qu’à être investit, et puis tu es indécente ainsi le cul entrouvert, un véritable appel à la fornication,
- Oh, Jacques ne me fait plus attendre ainsi, dis-je dans un souffle.
Il plaça alors son gland à l’entrée de mon cul qui frémissait ou d’envie, ou d’appréhension.
-Leslie, me dit il, laisse toi faire je vais être le plus doux possible.
Et joignant la parole au geste, me tenant fermement par les hanches, les fesses toujours ouvertes par Chris, il se mit à pousser, je sentais mes chairs comprimées sous la poussée du mandrin de Jacques et je m’ouvrir doucement, j’avais un peu mal mais très supportable pour le moment.
- Mon gland est presque passé, me dit il, cela va être plus facile après, tu vas voir…..
- Ohhh, Jacques prend moi comme une femme, lui dis-je.
- J’en ai bien l’intention Leslie d’amour, ma petite salope que j’aime.
- Oui, je suis ta petite femme chérie, prend moi je t’appartiens pour la nuit.
- Et moi, dis Chris.
- T’inquiètes pas tu auras aussi ton moment, dit Jacques, mais chaque chose en son temps, pour l’instant suces et toi Leslie caresse lui la chatte et son bouton, tu peux même lui mettre un doigt dans le cul, ainsi elle sera préparée pour plus tard.
Pendant tout ce temps la, Jacques continuait à pousser son gland dans mon cul, qui continuait de s’ouvrir sous la pression.
- Waouh, Jacques tu es trop large, tu vas me déchirer, arrêtes, dis je en soufflant, la sueur perlait déjà de mon front.
- Attention j’y suis presque, dit Jacques.
Tout en disant cela il me mit un petit coup de rein ferme, qui irradia une douleur dans mon cul et me fit savoir que son gland avait passé mon étroit anneau, je demandais une pose, qu’il fit volontiers. je souffle avec une drôle de sensation dans le cul, encore un instant, puis je sens que Jacques reprend la progression de son membre dans mon cul, je sens les centimètres qui rentrent, il ne m’a rentré que la moitié et je ne sais si je pourrais accepter et endurer l’autre moitié, mon cul commence à me brûler et il me faut une nouvelle pose.
Je me sens cassée en deux et je n’ai pas encore Jacques en entier en moi, mais la pause est finie et Jacques d’un seul coup me rentre le reste dans ma rondelle distendue, je suffoque mais il est en entier en moi et me le fait savoir triomphant.
Nous restons un long moment ainsi sans bouger, m’habituant au corps étranger qui me vrille le cul, même Chris s’est arrêter gardant mon sexe dans sa bouche, regardant la queue de Jacques entièrement fichée en moi dans ma rondelle écartée, et ne remuant que la langue dans sa bouche autour de mon gland, je ne sais plus ou j’en suis et la tête me tourne.
Je sens Jacques bougé, il se retire doucement, puis revient au fond de moi, et recommence, encore et encore, il me lime le cul de son gros dard épais, la douleur s’estompe, laissant place au plaisir qui monte, je suis heureuse et enculée.
- Waouh, ton sexe me bourre bien Jacques, je me sens complètement écartelée.
- Oui ton petit cul est très serré, il faudra faire attention à le garder ainsi, les hommes adorent.
- Oui, Jacques j’écouterais tes conseils, mais en attendant défonces ma rondelle, toi mon premier enculeur.
- Tu as un cul super il me fait bander, et je vais devenir obsédé de ton cul.
- Il sera à toi aussi souvent que tu le désireras, Ohhh, la, oui comme ça, continue ainsi.
- Tiens prend et prend.
Encore et encore Jacques rentre et sort de mon cul, son sexe vibre et je sens mon cul se remplir d’un chaud liquide, Jacques vient de jouir en moi, il vient de se vider au fond de moi et je jouis dans la bouche de Chris qui avale tout, je suis cassée, mais heureuse, Jacques se retire me laissant béante et il offrit sa queue à Chris pour lui redonner de la vigueur, ce qui arriva au bout de quelques instants, et là, Chris voulut que Jacques lui fasse l’amour, ce qu’il fit sans se faire prier deux fois, puis qu’il la sodomise pour voir si elle préférait sa queue, plus tôt que la mienne, mais le cul possédé par le membre de Jacques, elle ne se prononça pas sur le sujet, mais nous demanda de la finir en sandwich, encore une fois n’ayant pas vraiment le choix nous réalisâmes sa demande, si Jacques m’avait demandé de lui faire le cul, la soirée aurait été complète, mais ce ne fut pas le cas, enfin pas cette fois.
Heureuse d’avoir reçue les faveurs d’un homme en moi je me suis endormie avec le sentiment que désormais ma vie serait maintenant différente.
Je suis l’amante de Jacques.
Le lendemain soir, Jacques m’invita à passer la nuit avec lui dans sa chambre, Chris était sortie et rentrerait tard.
Dès que nous sommes dans sa chambre, il sortit une nuisette noire, et me dit de ma passer.
Je me retrouvais en petite culotte et nuisette, qui ne cachaient strictement rien de mon intimité et de mes attributs, mais les mettaient plutôt en valeur sous le voile transparent. J’avais maintenant l’air d’une pute de maison close.
Jacques me prit par la main et m’entraîna sur le lit où nous nous allongeâmes, on se regarda en caressant tendrement nos corps, je dégageais le sexe de jacques et je pris l’initiative en m’approchant de sa bite, puis, la prenant en main je la caressais doucement, enfin la bite de Jacques se redressa.
Je pris sa tige en main et la flattais doucement en approchant ma bouche du beau gland rose. Je commençais en léchant le gland avec amour, puis refermais ma bouche dessus en glissant ma langue pour taquiner le méat. Ensuite, j’enfonçais ma bouche pour prendre entièrement sa tige. Jacques gémit sous ma caresse buccale. Je m’activais maintenant sur son chibre en caressant ses testicules Jacques, qui tenait ma tête pour que je le pipe à son rythme, me repoussa soudain :
- Arrête, ma chérie, tu vas me faire partir.
Je cessais ma fellation et lui demandais :
- Que veux-tu que l’on fasse alors ?
- Mets-toi à quatre pattes, ma puce…
Je le sentis baisser et enlever ma petite culotte, il s’enduit la queue avec une crème blanche, et me graissa la rondelle, son doigt étala la crème puis pénétra mon intimité en douceur, il en profita pour branler un peu ma queue raide. C’était troublant de sentir ce doigt me violer à nouveau les fesses, le lendemain de mon vrai dépucelage du cul, mais je commençais à aimer cela et allais au-devant de cette caresse en faisant ondoyer langoureusement mon cul. Jacques continuait, doucement pour m’habituer à la pénétration en enfonçant deux puis trois doigts pour bien m’élargir. Au bout de quelques minutes, je le priai de venir vite en moi.
- Viens me prendre, Jacques chéri; viens me baiser le cul avec ton beau sexe; je suis ta petite pute.
Jacques enlève alors ses doigts puis se place derrière moi et bientôt son gland fut contre ma petite rondelle qui frémit, je sentais le gland entrer doucement mais sûrement et violer le passage du sphincter, comme la veille. Jacques s’arrêta, une fois ma rondelle passée, pour m’habituer, puis s’enfonça lentement jusqu’à ce que je sente toute sa bite en moi et son pubis plaqué contre mes fesses. Puis il se mit à sortir et rentrer sa bite en venant chaque fois tout contre mes fesses. Je ne savais plus où j’en étais tellement cette sensation, encore légèrement douloureuse comme la veille, puis envoûtante, cela me mettait dans un état proche de l’évanouissement, Jacques continuait à bien me baiser en me caressant partout, mes fesses, mes hanches. Parfois, Jacques se penchait et frottait son buste dans mon dos tout en me caressant les seins ou en prenant mon sexe pour le branler quelques instants.
- Oh, que tu es bonne, ma chérie. Que ton cul est chaud et accueillant. Oh, ma Leslie, je sens que je vais jouir dans tes fesses. Tu m’excites tellement.
En effet, j’ai senti Jacques accélérer, puis il se figea au fond de mon intestin et râla en jouissant longuement dans mon cul.
Je le sentis ensuite sortir lentement son long sexe de mon trou. Puis, tendrement enlacées, nous nous allongeâmes sur le lit en nous embrassant longuement.
Jacques rompit le silence et me demanda :
- Veux-tu me la mettre aussi ?
- Jacques tu es bi ?
- Oui depuis longtemps, et si tu veux je suis d’accord.
- Bien, lui répondis-je, je vais bien t’enfiler, comme tu m’as bien baisée,
Comme je bandais, je me levai, puis, je me lubrifiai avec une noix de crème et m’approchai de Jacques. Il était allongé sur le dos au bord du lit, les jambes ouvertes. Je pris une autre noix de crème puis lui demandai de lever ses jambes pour que je puisse l’appliquer sur sa petite rondelle brune. Je le lubrifiai bien. Je rentrai un doigt, puis deux, enfin trois pour bien le préparer à mon clitoris plus épais que le sien et plus long. Une fois ces préparatifs doucement achevés, je pris ses jambes et les lui fis les poser sur mes épaules.
- Humm, à ton tour, de sentir les plaisirs de la pénétration. Je vais bien te faire jouir, tu vas voir.
Je pris ma bite et pressai mon gland contre son anus. Je cherchais à m’enfoncer doucement, mais je sentis très facilement ma queue entrer sans presque aucun effort dans son intestin. Bientôt, j’étais à fond dans ses fesses.
- Et bien, Jacques, ça rentre comme dans du beurre là-dedans.
- Oui, c’est vrai, encules-moi bien avec ton beau clitoris.
En caressant ses jambes, je me mis à lui pistonner langoureusement les fesses. Je le vis prendre sa bite en main et se masturber doucement. Elle avait repris sa belle taille de pine raide. Je baisai Jacques en gémissant de plaisir.
- Oh mon Jacques, je sens que ça vient. Je vais te jouir dans les fesses !
- Oui Leslie, tu vas me faire jouir avec ton clitoris. Comme c’est bon de se sentir une vraie femelle !
Je le baisais de plus en plus fort, sentant que j’allais jouir en lui. Puis je sentis mon foutre éclater en saccades dans son cul et je vis, en même temps, gicler de sa queue de longs traits de sperme qui atterrirent sur la nuisette noire.
Nous nous embrassâmes tendrement, puis nous endormîmes enlacés.
Les merveilleuses vacances de mes 18 ans prirent fin, et je retournais chez mes parents, Val m’attendait et me demanda de lui raconter mes expériences, puis le temps de faire mon sac, je la quittais pour la perdre pour une année, mais ce devait être ainsi, et il y avait Chris qui elle aussi partait faire un voyage d’études à Londres.
Mes parents ne se doutèrent de rien lorsque je rentrais après les congés, ils me trouvèrent transformée et en pleine forme, me voyant si heureuse de partir vivre chez Jacques et de rentrer dans son cabinet afin de m’apprendre le métier. Ils savaient aussi que Val viendrait me rejoindre l’année suivante, en tant qu’assistante de Jacques.
Il me tardait de retourner dans la maison de Jacques pour pouvoir vivre enfin en femme et me féminiser un peu plus.
Mon installation chez Jacques.
De retour à la maison de Jacques je m’installais et décorais ma chambre de nus érotiques montrant des femmes androgynes aux petits seins et petites fesses, dans des positions les plus équivoques possibles, dans cette chambre je me sentais bien, je savais que j’allais me plaire et que désormais ma vie allait être différente.
Pendant cette année, seule auprès de Jacques je réalisais tous les phantasmes que j’avais dans la tête.
Je vivais désormais entièrement nue dans la maison donnant à Jacques à l’occasion de nos brèves rencontres dans la maison, soit de me taper les fesses, soit de m’enlacer l’espace d’un baiser ou parfois de passer une main dans ma raie et de rentrer un doigt dans mon trou du cul. Jacques ne pouvant s’empêcher de me toucher sous prétexte qu’il me trouvait fort à son gout, et souvent comme des amants nous sortions le soir, moi en femme pour la plus grande satisfaction de Jacques.
Chaque nuit, ou presque, j’allais le retrouver dans sa chambre, ou rentrant tard il venait se glisser dans mon lit et heureuse après de longs préliminaires et de longs 69, je subissais les assauts de son large mandrin, j’ouvrais mes fesses pour lui sans jamais me lasser et en redemandant sans cesse jusqu’à l’épuisement, tombant souvent dans un sommeil réparateur, après avoir éjaculé sous ses masturbations d’enfer. Offerte il me possédait et naturellement lorsqu’il me présentait son cul je le possédais sans me faire prier et le plus souvent possible, ces instants près de Jacques me faisant découvrir mon côté tant passive, qu’active et comme disait Jacques, il serait tellement dommage de laisser un tel engin inactif.
A suivre……
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