Leslie transexuelle chapitre 57
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 812 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Leslie ont reçu un total de 3 089 851 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 195 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Leslie transexuelle chapitre 57
CHAPITRE 57 – Voyages.
En voyage avec Jacques.
En ce vendredi nous sommes partis avec Jacques, passés notre fin de semaine en amoureux à Monaco. Souvent ils nous arrivent avec Jacques de profiter de ces instants en amoureux et de passer la fin de semaine à faire l’amour loin de la maison.
Cette fois, nous sommes partis tôt dans l’après-midi afin de profiter au maximum de ces deux jours. Après nous être installés dans notre hôtel, juste temps de défaire nos petits bagages et de se changer et nous avons été flâné, bras dessus bras dessous, sur le bord de mer, puis c’est tout naturellement que nous avons été dîner dans un restaurant très chic, pour l’occasion j’ai passée une jolie tenue sexy, ni trop sage, ni trop provocante, juste ce qu’il faut pour attirer le regard, mais sans être vulgaire.
Après le dîner nous nous sommes rendus, avec Jacques, au bar de l’hôtel pour prendre un verre avant de rejoindre notre chambre et certainement faire l’amour. Nous nous sommes installé dans un petit salon très confortable, mais peu de temps après mon attention fut attirée par un rire de femme, je lève la tête et découvre deux jolies jeunes femmes installées non loin de nous.
Jacques suivant mon regard découvre à son tour les deux jeunes et belle créature, et il me dit :
- Jolis petits bouts de femmes.
- Oui très belles, je rétorque.
- Elles te plaisent ?
- Oui, je lui dis.
- Ne bouge pas, je vais les convier à nous rejoindre.
Après avoir été à leur table pour les convier à nous rejoindre, Jacques revient vers moi avec un large sourire en disant :
- Un petit instant et cela va se faire, Leslie.
En effet, peu de temps après les deux jeunes femmes se lèvent et viennent nous rejoindre à notre table, elles sont splendides, vêtues de jupes courtes et de jolis petits hauts, en chaussures à talons hauts, elles se dirigent vers nous en roulant des hanches, je me lève à leur arrivée pour leur indiquée la banquette située en face de moi, pour s’asseoir.
- Bonjour, voici Jacques et moi c’est Leslie, leur dis-je en leur tendant la main.
- Nous c’est Nathalie que voici et moi c’est Audrey, me dit Audrey en prenant ma main.
Les présentations faites, Nathalie et Audrey s’installèrent.
En s’asseyant, je ne peux m’empêcher, ainsi que Jacques, de regarder leurs jambes magnifiques, ayant même l’occasion de voir la petite culotte blanche d’Audrey, qui tranche vraiment avec son bronzage. Nathalie plus pudique ne laisse rien entrevoir à nos regards.
- Que voulez vous boire ? demande Jacques.
- Champagne, répondent-elles.
Dans cette ambiance feutrée, la soirée s’annonce bien.
Le temps passe et nous en sommes à la deuxième bouteille de champagne.
Les deux jeunes femmes sont d’humeur libertine, se laissant à quelques sous-entendus dans leur conversation, nous laissant supposer avec Jacques que ces deux jeunes femmes ont des relations dépassant l’amitié, tandis qu’en même temps, Audrey ne cesse de m’exposer sa petite culotte tant elle écarte les jambes. Je suis troublée et dois reconnaître que cela m’excite beaucoup.
- Bon, on prend une bouteille et on va dans notre chambre la boire, dit Audrey.
- Bonne idée, rétorque Nathalie.
Avec Jacques, bien évidemment, nous sommes partants.
Sur ce, elles se lèvent toutes les deux et se rapprochant l’une de l’autre s’embrassent à pleine bouche, nous faisant s’avoir ouvertement que ces deux jeunes femmes entretiennent ensemble une relation qui dépasse la pure amitié.
Elles se prennent par la main et se dirigent vers les escaliers, avec Jacques nous les suivons, je ne peux détacher mon regard de leurs corps, dans le couloir qui mène à leur chambre, elles sont bras dessus bras dessous, exposant leurs dos à nos regards.
Puis arrivés, nous entrons dans la chambre, elle est spacieuse avec deux grands lits et des fauteuils, comme dans uns suite et on s’assied sur un des lits avec Nathalie, Jacques lui préférant un fauteuil, tandis qu’Audrey prépare le champagne.
Nous buvons le champagne discutant dans une atmosphère d’attente, c’est Nathalie qui nous fait comprendre que c’est le moment de passer à autre chose en disant :
- Il fait si chaud, si nous nous mettions à la l’aise maintenant.
Et joignant le geste à la parole est entreprend de se mettre nue, tout en nous regardant faire de même, quelques instants plus tard nous sommes nus tous les quatre.
Audrey et Nathalie ont remarquées que je ne suis pas une femme à part entière et paraissent ravies de ce fait en me traitant de petite cachotière et Jacques de pervers bisexuel.
Audrey me demande de m’installer dans l’autre fauteuil de la chambre en disant :
- Vous ne bougez pas, nous allons vous offrir un petit spectacle de notre composition, lance Audrey.
-
Après avoir installée Nathalie sur le lit, les deux jeunes femmes s’enlacent dans un échange lesbien, les caresses et les baisers s’échangent avec fougue et passion. Les deux femmes sont de jolie, Nathalie la blonde à une belle poitrine généreuse, alors qu’Audrey, la brune possède une petite poitrine, toutes les deux sont intégralement épilée.
Nathalie se place entre les cuisses de Audrey et entreprend de lui lécher la vulve, Audrey ne cesse de gémir sous les caresses buccales de sa copine. Cambrée dans la position dans laquelle est Nathalie, celle-ci m’offre son fessier à mon regard. Son cul est superbe, Nathalie possède une petite chatte toute épilée, ourlée par une belle paire de lèvres brunes.
Le spectacle est divin et Jacques se branle en regardant les deux femmes se gouiner.
Soudain, elle change de position et se mettent en soixante neuf, Audrey dessus m’offrant en spectacle son petit cul aux hanches étroites, la chatte et l’œillet entièrement épilés.
- T’as vu l’effet que nous faisons à nos deux compagnons, dit Audrey, ils ont une belle queue.
- Oui, dit Nathalie, il faut que nous nous en occupions.
Nathalie se redresse et en s’adressant à Jacques elle lui dit :
- Reste assis je vais m’occuper de toi.
Joignant le geste à la parole, Nathalie se saisit de la queue de Jacques et commence à le branler doucement, puis Nathalie s’installe entre les jambes de jacques, à genoux sur le sol et enfourne le sexe de Jacques au plus profond de sa gorge pour entamer une fellation de rêve, Jacques sous la caresse de la bouche de Nathalie soupire et s’arque boute. Pendant ce temps,
Audrey vient vers moi, elle détaille mon corps androgyne avec des yeux remplis d’envie, puis elle se penche vers moi et m’embrasse à pleine bouche, mêlant sa langue à la mienne. Puis lentement sa tête descend vers mon bas ventre, et Audrey s’installe à genoux entre mes jambes et ouvrant les lèvres, elle me prend dans sa bouche chaude et humide.
Nathalie s’est redressée et faisant face à Jacques, elle se saisit du membre de Jacques, toujours assis dans le fauteuil, et le guidant vers son pubis elle s’empale sur le membre dressé dans un cri de triomphe, puis prenant appui des deux mains sur les épaules de mon amant commence de lents va et vient au-dessus de lui, Nathalie soupire à chaque descente en disant des :
- Oh, comme c’est bon, oh…..
Audrey se redresse et monte sur un des lites, je me relève à mon tour et entreprend de baiser Audrey, qui s’est installée en levrette sur le lit. Ma queue la pénètre aisément tellement elle est mouillée. Mes mouvements sont lents au début, Audrey glousse sous mes coups de reins.
Puis maintenant Audrey par les hanches, je rentre en elle à grands coups de reins, ce qui me provoque les râles d’Audrey.
Nathalie qui est toujours au dessus de Jacques, à changer de position, et lui tournant le dos elle se sodomise sur le membre de
Jacques, tout en caressant d’un doigt son clitoris, Puis Nathalie crie sa jouissance tandis que Jacques se déverse dans ses reins.
De mon côté je jouis en Audrey, en me disant que rien ne presse pour une sodomie avec elle.
Puis reposons, chacun de notre côté tendrement enlacés, Jacques avec Nathalie sur un des lits de la chambre et Audrey dans mes bras sur l’autre lit, la nuit sera chaude et ce n’est que le début du week-end.
Voyage nordique.
Depuis le temps que j’entends dire que les voyages organisés sont une occasion de lier connaissance et parfois de faire des rencontres, tout en profitant de chaque instant pour découvrir l’inconnu, j’ai décidée de me lancer et de profiter d’un long week-end de quatre jours pour faire un voyage au Danemark et visiter Copenhague, ville de la petite sirène.
N’ayant encore jamais voyagée à l’étranger, je pense qu’un petit périple au Danemark de quatre jours est une excellente occasion
pour commencer, non sans vous avouer que pour mon premier voyage seule et à l’étranger je suis un peu stressée avant mon départ.
Mais quatre jours, ça passe vite, et comme me le dit Chris :
- A peine partie, il te faudra penser au retour, alors pourquoi t’en faire, en plus si le pays est à la hauteur de ce que l’on raconte, tu dois trouver, là-bas, des gens sympathiques et accueillants.
Effectivement les quatre jours sont passés très vite, le petit groupe avec lequel je suis partie est fort sympathique, et très vite des liens se sont tissés pendant le voyage, entre certains.
L’hôtel où nous sommes accueillis est confortable et la restauration n’est pas désagréable, les plats typiques scandinaves se mêlent à des plats plus traditionnels sur de somptueux buffets. C’est ainsi que visites et restaurants occupent nos deux premières journées, ne laissant pas le moindre temps libre dans un planning très chargé. Le troisième jour est une journée libre, pour faire les achats de souvenirs ou se promener librement dans la ville. Le samedi soir, une soirée fut organisée par le tour opérateur et c’est dans le restaurant chic de l’hôtel, typiquement danois, que nous avons dînés.
Le dîner fut servit en présence de nos deux hôtesse accompagnatrices, sur des tables de huit ou chacun prit place et, par chance les deux accompagnatrices s’installèrent à ma table, ma voisine est l’une d’elle, Kristen, parlant un français impeccable, c’est un très belle scandinave de 24 ans, blonde, mince et élancée, 1,70 m, vêtue d'un tailleur crème moulant son corps harmonieux, en face de moi, se trouve la seconde, Else, toute aussi blonde que sa collègue, légèrement plus petite.
Nous avons, notre table et nos deux hôtesses dînés en échangeant sur les us et coutumes respectifs de nos deux pays, certains même ayant beaucoup voyagés s’aventurant à faire des comparaisons avec d’autres pays. La soirée se déroula de façon charmante, tous paraissant enchantés de l’accueil et de l’ambiance, puis des petits groupes se formèrent par affinités pour converser sur des sujets les intéressant, parlant des projets futurs et à venir ou sur des escales passées dans d’autres contrées.
Autour des deux hôtesses un petit groupe s’est formé, plus intéressés aux pays visité, nous écoutons attentivement Kristen et Else parler des légendes du pays danois.
Puis le dîner prit fin, les tables se vidèrent tranquillement, chacun partant rejoindre sa chambre ou faire une dernière ballade dans
Copenhague la nuit. Nous sommes restés en compagnie de nos deux hôtesses avec une jeune femme et un homme d’âge mur, puis nous nous sommes rendus ensemble au bar afin de prendre un verre confortablement installés dans le petit salon de l’hôtel.
C’est alors que Kristen nous dit :
- L’hôtel possède un dancing en dessous, cela vous dit d’y faire un tour ?
A cet instant, Else se sentant fatiguer nous quitte pour rejoindre sa chambre, et c’est en compagnie de Carole, Jean-Michel et de Kristen que je me retrouve dans le dancing de l’hôtel.
Nouvelles consommations pour trinquer ensemble à l’hospitalité danoise, puis Jean-Michel invite Carole à danser et je me retrouve seule avec Kristen.
Aucun mot n’est échangé entre nous, simplement nos regards se croisent.
C’est Kristen qui me tend la main pour m’emmener vers la piste de danse, je suis troublée par cette invitation et me perds dans mes pensées ne sachant quoi lui dire, dois-je lui faire l’aveu de mon physique androgyne ou dois-je le lui laisser découvrir en dansant intiment enlacées dans un slow langoureux
Ne pouvant prononcer une parole je me laisse guider sur la piste de danse ou nos corps tendrement enlacés commencent à onduler, Kristen le corps collé au mien se laisse aller dans la douce musique qui nous entraine vers d’autres mondes, provoquant en moi le début d’une érection de folie.
Elle me regarde dans les yeux, ayant maintenant compris et colle encore plus son corps au mien en me disant dans l’oreille :
- J’adore !
Tout en collant au maximum son corps au mien, comme pour sentir encore mieux l’érection qui envahit mon bas-ventre, je suis troublée et me laisse aller, ne sachant que penser sur la suite de la soirée.
A la fin du slow elle prend ma main, et m’emmène vers notre table pour terminer notre verre, sous la lumière vacillante de la bougie qui donne encore plus d’éclat à sa beauté, la veste largement ouverte sur sa poitrine ne cache rien de ses seins qui montent et descendent au rythme de sa respiration, une nouvelle fois ses yeux se plantent dans les miens et d’une voix à peine audible, elle me dit :
- Emmènes moi dans ta chambre !
Laissant Carole et Jean-Michel, nous partons, Kristen me tient par le bras en sortant du dancing, comme si nous étions des amis de toujours, pendant que nous marchons en direction de la chambre, je la tiens par la taille en regardant ses seins que sa veste largement déboutonnée ne cache plus.
Arrivées devant la porte, je passe la carte dans le lecteur et fais entrer Kristen qui se laisse choir dans le fauteuil tout en croisant haut ses jambes galbées.
Sa veste, désormais, n'est retenue que par un bouton au-dessus du nombril, elle est assise et moi, debout devant elle, légèrement impudique elle me regarde droit dans les yeux et dans un souffle je l’entends me dire :
- J’ai envie de toi !
Je me penche vers elle et ma bouche s'approche de la sienne, bientôt nos lèvres se touchent, elle passe sa langue sur mes lèvres, et nos lèvres se joignent, sa langue me pénètre et notre baiser s’enflamme.
Je me place à genoux devant elle et dans le même temps elle décroise ses jambes, qu'elle écarte autant que le lui autorise son tailleur étroit afin de me permettre de rendre place entre ses cuisses, nos lèvres ne se sont pas quittées et je défais le dernier bouton de sa veste faisant apparaître sa poitrine.
Ne portant pas de soutien-gorge, ses tétons sont bien durcis par les frottements de sa veste, elle se mord la lèvre et sa poitrine se gonfle de bonheur. Je caresse sa poitrine offerte tandis que nos baisers sont passionnés.
Nous nous redressons et je prends Kristen par les hanches et dégrafe sa jupe qui tombe sur ses chevilles. Elle porte un ravissant petit string qui masque à peine son intimité, le string rejoint la jupe à terre et Kristen se retrouve nue contre moi, avec sa veste pour simple vêtement ouvert sur sa poitrine, Kristen à une vulve impeccablement rasée en ticket de métro.
Rapidement elle me met nue, mon corsage et ma jupe rejoignant ses affaires déjà à terre, mon string ne contient plus mon sexe dressé de désir, elle respire rapidement, puis Kristen se plaque contre moi, ses seins contre ma poitrine, et m’étreint contre elle, le bassin en avant afin de plaquer son sexe contre le mien au travers de l'étoffe de mon string, et murmure doucement :
- Je le sens bien, il est dur.
Puis elle sourit, elle tend un bras en avant et enserre mon sexe au travers du tissu de mon string, approche sa bouche de mon oreille et murmure doucement :
- J’ai vraiment envie de toi, jolie ambiguë, maintenant.
Mes mains se posent sur ses fesses, je les caresses, une main en haut de sa raie s’aventure et un doigt ouvre le sillon de ses deux lobes, il glisse dans la raie à la rencontre du petit trou de Kristen, puis de sa fente maintenant humide de désir, elle glousse et frémit sous mes caresses.
Debout l’une contre l’autre elle se laisse aller dans son plaisir que envahit son ventre, puis je me laisse glisser en fléchissant mes jambes, jusqu’à être accroupie à ses pieds, ma langue explore son ventre plat et ferme, agace le nombril et descend vers son intimité, Kristen écarte ses jambes, gémit et projette son bassin vers moi, plaquant son pubis contre ma langue qui investit son intimité, elle ondule et gémit de plus belle, elle prend ma tête entre ses deux mains et presse de plus belle ma bouche sur son sexe qui s’ouvre à ma langue, j'écarte délicatement ses lèvres intimes, un petit anneau sertit son clitoris, que je décalotte délicatement pour l'exciter du bout de la langue.
Kristen pousse un long râle en se contorsionnant, c’est une clitoridienne, elle fond sous la caresse de ma langue, et se met à couler comme une fontaine, puis elle lève une jambe qu’elle pose sur mon épaule m’ouvrant toute son intimité sans pudeur.
Lorsque ma langue trouve son anus, Kristen se tend et elle est parcourue de frémissements, puis brutalement, elle lance un cri et explose dans un orgasme convulsif, elle me tient la tête pour appliquer fermement ma bouche contre sa vulve, puis dans un dernier cri s'affale sur le lit, haletante les cuisses grandes ouvertes.
Son intimité ouverte s'offre à moi, Kristen est maintenant sans pudeur, elle réclame d’une voix douce à peine audible :
- Prends-moi maintenant, prends-moi, je te veux en moi et jouir de ta belle queue.
Ma queue bandée tremble de désir, prête à exploser et tandis que je la pénètre, je sens Kristen m’ouvrir les fesses et son index va titiller mon anus par mouvements circulaires, puis me pénétrer l’œillet, m’obligeant à la pénétrer plus encore à chaque fois que son index rentre au fond de moi.
Après un temps de ce traitement, elle me dit :
- Attends tu vas voir.
Elle se dégage, me fait m’allonger sur le lit et m’enjambe, elle saisit mon membre qu'elle dirige vers son sexe et s'empale très profondément, accompagnant la pénétration d'un râle, puis débute une chevauchée passionnée, elle s’empale profondément cherchant le plaisir le plus absolu. Kristen jouit plusieurs fois ainsi empalée sur mon membre dressé investissant son intimité, tous les deux nous gémissons dans cet accouplement pendant de longues minutes et des spasmes nous secouent.
Puis satisfaite elle s’allonge sur mon corps, sans se désaccouplé, afin de reprendre son souffle et nous restons ainsi pendant un certain temps, sans que je débande.
Sa bouche collée à mon oreille elle me dit :
- Prends-moi encore !
Elle se dégage et se retourne, se met en levrette et me tend sa croupe, je me place derrière elle entre ses jambes écartées et je la pénètre d’une seule poussé, elle râle à nouveau et feule de bonheur.
- C'est bon, ouiiii ! Crie-t-elle avec le souffle court.
Je vais et vient en elle, et dans un râle elle me dit :
- Entre en moi, ohhh oui, prends moi encore et encore.
Les jouissances de Kristen se suivent sans que jouisse encore en elle, me réservant pour un final endiablé.
Toujours en levrette sur le lit, les reins cambrés au maximum la tête dans l’oreiller, elle s’offre sans pudeur, sa petite rondelle palpite de désirs, je passe un doigt dessus et elle se cambre sous la caresse en disant :
- Oh oui, par là aussi j’aime.
Alors je quitte sa vulve et place mon gland devant sa petite rondelle plissée. De mes deux mains j’écarte ses fesses, j'appuie sur son intimité et la chair se déforme, puis cède sous la poussée, mon gland passe l’anneau serré de son intimité.
Elle halète sous l’introduction de mon membre en elle, et prononce des mots incompréhensibles, puis me dit encore :
- Oui, oui, encule moi.
Je pousse mon membre en elle et la pénètre de toute la longueur de mon membre, Kristen se cambre pour profiter au maximum des pénétrations que je lui inflige, tout mon membre est en elle, dans son intimité serrée et elle se tortille, laissant échapper de sa gorge des râles profonds.
Elle devient folle, j'agrippe ses hanches que j'attire violemment vers moi, l'embrochant au plus profond, quand brutalement, dans un dernier sursaut, elle explose en un violent orgasme qui sertit mon pieu et je décharge en elle dans un râle libérateur.
Je me retire d’elle et observe ses deux orifices ouverts, heureuse et sans pudeur elle me laisse regarder ma jouissance couler de son trou plissé, puis se retourne et m'embrasse passionnément.
Nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre, heureuses sachant dans le silence de la nuit, que demain il nous faudra se dire au revoir, mais ce n’est que demain.
A suivre……
En voyage avec Jacques.
En ce vendredi nous sommes partis avec Jacques, passés notre fin de semaine en amoureux à Monaco. Souvent ils nous arrivent avec Jacques de profiter de ces instants en amoureux et de passer la fin de semaine à faire l’amour loin de la maison.
Cette fois, nous sommes partis tôt dans l’après-midi afin de profiter au maximum de ces deux jours. Après nous être installés dans notre hôtel, juste temps de défaire nos petits bagages et de se changer et nous avons été flâné, bras dessus bras dessous, sur le bord de mer, puis c’est tout naturellement que nous avons été dîner dans un restaurant très chic, pour l’occasion j’ai passée une jolie tenue sexy, ni trop sage, ni trop provocante, juste ce qu’il faut pour attirer le regard, mais sans être vulgaire.
Après le dîner nous nous sommes rendus, avec Jacques, au bar de l’hôtel pour prendre un verre avant de rejoindre notre chambre et certainement faire l’amour. Nous nous sommes installé dans un petit salon très confortable, mais peu de temps après mon attention fut attirée par un rire de femme, je lève la tête et découvre deux jolies jeunes femmes installées non loin de nous.
Jacques suivant mon regard découvre à son tour les deux jeunes et belle créature, et il me dit :
- Jolis petits bouts de femmes.
- Oui très belles, je rétorque.
- Elles te plaisent ?
- Oui, je lui dis.
- Ne bouge pas, je vais les convier à nous rejoindre.
Après avoir été à leur table pour les convier à nous rejoindre, Jacques revient vers moi avec un large sourire en disant :
- Un petit instant et cela va se faire, Leslie.
En effet, peu de temps après les deux jeunes femmes se lèvent et viennent nous rejoindre à notre table, elles sont splendides, vêtues de jupes courtes et de jolis petits hauts, en chaussures à talons hauts, elles se dirigent vers nous en roulant des hanches, je me lève à leur arrivée pour leur indiquée la banquette située en face de moi, pour s’asseoir.
- Bonjour, voici Jacques et moi c’est Leslie, leur dis-je en leur tendant la main.
- Nous c’est Nathalie que voici et moi c’est Audrey, me dit Audrey en prenant ma main.
Les présentations faites, Nathalie et Audrey s’installèrent.
En s’asseyant, je ne peux m’empêcher, ainsi que Jacques, de regarder leurs jambes magnifiques, ayant même l’occasion de voir la petite culotte blanche d’Audrey, qui tranche vraiment avec son bronzage. Nathalie plus pudique ne laisse rien entrevoir à nos regards.
- Que voulez vous boire ? demande Jacques.
- Champagne, répondent-elles.
Dans cette ambiance feutrée, la soirée s’annonce bien.
Le temps passe et nous en sommes à la deuxième bouteille de champagne.
Les deux jeunes femmes sont d’humeur libertine, se laissant à quelques sous-entendus dans leur conversation, nous laissant supposer avec Jacques que ces deux jeunes femmes ont des relations dépassant l’amitié, tandis qu’en même temps, Audrey ne cesse de m’exposer sa petite culotte tant elle écarte les jambes. Je suis troublée et dois reconnaître que cela m’excite beaucoup.
- Bon, on prend une bouteille et on va dans notre chambre la boire, dit Audrey.
- Bonne idée, rétorque Nathalie.
Avec Jacques, bien évidemment, nous sommes partants.
Sur ce, elles se lèvent toutes les deux et se rapprochant l’une de l’autre s’embrassent à pleine bouche, nous faisant s’avoir ouvertement que ces deux jeunes femmes entretiennent ensemble une relation qui dépasse la pure amitié.
Elles se prennent par la main et se dirigent vers les escaliers, avec Jacques nous les suivons, je ne peux détacher mon regard de leurs corps, dans le couloir qui mène à leur chambre, elles sont bras dessus bras dessous, exposant leurs dos à nos regards.
Puis arrivés, nous entrons dans la chambre, elle est spacieuse avec deux grands lits et des fauteuils, comme dans uns suite et on s’assied sur un des lits avec Nathalie, Jacques lui préférant un fauteuil, tandis qu’Audrey prépare le champagne.
Nous buvons le champagne discutant dans une atmosphère d’attente, c’est Nathalie qui nous fait comprendre que c’est le moment de passer à autre chose en disant :
- Il fait si chaud, si nous nous mettions à la l’aise maintenant.
Et joignant le geste à la parole est entreprend de se mettre nue, tout en nous regardant faire de même, quelques instants plus tard nous sommes nus tous les quatre.
Audrey et Nathalie ont remarquées que je ne suis pas une femme à part entière et paraissent ravies de ce fait en me traitant de petite cachotière et Jacques de pervers bisexuel.
Audrey me demande de m’installer dans l’autre fauteuil de la chambre en disant :
- Vous ne bougez pas, nous allons vous offrir un petit spectacle de notre composition, lance Audrey.
-
Après avoir installée Nathalie sur le lit, les deux jeunes femmes s’enlacent dans un échange lesbien, les caresses et les baisers s’échangent avec fougue et passion. Les deux femmes sont de jolie, Nathalie la blonde à une belle poitrine généreuse, alors qu’Audrey, la brune possède une petite poitrine, toutes les deux sont intégralement épilée.
Nathalie se place entre les cuisses de Audrey et entreprend de lui lécher la vulve, Audrey ne cesse de gémir sous les caresses buccales de sa copine. Cambrée dans la position dans laquelle est Nathalie, celle-ci m’offre son fessier à mon regard. Son cul est superbe, Nathalie possède une petite chatte toute épilée, ourlée par une belle paire de lèvres brunes.
Le spectacle est divin et Jacques se branle en regardant les deux femmes se gouiner.
Soudain, elle change de position et se mettent en soixante neuf, Audrey dessus m’offrant en spectacle son petit cul aux hanches étroites, la chatte et l’œillet entièrement épilés.
- T’as vu l’effet que nous faisons à nos deux compagnons, dit Audrey, ils ont une belle queue.
- Oui, dit Nathalie, il faut que nous nous en occupions.
Nathalie se redresse et en s’adressant à Jacques elle lui dit :
- Reste assis je vais m’occuper de toi.
Joignant le geste à la parole, Nathalie se saisit de la queue de Jacques et commence à le branler doucement, puis Nathalie s’installe entre les jambes de jacques, à genoux sur le sol et enfourne le sexe de Jacques au plus profond de sa gorge pour entamer une fellation de rêve, Jacques sous la caresse de la bouche de Nathalie soupire et s’arque boute. Pendant ce temps,
Audrey vient vers moi, elle détaille mon corps androgyne avec des yeux remplis d’envie, puis elle se penche vers moi et m’embrasse à pleine bouche, mêlant sa langue à la mienne. Puis lentement sa tête descend vers mon bas ventre, et Audrey s’installe à genoux entre mes jambes et ouvrant les lèvres, elle me prend dans sa bouche chaude et humide.
Nathalie s’est redressée et faisant face à Jacques, elle se saisit du membre de Jacques, toujours assis dans le fauteuil, et le guidant vers son pubis elle s’empale sur le membre dressé dans un cri de triomphe, puis prenant appui des deux mains sur les épaules de mon amant commence de lents va et vient au-dessus de lui, Nathalie soupire à chaque descente en disant des :
- Oh, comme c’est bon, oh…..
Audrey se redresse et monte sur un des lites, je me relève à mon tour et entreprend de baiser Audrey, qui s’est installée en levrette sur le lit. Ma queue la pénètre aisément tellement elle est mouillée. Mes mouvements sont lents au début, Audrey glousse sous mes coups de reins.
Puis maintenant Audrey par les hanches, je rentre en elle à grands coups de reins, ce qui me provoque les râles d’Audrey.
Nathalie qui est toujours au dessus de Jacques, à changer de position, et lui tournant le dos elle se sodomise sur le membre de
Jacques, tout en caressant d’un doigt son clitoris, Puis Nathalie crie sa jouissance tandis que Jacques se déverse dans ses reins.
De mon côté je jouis en Audrey, en me disant que rien ne presse pour une sodomie avec elle.
Puis reposons, chacun de notre côté tendrement enlacés, Jacques avec Nathalie sur un des lits de la chambre et Audrey dans mes bras sur l’autre lit, la nuit sera chaude et ce n’est que le début du week-end.
Voyage nordique.
Depuis le temps que j’entends dire que les voyages organisés sont une occasion de lier connaissance et parfois de faire des rencontres, tout en profitant de chaque instant pour découvrir l’inconnu, j’ai décidée de me lancer et de profiter d’un long week-end de quatre jours pour faire un voyage au Danemark et visiter Copenhague, ville de la petite sirène.
N’ayant encore jamais voyagée à l’étranger, je pense qu’un petit périple au Danemark de quatre jours est une excellente occasion
pour commencer, non sans vous avouer que pour mon premier voyage seule et à l’étranger je suis un peu stressée avant mon départ.
Mais quatre jours, ça passe vite, et comme me le dit Chris :
- A peine partie, il te faudra penser au retour, alors pourquoi t’en faire, en plus si le pays est à la hauteur de ce que l’on raconte, tu dois trouver, là-bas, des gens sympathiques et accueillants.
Effectivement les quatre jours sont passés très vite, le petit groupe avec lequel je suis partie est fort sympathique, et très vite des liens se sont tissés pendant le voyage, entre certains.
L’hôtel où nous sommes accueillis est confortable et la restauration n’est pas désagréable, les plats typiques scandinaves se mêlent à des plats plus traditionnels sur de somptueux buffets. C’est ainsi que visites et restaurants occupent nos deux premières journées, ne laissant pas le moindre temps libre dans un planning très chargé. Le troisième jour est une journée libre, pour faire les achats de souvenirs ou se promener librement dans la ville. Le samedi soir, une soirée fut organisée par le tour opérateur et c’est dans le restaurant chic de l’hôtel, typiquement danois, que nous avons dînés.
Le dîner fut servit en présence de nos deux hôtesse accompagnatrices, sur des tables de huit ou chacun prit place et, par chance les deux accompagnatrices s’installèrent à ma table, ma voisine est l’une d’elle, Kristen, parlant un français impeccable, c’est un très belle scandinave de 24 ans, blonde, mince et élancée, 1,70 m, vêtue d'un tailleur crème moulant son corps harmonieux, en face de moi, se trouve la seconde, Else, toute aussi blonde que sa collègue, légèrement plus petite.
Nous avons, notre table et nos deux hôtesses dînés en échangeant sur les us et coutumes respectifs de nos deux pays, certains même ayant beaucoup voyagés s’aventurant à faire des comparaisons avec d’autres pays. La soirée se déroula de façon charmante, tous paraissant enchantés de l’accueil et de l’ambiance, puis des petits groupes se formèrent par affinités pour converser sur des sujets les intéressant, parlant des projets futurs et à venir ou sur des escales passées dans d’autres contrées.
Autour des deux hôtesses un petit groupe s’est formé, plus intéressés aux pays visité, nous écoutons attentivement Kristen et Else parler des légendes du pays danois.
Puis le dîner prit fin, les tables se vidèrent tranquillement, chacun partant rejoindre sa chambre ou faire une dernière ballade dans
Copenhague la nuit. Nous sommes restés en compagnie de nos deux hôtesses avec une jeune femme et un homme d’âge mur, puis nous nous sommes rendus ensemble au bar afin de prendre un verre confortablement installés dans le petit salon de l’hôtel.
C’est alors que Kristen nous dit :
- L’hôtel possède un dancing en dessous, cela vous dit d’y faire un tour ?
A cet instant, Else se sentant fatiguer nous quitte pour rejoindre sa chambre, et c’est en compagnie de Carole, Jean-Michel et de Kristen que je me retrouve dans le dancing de l’hôtel.
Nouvelles consommations pour trinquer ensemble à l’hospitalité danoise, puis Jean-Michel invite Carole à danser et je me retrouve seule avec Kristen.
Aucun mot n’est échangé entre nous, simplement nos regards se croisent.
C’est Kristen qui me tend la main pour m’emmener vers la piste de danse, je suis troublée par cette invitation et me perds dans mes pensées ne sachant quoi lui dire, dois-je lui faire l’aveu de mon physique androgyne ou dois-je le lui laisser découvrir en dansant intiment enlacées dans un slow langoureux
Ne pouvant prononcer une parole je me laisse guider sur la piste de danse ou nos corps tendrement enlacés commencent à onduler, Kristen le corps collé au mien se laisse aller dans la douce musique qui nous entraine vers d’autres mondes, provoquant en moi le début d’une érection de folie.
Elle me regarde dans les yeux, ayant maintenant compris et colle encore plus son corps au mien en me disant dans l’oreille :
- J’adore !
Tout en collant au maximum son corps au mien, comme pour sentir encore mieux l’érection qui envahit mon bas-ventre, je suis troublée et me laisse aller, ne sachant que penser sur la suite de la soirée.
A la fin du slow elle prend ma main, et m’emmène vers notre table pour terminer notre verre, sous la lumière vacillante de la bougie qui donne encore plus d’éclat à sa beauté, la veste largement ouverte sur sa poitrine ne cache rien de ses seins qui montent et descendent au rythme de sa respiration, une nouvelle fois ses yeux se plantent dans les miens et d’une voix à peine audible, elle me dit :
- Emmènes moi dans ta chambre !
Laissant Carole et Jean-Michel, nous partons, Kristen me tient par le bras en sortant du dancing, comme si nous étions des amis de toujours, pendant que nous marchons en direction de la chambre, je la tiens par la taille en regardant ses seins que sa veste largement déboutonnée ne cache plus.
Arrivées devant la porte, je passe la carte dans le lecteur et fais entrer Kristen qui se laisse choir dans le fauteuil tout en croisant haut ses jambes galbées.
Sa veste, désormais, n'est retenue que par un bouton au-dessus du nombril, elle est assise et moi, debout devant elle, légèrement impudique elle me regarde droit dans les yeux et dans un souffle je l’entends me dire :
- J’ai envie de toi !
Je me penche vers elle et ma bouche s'approche de la sienne, bientôt nos lèvres se touchent, elle passe sa langue sur mes lèvres, et nos lèvres se joignent, sa langue me pénètre et notre baiser s’enflamme.
Je me place à genoux devant elle et dans le même temps elle décroise ses jambes, qu'elle écarte autant que le lui autorise son tailleur étroit afin de me permettre de rendre place entre ses cuisses, nos lèvres ne se sont pas quittées et je défais le dernier bouton de sa veste faisant apparaître sa poitrine.
Ne portant pas de soutien-gorge, ses tétons sont bien durcis par les frottements de sa veste, elle se mord la lèvre et sa poitrine se gonfle de bonheur. Je caresse sa poitrine offerte tandis que nos baisers sont passionnés.
Nous nous redressons et je prends Kristen par les hanches et dégrafe sa jupe qui tombe sur ses chevilles. Elle porte un ravissant petit string qui masque à peine son intimité, le string rejoint la jupe à terre et Kristen se retrouve nue contre moi, avec sa veste pour simple vêtement ouvert sur sa poitrine, Kristen à une vulve impeccablement rasée en ticket de métro.
Rapidement elle me met nue, mon corsage et ma jupe rejoignant ses affaires déjà à terre, mon string ne contient plus mon sexe dressé de désir, elle respire rapidement, puis Kristen se plaque contre moi, ses seins contre ma poitrine, et m’étreint contre elle, le bassin en avant afin de plaquer son sexe contre le mien au travers de l'étoffe de mon string, et murmure doucement :
- Je le sens bien, il est dur.
Puis elle sourit, elle tend un bras en avant et enserre mon sexe au travers du tissu de mon string, approche sa bouche de mon oreille et murmure doucement :
- J’ai vraiment envie de toi, jolie ambiguë, maintenant.
Mes mains se posent sur ses fesses, je les caresses, une main en haut de sa raie s’aventure et un doigt ouvre le sillon de ses deux lobes, il glisse dans la raie à la rencontre du petit trou de Kristen, puis de sa fente maintenant humide de désir, elle glousse et frémit sous mes caresses.
Debout l’une contre l’autre elle se laisse aller dans son plaisir que envahit son ventre, puis je me laisse glisser en fléchissant mes jambes, jusqu’à être accroupie à ses pieds, ma langue explore son ventre plat et ferme, agace le nombril et descend vers son intimité, Kristen écarte ses jambes, gémit et projette son bassin vers moi, plaquant son pubis contre ma langue qui investit son intimité, elle ondule et gémit de plus belle, elle prend ma tête entre ses deux mains et presse de plus belle ma bouche sur son sexe qui s’ouvre à ma langue, j'écarte délicatement ses lèvres intimes, un petit anneau sertit son clitoris, que je décalotte délicatement pour l'exciter du bout de la langue.
Kristen pousse un long râle en se contorsionnant, c’est une clitoridienne, elle fond sous la caresse de ma langue, et se met à couler comme une fontaine, puis elle lève une jambe qu’elle pose sur mon épaule m’ouvrant toute son intimité sans pudeur.
Lorsque ma langue trouve son anus, Kristen se tend et elle est parcourue de frémissements, puis brutalement, elle lance un cri et explose dans un orgasme convulsif, elle me tient la tête pour appliquer fermement ma bouche contre sa vulve, puis dans un dernier cri s'affale sur le lit, haletante les cuisses grandes ouvertes.
Son intimité ouverte s'offre à moi, Kristen est maintenant sans pudeur, elle réclame d’une voix douce à peine audible :
- Prends-moi maintenant, prends-moi, je te veux en moi et jouir de ta belle queue.
Ma queue bandée tremble de désir, prête à exploser et tandis que je la pénètre, je sens Kristen m’ouvrir les fesses et son index va titiller mon anus par mouvements circulaires, puis me pénétrer l’œillet, m’obligeant à la pénétrer plus encore à chaque fois que son index rentre au fond de moi.
Après un temps de ce traitement, elle me dit :
- Attends tu vas voir.
Elle se dégage, me fait m’allonger sur le lit et m’enjambe, elle saisit mon membre qu'elle dirige vers son sexe et s'empale très profondément, accompagnant la pénétration d'un râle, puis débute une chevauchée passionnée, elle s’empale profondément cherchant le plaisir le plus absolu. Kristen jouit plusieurs fois ainsi empalée sur mon membre dressé investissant son intimité, tous les deux nous gémissons dans cet accouplement pendant de longues minutes et des spasmes nous secouent.
Puis satisfaite elle s’allonge sur mon corps, sans se désaccouplé, afin de reprendre son souffle et nous restons ainsi pendant un certain temps, sans que je débande.
Sa bouche collée à mon oreille elle me dit :
- Prends-moi encore !
Elle se dégage et se retourne, se met en levrette et me tend sa croupe, je me place derrière elle entre ses jambes écartées et je la pénètre d’une seule poussé, elle râle à nouveau et feule de bonheur.
- C'est bon, ouiiii ! Crie-t-elle avec le souffle court.
Je vais et vient en elle, et dans un râle elle me dit :
- Entre en moi, ohhh oui, prends moi encore et encore.
Les jouissances de Kristen se suivent sans que jouisse encore en elle, me réservant pour un final endiablé.
Toujours en levrette sur le lit, les reins cambrés au maximum la tête dans l’oreiller, elle s’offre sans pudeur, sa petite rondelle palpite de désirs, je passe un doigt dessus et elle se cambre sous la caresse en disant :
- Oh oui, par là aussi j’aime.
Alors je quitte sa vulve et place mon gland devant sa petite rondelle plissée. De mes deux mains j’écarte ses fesses, j'appuie sur son intimité et la chair se déforme, puis cède sous la poussée, mon gland passe l’anneau serré de son intimité.
Elle halète sous l’introduction de mon membre en elle, et prononce des mots incompréhensibles, puis me dit encore :
- Oui, oui, encule moi.
Je pousse mon membre en elle et la pénètre de toute la longueur de mon membre, Kristen se cambre pour profiter au maximum des pénétrations que je lui inflige, tout mon membre est en elle, dans son intimité serrée et elle se tortille, laissant échapper de sa gorge des râles profonds.
Elle devient folle, j'agrippe ses hanches que j'attire violemment vers moi, l'embrochant au plus profond, quand brutalement, dans un dernier sursaut, elle explose en un violent orgasme qui sertit mon pieu et je décharge en elle dans un râle libérateur.
Je me retire d’elle et observe ses deux orifices ouverts, heureuse et sans pudeur elle me laisse regarder ma jouissance couler de son trou plissé, puis se retourne et m'embrasse passionnément.
Nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre, heureuses sachant dans le silence de la nuit, que demain il nous faudra se dire au revoir, mais ce n’est que demain.
A suivre……
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Leslie
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...